Converging forces for change reflect the increasing dependence of most museums on public participation and support, as well as the rising scholarly, curatorial, and exhibition standards expected of them. Museums accordingly cannot escape, and instead are tending to become a focus for some of the multicultural divisions and tensions that are characteristic of our times. The role of institutional authority and expertise is an increasingly contingent and contested one, not only among sponsoring bodies and specialists but necessarily also shared with many contending public interests and constituencies. The ends of widening public education and cultural enrichment are best served by recognizing the diverse audiences and many legitimate aspirations and interests that museums can help to meet in a broad array of alternate ways.
The Confederate Graves Survey Archive of the Texas Division, Sons of Confederate Veterans consists of surveys of cemeteries throughout Texas, and portions of Oklahoma and New Mexico. The surveys document the interment of Confederate States of America military veterans. United States of America (Union) veterans, as well as able-bodied men at the time of the Civil War, are also documented. 13 boxes entitled "Grave Surveys" contain grave surveys listed county-by-county, 3 boxes of "Unit Files" list surveyed individuals by their military unit. Finally, 17 boxes contain "Veteran Files" that document each veteran by name in "last name, first name, middle initial" format. An index that cross-references each of the collection series (Grave Surveys, Unit Files, and Veteran Files) is included, as are institutions to surveyors on how and what to document while conducting surveys. ; Grave Survey Results: Marked Confederate: 0 , Marked Union: 0 , Able Bodied Men: 1 , I.D. Confederate: 1 , I.D. Union: 0 , Total Confederate: 1 , Total Union: 0 , Non-Veteran: 0 , Total Graves Surveyed: 1 , Total Veterans: 1
On the 13th century Hoysala style Vishnu temple in Mysore District. ; "Published under the authority of the Government of His Highness the Maharaja of Mysore." ; English and Sanskrit. ; Includes bibliographical references. ; On the 13th century Hoysala style Vishnu temple in Mysore District. ; Mode of access: Internet.
The concept of "religion" in Vietnam has long been linked directly with the discourse of state influence. This essay presents place-making practices at the Hùng Temple, exploring the manner in which certain apparatuses of the contemporary state exert control over the temple for the purpose of promoting a sense of nationalism. Drawing on chronological data from 1945 onward, this essay argues that the meaning of the Hùng Temple site has shifted from being known as a historical site of national origins to a spiritual power affecting the nation and people's lives in contemporary Vietnam.
Jack and Isabel Bain from Brisbane, Queensland, Australia did a nine month round the world post retirement trip in 1966. The Sri Mariamman Temple (Tamil: ஸ்ரீ மாரியம்மன் கோவில்) is Singapore's oldest Hindu temple. It is an agamic temple, built in the Dravidian style. Located at 244 South Bridge Road, in the downtown Chinatown district, the temple serves the majority Hindu Singaporeans, Tamilians, in the city-state. Due to its architectural and historical significance, the temple has been gazetted a National Monument and is a major tourist attraction. Sri Mariamman Temple is managed by the Hindu Endowments Board, a statutory board under the Ministry of Community Development, Youth and Sports. The Sri Mariamman Temple was founded in 1827 by Naraina Pillai, eight years after the East India Company established a trading settlement in Singapore. Pillai was a government clerk from Penang who arrived in Singapore with Sir Stamford Raffles on his second visit to the island in May 1819. Pillai went on to set up the island's first construction company, and also entered the textile trade. He rapidly established himself in business and was identified as a leader of the Indian community. (Wikipedia)
Résumé Quels rapports y a-t-il entre des écrits ésotériques et des actes de sang, en l'occurrence des suicides collectifs ? Quels effets concrets, les idées abstraites ? Question morale (celle de « la responsabilité de l'écrivain »), mais aussi typiquement médiologique (« l'efficacité symbolique »). C'est pourquoi il a paru opportun de publier une réponse apportée à la demande de maître Szpiner, dans l'affaire, jugée en appel, du Temple solaire (Grenoble, juin 2005). Paris, le 4 juin 2004
Conservé au "Metropolitan Museum de New York", le temple de Dendour est un véritable "rescapé" qui a traversé les affres du temps mais aussi la menace du barrage d'Assouan. Découvrons un petit temple qui ne manque pas d'intérêt! Le temple est parfois désigné par le vocable « chapelle » à cause de ses petites dimensions. Edifié en Nubie sous l'empereur Octave-Auguste, ce chef d'œuvre fut offert aux Etats-Unis par le gouvernement égyptien afin de remercier les Américains de l'aide prodiguée à la fois dans la sauvegarde du patrimoine pharaonique mais, aussi, officieusement, sur la scène politique ( envois massifs de nourriture, d'équipements militaire et hospitalier par navires entre 1959 et 1966 ). Par conséquent, aujourd'hui, le temple de Dendour est un des fleurons des collections du Metropolitan Museum of Arts. Il est exposé dans l'aile Sackler sous une verrière, baigné par les rayons solaires, recréant un peu l'atmosphère de sa lointaine contrée d'origine. Quelques palmiers, au charme désuet, garnissent sa salle d'exposition, suggérant peut-être avec nostalgie l'écrin de verdure de la zone fertile qui le vit s'élever au temps des premiers Césars.
Conservé au "Metropolitan Museum de New York", le temple de Dendour est un véritable "rescapé" qui a traversé les affres du temps mais aussi la menace du barrage d'Assouan. Découvrons un petit temple qui ne manque pas d'intérêt! Le temple est parfois désigné par le vocable « chapelle » à cause de ses petites dimensions. Edifié en Nubie sous l'empereur Octave-Auguste, ce chef d'œuvre fut offert aux Etats-Unis par le gouvernement égyptien afin de remercier les Américains de l'aide prodiguée à la fois dans la sauvegarde du patrimoine pharaonique mais, aussi, officieusement, sur la scène politique ( envois massifs de nourriture, d'équipements militaire et hospitalier par navires entre 1959 et 1966 ). Par conséquent, aujourd'hui, le temple de Dendour est un des fleurons des collections du Metropolitan Museum of Arts. Il est exposé dans l'aile Sackler sous une verrière, baigné par les rayons solaires, recréant un peu l'atmosphère de sa lointaine contrée d'origine. Quelques palmiers, au charme désuet, garnissent sa salle d'exposition, suggérant peut-être avec nostalgie l'écrin de verdure de la zone fertile qui le vit s'élever au temps des premiers Césars.
"Inscriptions relating to the Kesava temple at Belur": p. [27]-38 in Sanskrit or Kannada (Devanagari script). ; "Published under the authority of the Government of His Highess the Maharaja of Mysore." ; Includes bibliographical references. ; Mode of access: Internet.
Le temple de Po Klong Garai au Vietnam Le dossier épigraphique Par Anne-‐Valérie SCHWEYER Chercheure au CASE-‐CNRS Le temple de Po Klong Garai se trouve dans la province de Ninh Thuận dans le sud du Vietnam. Installé au sommet d'une colline, il est visible de loin et appartient au paysage local. Aujourd'hui, il est le siège de cérémonies qui perpétuent la tradition came. Les montants de la porte d'entrée du temple portent de longues inscriptions qui ont été partiellement lues par des philologues français à la fin du XIXe siècle (Bergaigne 1888, Aymonier 1891). Cet article propose une lecture complète de ces inscriptions, leur translittération, leur traduction et des éléments de compréhension dans leur contexte historique. Nous verrons que ces textes développent considérablement le vocabulaire géographique de l'ancien Campā, avec, d'un côté, les termes qui concernent l'occupation et la mise en valeur du territoire (villages, lieux de culte à des divinités, routes, canaux, rizières, vergers et jardins) et, de l'autre côté, la nature omniprésente (fleuves, forêt, dune, mont, étang). Ils sont un témoignage vivant, un cliché qui donne une idée de la richesse locale à une époque précise. Le contenu de ces inscriptions est très inhabituel dans le corpus des inscriptions du Campā par ses descriptions cadastrales du territoire. L'organisation territoriale des donations à Jaya Siṅhavarmmaliṅgeśvara permet une meilleure connaissance des relations économiques et sociales sous le roi Jaya Siṅhavarman, vers la fin du XIIIe siècle. 1. Les inscriptions du temple Les inscriptions en cam se développent sur les deux piédroits de la porte extérieure de la tour principale, ainsi que sur les deux piédroits de la porte intérieure. Elles ont été classifiées par Coedès (1923 1) dans son Inventaire des inscriptions du Campa de la manière suivante :-‐ C.8. les inscriptions du piédroit Sud de la porte extérieure se développent sur trois faces ; C.8 face A, au centre du piédroit, porte deux lignes d'imprécations suivies de 40 lignes de texte ; C.8 face B, à l'extérieur du piédroit, porte 42 lignes de texte ; C.8 face C, à l'intérieur du piédroit, porte 41 lignes de texte.-‐ C.9. Les inscriptions du piédroit Nord de la porte extérieure se développent également sur trois faces ;C.9 face A, au centre du piédroit, porte 42 lignes du texte ; C.9 face B, à l'extérieur du piédroit, porte 43 lignes de texte ; C.9 face C, à l'intérieur du piédroit, porte de 41 lignes de texte.-‐ C.10. Le piédroit Sud de la porte intérieure présente une inscription de 39 lignes de cam.-‐ C.11. le piédroit Nord de la porte intérieure présente une inscription de 12 lignes de cam. 1 Dans cet inventaire, chaque inscription reçoit un numéro unique C. + un nombre (C.=Campā). 2 2. Le roi Jaya Siṅhavarman Ce très long texte a été inscrit sur les ordres du roi cam Jaya Siṅhavarman, pendant son règne. Il détaille les donations faites par le roi à la divinité principale du temple, le dieu Jaya Siṅhavarmmaliṅgeśvara, apparemment un liṅga du dieu Śiva. Il ne porte aucune date précise. Le roi Jaya Siṅhavarman est également reconnu par son nom princier, Harijit, et il est le fils aîné du roi Indravarman et de la reine Gaurendralakṣmī. Apparemment, il serait originaire d'un lieu appelé humā virān manrauṅ (« des terres du Nord au Sud »), lieu mentionné également en C.180 A, l. 1 à Po Nagar de Nha Trang. Mais la formulation trop vaste ne permet aucune conclusion. Le roi est connu par d'autres inscriptions :-‐ Deux inscriptions (C.32 et C.180) se trouvent sur le site de Po Nagar à Nha Trang. C.32 décrit des donations faites à la grande déesse du lieu, Bhagavatī Kauṭhāreśvarī (Aymonier 1891 : 60-‐62). Même si l'inscription n'a pas été pleinement déchiffrée, on peut y lire des donations en terres, en objets rituels et même en animal (un éléphant mâle) qui unissent les noms de Jaya Siṅhavarman et de son père, Jaya Indravarman. C.180 mentionne la donation d'un dais par le prince Harjit, fils du roi Indravarman, à la même déesse en 1200 śaka, soit 1278/79 EC (ECIC III 2008-‐9 : 464). Il est alors qualifié de « demi-‐roi » (arddharāja), probablement associé au pouvoir royal par son père.-‐ Une inscription (C.116) provient des hauts plateaux, sur le site de Yang Prong « le grand génie » (Parmentier 1909 : 557-‐559), près du village de Tali, dans la province de Đắk Lắk (Maître 1906 : 342-‐4 et fig. 4). D'après une lecture inédite (Finot 1904 : 534), le temple aurait été érigé par le prince Harijit, alors qu'il était retiré avec ses armées pour échapper aux invasions mongoles en 1283-‐1284. Plus tard, en tant que roi, Jaya Siṅhavarman va offrir un mukhaliṅga à la divinité, appelée Jaya Siṅhavarmmaliṅgeśvara. A cette époque le roi cam Indravarman règne et il associe son fils, le prince Harijit, aux actions contre les Mongols. Ce mukhaliṅga était encore en place à la fin du XIXe siècle, où il a été vu par Odend'hal (BEFEO 1904 : 534 et Parmentier 1909 : 558 fig. 128). L'inscription de Po Sah (C.22) dans l'ancien Pāṇḍuraṅga, l'actuelle province de Ninh Thuận, demeure encore inédite. D'après une lecture d'Aymonier (1891 :62-‐65 et 1911 : 5-‐11), le prince dédicataire de la stèle est le fils du roi Jaya Siṅhavarman et d'une reine « de Java » ; il est né en 1196 śaka, soit 1274/75 EC. Il est associé au pouvoir royal par son père en 1222 śaka, soit 1300/1301 EC. La dernière date mentionnée dans l'inscription, 1228 śaka, soit 1306/1307 EC, se trouve dans un contexte trop perturbé pour être exploitable. Il faut cependant noter que cette dernière date correspond à la date connue de la mort du roi Jaya Siṅhavarman, son père. Le roi Jaya Siṅhavarman a joué un rôle essentiel dans la lutte contre les Mongols dans le dernier quart du XIIIe siècle. Selon l'étude de Vũ Hồng Liên (SOAS PhD 2009), il a dû faire face aux attaques de l'empereur Kublai Khan (1260-‐1294 EC), lors de ses agressions répétées pour envahir le Đại Việt et le Campā. Il semble avoir été à la fois un grand guerrier et un bon diplomate ; d'une part, parce qu'il a pu limiter la destruction de son pays en évitant l'affrontement avec les troupes mongoles en 1283-‐1284, et d'autre part, en scellant ses bonnes relations avec ses partenaires politiques et commerciaux par des mariages. C'est ainsi qu'il a épousé une princesse « de Java » dont il aurait eu un fils en 1274/75 EC. C'est aussi pour célébrer le retour de bonnes relations avec le Đại Việt qu'il épouse en 1306 la princesse Trần Huyền