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In: Droit et société: revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, Band 22, Heft 1, S. 585-605
ISSN: 0769-3362
Cet article, déjà publié dans la Revue québécoise de droit international, se situe à l'intersection du droit international et de la théorie du droit. Son ambition est d'introduire à une branche particulière du mouvement des Critical Legal Studies, qui offre une lecture néo-structuraliste du droit international public. Après une présentation générale des thèses de cette branche critique du droit des gens, l'on tente de mettre en oeuvre la méthodologie qu'elle propose dans le contexte spécifique du droit communautaire. Au départ d'un arrêt de la Cour de Justice des Communautés européennes, c'est ainsi une philosophie du droit appliquée dont la possibilité est illustrée.
In: College of Europe studies 2
In: College of Europe Studies 2
In: La philosophie en commun
In: Droit et société: revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, Band 36, Heft 1, S. 379-400
ISSN: 0769-3362
D'après cet article, qui s'inscrit dans la ligne du courant des Critical Legal Studies qui s'est développé aux États-Unis, le droit devrait être appréhendé comme une activité culturelle créatrice de sens et les implications de cette perspective pour une pratique juridique soucieuse de changement social y sont explorées. L'auteur attaque la rationalité analytique, trop technicienne, qui caractérise le raisonnement juridique et montre comment cette conception « objective » de la culture juridique est venue à bout, par le passé, de mouvements sociaux, lorsque ceux-ci, inévitablement, ont pénétré l'arène juridique. Il plaide en faveur d'une approche de la pratique du droit de l'intérêt public qui soit aussi sensible que cognitive, symbolique qu'analytique, passionnée que rationnelle. Il donne des exemples d'une telle stratégie.
In: Dikè
In: Collection Diké
Intro -- Introduction -- Chapitre 1 -- La critique du libéralisme -- Le « superlibéralisme » de Roberto Mangabeira Unger -- Mark Tushnet et sa république inactuelle -- Duncan Kennedy et la contradiction fondamentale -- Chapitre 2 -- La recherche de la quadrature du cercle -- Les propositions de Frank I. Michelman -- Les propositions de Cass R. Sunstein -- Conclusion -- Texte 1 -- Frank I. Michelman*« La session 1985 de la Cour Suprême.Préface : Traces de gouvernement de soi par soi »** -- I - Prologue : Règle et raison -- II - La tradition républicaine -- 1 - L'appropriation contemporaine -- A) La pensée constitutionnelle américaine -- B) La théorie politique et sociale -- 2 - Une redécouverte : La tradition profonde -- A) L'humanisme civique -- 3 - La tradition proche et sa réception américaine -- A) L'idéologie de l'Opposition -- B) L'énigme de la représentation -- III - Les représentations de la vertu -- 1 - Le gouvernement de soi par soi dans la vision constitutionnelle -- 2 - Les économies de vertu -- 3 - Le peuple, où ? -- 4 - L'unité de qui ? -- IV - Résumé et observations finales -- Texte 2 -- Frank I. Michelman* « La république du droit » -- I - Introduction : Le constitutionnalisme républicain*** -- A) Bowers v. Hardwick : l'autorité contre la liberté -- B) Le constitutionnalisme : le gouvernement de soi par soi comme gouvernement du droit -- C) Républicanisme et modernité -- II - Le constitutionnalisme face à la science politique pluraliste -- A) Le pluralisme -- B) Le pouvoir autolimité, le droit suprême et la genèse du droit -- C) Le droit suprême pluraliste -- « politique » ou « métaphysique » ? -- D) La création de droit républicaine : une politique du droit -- III - L'autoritarisme du peuple -- A) Les fondateurs et les citoyens : du temps constitutionnel et de l'autorité aliénée -- IV - La citoyenneté à éclipses.
International audience ; Les raisons qui nous ont poussées à tenter de tracer des parallèles 1 entre le mouvement des Legal Consciousness Studies (LCS), que nous étions en train d'étudier collectivement, et les Science and Technology Studies (STS) sont, au moins, au nombre de quatre. Nos parcours individuels, tout d'abord, nous avaient précédemment menées à croiser nos regards 2 au sujet d'objets et de pratiques scientifiques et techniques et à explorer, de ce fait, les ressources des STS, parmi d'autres approches, pour comprendre comment les controverses scientifiques se déploient dans diverses arènes et sont appréhendées par divers publics concernés, et notamment les jeunes 3 , et quelles étaient les relations entre ces objets, pratiques et controverses et le droit 4. Les deux courants, ensuite, bien que distincts par leurs objets, puisaient leurs racines dans une même période, celle des années 1960 et 1970, une même aire culturelle, le monde anglo-saxon et en particulier les Etats-Unis 5 et illustraient une même volonté de renouveler, sans, évidemment, faire l'économie de débats internes, les cadres et méthodologies d'analyse de phénomènes sociaux majeurs, le droit et la science, en adoptant des postures critiques et politiquement engagées. Susan Silbey, enfin, dont les travaux ont servi de guide à nos réunions, consacre depuis le début des années 2000 des travaux de long cours à l'étude des relations entre droit et sciences, et en particulier à l'observation du droit dans l'espace des laboratoires de recherche. Il nous est apparu, pour finir, que jusqu'à présent, et malgré des tentatives récentes en ce sens, le rendezvous entre ces deux mouvements de recherche n'avait pas eu lieu, et nous souhaitions explorer les virtualités d'une telle rencontre entre deux positionnements qui, à bien des égards, nous paraissaient recouvrir des territoires qui sont, de plus en plus, appelés à se juxtaposer.
BASE
International audience ; Les raisons qui nous ont poussées à tenter de tracer des parallèles 1 entre le mouvement des Legal Consciousness Studies (LCS), que nous étions en train d'étudier collectivement, et les Science and Technology Studies (STS) sont, au moins, au nombre de quatre. Nos parcours individuels, tout d'abord, nous avaient précédemment menées à croiser nos regards 2 au sujet d'objets et de pratiques scientifiques et techniques et à explorer, de ce fait, les ressources des STS, parmi d'autres approches, pour comprendre comment les controverses scientifiques se déploient dans diverses arènes et sont appréhendées par divers publics concernés, et notamment les jeunes 3 , et quelles étaient les relations entre ces objets, pratiques et controverses et le droit 4. Les deux courants, ensuite, bien que distincts par leurs objets, puisaient leurs racines dans une même période, celle des années 1960 et 1970, une même aire culturelle, le monde anglo-saxon et en particulier les Etats-Unis 5 et illustraient une même volonté de renouveler, sans, évidemment, faire l'économie de débats internes, les cadres et méthodologies d'analyse de phénomènes sociaux majeurs, le droit et la science, en adoptant des postures critiques et politiquement engagées. Susan Silbey, enfin, dont les travaux ont servi de guide à nos réunions, consacre depuis le début des années 2000 des travaux de long cours à l'étude des relations entre droit et sciences, et en particulier à l'observation du droit dans l'espace des laboratoires de recherche. Il nous est apparu, pour finir, que jusqu'à présent, et malgré des tentatives récentes en ce sens, le rendezvous entre ces deux mouvements de recherche n'avait pas eu lieu, et nous souhaitions explorer les virtualités d'une telle rencontre entre deux positionnements qui, à bien des égards, nous paraissaient recouvrir des territoires qui sont, de plus en plus, appelés à se juxtaposer.
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International audience ; Les raisons qui nous ont poussées à tenter de tracer des parallèles 1 entre le mouvement des Legal Consciousness Studies (LCS), que nous étions en train d'étudier collectivement, et les Science and Technology Studies (STS) sont, au moins, au nombre de quatre. Nos parcours individuels, tout d'abord, nous avaient précédemment menées à croiser nos regards 2 au sujet d'objets et de pratiques scientifiques et techniques et à explorer, de ce fait, les ressources des STS, parmi d'autres approches, pour comprendre comment les controverses scientifiques se déploient dans diverses arènes et sont appréhendées par divers publics concernés, et notamment les jeunes 3 , et quelles étaient les relations entre ces objets, pratiques et controverses et le droit 4. Les deux courants, ensuite, bien que distincts par leurs objets, puisaient leurs racines dans une même période, celle des années 1960 et 1970, une même aire culturelle, le monde anglo-saxon et en particulier les Etats-Unis 5 et illustraient une même volonté de renouveler, sans, évidemment, faire l'économie de débats internes, les cadres et méthodologies d'analyse de phénomènes sociaux majeurs, le droit et la science, en adoptant des postures critiques et politiquement engagées. Susan Silbey, enfin, dont les travaux ont servi de guide à nos réunions, consacre depuis le début des années 2000 des travaux de long cours à l'étude des relations entre droit et sciences, et en particulier à l'observation du droit dans l'espace des laboratoires de recherche. Il nous est apparu, pour finir, que jusqu'à présent, et malgré des tentatives récentes en ce sens, le rendezvous entre ces deux mouvements de recherche n'avait pas eu lieu, et nous souhaitions explorer les virtualités d'une telle rencontre entre deux positionnements qui, à bien des égards, nous paraissaient recouvrir des territoires qui sont, de plus en plus, appelés à se juxtaposer.
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