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Au moment où, témoignage vivant et durable à la mémoire de cette première héroine de la Croix-Rouge, s'élabore et s'organise la distribution périodique de la médaille qui portera son nom et perpétuera son souvenir, il n'est pas sans intérêt de signaler le monument qui, dans l'église de Santa-Croce, le Panthéon de Florence, vient d'être inauguré en son honneur. Elle y est représentée une lampe à la main. Au pied de la statue se lit l'inscription suivante :« Florence Nightingale, 1820–1910. L'héroïne de Crimée, « la Dame à la Lampe, comme l'appelaient les soldats qu'elle « soignait durant les longues veilles avec une sollicitude « extraordinaire, et qui fut ainsi, par la force de l'exemple, « l'àme de ce grand mouvement international de pitié qui a « fait naître la Croix-Rouge. Ce tribut de vénération et de « respect est élevé à sa mémoire, à Florence, ou elle est née « et dont elle portait le nom ».

La guerre n'a pas empêché l'inauguration, le 14 février dernier, d'un monument à la mémoire de Florence Nightingale, placé dans la crypte de Saint-Paul, Il représente l'héroïne de Crimée penchée sur un blessé, et lui tendant une coupe. La statue est en marbre blanc et le cadre, en albâtre, porte l'inscription: « Heureux les miséricordieux » —. « Florence Nightingale, née le 12 mai 1820, morte le 13 août 1910 ».

Nous avons signalé, dans notre numéro d'avril, l'inauguration, à Londres, du monument érigé à la mémoire de Florence Nightingale, dans la crypte de St-Paul. Par une bonne fortune nous nous trouvons à même de mettre sous les yeux de nos lecteurs la reproduction de ce monument, laquelle a paru dans le journal anglais The Hospitals. Aux éditeurs de ce journal, The Scientific Press Ld, qui ont eu l'obligeance de nous le prêter, vont tous nos remerciements.

La mort, à quelques semaines de distance, de ces trois personnalités marquantes autour desquelles se résume la naissance de la grande œuvre internationale de la Croix-Rouge, a frappé plusieurs publicistes. On sait que Florence Nightingale, celle qu'on a appelée « la reine des infirmières », et qui fut la première héroïne de la Croix-Rouge avant la lettre, est morte le 13 août 1910 à l'âge de quatre-vingt-dix ans; que Gustave Moynier, le véritable architecte de cette institution officiellement reconnue un peu partout, est décédé une semaine plus tard, le 21 août 1910, dans sa quatre-vingttroisième année, et qu'enfin Henry Dunant, qui en conçut la première idée, est mort deux mois plus tard, le 30 octobre 1910, à l'âge de quatre-vingt-deux ans.

XLVII, 443, [2] pages, [1] table cards folded, [22] table cards ; 20 cm ; On the title page: Mit 23 Kupfern ; Index ; XLVII, 443, [2] strony, [1] karta tablic złożona, [22] karty tablic ; 20 cm ; Na stronie tytułowej: Mit 23 Kupfern ; Indeks

Joseph Peirce writes to Florence Fletcher in Fitchburg, Massachusetts, from Norwich University in Northfield, Vermont, in May 1912; recitations are over for sophomores and he has gotten the schedule for sophomore exams; he has an exam in surveying tomorrow but is prepared. He mentions that their "confinement" is almost over and that he anticipates there will be "a little celebration" soon. The letter is dated 2 May 1912 but postmarked to to Miss Flossie Fletcher on 2 June 1912; it describes events during the quarantine of campus for smallpox in May 1912. ; The Norwich University campus was placed under quarantine after two students developed symptoms of smallpox in May 1912. Joseph Moore Peirce graduated from Norwich University with an electrical engineering degree in 1914. He married Florence Douglas Fletcher in Rockingham, Vermont, on 24 December 1914. Transcription by Danielle Dalton. Transcriptions may be subject to error.

Joseph Peirce writes to Florence Fletcher in Fitchburg, Massachusetts, from Norwich University in Northfield, Vermont, on "Friday Evening." He will be home in a week and would like to "make a date" with her for the night he returns. He reports on his activities for the past day; he passed his Physics exam. The letter is addressed to Miss Florence Fletcher and postmarked 14 June 1912. ; Joseph Moore Peirce graduated from Norwich University with an electrical engineering degree in 1914. He married Florence Douglas Fletcher in Rockingham, Vermont, on 24 December 1914. Transcription by Danielle Dalton. Transcriptions may be subject to error.

Joseph Peirce writes to Florence Fletcher in Fitchburg, Massachusetts, from Norwich University in Northfield, Vermont, on "Sunday Evening." He shares news of commencement week activities, including his impressions of the baccalaureate sermon, and reflects on his chances in the Austin trophy contest. His roommate's brother is visiting for commencement and staying in their room. The letter is addressed to Miss Florence Fletcher and postmarked 16 June 1912. ; Joseph Moore Peirce graduated from Norwich University with an electrical engineering degree in 1914. He married Florence Douglas Fletcher in Rockingham, Vermont, on 24 December 1914.

Joseph Peirce writes to Florence Fletcher in Fitchburg, Massachusetts, from Norwich University in Northfield, Vermont, on 14 May 1912; he shares his most recent news, including new promotions for Harold Smith and another man from Fitchburg; he doesn't think Florence is being paid well for her work at the Fitchburg Dry Goods; his mother's health is improving. ; Joseph Moore Peirce graduated from Norwich University with an electrical engineering degree in 1914. He married Florence Douglas Fletcher in Rockingham, Vermont, on 24 December 1914. Transcription by Danielle Dalton. Transcriptions may be subject to error.