Suchergebnisse

Abstract
This article explores how pilgrimage to Arabia became the catalyst for Northern Nigerian Muslim leaders to develop a kind of humanitarianism for the poor to expand their political power in the era of independence from Britain and postcolonial Afro-Arab alliance-making. Muslim elites forced the British to provide welfare for poor pilgrims who conducted the pilgrimage over land through Sudan and then undertook their own relief and reform as means to resist national integration with Southern Nigeria and bolster their reputation and influence in the Muslim world. Muslim West Africans did not simply side with Sudanese or Saudi Arabian officials in the matter of hajj but instead critiqued Arab racism and enslavement of Africans while also playing on British and American fears of communism in Africa and attempts to use Islam and religious discourse more broadly to create alliances with Muslim Nigerians. Hajj humanitarianism reveals careful Nigerian negotiations of global politics during the Cold War and non-Western involvement in international humanitarianism, which has been treated as a largely Euro-American phenomenon.

It is a sacred duty for Muslims, wherever they may reside, to go at least once in their lives to Mecca, the heartland of Islam. Now drawing millions of pilgrims annually, the Hajj is a powerful bond that brings Muslims together from across the world. Following on from the British Museum's critically acclaimed exhibition 'Hajj: Journey to the Heart of Islam', this volume provides over thirty papers on the history and significance of the Hajj, spanning history, politics, archaeology, pilgrims' journeys, art, architecture, photography and material culture.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.

Antique terre nourricière de l'Arabie centrale, le Yémen étend son influence politique sur La Mecque à partir du XIe siècle, avec l'appui du califat fatimide. Soit quatre siècles d'âge d'or d'un pèlerinage aux routes essentiellement maritimes et côtières, et d'une pratique spécifique liée à l'incurie du pouvoir local : l'appel à des hommes de religion pour protéger les routes terrestres.