Prinos se bavi istraživanjem korištenja pojma rata u djelu Michela Foucaulta. Obrćući poznatu Clausewitzovu izjavu o ratu kao nastavku politike drugim sredstvima, Foucault je kroz 1970-e godine na ambivalentan način govorio o politici kao nastavku rata drugim sredstvima. U analizi društvenih odnosa kao odnosa moći, obilato se služio ratnim metaforama poput strategija i taktika, povremeno koristeći ratno pojmovlje bez metaforičkog odmaka, kasnije se distancirajući od njega kao od specifičnog povijesnog diskursa koji retrospektivno podliježe analitički hladnijoj arheologiji diskursa odnosno, u fukoovskom smislu, nominalno angažiranoj dinastijskoj/genealogijskoj analizi moći, ili pak normativno odbacujući ratnu metaforiku u nekim specifičnim područjima poput problematiziranja uloge intelektualaca. Ovaj se prigodni prinos ograničava na dvije svrhe. Primarna je, u žanru hermeneutike Foucaulta, vjerno rekonstruirati i tentativno klasificirati diskurs rata u Foucaultovom bogatom i raznolikom opusu. Sekundarna je svrha preliminarno ga analitički vrednovati, sažeto u pitanju što se diskursom rata uopće dobiva a što gubi u analizi društvenih kretanja, imajući u vidu naslovnu figuru Lakoffa i Johnsona o pojmovnim metaforama koje, kako oni tvrde, oblikuju naše misaone i stvarne svjetove? Drugim riječima: što je doista Foucault govorio i pisao i što nam to znači danas u analizi društva i politike? ; Cet article examine l'utilisation du concept de guerre dans l'œuvre de Michel Foucault. En renversant la célèbre déclaration de Clausewitz selon laquelle la guerre n'est qu'un prolongement de la politique par d'autres moyens, Foucault parle de manière ambivalente dans les années 1970 de la politique comme d'un prolongement de la guerre par d'autres moyens. Au sein de son analyse des rapports sociaux en tant que rapports de pouvoir, il se sert abondamment des métaphores de guerre telles que la stratégie et la tactique, mais utilise aussi une terminologie de guerre en abandonnant la métaphore. Il se distancie plus tard de ce discours qu'il qualifie de discours historique spécifique qui, de manière rétrospective, est soumis au discours analytiquement plus froid d'archéologie, à savoir, dans le sens foucaldien, à l'analyse dynastique/généalogique du pouvoir nominalement engagé. Il rejette également d'un point de vue normatif la métaphore de guerre dans certains domaines spécifiques, telle que dans sa problématisation du rôle des intellectuels. Cet article se limite à deux buts particuliers. Le but premier est, suivant le genre de l'herméneutique de Foucault, de reconstruire en tentant de classer de manière fidèle les différents genres de discours de guerre présents dans son œuvre riche et variée. Le but second consiste, quant à lui, à valoriser ce discours d'un point de vue analytique, travail résumé en la question de savoir ce que l'on gagne et ce que l'on perd à travers le discours de guerre dans l'analyse des mouvements sociaux, tout en ayant à l'esprit l'intitulé de Lakoff et Johnson concernant les métaphores conceptuelles, qui, comme ils l'affirment, façonnent notre pensée et nos mondes réels. En d'autres mots, il s'agit de savoir ce que nous a réellement dit Foucault et ce qu'il a vraiment écrit, mais aussi, ce que cela signifie pour nous aujourd'hui au sein de l'analyse de la société et de la politique.
Ces derniers temps, ont commencé à renaître des travaux scientifiques qui traitent des contacts balkano-polonais dans le passé. Au cours d'études historiques de diverses sortes, l'attention a été de plus en plus dirigée, entre autres, vers diverses personnalités portant le nom d'Antica-Lastovac. La connaissance des »Anticas«, s'est parallèlement étundue pendant des années et, cella, tant dans le Midi qu'en Pologne; pourtant ces deux courants n'étaient pas reliés et les résultats parallèles n'ot pas été additionnés. D'après les recherches faites jusqu'aujourd'hui, on pourrait constater que, dans l'histoire de ce lignage existaient quelques générations de même descendance qui. l'une après l'autre, s'occupaient surtout de fonderie de cloches ou d'un métier proche et, cela, sur de vastes territoires européens. Dans la première génération peut se ranger Ivelja, appelé Vitković, et, ensuite, Antica Kraković; celui-ci a eu cinq fils dont Frano qui était fondeur de cloches pour la ville de Dubrovnik et ses environs; plus tard, il a travaillé à Bergame, et a laissé trois fils: François, Antoine et Gaudenzio, né en 1600. Tous les trois sont vraisemblablement arrivés en Pologne; le premier d'entre eux, François, y est déjà noté en 1618, il a travaillé pour le roi Sigmond III et les seigneurs polonais, et a joui de la protection d'Andrea Dell'Acqua, qui le considérait comme »instruit, honorable, de bonne rénommée et célèbre«; l'autre, François, en tant que »tormentorum bellicorum fusor«, a reçu en 1624 le droit de citoyenneté de Cracovie; le troisième est soi-disant venu plud tard en Pologne, vers 1622. Dans les recherches de descendants des natifs de Lagustanus (Lastovo) en Pologne, on pourrait sans aucun doute porter attention à l'italien Thomas Antica qui est resté longtemps au service diplomatique du Roi Stanislas Auguste Ponjatowski; Thomas Antica a obtenu en 1708 sa nomination de député et reconnaissance de droits nobiliaires (indygenat). Les oeuvres des gens appelées »Lastovci« en Pologne ne se sont pas conservées. Seul se retrouve un dessin de canon d'artillerie que – comme butin de guerre – a été emporté par les Scandinaves au XVIIe s. et avaint été exécuté par J. F. Thelott, officier de l'artillerie suédoise, dans les premières années du XVIIe s. L'inscription qu'il porte permet d'en authentifier l'auteur, ainsi que l'époque où il a été exécuté: »OPUS FRANCI/SCI LAGUSTINI MDCXXIIII.« Intéressante est, pour les historiens, la toile de fond des événements historiques qui ont permis la migration de natifs de Lastovo en Pologne, de même que leur activité dans ce pays. Il faudrait donc rappeler la situation politique, sociale et militaire d'alors, puis les voies de communication, de même que les personnalités qui ont oeuvré tant dans les Balkans, qu'en Pologne, surtout à la fin du XVIe s. et au début du XVIIe s. c'est-à-dire: Constantin d'Ostravice – janissaire, Nectarius, Serbe, peintre, qui, en 1553 a peint les fresques pour l'église de Supraslo, aux frontières de la Pologne, de la Lithuanie et de la Russie, Thomas Vincentius qui travaillait en 1604 à la construction de l'église de Boleslavac près de Cracovie; Samuel Korestki, magnat polono-ukrainien qui après s'être enfui des prisons turques a habité à Dubrovnik en 1617, intéressé par la culture et les problèmes du poète Gundulić, qui a célébré la victoire des armées polonaises sur les Turcs à Chocim en 1620; il faut aussi rappeler le fait qu'à cette époque Thomas Budislavić et le Jésuite Alexandre Kumulović, de Dubrovnik, étaient en rapports avec les Polonais, et, enfin, le peintre Marcin Teofilowicz qui, parti de Cracovie est arrivé à la ville slovène de Celje après un séjour de longues années à Tridento, et là, en 1623–1624, a exécuté le plafond du vieux Palais Princier. Le problème de la migration et l'activité artisanale des natifs de Lastovo, n'est pas encore complètement éclairci; il demande des recherches et études ultérieures; et cela tant dans les Balkans, sur la péninsule apenniene, que dans la lointaine Pologne.
Članak nastoji rasvijetliti tendencije suvremene etizacije u različitim područjima života, od gospodarstva i tehnike do znanosti i politike, s posebnim naglaskom na pravnu domenu. Ključno je pitanje: kako se danas masovno nabujala etizacija svijeta života odnosi prema načelu odvajanja prava i morala te prema vladavini prava kao minimuma morala u društvu? Teoretsko je polazište za ovo razmatranje Thomasiusova podjela naravnoga prava na honestum, decorum i iustum te Kantova dihotomija metafizičkih temelja nauka o pravu i kreposti u Metafizici ćudoređa. Taj je okvir upravo vrhunac prosvjetiteljskih nastojanja za strogim odvajanjem sfere zakonitosti i moralnosti. Postavlja se u tom sklopu pitanje, potkopavaju li suvremene etičke tendencije prosvjetiteljsko naslijeđe zaštite ljudskih prava. Na temelju takva dihotomna modela dalje se raščlanjuje utjecaj nedavne ekspanzije profesionalnih, medicinskih, znanstvenih, poslovnih i drugih oblika etike, masovno uspostavljanje etičkih povjerenstava, politička korektnost i djelovanje javnoga mnijenja na okvir ljudskih temeljnih sloboda. Za ilustraciju prikazana su dva ogledna primjera iz Hrvatske – normativni nedostaci etičkoga kodeksa i zloporaba etičkoga tijela u političke svrhe. U zaključku se obrazlaže kako suvremena etizacija može donijeti dobre plodove promicanjem ćudorednih pitanja i pravne zaštite. Međutim, ona ne smije prekoračivati granice i potkopavati vladavinu prava. Razdvajanje morala i prava znatna je baština demokratske ustavne države. Neobuzdana i preobilna etizacija raznih sfera, međutim, može biti pogubna za dobro uređenje i blagostanje u suvremenom, sve više pluralističkom i multikulturnom društvu. Primjerenije je stoga da o pravu sude nepristrani sudci i neovisni sudovi, držeći se u pravorijeku stoljećima izborenih i utvrđenih mjerila pravednosti; oni to zacijelo čine znatno pravednije nego što bi to činili provizorni etički odbori i ad hoc imenovani povjerenici. Etika se može baviti unutarnjom stranom djelovanja i moralnim maksimama. No, etičke maksime nisu uvijek vezane uz izvanjsku pravnu prisilu. O toj bitnoj razlici, koju bi svako društvo trebalo pažljivo razgraničiti i propisati, ovisi u bitnome ostvarenje ljudske slobode u njezinoj punini. ; This paper seeks to shed light on the trends of contemporary ethicisation in various areas of life, from business and technology to science and politics, with special emphasis on the legal domain. The key question is: how does nowadays immensely enlarged ethicisation of the lifeworld relate to the principle of separating legality from morality and the rule of law as the minimum of moral in the society? Theoretical framework for this analysis is Thomasius' division of natural law into honestum, decorum and iustum, as well as Kant's dichotomy of the metaphysical foundations of the doctrine of law and virtue in the Metaphysics of Morals. This framework represents the pinnacle of the demand of the Enlightenment era for a separation of the spheres of legality and morality. The question is raised as to whether contemporary ethical tendencies undermine the legacy of the Enlightenment regarding the protection of the human rights. Based on this dichotomous model, the impact of the recent expansion of professional, medical, scientific, business and other forms of ethics, the massive establishment of ethics committees, political correctness, and the mediation of public opinion on the framework of human fundamental freedoms is further elaborated. By way of illustration, two exemplary case studies from Croatia are presented—the normative flaws of a code of ethics and the misuse of an ethical body for political purposes. The conclusion elaborates how contemporary ethicisation can produce good results by promoting legal issues and legal protection. However, it should not exceed the limits and undermine the rule of law. The separation of morality and law is an important legacy of the democratic constitutional state. The unbridled and extensive ethicisation of various spheres, though, can be devastating to good order and well-being in the contemporary increasingly pluralistic and multicultural society. Therefore, the impartial tribunals should judge by the centuries-old and established standards of justice; they do it more equitably than the provisional ethical committees and the ad hoc appointed commissioners would. Ethics may continue to deal with the inner side of action and maxims. Nevertheless, the ethical maxims are not always bound to external compulsion. The full realisation of human freedom depends on this essential distinction, which every society should carefully determine and regulate. ; Cet article vise à faire la lumière sur les tendances de l'éthisation contemporaine dans divers domaines de la vie : des affaires et technologie à la science et politique, en mettant un accent particulier sur le domaine juridique. La question clé est la suivante : quel est le rapport entre l'éthisation contemporaine du monde de la vie, massivement accrue, avec le principe de la séparation entre le droit et la morale et la primauté du droit en tant que minimum de morale ? La présupposition de départ pour cette réflexion est la division par Thomasius de la loi naturelle en honestum, decorum et iustum, ainsi que la dichotomie par Kant des fondements métaphysiques de la doctrine du droit et de la vertu dans la Métaphysique des Mœurs, ledit cadre représentant le comble de l'exigence des Lumières pour une séparation stricte entre les sphères de la légalité et de la moralité. La question se pose de savoir si les tendances éthiques contemporaines nuisent l'héritage des Lumières de la protection des droits de l'homme. Sur la base de ce modèle dichotomique, une analyse plus profonde est fournie ayant pour but de démontrer l'impact de l'expansion récente des formes de l'éthique professionnelle, médicale, scientifique, des affaires et autres, de la mise en place massive des comités d'éthique, de la rectitude politique et de la médiation de l'opinion publique. A titre d'illustration, deux études sur des cas exemplaires en Croatie sont ici traitées: les faiblesses normatives d'un code d'éthique et l'abus d'un organe éthique à des fins politiques. En conclusion, il est montré que l'éthisation contemporaine peut porter ses fruits en promouvant les questions morales et la protection juridique. Cependant, elle ne doit pas dépasser les limites de le régime du droit et le nuire. La séparation entre la morale et le droit est un héritage important de l'Etat constitutionnel démocratique. L'éthisation effrénée et étendue à divers domaines peut néanmoins être dévastatrice pour le bon ordre et le bien-être dans la société contemporaine de plus en plus pluraliste et multiculturelle. Par conséquent, les juges impartiaux et les tribunaux indépendants devraient juger selon les normes de la justice séculaires et bien établies ; ils le font de manière plus équitable que le feraient le comité d'éthique provisoire ou les commissaires nommés ad hoc. L'éthique peut continuer à traiter du côté intérieur des actions et des maximes. Néanmoins, les maximes éthiques ne sont pas toujours liées à la contrainte juridique extérieure. De cette distinction essentielle, que chaque société devrait déterminer et réglementer avec soin, dépend avant tout la réalisation de la liberté humaine dans sa plénitude. ; Dieser Aufsatz versucht, die Tendenzen der zeitgenössischen Ethisierung in verschiedenen Bereichen des Lebens, von der Wirtschaft und Technik bis hin zur Wissenschaft und Politik, unter besonderer Berücksichtigung der Rechtsdomäne, zu beleuchten. Die Schlüsselfrage lautet: Wie verhält sich die heutige massiv angewachsene Ethisierung der Lebenswelt zum Grundsatz der Trennung von Legalität und Moralität sowie zum rechtsstaatlichen Postulat des Rechts als des Minimums der Moral in der Gesellschaft? Als Rahmen für die Untersuchung dient die Aufteilung des Naturrechts in honestum, decorum und iustum bei Thomasius, ferner Kants Dichotomie der metaphysischen Anfangsgründe der Rechts- und Tugendlehre in der Metaphysik der Sitten, wo als Höhepunkt die aufklärerische Forderung nach einer strengen Scheidung der Sphäre der Legalität von der Moralität untermauert wurde. Es wird die Frage erörtert, ob zeitgenössische Ethisierungstendenzen das aufklärerische Erbe der Verteidigung der Menschenrechte untergraben. Ausgehend von diesem dichotomischen Modell wird erörtert, welche Auswirkungen die jüngere Ausweitung der Ethik im Berufsleben, in Medizin, Wissenschaft, Geschäftsbeziehungen sowie sonstige Formen der Ethik, ferner die massiven Gründungen von Ethikkommissionen, die politische Korrektheit und die öffentliche Meinungsbildung auf den Rahmen der menschlichen Grundfreiheiten haben. Zur Veranschaulichung werden zwei Fallbeispiele aus Kroatien angeführt: die normativen Mängel eines Ethikkodexes und der Missbrauch eines ethischen Gremiums zu politischen Zwecken. Abschließend wird festgestellt, dass die zeitgenössische Ethisierung gute Früchte tragen kann, sofern sie die Rechtsfragen und den Rechtsschutz fördert. Aber sie darf dabei nicht die Grenzen überschreiten und den Rechtsstaat untergraben. Die Trennung von Moral und Recht ist ein wichtiges Erbe des demokratischen Rechtsstaates. Die ungezügelte und extensive Ethisierung verschiedener Sphären kann indessen für die gute Ordnung und das Wohlleben in der heutzutage immer ausgeprägteren pluralistischen und multikulturellen Gesellschaft verheerend sein. Daher mögen lieber unparteiische Richter und unabhängige Gerichtshöfe nach den in vielen Jahrhunderten errungenen und bewährten Maßstäben der Gerechtigkeit urteilen; sie tun dies gerechter, als es provisorische Ethikkomitees und ad hoc ernannte Beauftrage je tun würden. Die Ethik mag sich weiter mit dem inneren Bereich des Handelns und den Maximen befassen. Die ethischen Maximen sind aber dem äußeren Zwang nicht immer verpflichtet. Von dieser wesentlichen Unterscheidung, die jede Gesellschaft sorgfältig bestimmen und reglementieren sollte, hängt die Verwirklichung der Menschenfreiheit in ihrer Fülle ab.