Les gandes infrastructures de transport
In: Administration: revue de l'administration territoriale de l'état, Heft 234, S. 1-88
ISSN: 0223-5439
30354 Ergebnisse
Sortierung:
In: Administration: revue de l'administration territoriale de l'état, Heft 234, S. 1-88
ISSN: 0223-5439
World Affairs Online
In: La revue maritime: informations, actualités, documentation maritime, Heft 480, S. 172-185
ISSN: 0335-3796, 1146-2132
In: L' économie politique: revue trimestrielle, Band 76, Heft 4, S. 61
In: Politiques et management public: PMP, Band 18, Heft 1, S. 87-103
ISSN: 0758-1726
World Affairs Online
In: Politiques et management public: PMP, Band 18, Heft 1, S. 87-103
ISSN: 0758-1726, 2119-4831
National audience ; Depuis le début du XXIè siècle, la volonté de développer les infrastructures de transportdemeure forte du côté des responsables politiques. Pourtant de nombreux facteurs,environnementaux, financiers ou sociaux, ont conduit à une obsolescence évidente des ancienneslogiques de programmation. Mais la refonte des procédures prend du temps, tout commel'acceptation d'objectifs intégrant les nouvelles contraintes liées à une rareté croissante des fondspublics. Pour cette raison, les politiques publiques tâtonnent. La transition versun nouvel âge de la programmation et du financement n'est pas achevée. Dans quelle mesureles orientations fixées à l'été 2017 par le nouveau gouvernement pourront-elles aider à l'émergenced'un nouveau modèle français de programmation et de financement des infrastructures ?Un modèle qui cessera de privilégier les nouveaux projets pour se concentrer sur l'entretien et lamodernisation des réseaux existants.
BASE
National audience ; Depuis le début du XXIè siècle, la volonté de développer les infrastructures de transportdemeure forte du côté des responsables politiques. Pourtant de nombreux facteurs,environnementaux, financiers ou sociaux, ont conduit à une obsolescence évidente des ancienneslogiques de programmation. Mais la refonte des procédures prend du temps, tout commel'acceptation d'objectifs intégrant les nouvelles contraintes liées à une rareté croissante des fondspublics. Pour cette raison, les politiques publiques tâtonnent. La transition versun nouvel âge de la programmation et du financement n'est pas achevée. Dans quelle mesureles orientations fixées à l'été 2017 par le nouveau gouvernement pourront-elles aider à l'émergenced'un nouveau modèle français de programmation et de financement des infrastructures ?Un modèle qui cessera de privilégier les nouveaux projets pour se concentrer sur l'entretien et lamodernisation des réseaux existants.
BASE
National audience ; Depuis le début du XXIè siècle, la volonté de développer les infrastructures de transportdemeure forte du côté des responsables politiques. Pourtant de nombreux facteurs,environnementaux, financiers ou sociaux, ont conduit à une obsolescence évidente des ancienneslogiques de programmation. Mais la refonte des procédures prend du temps, tout commel'acceptation d'objectifs intégrant les nouvelles contraintes liées à une rareté croissante des fondspublics. Pour cette raison, les politiques publiques tâtonnent. La transition versun nouvel âge de la programmation et du financement n'est pas achevée. Dans quelle mesureles orientations fixées à l'été 2017 par le nouveau gouvernement pourront-elles aider à l'émergenced'un nouveau modèle français de programmation et de financement des infrastructures ?Un modèle qui cessera de privilégier les nouveaux projets pour se concentrer sur l'entretien et lamodernisation des réseaux existants.
BASE
In: Revue politique et parlementaire, Band 3, S. 236-240
ISSN: 0035-385X
In: Transports Recherche Innovation
World Affairs Online
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 107, Heft 3, S. 53-60
Ce dernier siècle a été synonyme d'un important accroissement des besoins économiques et sociaux dans le monde. Afin de trouver une certaine prospérité, ce rapide développement a eu de lourdes conséquences sur l'environnement et la biodiversité. C'est ainsi que, depuis les années 70, les réglementations politiques et les avancées scientifiques se sont multipliées avec pour maître mot : le développement durable. Plus précisément, les infrastructures routières sont les premières responsables de la fragmentation des habitats, phénomène qui peut avoir d'importants effets sur la biodiversité. Aujourd'hui, faire coexister les réseaux de transport et les réseaux écologiques est un enjeu incontournable et c'est à travers ces multiples constats que l'analyse de la transparence écologique des infrastructures de transport a montré son intérêt. Les portions routières entre Salon-de-Provence et Arles (A 54, RN 113 et LGV notamment) présentent des enjeux économiques et sociaux d'une part et des enjeux environnementaux liés à la biodiversité d'autre part. De plus, depuis quelques années, un projet de contournement de la ville d'Arles est prévu et augmenterait, une fois de plus, l'empreinte humaine sur l'environnement. Par ailleurs, les chiroptères, protégés au niveau national et international présentent de forts enjeux sur ce terrain d'étude. En fonction des caractéristiques de l'espèce et de l'espace, un modèle basé sur la théorie des graphes est mis en place et permet de calculer différentes métriques de connectivité. Ainsi, les enjeux spatiaux sont identifiés grâce à une analyse approfondie des indicateurs de connectivité. Différentes propositions d'aménagements du territoire sont émises afin de restaurer les continuités écologiques. Il semblerait que l'installation de buse couplé à un détournement ou une implantation de haies pourrait favoriser la transparence écologique des infrastructures de transport.
BASE
Ce dernier siècle a été synonyme d'un important accroissement des besoins économiques et sociaux dans le monde. Afin de trouver une certaine prospérité, ce rapide développement a eu de lourdes conséquences sur l'environnement et la biodiversité. C'est ainsi que, depuis les années 70, les réglementations politiques et les avancées scientifiques se sont multipliées avec pour maître mot : le développement durable. Plus précisément, les infrastructures routières sont les premières responsables de la fragmentation des habitats, phénomène qui peut avoir d'importants effets sur la biodiversité. Aujourd'hui, faire coexister les réseaux de transport et les réseaux écologiques est un enjeu incontournable et c'est à travers ces multiples constats que l'analyse de la transparence écologique des infrastructures de transport a montré son intérêt. Les portions routières entre Salon-de-Provence et Arles (A 54, RN 113 et LGV notamment) présentent des enjeux économiques et sociaux d'une part et des enjeux environnementaux liés à la biodiversité d'autre part. De plus, depuis quelques années, un projet de contournement de la ville d'Arles est prévu et augmenterait, une fois de plus, l'empreinte humaine sur l'environnement. Par ailleurs, les chiroptères, protégés au niveau national et international présentent de forts enjeux sur ce terrain d'étude. En fonction des caractéristiques de l'espèce et de l'espace, un modèle basé sur la théorie des graphes est mis en place et permet de calculer différentes métriques de connectivité. Ainsi, les enjeux spatiaux sont identifiés grâce à une analyse approfondie des indicateurs de connectivité. Différentes propositions d'aménagements du territoire sont émises afin de restaurer les continuités écologiques. Il semblerait que l'installation de buse couplé à un détournement ou une implantation de haies pourrait favoriser la transparence écologique des infrastructures de transport.
BASE
Ce dernier siècle a été synonyme d'un important accroissement des besoins économiques et sociaux dans le monde. Afin de trouver une certaine prospérité, ce rapide développement a eu de lourdes conséquences sur l'environnement et la biodiversité. C'est ainsi que, depuis les années 70, les réglementations politiques et les avancées scientifiques se sont multipliées avec pour maître mot : le développement durable. Plus précisément, les infrastructures routières sont les premières responsables de la fragmentation des habitats, phénomène qui peut avoir d'importants effets sur la biodiversité. Aujourd'hui, faire coexister les réseaux de transport et les réseaux écologiques est un enjeu incontournable et c'est à travers ces multiples constats que l'analyse de la transparence écologique des infrastructures de transport a montré son intérêt. Les portions routières entre Salon-de-Provence et Arles (A 54, RN 113 et LGV notamment) présentent des enjeux économiques et sociaux d'une part et des enjeux environnementaux liés à la biodiversité d'autre part. De plus, depuis quelques années, un projet de contournement de la ville d'Arles est prévu et augmenterait, une fois de plus, l'empreinte humaine sur l'environnement. Par ailleurs, les chiroptères, protégés au niveau national et international présentent de forts enjeux sur ce terrain d'étude. En fonction des caractéristiques de l'espèce et de l'espace, un modèle basé sur la théorie des graphes est mis en place et permet de calculer différentes métriques de connectivité. Ainsi, les enjeux spatiaux sont identifiés grâce à une analyse approfondie des indicateurs de connectivité. Différentes propositions d'aménagements du territoire sont émises afin de restaurer les continuités écologiques. Il semblerait que l'installation de buse couplé à un détournement ou une implantation de haies pourrait favoriser la transparence écologique des infrastructures de transport.
BASE
Ce dernier siècle a été synonyme d'un important accroissement des besoins économiques et sociaux dans le monde. Afin de trouver une certaine prospérité, ce rapide développement a eu de lourdes conséquences sur l'environnement et la biodiversité. C'est ainsi que, depuis les années 70, les réglementations politiques et les avancées scientifiques se sont multipliées avec pour maître mot : le développement durable. Plus précisément, les infrastructures routières sont les premières responsables de la fragmentation des habitats, phénomène qui peut avoir d'importants effets sur la biodiversité. Aujourd'hui, faire coexister les réseaux de transport et les réseaux écologiques est un enjeu incontournable et c'est à travers ces multiples constats que l'analyse de la transparence écologique des infrastructures de transport a montré son intérêt. Les portions routières entre Salon-de-Provence et Arles (A 54, RN 113 et LGV notamment) présentent des enjeux économiques et sociaux d'une part et des enjeux environnementaux liés à la biodiversité d'autre part. De plus, depuis quelques années, un projet de contournement de la ville d'Arles est prévu et augmenterait, une fois de plus, l'empreinte humaine sur l'environnement. Par ailleurs, les chiroptères, protégés au niveau national et international présentent de forts enjeux sur ce terrain d'étude. En fonction des caractéristiques de l'espèce et de l'espace, un modèle basé sur la théorie des graphes est mis en place et permet de calculer différentes métriques de connectivité. Ainsi, les enjeux spatiaux sont identifiés grâce à une analyse approfondie des indicateurs de connectivité. Différentes propositions d'aménagements du territoire sont émises afin de restaurer les continuités écologiques. Il semblerait que l'installation de buse couplé à un détournement ou une implantation de haies pourrait favoriser la transparence écologique des infrastructures de transport.
BASE