Que veut Bush - que peut Saddam?
In: Jeune Afrique, Band 30, Heft 1548, S. 8-34
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In: Jeune Afrique, Band 30, Heft 1548, S. 8-34
World Affairs Online
In: Guide pour s'aider soi-même
Comment faire face aux périodes de refus ou d'opposition de votre enfant? L'auteure, psychothérapeute, offre des informations pour mieux décoder ce comportement complexe et déroutant, qui s'avère néanmoins un passage obligé du développement de l'enfant: l'affirmation de soi et le début de son émancipation. L'étape suivante consiste à évaluer la situation et à réagir en mettant au point la méthode qui mènera l'enfant à un véritable changement de comportement. Enfin, si rien n'y fait, si l'opposition prend une forme pathologique, la dernière partie explique comment choisir la thérapie adaptée à votre situation et le thérapeute qui vous convient. [SDM]
In: Multitudes, Band 35, Heft 4, S. 159-159
ISSN: 1777-5841
In: Politique américaine, Band 13, Heft 1, S. 11-21
ISSN: 1771-8848
Résumé Alors que la normalisation de la position militaire de la France dans l'OTAN a été lancée au récent sommet de Strasbourg-Kehl, le chantier est à la rénovation du concept stratégique de l'Alliance. Rénovation ou révolution ? La question mérite d'être posée puisque les visions stratégiques sur son devenir peuvent différer de part et d'autre de l'Atlantique. Comment donner ensemble un nouveau sens à une alliance ancienne qui a terminé sa mission initiale et affronte une planète beaucoup plus pleine dont les équilibres sont incertains et les instruments de puissance diversifiés ?
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 48, Heft 1, S. 87-101
ISSN: 1958-8992
Le visage de la diplomatie chinoise depuis 1979 a une valeur stratégique puisqu'il entraîne une modification des rapports entre la Chine et ses deux grands partenaires et le changement des objectifs à moyen terme de Pékin : la modernisation et l'indépendance reçoivent aujourd'hui la priorité alors que la sécurité du pays paraît moins menacée. La diplomatie chinoise développe aujourd'hui une offensive pour revitaliser le triangle stratégique, percer dans le Tiers-Monde et consolider son influence régionale. Mais la faiblesse de ses moyens et l'importance des obstacles extérieurs en réduisent les effets.
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In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 48, Heft 1, S. 87-100
ISSN: 0032-342X
World Affairs Online
Gérer est une activité sérieuse qui ne tolère pas l'approximation. Le gestionnaire qui se respecte se doit ainsi de « gérer en bon père de famille ». Gérer est un acte rationnel qui consiste à éliminer de la prise de décision l'impulsion, les rêveries et les spéculations. Pour contraindre les actions humaines, quoi de plus sage que d'encadrer les comportements par des mesures qui les rationalisent ? Il s'agit de dire le vrai, de faire triompher le rationnel sur les sentiments et les humeurs. Or, c'est bien connu, « les chiffres de mentent pas » et imposent les faits comme des évidences têtues. Le bon gestionnaire est celui qui est capable de dompter la complexité de l'action organisée au travers d'un résumé chiffré. La comptabilité est devenue l'algèbre du droit. Le marketing, la communication, la gestion des ressources humaines, l'administration publique ne peuvent plus se passer d'outils métriques pour être réputés « bien gérés » et efficaces. L'hôpital, les universités, l'armée ne sont plus préservées des pratiques de mesure chiffrée de leur performance, au lieu et place des traditionnelles modalités d'évaluation des politiques publiques jugées trop verbeuses. Le chiffre implacable surpasse la rhétorique.
BASE
Gérer est une activité sérieuse qui ne tolère pas l'approximation. Le gestionnaire qui se respecte se doit ainsi de « gérer en bon père de famille ». Gérer est un acte rationnel qui consiste à éliminer de la prise de décision l'impulsion, les rêveries et les spéculations. Pour contraindre les actions humaines, quoi de plus sage que d'encadrer les comportements par des mesures qui les rationalisent ? Il s'agit de dire le vrai, de faire triompher le rationnel sur les sentiments et les humeurs. Or, c'est bien connu, « les chiffres de mentent pas » et imposent les faits comme des évidences têtues. Le bon gestionnaire est celui qui est capable de dompter la complexité de l'action organisée au travers d'un résumé chiffré. La comptabilité est devenue l'algèbre du droit. Le marketing, la communication, la gestion des ressources humaines, l'administration publique ne peuvent plus se passer d'outils métriques pour être réputés « bien gérés » et efficaces. L'hôpital, les universités, l'armée ne sont plus préservées des pratiques de mesure chiffrée de leur performance, au lieu et place des traditionnelles modalités d'évaluation des politiques publiques jugées trop verbeuses. Le chiffre implacable surpasse la rhétorique.
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Gérer est une activité sérieuse qui ne tolère pas l'approximation. Le gestionnaire qui se respecte se doit ainsi de « gérer en bon père de famille ». Gérer est un acte rationnel qui consiste à éliminer de la prise de décision l'impulsion, les rêveries et les spéculations. Pour contraindre les actions humaines, quoi de plus sage que d'encadrer les comportements par des mesures qui les rationalisent ? Il s'agit de dire le vrai, de faire triompher le rationnel sur les sentiments et les humeurs. Or, c'est bien connu, « les chiffres de mentent pas » et imposent les faits comme des évidences têtues. Le bon gestionnaire est celui qui est capable de dompter la complexité de l'action organisée au travers d'un résumé chiffré. La comptabilité est devenue l'algèbre du droit. Le marketing, la communication, la gestion des ressources humaines, l'administration publique ne peuvent plus se passer d'outils métriques pour être réputés « bien gérés » et efficaces. L'hôpital, les universités, l'armée ne sont plus préservées des pratiques de mesure chiffrée de leur performance, au lieu et place des traditionnelles modalités d'évaluation des politiques publiques jugées trop verbeuses. Le chiffre implacable surpasse la rhétorique.
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In: Studia politica: Romanian political science review ; revista română de ştiinţă politică, Band 7, Heft 2, S. 257-266
At the very moment of the fall of Romanian communism, pluripartism was viewed as an irrefutable sign of democracy. However, political pluralism was not a value to be simply inserted in a sphere of political representations forged during communism, nor parties political objects to be easily conceived and build in a political life deserted by the Communist Party. The article explores and synthesizes the ways those two fundamental references of a democracy -i.e. political pluralism and political parties- were conceptualized by the Romanian postcommunist politicians: what is a political party? what parties are supposed to do in the emerging political regime and what kind of societal pluralism are they supposed to mirror? Those are questions whose answers and the way they were answered lies in the heart of Romanian democratization and regime building in the 1990 and 2000.