Depuis 5000 ans au moins, la parfumerie a suscité la création de vastes réseaux de communication et leur maintien, envers et contre toutes les difficultés, techniques, économiques ou politiques. Paradoxalement, elle est restée, dans son essence même, très extérieure à la révolution des moyens de communication qui a bouleversé ce siècle. Ce paradoxe nous permettra de faire une relecture anthropologique de l'histoire des parfums et d'aborder quelques-uns des problèmes de communication sur lesquels butte la parfumerie moderne.
Depuis 5000 ans au moins, la parfumerie a suscité la création de vastes réseaux de communication et leur maintien, envers et contre toutes les difficultés, techniques, économiques ou politiques. Paradoxalement, elle est restée, dans son essence même, très extérieure à la révolution des moyens de communication qui a bouleversé ce siècle. Ce paradoxe nous permettra de faire une relecture anthropologique de l'histoire des parfums et d'aborder quelques-uns des problèmes de communication sur lesquels butte la parfumerie moderne.
Depuis 5000 ans au moins, la parfumerie a suscité la création de vastes réseaux de communication et leur maintien, envers et contre toutes les difficultés, techniques, économiques ou politiques. Paradoxalement, elle est restée, dans son essence même, très extérieure à la révolution des moyens de communication qui a bouleversé ce siècle. Ce paradoxe nous permettra de faire une relecture anthropologique de l'histoire des parfums et d'aborder quelques-uns des problèmes de communication sur lesquels butte la parfumerie moderne.
Depuis 5000 ans au moins, la parfumerie a suscité la création de vastes réseaux de communication et leur maintien, envers et contre toutes les difficultés, techniques, économiques ou politiques. Paradoxalement, elle est restée, dans son essence même, très extérieure à la révolution des moyens de communication qui a bouleversé ce siècle. Ce paradoxe nous permettra de faire une relecture anthropologique de l'histoire des parfums et d'aborder quelques-uns des problèmes de communication sur lesquels butte la parfumerie moderne.
Discusses the impact of global communication networks on the economic, social, and political life of a democratic society; difficulties governments face in attempting to regulate new forms of information technology in context of their use by those governed to express their concerns; European and North American perspective; 4 articles. Summaries in English.
Cet article s'interroge sur la façon dont on peut gouverner les réseaux de communication internationaux qui semblent constituer un espace déterritorialisé échappant au contrôle des États-nations. La gouvernance des réseaux de communication pose la question du rôle des États dans leur développement. Depuis la fin du 19e siècle, ceux-ci ont joué dans les pays industrialisés un rôle majeur dans la mise en place des grandes infrastructures de communication. L'État, jadis planificateur et opérateur des réseaux, devient l'animateur d'un ensemble d'initiatives privées. La gouvernance des réseaux de communication soulève le problème de la régulation des informations qu'ils permettent d'échanger. Comment concilier d'une part la liberté d'expression, d'autre part, la protection des droits d'auteurs, de la vie privée ou des cultures nationales? Pour faire face à ces enjeux, les modes traditionnels de régulation — accords intergouvernementaux, organisations internationales — sont aujourd'hui concurrencés par de nouvelles formes de gouvernance coopératives et communautaires.
La transmission des données par les circuits de télécommunication a débuté durant les années 50 avec les premiers réseaux de réservation des compagnies aériennes ou ceux de la défense. Vers le milieu des années 60, la technologie mise au point pour ces premiers systèmes a trouvé des applications plus larges, et si les réseaux conçus pour les réservations des compagnies aériennes ou pour le commandement et le contrôle de la défense étaient toujours techniquement les plus avancés, d'autres utilisateurs avaient pris une certaine importance, notamment dans les domaines de la banque, de la gestion commerciale, de la fonction publique ou des sociétés de traitement informatique en temps partagé. Dès l'origine ou presque, les réseaux de la défense et ceux des compagnies aériennes ont eu une dimension internationale, mais jusqu'à la fin des années 60 - à part quelques exceptions - les autres systèmes faisant appel à la transmission des données restaient dans les limites d'un seul pays.
11 pages. Pour citer ce document : Pène Sophie et Dubois Cathy, "Sémiologie de l'hypertravail, communication d'exploration et réseaux sociaux", Colloque H2PTM, Université Paris 8, octobre 2009. ; Social networks are often viewed as public spaces, but they do not fit in the definition of Habermas' 'public sphere'. They have no territorial roots and do not respect tradition. They are not based on a political community either. However, they contribute in developping a specific mode of deliberation. This debating mode is interesting in order to develop innovative exploration. Nonetheless, organizations that are dealing with innovation have a very centralized structure (similar to a public space one), when it comes to information systems. How can we solve such a paradox? Many organizations try to install internal social networks but this is not a good solution, for external links allow innovation through networking. The information systems of enterprises will be endangered if the understanding of these stakes doesn't move towards new concepts. ; Les réseaux sociaux sont spontanément considérés comme des espaces publics. Pourtant ils ne correspondent pas à la définition donnée par Habermas de la « sphère publique ». Ils n'ont pas d'ancrage dans un territoire. Ils ne suivent pas de tradition. Ils ne reposent pas sur une communauté politique. Mais un mode de délibération spécifique s'y développe. Cette activité de délibération présente un intérêt très grand pour développer une propension à l'innovation d'exploration. Or on constate que les systèmes d'information des organisations qui pourtant se préoccupent d'innovation, ont, eux, épousé une structure très centralisée. Comment résoudre ce paradoxe ? Beaucoup d'organisations tentent d'installer des réseaux sociaux internes. Ce n'est pas une bonne solution. Car ce sont des liens extérieurs aux firmes qui permettent l'innovation en réseau. Une menace de désagrégation des systèmes d'information des entreprises existe donc, si la compréhension des enjeux ne se traduit pas ...