The Indo-Pacific and France's Pacific Sovereignty
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 401-427
ISSN: 1951-624X
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In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 401-427
ISSN: 1951-624X
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 261-272
ISSN: 1951-624X
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 9-13
ISSN: 1951-624X
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 183-197
ISSN: 1951-624X
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 107-125
ISSN: 1951-624X
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 349-376
ISSN: 1951-624X
In: Perspectives chinoises: Shenzhou-zhanwang, Band 66, Heft 1, S. 80-81
ISSN: 1021-9013
In: International Journal of Canadian Studies, Heft 37, S. 167
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 327-348
ISSN: 1951-624X
In: Revue française de science politique, Band 59, Heft 5, S. 1038-1039
ISSN: 0035-2950
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 97-106
ISSN: 1951-624X
In: Études internationales, Band 36, Heft 2, S. 265
ISSN: 1703-7891
In: Annuaire français de droit international, Band 31, S. 23-57
ISSN: 0066-3085
Le 6 aout 1985 a ete signe a Rarotonga un traite creant une zone denuclearisee dans le pacifique sud. Cela, les signataires du traite en sont conscients, n'eliminera pas les activites nucleaires, mais exercera une pression constante sur les gouvernements. Le traite a une application geographique et une portee materielle reelles; le controle releve de l'AIEA et d'organes propres. Malgre les protocoles complementaires, l'Australie et la Nouvelle-Zelande estiment que la zone comporte pas suffisamment d'interdictions. (Internat. Polit. Science Assoc.)
World Affairs Online
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Band 55-4, Heft 4, S. 122-159
ISSN: 1776-3045
L'histoire de la gestion des compagnies de chemins de fer américaines à la fin du XIXe siècle est ici abordée à partir d'une analyse des activités des cadres salariés, et plus particulièrement des «surintendants généraux» (general superintendents) qui en dirigent l'exploitation. Les décisions prises ou mises en œuvre par le surintendant général du Central Pacific Railroad ne relèvent pas d'un système de gestion cohérent et stable,mais sont plutôt marquées par la coexistence de priorités différentes et souvent même concurrentes.Ainsi la surveillance des dépenses d'exploitation vise essentiellement à atténuer les effets des fluctuations des recettes, et la détermination des tarifs est dissociée de l'évaluation des coûts. Pour les achats de matériel, le surintendant et ses employeurs comptent sur la concurrence entre fournisseurs ou même sur des accords avec des partenaires ou des clients,ce qui ne va pas dans le sens de la standardisation réclamée par les ingénieurs et les mécaniciens du département de la traction et des machines.Les choix des dirigeants du Central Pacific limitent à la fois l'intérêt des gains de productivité et la capacité des cadres à en obtenir des salariés. Loin d'anticiper sur les pratiques des grandes entreprises industrielles du XXe siècle,les cadres des compagnies de chemins de fer continuent à prendre en compte d'anciens principes de gestion marchande, qui fournissent toujours des réponses viables aux contraintes et aux opportunités de leur environnement.
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 58-59, Heft 1, S. 127-141
ISSN: 1951-624X