The 10 June 1987 the first European elections by direct universal suffrage will take place in Spain ; El 10 de junio de 1987 España participará por primera vez en las elecciones europeas
L'aparició de la Direcliva Europea de lliure circulació de treballadors és el punt de partida per la que l'Oficina Europea de l'AJEJI decideixi contactar i emplaçar al món professional europeu a realitzar un treball conjunt a partir de dues trobades es construeix una part del que s'anomena la Plalaforma Comuna de la professió. Aquest primer treball serveix de base per consruir; amb les aportacions dels altres continents presents en l'Associació internacional allò que s'anomena el Marc Conceptual de les funcions i competencies dels educadors socials a escala internacional. Els reptes de futur passen per construir el cos teòric de la professió des dels professionals i donar visibilitat al treball socioeducatiu aprofitant els canals administratius i burocràctics de la Unió Europea. ; La aparición de la Directiva Europea de libre circulación de trabajadores es el punto de partida para que la Oficina Europea de la AJEJI decida contactar y emplazar al mundo profesional europeo a realizar un trabajo conjunto. A partir de dos encuentros se construye una parte de lo que se denomina la Plataforma Común de la profesión. Este primer trabajo sirve de base para construir, con las aportaciones de los otros continentes presentes en la Asociación Internacional lo que se denomina el Marco Conceptual de las funciones y competencias de los educadores sociales a escala internacional. Los retos de futuro pasan por construir el cuerpo teórico de la profesión desde los profesionales y dar visibilidad al trabajo socioeducativo aprovechando los canales administraticos y burocráticos de la Unión Europea. ; The appearance of the European Directive on free movement of workers was the starting point for when the European Office of the AIEJI decided to contact and cali upon the professionals in Europe to carry out a joint project. After two meetings a part of what is caused the Common Platfom for the profession was constructed. This first project is the basis for building the Conceptual Framework of the Functions and Competences of Social Educators. on an international scale and wtlh contributions from the other continents present in the international Associalion. Future challenges include establishing a theoretical body for the profession by professionals and to promote the work of social education by making use of adminislralive and bureaucratic channels of the European Union.
Dans sa préface de 1887 à La question du logement, Engels (1976[1887]) rappelle qu'une des conséquences de la transformation du capitalisme constitue la pénurie de logement. La construction des usines amène la destruction des habitations existantes tout en attirant de nombreux paysans à la recherche de travail dans ces mêmes usines. Ce faisant, il évoque plusieurs exemples, tant en Angleterre, qu'en Allemagne ou en Espagne, démontrant que la crise du logement, intimement liée au capitalisme, se caractérise par une « aggravation particulière des mauvaises conditions d'habitation », « une énorme augmentation des loyers », « un entassement encore accru de locataires dans chaque maison et pour quelques-uns l'impossibilité de trouver même à se loger » (p. 26). Pour répondre à cette crise, tout ce que la bourgeoisie propose c'est l'accession à la propriété incompatible avec la nécessaire liberté de mouvement des ouvriers pour le fonctionnement du capitalisme. Pour ce dernier toutefois, la question du logement ne représentait qu'un problème découlant de celui-ci et non pas un problème en soit. Comme si l'analyse des rapports locatifs ne nous apprenait peu de choses de plus que celle des rapports de classe, la question du logement se résout par l'analyse de ceux -ci et du capitalisme. Or, et il le mentionne lui-même dans sa réponse à Proudhon, la question du logement n'est pas que l'apanage de la classe ouvrière mais elle affecte également la petite bourgeoisie. Le logement est effectivement inséparable des processus du capitalisme, mais ceux-ci prennent des formes particulières, dont l'expérience révèle des rapports sociaux inégalitaires qui permettent à l'inverse de comprendre le capitalisme et que les liens entre inégalités et logement peuvent nous éclairer sur les structures sociales contemporaines (Goyer, 2017). Comme l'affirme Keenan (2004) : « les structures sociales ne sont pas entités indépendantes et séparées qui imposent leur pouvoir sur les individus, elles continuent, plutôt, à limiter ou à supporter l'action humaine parce qu'elles sont inscrites dans leurs formes interactionnelles qui, elles, construisent les structures » (p. 541, notre traduction). Même si, au départ, le logement est un concept simple – un bâtiment permettant à un ou plusieurs individus de se loger (Havel, 1985) – il représente un bien complexe, à multiples dimensions, qui comprend une pluralité de moyens et de finalités (Pezeu-Massabuau, 1983). C'est la base sur laquelle s'ancrent les membres d'une collectivité à un territoire et à une communauté mais ce qui permet de se protéger de la communauté et de l'environnement. Pourtant, plusieurs processus fragilisent ce rapport, en particulier pour les locataires. Entre autres, les problèmes de plus en plus prégnants de salubrité des logements contribuant à l'exclusion sociale des locataires qui y font face ainsi que l'augmentation des déplacements forcés (éviction ou reprise de logement) de locataires pour permettre à des promoteurs de transformer le cadre bâti pour en tirer davantage de profits, constituent des phénomènes de menace du droit au logement. Dans les deux cas, les locataires font face à des processus de dépossession de leurs espaces du logement et du quartier et posent de sérieux défis pour l'organisation et le développement du territoire. Les inégalités qui sont imbriquées comportent ainsi de multiples dimensions pouvant interagir entre elles, qu'elles soient politiques, spatiales, économiques, voire même environnementales. Par conséquent, l'étude des inégalités de logement constitue un point d'entrée sociologique pertinent pour comprendre ce qui caractérise les expériences sociales contemporaines, notamment urbaines. Il permet de questionner comment se mettent en œuvre les rapports sociaux inégalitaires et comment peut-on assurer la justice sociale à partir de celui-ci.[…]Coord. Renaud Goyer & Jean-Vincent Bergeron-Gaudin
Dans sa préface de 1887 à La question du logement, Engels (1976[1887]) rappelle qu'une des conséquences de la transformation du capitalisme constitue la pénurie de logement. La construction des usines amène la destruction des habitations existantes tout en attirant de nombreux paysans à la recherche de travail dans ces mêmes usines. Ce faisant, il évoque plusieurs exemples, tant en Angleterre, qu'en Allemagne ou en Espagne, démontrant que la crise du logement, intimement liée au capitalisme, se caractérise par une « aggravation particulière des mauvaises conditions d'habitation », « une énorme augmentation des loyers », « un entassement encore accru de locataires dans chaque maison et pour quelques-uns l'impossibilité de trouver même à se loger » (p. 26). Pour répondre à cette crise, tout ce que la bourgeoisie propose c'est l'accession à la propriété incompatible avec la nécessaire liberté de mouvement des ouvriers pour le fonctionnement du capitalisme. Pour ce dernier toutefois, la question du logement ne représentait qu'un problème découlant de celui-ci et non pas un problème en soit. Comme si l'analyse des rapports locatifs ne nous apprenait peu de choses de plus que celle des rapports de classe, la question du logement se résout par l'analyse de ceux -ci et du capitalisme. Or, et il le mentionne lui-même dans sa réponse à Proudhon, la question du logement n'est pas que l'apanage de la classe ouvrière mais elle affecte également la petite bourgeoisie. Le logement est effectivement inséparable des processus du capitalisme, mais ceux-ci prennent des formes particulières, dont l'expérience révèle des rapports sociaux inégalitaires qui permettent à l'inverse de comprendre le capitalisme et que les liens entre inégalités et logement peuvent nous éclairer sur les structures sociales contemporaines (Goyer, 2017). Comme l'affirme Keenan (2004) : « les structures sociales ne sont pas entités indépendantes et séparées qui imposent leur pouvoir sur les individus, elles continuent, plutôt, à limiter ou à supporter l'action humaine parce qu'elles sont inscrites dans leurs formes interactionnelles qui, elles, construisent les structures » (p. 541, notre traduction).Même si, au départ, le logement est un concept simple – un bâtiment permettant à un ou plusieurs individus de se loger (Havel, 1985) – il représente un bien complexe, à multiples dimensions, qui comprend une pluralité de moyens et de finalités (Pezeu-Massabuau, 1983). C'est la base sur laquelle s'ancrent les membres d'une collectivité à un territoire et à une communauté mais ce qui permet de se protéger de la communauté et de l'environnement. Pourtant, plusieurs processus fragilisent ce rapport, en particulier pour les locataires. Entre autres, les problèmes de plus en plus prégnants de salubrité des logements contribuant à l'exclusion sociale des locataires qui y font face ainsi que l'augmentation des déplacements forcés (éviction ou reprise de logement) de locataires pour permettre à des promoteurs de transformer le cadre bâti pour en tirer davantage de profits, constituent des phénomènes de menace du droit au logement. Dans les deux cas, les locataires font face à des processus de dépossession de leurs espaces du logement et du quartier et posent de sérieux défis pour l'organisation et le développement du territoire. Les inégalités qui sont imbriquées comportent ainsi de multiples dimensions pouvant interagir entre elles, qu'elles soient politiques, spatiales, économiques, voire même environnementales. Par conséquent, l'étude des inégalités de logement constitue un point d'entrée sociologique pertinent pour comprendre ce qui caractérise les expériences sociales contemporaines, notamment urbaines. Il permet de questionner comment se mettent en œuvre les rapports sociaux inégalitaires et comment peut-on assurer la justice sociale à partir de celui-ci [.…]Coord. Renaud Goyer et Jean-Vincent Bergeron-Gaudin.
Having consolidated his power in the late 1920s, Joseph Stalin long focused on internal affairs: the Five Year Plans, collectivization of agriculture, rapid industrialization, and modernization of the Red Army. Despite his penchant for domestic policy, from the summer of 1936 Stalin's Soviet Union was increasingly drawn into foreign affairs. This article explores Stalin's foreign policy on the eve of the Second World War. The Soviet Union's multiple failures in forging an anti-Fascist alliance with Britain and France, most notably in the Spanish Civil War, will be explored as the prelude to Stalin's eventual decision, in August 1939, to authorize the Molotov-Ribbentrop Pact.
This thesis is focused on temporal information processing, which is a task framed in the field of natural language processing. The aim of this task is to obtain the temporal location and ordering of the events expressed in text or discourse, which requires the automatic interpretation of temporal expressions, events, and the temporal relations between them. The majority of current approaches are based on morphosyntactic knowledge. However, temporal entities are often ambiguous at that language analysis level. Our hypothesis is that the linguistic expression of time is a semantic phenomenon and therefore, to achieve a better extraction performance, temporal information must be processed using semantics. To prove this hypothesis, we present a semantic approach to temporal information processing: TIPSem. This is an automated system that includes features based on lexical semantics, semantic roles, and temporal semantics, in addition to morphosyntactic features. TIPSem has been empirically evaluated through the participation in the TempEval-2 international evaluation exercise and subsequent experiments based on this test. The results obtained firmly support the presented hypothesis and their analysis demonstrates that semantic features aid in handling morphosyntactic ambiguity and favour generalization capabilities. These conclusions have been reached for different languages (i.e., English, Spanish, Italian, and Chinese), which supports the defended hypothesis at a multilingual level. Finally, as compared with the state of the art, TIPSem obtains a very competitive performance level and introduces a remarkable improvement in event processing. TIPSem has been applied to the problem of graphical representation of temporal information. We have developed a dynamic interface which brings users time-based access to information: Time-Surfer. The results obtained through a user-oriented evaluation of this interface demonstrate that TIPSem's performance is also satisfactory from an extrinsic standpoint. ; This PhD thesis has been supported by the Spanish Government, in projects: TIN-2006-15265-C06-01, TIN-2009-13391-C04-01 and PROMETEO/2009/119, where Hector Llorens is funded under a FPI grant (BES-2007-16256).
Anti-fascism makes working or fighting against fscism the top priority, and two basic types of anti-fascism emerged in Europe and North America from 1936 to 1945. The first was revolutionary; the second was conservative and even counterrevolutionary. From the Munich Agreement to the fall of France, and in the face of strong isolationist opposition, US counterrevolutionary anti-fascists—who are usually labeled "interventionists" in the historiography—articulated to an increasingly sympathetic public how fascist regimes jeopardized the United States' national security and way of life.
L'any 1992 a Roma, després d'un primer col·loqui sobre les condicions precàries, d'abandonament i d'exclusió social, en què es troben les persones sense llar a les capitals europees, va néixer el moviment SMES (Salut Mental Exclusió Social). D'aleshores ençà s'han endegat diverses iniciatives amb la finalitat d'eradicar les situacions infrahumanes en què viuen tantes persones al nostre planeta. Així, SMES-Europa promou una nova consciència política, ètica i professional respecte de les persones que estan marginades i excloses dels serveis ciutadans, i els ofereix atenció prioritària, tant a nivell local com europeu. Aquest article pretén explicar quin és el nostre marc d'actuació i quina és la realitat de les persones que viuen en les nostres societats sense dret a ser-hi ni a participar. ; The SMES (Mental Health and Social Exclusion) movement was founded after a first symposium in Rome in 1992 on the precarious conditions of neglect and social exclusion experienced by homeless people in Europe's cities. Since then various initiatives have been launched to tackle the inhumane situations in which so many people on our planet are obliged to live. SMES-Europa is promoting a new political, professional and ethical awareness with regard to people who are marginalized and excluded from public services in order to give them priority at both the local and the European level. This paper sets out to explain our framework of action and the real conditions of life for people living in our societies without the right to be or to participate ; En el año 1992 en Roma, tras un primer coloquio sobre las condiciones precarias, de abandono y de exclusión social, bajo las que se encuentran las personas sin hogar en las capitales europeas, nació el movimiento SMES (Salud Mental Exclusión Social). Desde entonces se han puesto en marcha varias iniciativas con la finalidad de erradicar las situaciones infrahumanas en que viven tantas personas en nuestro planeta. Así, SMES-Europa promueve una nueva conciencia política, ética y profesional respecto a las personas que están marginadas y excluidas de los servicios ciudadanos, y les ofrece atención prioritaria, tanto a nivel local como europeo. Este artículo pretende explicar cuál es nuestro marco de actuación y cuál es la realidad de las personas que viven en nuestras sociedades sin derecho a estar ni a participar.
Entre agosto y septiembre de 1991, los Países Bálticos forzaron su ruptura con la Unión Soviética, pocos meses antes de que ésta se desintegrara totalmente. A partir de ese momento, la recuperación de su independencia y soberanía nacional -fraguada por primera vez en la época de entreguerras y frustrada por el pacto germano-soviético de 1939-, así como la consolidación de la democracia y el Estado de Derecho y la economía social de mercado, fue de la mano de su aspiración de integración en la Unión Europea y en la Organización del Tratado del Atlántico Norte. Después de más de una década de grandes transformaciones, tanto políticas como socioeconómicas, los tres Países Bálticos -Lituania, Estonia y Letonia- han logrado cumplir con éxito aquellos dos objetivos fundamentales para su futuro en paz, libertad, prosperidad y seguridad en el siglo XXI: el «retorno a Europa» en el marco de la Unión Europea y su vinculazión a la alianza militar euroatlántica dentro de la OTAN. ; Between August and September 1991, the Baltic States forced their break with the USSR, just a few months before the latter disintegrated. From that moment on, the recovery of national independence and sovereignty – first established during the inter-war period only to be thwarted by the pact between Germany and the Soviet Union in 1939 – as well as the consolidation of democracy, the rule of law and a market economy, were given impetus by their desire to join the European Union and the North Atlantic Treaty Organization. After more than a decade of major transformations, both political and socio-economic in nature, the three Baltic States – Lithuania, Estonia and Latvia – have successfully achieved the two fundamental prerequisites for a future of peace, liberty, prosperity and security in the twenty-first century: their «return to Europe» as members of the European Union and their link with the Euro-Atlantic military alliance as members of NATO. ; El presente trabajo se inscribe en un proyecto de investigación (realizado conjuntamente con el prof. Dr. Ricardo Martín de la Guardia) sobre el ideal europeísta y su influencia en los países de la antigua Europa del Este en el camino de éstos hacia su integración en la Unión Europea. Dicho proyecto de investigación ha sido apoyado por el Ministerio de Educación, Cultura y Deporte mediante la vinculación del autor como «Salvador de Madariaga Fellow» al Instituto Universitario Europeo de Florencia en los años 1999 y 2003 (para este último año: Resolución de 28 de marzo de 2003, BOE 15 de abril de 2003).