Le "Recyclage" des excedents petroliers
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 40, Heft 4, S. 405-416
ISSN: 0032-342X
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In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 40, Heft 4, S. 405-416
ISSN: 0032-342X
World Affairs Online
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 40, Heft 4, S. 405-416
ISSN: 1958-8992
In: Banque: revue mensuelle du banquier, de son personnel et de sa clientèle, S. 1352-1359
ISSN: 0005-5581
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Band 9, S. 3-22
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
World Affairs Online
In: Revue internationale de la Croix-Rouge: débat humanitaire, droit, politiques, action = International Review of the Red Cross, Band 55, Heft 652, S. 208-216
ISSN: 1607-5889
Nous sommes heureux de publier de larges extraits d'un article paru dans la Revue suisse de medécine militaire (Bâle, décembre 1972), et que celle-ci nous autorise aimablement à reproduire. L'auteur, colonel sanitaire de làarmée suisse et médecin-chef d'une zone territoriale, y expose ses idées personnelles sur la médecine de catastrophe et le recyclage dans des établissements formant le personnel médical, les auxiliaires spécialisés et les secouristes sanitaires. Or, ce sujet est de nature, sans doute, à intéresser nos lecteurs. Car la Croix-Rouge se trouve confrontée aujourd'hui à des problèmes de secours en masse et, lors de conflits ou à la suite de désastres naturels, les problèmes de médecine et de chirurgie viennent au premier plan et Us concernent aussi Men les mèdecins que les infirmiers et secouristes, dont certains travaillent sous le signe de la croix rouge, du croissant rouge ou du lion-et-soleil rouge (Réd.).
In: The IDS Bulletin, Band 7, Heft 4, S. 27-28
SUMMARY OPEC's success in raising oil prices has very special ingredients—the high degree of producer dependence, the high cost of stock piling and limited possibilities of substitution or re‐cycling, the producers' control over cheaply exploitable reserves, their substantial foreign exchange balances and low dependence on import. Producer cartels for other commodities are unlikely to enjoy such advantages and would require a greater willingness to subordinate immediate interest for long‐term gain. The basic power imbalance between the developed and developing countries probably makes commodity agreements more hopeful than producer cartels.RESUMEN Los Prerrequisitos del Poder ProductorEl éxito de la OPEP en subir los precios del petróleo tiene ingredientes muy especiales : la alta dependencia respecto de los productores, el alto costo de almacenamiento y las reducidas posibilidades de substitución y re‐uso, el control de los productores sobre reservas de explotación barata, sus grandes reservas en moneda dura y su poca dependencia en materia de importaciones. Los carteles de productores en otros productos primarios dificilmente van a gozar de esas ventajas y requieren una mayor voluntad de subordinar los intereses inmediatos a las ganancias de largo plazo. El desequilibrio de poder básico entre los países desarrollados y en desarrollo hace que los convenios sobre productos primarios sean probablemente más promisorios que los carteles de productores.RESUME Conditions préalables à l'emprise des producteursLe succès dont jouit l'OPEP en raison de la majoration des prix pétroliers repose sur la situation très subordonnée des producteurs; le prix élevé de stockage, lié à l'insuffisance de substituts ou possibilités de recyclage; le contrôle qu'exercent les producteurs sur les exploitations à ressources peu coûteuses, leurs importantes recettes en devises étrangères, et le degré insignifiant dont ils dépendent des importations. D'autres cartels, ayant trait à d'autres produits de base, ne seraient guère aussi favorisés et seraient plutôt disposés à renoncer aux intérêts immédiats en faveur de bénéfices à long terme. Les inégalités, sur le plan du pouvoir, des pays industrialisés et en développement font paraître plus souhaitables les accords sur les produits de base que les cartels de producteurs.
In: Revue d'études comparatives est-ouest: RECEO, Band 6, Heft 3, S. 245-261
ISSN: 2259-6100
Le rapporteur s'est permis de déborder le cadre des informations recueillies — lesquelles reproduisent généralement les dispositions réglementaires, sans examiner leur application effective — pour avancer une série d'hypothèses sur des dysfunctions possibles et leurs causes probables. Le véritable travail scientifique doit donc encore commencer.
La fonction publique est régie dans la plupart des pays de l'Europe de l'Ouest, par le système de la carrière. Les pays Scandinaves et les Pays-Bas ont adopté plutôt le système des « positions ». En fait, on constate partout une interpénétration plus ou moins prononcée des deux systèmes.
On peut supposer que, dans un système de carrière, les procédés de sélection et de licenciement fonctionnent mal à cause :
— de la stabilité de l'emploi et des affectations ;
— du principe de la nomination à des grades et non à des fonctions bien déterminées ;
— de l'absence de définition précise des fonctions ;
— de l'état d'esprit des fonctionnaires travaillant dans ces conditions.
Des défauts semblables doivent apparaître aussi dans de grandes administrations qui auraient, en principe, adopté le système des positions.
Dans les cas où la sélection exerce une réelle fonction discriminante, il reste à vérifier si elle conduit vraiment à la désignation du candidat le plus apte par rapport aux fonctions à exercer. Est-elle à l'abri de l'influence politique ou syndicale, n'avantage-t-elle pas trop les candidats qui ont un comportement traditionnel ; les épreuves concordent-elles avec le profil des fonctions ? En tout cas, dans la plupart des pays, le régime juridique de la fonction publique ne permet guère de corriger ou d'adapter le système de sélection rapidement, au gré de l'expérience ou des circonstances.
En matière de formation et de perfectionnement, il ressort de l'ensemble des réponses reçues que plus nulle part on ne considère que l'intelligence, la culture et quelques techniques apprises sur le tas suffisent à l'exercice efficace des fonctions publiques, même les moins spécialisées. La formation antérieure à l'entrée en fonctions, à l'origine de la carrière ou pendant les premières années de celle-ci, se développe dans tous les pays. Là où cette formation était au départ essentiellement juridique, elle porte maintenant de plus en plus sur des matières financières, économiques et sociales, sur les procédés scientifiques et techniques de gestion et sur les aspects psycho-sociaux des organisations. Là où le droit était plutôt négligé — en Grande-Bretagne par exemple — on commence à l'introduire dans les programmes de formation initiale.
Cette « technicisation » des fonctionnaires généralistes s'accompagne de l'introduction d'un nombre sans cesse accru de spécialistes de tous ordres (ingénieurs, médecins, statisticiens, informaticiens, analystes, etc.). Cette tendance indique que les fonctions publiques se diversifient de plus en plus mais que la spécialisation devient telle que des tâches toujours plus nombreuses doivent tout de même être confiées à des titulaires spécifiquement recrutés ou sélectionnés à cet effet.
La politique de perfectionnement en cours de carrière peut ainsi prendre plusieurs orientations selon les options retenues au niveau de la politique générale du personnel.
Les activités actuelles de perfectionnement se présentent comme une gamme de possibilités, comportant parfois même des paris sur l'avenir, qu'il importe encore de valoriser par une politique d'ensemble plus cohérente.
Ceci explique en partie pourquoi aucun des pays interrogés n'a établi un lien contraignant ou même étroit entre le perfectionnement et les promotions dans la carrière.
Pour les niveaux supérieurs, nous remarquons depuis quelques années, dans plusieurs pays, l'expansion de la formation au management, dans le but de mieux préparer les fonctionnaires aux tâches de direction.
Ces cycles, souvent résidentiels, visent certes un complément de connaissances (techniques modernes de gestion, environnement politique, social et économique) mais tendent aussi à développer des capacités concrètes (conduite des hommes, conduite de réunions, travaux d'équipe, techniques de communication, approche de problèmes complexes) et ambitionnent parfois de faire évoluer les attitudes (par exemple à réduire la résistance au changement).
Une toute autre finalité préside aux opérations de recyclage et de reconversion, nécessitées par les progrès scientifiques et techniques.
D'un tout autre ordre encore sont les initiatives de perfectionnement qui accompagnent la politique de promotion sociale. Ici, l'épanouissement de l'homme prend le pas sur l'intérêt immédiat du service. Une telle politique est poursuivie dans la plupart des pays ; elle s'applique au secteur public comme au secteur privé.
Il reste à l'administration de la fonction publique à veiller à harmoniser au mieux cette forme de perfectionnement personnel avec ses propres objectifs de perfectionnement et avec les disponibilités en temps dont disposent les agents pour suivre l'un et/ou l'autre de ces enseignements.
De toutes façons, des enquêtes plus fouillées s'imposent, notamment sur les programmes et leur efficacité, sur les motivations des fonctionnaires, sur les corrections à apporter au système de la carrière pour favoriser le perfectionnement dans des spécialités non durables et sur la part du temps qui doit économiquement être consacré au perfectionnement plutôt qu'au travail.