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SSRN
Working paper
In: Polity, Band 49, Heft 2, S. 185-187
ISSN: 1744-1684
In: Synthese: an international journal for epistemology, methodology and philosophy of science, Band 198, Heft 4, S. 3073-3098
ISSN: 1573-0964
AbstractRecently, philosophers have tried to develop a version of truthmaker theory which ties the truthmaking relation (T-REL) closely to the notion of fundamentality. In fact, some of these truthmaker-fundamentalists (TF-ists), as I call them, assume that the notion of fundamentality is intelligible in part by citing, as central examples of fundamentals, truthmakers, which they understand necessarily as constituents of fundamental reality. The aim of this paper is first to bring some order and clarity to this discussion, sketching how far TF is compatible with orthodox truthmaking, and then critically to evaluate the limits of TF. It will be argued that truthmaker theory cannot directly help with articulating the nature of fundamental reality and that T-REL does not necessarily relate truths with anything more fundamental, unless what is fundamental is what the truthbearers in question are about. I shall argue that TF faces a rather thorny dilemma and some general problems. I shall present two exhaustive types of fundamentalism on which a version of TF can be based: deflationary and inflationary. It will be argued that each version of TF runs into significant troubles accounting for all truth, specifically ordinary truths and metaphysical truths about the relations between ordinary facts and fundamental facts. I shall not attempt to solve these problems, but rather, at the end, diagnose the issues with TF as lying in the difficulties with reconciling the manifest image with the scientific and metaphysical images of reality.
International audience ; Depuis plusieurs années, de nombreux constats attestent qu'un nombre important de personnes renoncent à faire valoir leurs droits en matière d'aides sociales. Le phénomène de non-recours n'est certainement pas nouveau, mais comme il fait de plus en plus l'objet de mesures, son ampleur apparaît et le besoin de réponses grandit. Avec des taux de non-recours variant entre 40 et 60 % dans les pays de l'Union européenne 1 , des solutions techniques se mettent en place pour faciliter l'accès des aides sociales et services publics. Le discours politique s'est cependant concentré sur deux formes de non-recours, la non-connaissance (l'aide n'est pas connue) et la non-réception (elle est connue, demandée, mais pas obtenue ou utilisée), mettant de côté la non-proposition (l'aide n'est pas activée malgré l'éligibilité du demandeur, que celui-ci connaisse ou pas l'aide en question), mais aussi la non-demande (l'aide est connue mais pas demandée, ou bien un droit ouvert mais la prestation non utilisée) et également la non-orientation (les destinataires potentiels ne sont pas sollicités ou accompagnés pour activer un droit) 2. L'action sur le non-recours est alors pensée pour rendre plus performantes les modalités d'information des publics, d'accompagnement de ceux-ci vers leurs droits, de parcours intentionnés, de pré-accueils inconditionnels, etc. Ces solutions ont bien entendu leur utilité. Pour autant, le non-recours ne peut pas être réduit à un seul problème d'accessibilité. Lorsque les personnes ne demandent pas, la question n'est pas simplement celle de l'accessibilité mais aussi celle de la pertinence de l'offre publique. C'est le cas en particulier avec la « non-demande intentionnelle », quand par désintérêt des personnes s'abstiennent volontairement de recourir malgré l'utilité des aides-financières ou non financières-auxquelles elles sont pourtant éligibles. Il est important de s'arrêter sur cette forme particulière de non-recours qui, plus que les autres, met en question la légitimité des ...
BASE
International audience ; Depuis plusieurs années, de nombreux constats attestent qu'un nombre important de personnes renoncent à faire valoir leurs droits en matière d'aides sociales. Le phénomène de non-recours n'est certainement pas nouveau, mais comme il fait de plus en plus l'objet de mesures, son ampleur apparaît et le besoin de réponses grandit. Avec des taux de non-recours variant entre 40 et 60 % dans les pays de l'Union européenne 1 , des solutions techniques se mettent en place pour faciliter l'accès des aides sociales et services publics. Le discours politique s'est cependant concentré sur deux formes de non-recours, la non-connaissance (l'aide n'est pas connue) et la non-réception (elle est connue, demandée, mais pas obtenue ou utilisée), mettant de côté la non-proposition (l'aide n'est pas activée malgré l'éligibilité du demandeur, que celui-ci connaisse ou pas l'aide en question), mais aussi la non-demande (l'aide est connue mais pas demandée, ou bien un droit ouvert mais la prestation non utilisée) et également la non-orientation (les destinataires potentiels ne sont pas sollicités ou accompagnés pour activer un droit) 2. L'action sur le non-recours est alors pensée pour rendre plus performantes les modalités d'information des publics, d'accompagnement de ceux-ci vers leurs droits, de parcours intentionnés, de pré-accueils inconditionnels, etc. Ces solutions ont bien entendu leur utilité. Pour autant, le non-recours ne peut pas être réduit à un seul problème d'accessibilité. Lorsque les personnes ne demandent pas, la question n'est pas simplement celle de l'accessibilité mais aussi celle de la pertinence de l'offre publique. C'est le cas en particulier avec la « non-demande intentionnelle », quand par désintérêt des personnes s'abstiennent volontairement de recourir malgré l'utilité des aides-financières ou non financières-auxquelles elles sont pourtant éligibles. Il est important de s'arrêter sur cette forme particulière de non-recours qui, plus que les autres, met en question la légitimité des ...
BASE
Cover -- Contents -- Fundamental and Speculative Demands for Housing -- I. Optimality Conditions of Producing Housing Services -- II. The General Equilibrium Model -- III. Quantitative Results -- IV. Robustness Tests and Discussion -- V. Concluding Remarks -- REFERENCES.
SSRN
SSRN
In: IMF Working Paper No. 19/63
SSRN
Working paper
In: Decision Making in Engineering Design, S. 75-88
In: Synthese: an international journal for epistemology, methodology and philosophy of science, Band 198, Heft 7, S. 6183-6206
ISSN: 1573-0964
SSRN
SSRN
In: The American economist: journal of the International Honor Society in Economics, Omicron Delta Epsilon, Band 18, Heft 1, S. 42-47
ISSN: 2328-1235