European landscape convention: Florence, 20.10.2000
In: European treaty series 176
1520 Ergebnisse
Sortierung:
In: European treaty series 176
In: Collection de l'École française de Rome 291
International audience ; Le questionnement qui est au cœur de ce chapitre consiste à voir dans quelle mesure se construit dans l'expérience florentine une terrible aporie : celle de « l'homme d'état républicain » , à savoir celle d'un individu susceptible d'incarner à la fois la défense éthique des valeurs de liberté et d'égalité mais aussi la défense politique et militaire de l'État. Cette aporie trouve sa source dans l'instabilité et la polysémie du terme stato , de « l'état » qui n'est pas encore l'État, suivant une mobilité sémantique que toute la critique relève mais dans laquelle on ne voit trop souvent qu'une sorte d'incomplétude par rapport à la saison hobbesienne qui va suivre. De la sorte, ce croisement des réflexion sur l'État et la République comme questions ouvertes, contemporaines, indissociables (et non circonscrites, successives ou hétérogènes) pourrait contribuer à poser de façon différente la question qui sera au cœur des pensées et des histoires républicaines à partir du XVIIIe siècle : la république peut-elle garantir une jonction inédite de la légitimité politico-éthique avec l'efficacité gouvernementale et la définition institutionnelle d'une forme de souveraineté collective ?
BASE
International audience ; Le questionnement qui est au cœur de ce chapitre consiste à voir dans quelle mesure se construit dans l'expérience florentine une terrible aporie : celle de « l'homme d'état républicain » , à savoir celle d'un individu susceptible d'incarner à la fois la défense éthique des valeurs de liberté et d'égalité mais aussi la défense politique et militaire de l'État. Cette aporie trouve sa source dans l'instabilité et la polysémie du terme stato , de « l'état » qui n'est pas encore l'État, suivant une mobilité sémantique que toute la critique relève mais dans laquelle on ne voit trop souvent qu'une sorte d'incomplétude par rapport à la saison hobbesienne qui va suivre. De la sorte, ce croisement des réflexion sur l'État et la République comme questions ouvertes, contemporaines, indissociables (et non circonscrites, successives ou hétérogènes) pourrait contribuer à poser de façon différente la question qui sera au cœur des pensées et des histoires républicaines à partir du XVIIIe siècle : la république peut-elle garantir une jonction inédite de la légitimité politico-éthique avec l'efficacité gouvernementale et la définition institutionnelle d'une forme de souveraineté collective ?
BASE
International audience ; Le questionnement qui est au cœur de ce chapitre consiste à voir dans quelle mesure se construit dans l'expérience florentine une terrible aporie : celle de « l'homme d'état républicain » , à savoir celle d'un individu susceptible d'incarner à la fois la défense éthique des valeurs de liberté et d'égalité mais aussi la défense politique et militaire de l'État. Cette aporie trouve sa source dans l'instabilité et la polysémie du terme stato , de « l'état » qui n'est pas encore l'État, suivant une mobilité sémantique que toute la critique relève mais dans laquelle on ne voit trop souvent qu'une sorte d'incomplétude par rapport à la saison hobbesienne qui va suivre. De la sorte, ce croisement des réflexion sur l'État et la République comme questions ouvertes, contemporaines, indissociables (et non circonscrites, successives ou hétérogènes) pourrait contribuer à poser de façon différente la question qui sera au cœur des pensées et des histoires républicaines à partir du XVIIIe siècle : la république peut-elle garantir une jonction inédite de la légitimité politico-éthique avec l'efficacité gouvernementale et la définition institutionnelle d'une forme de souveraineté collective ?
BASE
International audience ; Le questionnement qui est au cœur de ce chapitre consiste à voir dans quelle mesure se construit dans l'expérience florentine une terrible aporie : celle de « l'homme d'état républicain » , à savoir celle d'un individu susceptible d'incarner à la fois la défense éthique des valeurs de liberté et d'égalité mais aussi la défense politique et militaire de l'État. Cette aporie trouve sa source dans l'instabilité et la polysémie du terme stato , de « l'état » qui n'est pas encore l'État, suivant une mobilité sémantique que toute la critique relève mais dans laquelle on ne voit trop souvent qu'une sorte d'incomplétude par rapport à la saison hobbesienne qui va suivre. De la sorte, ce croisement des réflexion sur l'État et la République comme questions ouvertes, contemporaines, indissociables (et non circonscrites, successives ou hétérogènes) pourrait contribuer à poser de façon différente la question qui sera au cœur des pensées et des histoires républicaines à partir du XVIIIe siècle : la république peut-elle garantir une jonction inédite de la légitimité politico-éthique avec l'efficacité gouvernementale et la définition institutionnelle d'une forme de souveraineté collective ?
BASE
International audience ; Le questionnement qui est au cœur de ce chapitre consiste à voir dans quelle mesure se construit dans l'expérience florentine une terrible aporie : celle de « l'homme d'état républicain » , à savoir celle d'un individu susceptible d'incarner à la fois la défense éthique des valeurs de liberté et d'égalité mais aussi la défense politique et militaire de l'État. Cette aporie trouve sa source dans l'instabilité et la polysémie du terme stato , de « l'état » qui n'est pas encore l'État, suivant une mobilité sémantique que toute la critique relève mais dans laquelle on ne voit trop souvent qu'une sorte d'incomplétude par rapport à la saison hobbesienne qui va suivre. De la sorte, ce croisement des réflexion sur l'État et la République comme questions ouvertes, contemporaines, indissociables (et non circonscrites, successives ou hétérogènes) pourrait contribuer à poser de façon différente la question qui sera au cœur des pensées et des histoires républicaines à partir du XVIIIe siècle : la république peut-elle garantir une jonction inédite de la légitimité politico-éthique avec l'efficacité gouvernementale et la définition institutionnelle d'une forme de souveraineté collective ?
BASE
The contribution compares the political engagement of the Dominican Remigio de' Girolami and Dante Alighieri between 1293 and 1302, concentrating on Remigio. After presenting the political orientations of his original milieu, it examines his participation in Forentine political life in the years 1293-1301, then describes his attitude after the victory of the Black Guelphs in 1302, and finally, compares the political career of Remigio to Dante's. These parallel lives illuminate certain points of contacts between these two personalities as well as their reactions to the ban of the White Guelphs from Florence. ; L'articolo paragona l'impegno politico del domenicano Remigio de' Girolami con quello di Dante Alighieri tra 1293 e 1302, concentrando l'analisi su Remigio. Dopo aver presentato gli orientamenti politici del suo ambiente d'origine, esamina la sua partecipazione alla vita politica fiorentina negli anni 1293-1301, e descrive il suo atteggiamento dopo la vittoria dei Guelfi neri nel 1302; procede infine al confronto con Dante. Le due vite parallele rivelano alcuni punti di contatto tra le due personalità, ad esempio, le reazioni alla cacciata dei Guelfi bianchi dalla scenapolitica fiorentina.
BASE
Encore un ouvrage sur l'ouverture européenne, me direz-vous. Ce fut notre première réaction lorsque nous avons envisagé d'écrire sur le sujet. Le marché nous sembla inondé d'ouvrages censés traiter de l'Europe unie et des changements que cette date apporterait. Toutefois, lorsque nous avons réellement cherché un document pour l'exploiter au cours de nos séminaires de l'INSEAD, nous avons réalisé qu'en fait, il était urgent d'écrire un livre qui couvrirait le sujet simplement, s'adresserait aux cadres et fournirait des conseils pratiques aUx entreprises déjà présentes en Europe ou cherchant à tirer parti de la création du marché unique. Les ouvrages actuels, même ceux qui titrent « affaires» et « management », sont essentiellement des manuels économiques ou politiques qui éludent les véritables inquiétudes des hommes d'affaires. La stratégie, le marketing, la production et les ressources humaines sont autant de sujets qui n'étaient pas véritablement traités par des ouvrages plus que superficiels de peu d'utilité pour les cadres. En outre, il était peu question de « l'après-1992 » et de ses conséquences sur les entreprises. L'INSEAD, en tant que premier institut européen des affaires réputé pour la qualité de ses chargés de cours, se fixa pour objectif de présenter les faits, les enjeux et les dangers à un public d'hommes d'affaires. Nous avons cherché à dresser un inventaire exhaustif de tous les aspects du marché unique et de leurs implications pour les entreprises et, par là même, à répondre aux questions qui reviennent sans cesse dans la bouche des cadres.
BASE
In: http://mdz-nbn-resolving.de/urn:nbn:de:bvb:12-bsb10052079-3
Volltext // Exemplar mit der Signatur: München, Bayerische Staatsbibliothek -- 4 Ital. 294#Beibd.10
BASE
In: Affaires et gens d'affaires 27
In: Bibliothèque d'histoire médiévale 31
A Florence, "Libertà" est utilisée de façon omniprésente dans la diplomatique, la littérature mémorielle ou la rhétorique humaniste, comme un emblème de la ville, doté de fonctions complexes et présent au sein de stratégies extrêmement hétérogènes. L'objet de cette étude n'est pas de rendre compte de la totalité des fonctions jouées par la " libertas/libertà " dans l'horizon mental des Florentins, mais d'examiner la façon dont la tradition s'élabore chez trois acteurs de premier plan de cette mémoire florentine de la liberté : Leonardo Bruni, Machiavel et Francesco Guicciardini. L'objet est ainsi d'analyser la façon dont opère la valeur traditionnelle de la liberté dans la réflexion politique menée à Florence à deux moments de son histoire, le gouvernement des Albizzi en premier lieu, et le gouvernement des guerres d'Italie ensuite, de 1494 à 1530.
BASE
A Florence, "Libertà" est utilisée de façon omniprésente dans la diplomatique, la littérature mémorielle ou la rhétorique humaniste, comme un emblème de la ville, doté de fonctions complexes et présent au sein de stratégies extrêmement hétérogènes. L'objet de cette étude n'est pas de rendre compte de la totalité des fonctions jouées par la " libertas/libertà " dans l'horizon mental des Florentins, mais d'examiner la façon dont la tradition s'élabore chez trois acteurs de premier plan de cette mémoire florentine de la liberté : Leonardo Bruni, Machiavel et Francesco Guicciardini. L'objet est ainsi d'analyser la façon dont opère la valeur traditionnelle de la liberté dans la réflexion politique menée à Florence à deux moments de son histoire, le gouvernement des Albizzi en premier lieu, et le gouvernement des guerres d'Italie ensuite, de 1494 à 1530.
BASE