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In this ground-breaking volume, the authors explore two sides of religion: the ways in which it contributes to violence against women and girls (VAWG) and the ways it counters it. Recognising the very real impact of religion on the lives of women and girls, it prioritises experiences and learnings from empirical research and of practitioners, and their activities at grassroots-level, to better understand the nature and root causes of VAWG. Drawing on research done in Christian and Muslim communities in various fragile settings with high religiosity, this book avoids simplistically assigning blame to any one religion, instead engaging with the commonalities of how religion and religious actors influence norms and behaviours that impact VAWG. If the sustainable development goal of ending all forms of VAWG is to be achieved, how should actors in the international development sector engage with religion and religious actors? This book unpacks the nature of religion and religious actors in relation to VAWG, with the aim of giving greater clarity on how to (and how not to) engage with this crucial issue. Combining cutting-edge research with case studies and pragmatic recommendations for academics, policymakers and practitioners, this concise and easily accessible volume helps instigate discussion and engagement with the incredibly important relationships between religion and VAWG

Des pièces d'archives - tracts, brochures, affiches, photographies, etc. - Choisies et commentées composent un récit vivant qui nous fait redécouvrir la France contestataire du début des années 1970, dont les échos résonnent avec force cinquante ans plus tard.00Le ± Peace and Love ?, La culture hippie et la ± libération sexuelle ? ont eu tendance a faire oublier combien, en France, les années 1970-1974 furent traversées de tensions, de conflits ou d'affrontements.00Ce début de décennie post-68 est largement habité par la figure de la violence, celle de l'état ou celle considérée comme une option par les mouvements contestataires.00Quels moyens mobiliser dans les luttes locales, nationales ou internationales ?00L'occupation d'une usine, la séquestration d'un patron, la préparation au ± coup de poing ? sont-elles légitimes ?00Le recours a des formes d'action directe illégale est-il même inévitable pour espérer ± changer la vie ? Et combattre les diverses formes d'oppression ?00Ou bien faut-il malgré tout privilégier la non-violence, la désobéissance civile ?00Les archives ici réunies et commentées font entendre les questionnements qui traversent le début des années 1970-et qui demeurent pour partie les nôtres

Souverainete, autonomie et subjectivites politiques autochtones en Mesoamerique et dans les Andes / Martin Hebert et Stephanie Rousseau -- Sortir du colonial en Oceanie ou comment reconquerir sa souverainete en situation de minorisation / Natacha Gagne et Marie Salaün -- La souverainete à l'aune de la militance des peuples autochtones du Guatemala / Martin Hebert, Ignacio Ochoa et Lucas Aguenier -- L'autonomie autochtone "sous tutelle" en Bolivie / Stephanie Rousseau et Hernán Manrique -- Le Perou : des assises de la communaute au projet politique de la nation autochtone / Raphaël Colliaux et Stephanie Rousseau -- Souverainetes intriquees, contestees et concurrentes : la difficile construction d'un pouvoir local aux îles Marquises / Pascal-Olivier Pereira de Grandmont -- La grammaire de l'emancipation polynesienne et ses paradoxes / Natacha Gagne -- "Se constituer en "societe civile"" : l'apres 1994 au Chiapas / Éric Gagnon Poulin -- Être jeune, conscient, implique et libre de se determiner : regard ethnographique sur une bande de jeunes Kanak de Kone (Nouvelle-Caledonie) / Ève Desroches-Maheux -- Danser pour transformer la nation : l'entrada folklorique de l'Universidad Mayor de San Andres, La Paz (Bolivie) / Marie-Ève Paquet -- Affirmation de soi et autodetermination : le tatouage en Polynesie française / Catherine Charest -- OEuvrer à la decolonisation de la societe neo-zelandaise grâce à l'art : le cas des femmes artistes contemporaines māori / Catherine Pellini.

Cet ouvrage collectif naît d'abord d'un contexte. À une époque où les crises s'enchaînent au point de paraître permanentes, les législations d'urgence et les mesures dérogatoires connaissent une expansion telle que l'exception semble devenir la règle. Pourtant, le concept même d'état d'exception ne va pas de soi et alimente, dans le champ académique, de nombreux débats. Ne masque-t-il pas, derrière le sentiment partagé de quitter un monde politique et constitutionnel stabilisé, des situations juridiques très différentes ? Ce faisant, ne nous rend-il pas, paradoxalement, impuissants à penser le monde qui vient ? Les textes rassemblés ici proposent d'élargir ces réflexions en les réinscrivant dans une perspective historique longue. Ils présentent un vaste répertoire des formes historiques de « l'exceptionnalité », depuis l'institution romaine de la dictature jusqu'à l'état d'urgence contemporain, en tenant compte des normes et des pratiques juridico-politiques, mais aussi des concepts qui leur ont été associés. Au fil d'un dialogue entre histoire et philosophie, l'ouvrage s'ouvre à d'autres disciplines et aux réflexions transversales qui ont accompagné ces concepts. Il interroge la manière dont des termes « dictature » ou « état d'exception » circulent et se modifient, en laissant émerger des questions récurrentes, notamment autour du rapport du droit et du politique à l'histoire et au temps

Le livre imprimé est le lieu privilégié pour comprendre comment s'est construit un nouveau regard sur l'Antiquité à la suite des guerres de Religion, de la mise en place de la censure des images ainsi que de la centralisation du pouvoir politique. Or, le nom de celles et ceux qui en ont déterminé la forme propre – imprimeurs, libraires, graveurs, correcteurs – ne figurent pas toujours en page de titre. Ils ont pourtant traduit, modifié et parfois déplacé des textes et des images pour répondre aux attentes d'un public friand de nouveautés. La présente enquête part d'un livre recomposé à partir d'un texte de Natale Conti et des illustrations de Vincenzo Cartari. Bricolé à la hâte dans une officine lyonnaise au début du xviie siècle, il a connu une fortune extraordinaire. Ses sources et sa postérité sont analysées à travers des figures monstrueuses entre la fable, la caricature religieuse, les sciences naturelles et la littérature de voyage, de l'Hécate à trois têtes aux démons dotés de seins pendants jusqu'aux sorcières du Brésil

This book examines the social construction of legal relations between people and things in Brazil during the 19th century through the analysis of court cases discussing dominion and possession over slaves and land. The chapters address topics such as the role of social recognition in situations of possession, the process of delegitimizing acts of land usage from indigenous peoples, dependent persons and women, and the widespread illegal acquisition of slaves and land

1 Introduction: Urban transformation and public health in future cities -- Michael Keith and Andreza Aruska de Souza Santos 2 Mental health, stress and the contemporary metropolis -- Nikolas Rose 3 Feminised urban futures, healthy cities and violence against women and girls (VAWG): Transnational reflections from Brazilians in London and Maré, Rio de Janeiro -- Cathy McIlwaine, Miriam Krenzinger, Yara Evans and Eliana Sousa Silva4 Understanding the relationships between wellbeing and mobility in the unequal city: The case of community initiatives promoting cycling and walking in São Paulo and London -- Tim Schwanen and Denver V. Nixon5 Urban (sanitation) transformation in China: A Toilet Revolution and its socio-eco-technical entanglements -- Deljana Iossifova 6 The food environment and health in African cities: Analysing the linkages and exploring possibilities for improving health and wellbeing -- Warren Smit7 Urban mental health and the moral economies of suffering in a 'broken city': Reinventing depression among Rio de Janeiro urban dwellers -- Leandro David Wenceslau and Francisco Ortega 8 Violence as a language of construction and deconstruction in Rio de Janeiro and Brazil -- Luiz Eduardo Soares9 Conclusion: City DNA, public health and a new urban imaginary -- Michael Keith and Andreza Aruska de Souza SantosIndex