Présentation donnée par Emanuela Chiriac, bibliothécaire, aux professeurs du département des sciences infirmières de l'Université du Québec en Outaouais en mai 2021. Cette intervention s'inscrit dans une campagne d'information menée par la bibliothèque en regard de la Politique des trois organismes subventionnaires canadiens sur les données de recherche, adoptée en mars 2021. ; La version dynamique de la présentation est disponible à l'adresse https://view.genial.ly/605e67884c2c980d6a9f1b5e.
Il faut que les données de recherche soient explorables pour être réutilisées. L'exploration des données correspond au traitement descriptif et technique des données et des métadonnées ainsi qu'aux outils et à l'infrastructure visant à améliorer l'accès aux données de recherche sur Internet et leur réutilisation. Un service canadien d'exploration des données faciliterait la découverte et la réutilisation des données de recherche conservées dans des dépôts institutionnels et disciplinaires. Nous aimerions voir un service qui offrirait un point d'accès cohérent aux descriptions (métadonnées) fiables, consultables, explorables et susceptibles d'action par les machines pour les ensembles de données, et qui offrirait des moyens clairs pour y accéder, ce qui accroîtrait les chances d'exploration et de réutilisation des données de recherche au Canada. Dans le document qui suit, nous faisons ressortir les possibilités et problématiques actuelles concernant l'élaboration d'un tel service au Canada. À l'aide d'une enquête concernant les dépôts de données de recherche et les services d'exploration des données nationaux et internationaux, nous proposons un ensemble de principes directeurs, de pratiques exemplaires et de recommandations pour l'exploration des données: Métadonnées communes : Les renseignements descriptifs qui accompagnent les données de recherche doivent respecter des normes minimales pour favoriser l'exploration et soutenir la réutilisation des données. Cette exigence requiert un engagement pour un ensemble fondamental de composants de métadonnées dans tous les domaines. Les outils de métadonnées devraient permettre de multiples espaces de nommage de métadonnées – termes descriptifs assignés, gérés et regroupés en collections de catégories et attributs. Nous recommandons également de créer multiples outils de prospection de données souples pour l'indexation des dépôts spécialisés afin que l'on puisse conserver la granularité et les métadonnées propres à un domaine dans leur format original. Identification permanente : L'utilisation d'identifiants universels pour les chercheurs et les données de recherche. Nous recommandons d'envisager une entente nationale d'ORCID afin que les universités et les organismes gouvernementaux du Canada puissent intégrer des identifiants de chercheur dans des logiciels de gestion et de publication de recherche institutionnels ou d'autre nature. Nous recommandons également d'enregistrer des identifiants numériques d'objet (DOI) se rattachant aux ensembles de données dans les dépôts participants auprès de DataCite Canada. Ces DOI amélioreront grandement l'exploration des ensembles de données par l'entremise des partenaires de métadonnées de DataCite (p. ex., ORCID, VIVO, etc.). Interfaces programmatiques et à libre accès : Une interface de programmation qui permet à un composant logiciel d'utiliser la fonctionnalité ou les données mises à la disposition d'un autre par l'entremise d'un ensemble de routines, de protocoles et d'outils. Les dépôts et les services d'exploration des données participants devraient offrir une interface de programmation permettant à des programmes d'accéder aux données et aux métadonnées à des fins de réutilisation et de développement. Licences communes : Il faudrait établir des politiques d'octroi de licences pour les données et les métadonnées et, dans la mesure du possible, celles-ci devraient être le moins restrictives possible. Nous recommandons d'utiliser des licences Creative Commons pour les données de recherche puisqu'elles transmettent efficacement des renseignements sur les intentions des titulaires du droit d'auteur et qu'elles clarifient les usages autorisés. Les licences peuvent s'appliquer aux données et aux métadonnées, même si nous recommandons fortement d'offrir les métadonnées le plus librement possible, avec des restrictions minimales ou nulles sur leur réutilisation pour en faciliter l'exploration. Collaboration : Un engagement pour la reconnaissance et la collaboration partagées entre les acteurs, les organisations, les producteurs de données et les chercheurs, que l'on peut aussi qualifier de « coexistence dans l'écosystème du savoir ». Nous insistons sur le fait que la collaboration constituera le grand facteur déterminant de l'amélioration de l'exploration des données au Canada. Un projet national bien coordonné permettra de s'assurer que toutes les tentatives d'amélioration de l'exploration et de la consultation des données seront éclairées et facilitées par les attentes, la participation et la collaboration des intervenants. La mobilisation des intervenants et l'établissement de canaux de communication clairs sont essentiels à la réussite d'un service national d'exploration des données. Le document qui suit est présenté avec un objectif commun, soit celui de favoriser le plus possible l'exploration et la consultation des données de recherche, et d'améliorer conséquemment les possibilités de reproductibilité et de réutilisation des données. L'amélioration de l'exploration des données constitue une manière de faciliter l'interopérabilité et l'exploration accrues des résultats savants. L'élaboration d'une infrastructure nationale qui rehausse l'exploration des données de recherche améliorera les possibilités d'intégration additionnelle au cœur de l'écosystème du savoir, ce qui comprend le soutien pour les métadonnées, les identifiants universels, et les interfaces programmatiques à libre accès. ; Library, UBC ; Non UBC ; Unreviewed ; Faculty ; Researcher
International audience ; In the context of open science policy, academic journals play a central role in opening and sharing research data. Our study focuses on 95 journals in information and communication sciences (CNU section 71 list). We analyzed their editorial policies on integrity and transparency by applying the ten criteria of the Center for Open Science's TOP Factor to recommendations and instructions to authors. More than half of the journals have no policy in this area. The rest encourage authors to share their data and/or other materials, sometimes with instructions for citing the data. Very few journals go further and require such transparency. The results are discussed in relation to differences in interpretation and evaluation, in relation to the representativeness of the sample, and in relation to the choices made by editors and publishers. Several perspectives to go further are indicated. ; Dans le cadre de la politique de la science ouverte, les revues scientifiques jouent un rôle central pour l'ouverture et le partage des données de recherche. Notre étude porte sur 95 revues en sciences de l'information et de la communication (liste de la section Conseil national des universités [CNU] 71). Nous avons analysé leur politique éditoriale en matière d'intégrité et de transparence en appliquant les 10 critères du TOP Factor du Center for Open Science aux recommandations et instructions aux auteurs. Plus de la moitié des revues n'affichent aucune politique dans ce domaine. Les autres encouragent les auteurs à partager leurs données et/ou d'autres matériels, avec parfois des consignes pour la citation des données. Très peu de revues vont plus loin et exigent une telle transparence. Les résultats sont discutés par rapport aux divergences d'interprétation et d'évaluation, par rapport à la représentativité de l'échantillon et par rapport aux choix des rédactions et éditeurs. Plusieurs pistes pour aller plus loin sont indiquées.
International audience ; In the context of open science policy, academic journals play a central role in opening and sharing research data. Our study focuses on 95 journals in information and communication sciences (CNU section 71 list). We analyzed their editorial policies on integrity and transparency by applying the ten criteria of the Center for Open Science's TOP Factor to recommendations and instructions to authors. More than half of the journals have no policy in this area. The rest encourage authors to share their data and/or other materials, sometimes with instructions for citing the data. Very few journals go further and require such transparency. The results are discussed in relation to differences in interpretation and evaluation, in relation to the representativeness of the sample, and in relation to the choices made by editors and publishers. Several perspectives to go further are indicated. ; Dans le cadre de la politique de la science ouverte, les revues scientifiques jouent un rôle central pour l'ouverture et le partage des données de recherche. Notre étude porte sur 95 revues en sciences de l'information et de la communication (liste de la section Conseil national des universités [CNU] 71). Nous avons analysé leur politique éditoriale en matière d'intégrité et de transparence en appliquant les 10 critères du TOP Factor du Center for Open Science aux recommandations et instructions aux auteurs. Plus de la moitié des revues n'affichent aucune politique dans ce domaine. Les autres encouragent les auteurs à partager leurs données et/ou d'autres matériels, avec parfois des consignes pour la citation des données. Très peu de revues vont plus loin et exigent une telle transparence. Les résultats sont discutés par rapport aux divergences d'interprétation et d'évaluation, par rapport à la représentativité de l'échantillon et par rapport aux choix des rédactions et éditeurs. Plusieurs pistes pour aller plus loin sont indiquées.
National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).
National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).
National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).
National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).
National audience ; Le mouvement vers les données ouvertes s'accélère et les communautés scientifiques seront amenées à court terme à rendre leurs données accessibles. Tandis que le programme de financement Horizon 2020 impose l'ouverture des données de recherche au niveau européen, la France se dote d'une loi sur le numérique, encadrant la diffusion des données produites par la communauté scientifique. Les technologies du Web conduisent, elles aussi, les chercheurs à repenser la place des données dans les processus d'élaboration de la connaissance. De nouveaux outils de gestion sont conçus pour l'analyse, le stockage et la diffusion des données, contribuant à l'émergence de disciplines telles que les humanités numériques ou la bio-informatique. En réponse à ces enjeux politiques et technologiques, le segment BSN10 – Données de recherche de la Bibliothèque Scientifique Numérique a initié en 2015 un recensement des services de gestion et de diffusion des données de la recherche publique en France. Cette étude vise à donner une meilleure connaissance des types de services existants et des disciplines couvertes par ces services. Le poster fait état de l'avancement de l'étude, six mois après son commencement. Les résultats y sont présentés de manière synthétique, rendant compte des 30 initiatives d'ores et déjà analysées, ainsi que de leur répartition selon une typologie quadripartite (accompagnement ; analyse ; conservation ; diffusion).
National audience ; Les décennies 2000 et 2010 ont vu se développer un nombre croissant de e-infrastructures de recherche, rendant plus aisés le partage et l'accès aux données scientifiques. Cette tendance s'est vue renforcée par l'essor de politiques d'ouverture des données, lesquelles ont donné lieu à une multiplication de réservoirs de données – aussi appelés « entrepôts de données ». Quantifier et qualifier l'utilisation des données rendues publiques constitue un élément essentiel pour évaluer l'impact des politiques d'ouverture des données. Dans cet article, nous questionnons l'utilisation des données déposées dans les entrepôts. Dans quelle mesure ces données sont-elles consultées et téléchargées ? L'article présente les premiers résultats d'une enquête quantitative auprès de 20 entrepôts. Il esquisse deux tendances, qui restent à ce stade propres à l'échantillon étudié, à savoir : (1) l'augmentation globale du nombre de consultations, de téléchargements et de données disponibles dans les entrepôts sur la période étudiée (2015-2020), et (2) la concentration des téléchargements sur une proportion relativement faible des données de l'entrepôt (de l'ordre de 10% à 30%).
National audience ; Les décennies 2000 et 2010 ont vu se développer un nombre croissant de e-infrastructures de recherche, rendant plus aisés le partage et l'accès aux données scientifiques. Cette tendance s'est vue renforcée par l'essor de politiques d'ouverture des données, lesquelles ont donné lieu à une multiplication de réservoirs de données – aussi appelés « entrepôts de données ». Quantifier et qualifier l'utilisation des données rendues publiques constitue un élément essentiel pour évaluer l'impact des politiques d'ouverture des données. Dans cet article, nous questionnons l'utilisation des données déposées dans les entrepôts. Dans quelle mesure ces données sont-elles consultées et téléchargées ? L'article présente les premiers résultats d'une enquête quantitative auprès de 20 entrepôts. Il esquisse deux tendances, qui restent à ce stade propres à l'échantillon étudié, à savoir : (1) l'augmentation globale du nombre de consultations, de téléchargements et de données disponibles dans les entrepôts sur la période étudiée (2015-2020), et (2) la concentration des téléchargements sur une proportion relativement faible des données de l'entrepôt (de l'ordre de 10% à 30%).
National audience ; Les décennies 2000 et 2010 ont vu se développer un nombre croissant de e-infrastructures de recherche, rendant plus aisés le partage et l'accès aux données scientifiques. Cette tendance s'est vue renforcée par l'essor de politiques d'ouverture des données, lesquelles ont donné lieu à une multiplication de réservoirs de données – aussi appelés « entrepôts de données ». Quantifier et qualifier l'utilisation des données rendues publiques constitue un élément essentiel pour évaluer l'impact des politiques d'ouverture des données. Dans cet article, nous questionnons l'utilisation des données déposées dans les entrepôts. Dans quelle mesure ces données sont-elles consultées et téléchargées ? L'article présente les premiers résultats d'une enquête quantitative auprès de 20 entrepôts. Il esquisse deux tendances, qui restent à ce stade propres à l'échantillon étudié, à savoir : (1) l'augmentation globale du nombre de consultations, de téléchargements et de données disponibles dans les entrepôts sur la période étudiée (2015-2020), et (2) la concentration des téléchargements sur une proportion relativement faible des données de l'entrepôt (de l'ordre de 10% à 30%).
National audience ; Les décennies 2000 et 2010 ont vu se développer un nombre croissant de e-infrastructures de recherche, rendant plus aisés le partage et l'accès aux données scientifiques. Cette tendance s'est vue renforcée par l'essor de politiques d'ouverture des données, lesquelles ont donné lieu à une multiplication de réservoirs de données – aussi appelés « entrepôts de données ». Quantifier et qualifier l'utilisation des données rendues publiques constitue un élément essentiel pour évaluer l'impact des politiques d'ouverture des données. Dans cet article, nous questionnons l'utilisation des données déposées dans les entrepôts. Dans quelle mesure ces données sont-elles consultées et téléchargées ? L'article présente les premiers résultats d'une enquête quantitative auprès de 20 entrepôts. Il esquisse deux tendances, qui restent à ce stade propres à l'échantillon étudié, à savoir : (1) l'augmentation globale du nombre de consultations, de téléchargements et de données disponibles dans les entrepôts sur la période étudiée (2015-2020), et (2) la concentration des téléchargements sur une proportion relativement faible des données de l'entrepôt (de l'ordre de 10% à 30%).
Le Groupe d'experts sur la recherche et l'intelligence (GERI) du réseau Portage a publié un résumé des résultats de son sondage en ligne visant à évaluer les progrès et les défis des établissements de recherche canadiens quant à l'élaboration de stratégies institutionnelles de gestion des données de recherche en réponse à l'ébauche de la Politique des trois organismes sur la gestion des données de recherche. Les participants au sondage ont fait état des progrès réalisés et formulé des recommandations à l'égard d'une aide supplémentaire que les trois organismes, le réseau Portage et d'autres groupes d'intervenants pourraient fournir aux établissements de recherche.