Israël et le terrorisme: Terrorisme, terrorismes
In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 54, Heft 3, S. 111-120
ISSN: 2102-5991
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In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 54, Heft 3, S. 111-120
ISSN: 2102-5991
International audience ; Si le terme « terrorisme » renvoie à l'un des paradigmes les plus évoqués pour définir les problématiques de sécurité des États à l'échelle nationale et internationale, force est de constater que sa définition reste toujours aussi délicate sur le plan épistémologique, juridique et politique. Le terrorisme représente un objet d'analyse si hétérogène qu'il donne lieu à des spéculations, voire à des impasses analytiques (Derrida et Habermas : 2004).
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International audience ; Si le terme « terrorisme » renvoie à l'un des paradigmes les plus évoqués pour définir les problématiques de sécurité des États à l'échelle nationale et internationale, force est de constater que sa définition reste toujours aussi délicate sur le plan épistémologique, juridique et politique. Le terrorisme représente un objet d'analyse si hétérogène qu'il donne lieu à des spéculations, voire à des impasses analytiques (Derrida et Habermas : 2004).
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In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 102, Heft 3, S. 9-12
ISSN: 2102-5991
Un des paradoxes majeurs du terrorisme réside dans l'écart abyssal existant entre les logiques de ses modalités d'action, toujours à peu près les mêmes à travers le temps et l'espace, et ses racines sociologiques multiples et changeantes selon les séquences historiques dans lesquelles il fait irruption...
In: Collection Dikè
Intro -- Préface -- Construire une digue contre le terrorisme -- Introduction -- Le but du terrorisme est de détruire ou d'instituer le chaos dans une société -- Chapitre 1 -- Internet, moyen d'action sur le vecteur technique et sur le vecteur humain du terrorisme -- Définitions -- Les moyens d'action du terrorisme avec le levier numérique -- Les jeux -- Les réseaux sociaux -- Le cybersexe : une pompe à financement des entreprises cyberterroristes ? -- Chapitre 2 -- Cybermenaces : quand l'addiction à Internet devient l'outil de la manipulation des esprits -- Guerre virtuelle ou réelle transformée en scène de jeu vidéo ? -- Des techniques de recrutement sectaires : sidérer, fasciner, utiliser l'homme à dessein de terroriser la société -- Chapitre 3 -- Une réelle menace à l'échelle internationale -- Les installations industrielles : l'exemple du nucléaire -- Les Nations unies -- La formation des diplomates -- L'Union européenne -- La convention de l'Union Africaine ne fait pas allusion au terrorisme -- Chapitre 4 -- Des remèdes nationaux au cyberterrorisme aux formules disparates -- Les réactions radicales : Russie, Chine, Corée du Sud -- La Russie -- La Corée et la Chine : la « grande muraille pare-feu » -- Les pays dominés par la loi coranique -- Aux États-Unis, le Patriot Act et Guantanamo : une réaction suffisante et satisfaisante ? -- FRENCHELON : quelle efficacité pour un Patriot Act à la française ? La tentation du totalitarisme pour établir un ordre après le chaos -- Chapitre 5 -- Formez vos bataillons numériques -- Les textes protecteurs -- Dispositions particulières en cas de terrorisme et actes de terrorisme -- L'État d'urgence -- L'élargissement de l'assignation à résidence -- Le recours au bracelet électronique -- L'interdiction de sites et réseaux sociaux.
It is increasingly common to claim that terrorism is different from other bad things, such as crime, because it is essential to prevent terrorism, rather than simply to hunt down and punish its perpetrators. For example, Jacqui Smith, the Home Secretary, maintains that 'In many respects, counter-terrorism work is distinctive in nature and not like other areas of law enforcement. The work of our security and intelligence agencies is, of necessity, covert….We depend on the police and Security Service to identify these individuals before their plans come to fruition, to stop an attack from happening. This contrasts with the majority of police investigations, which happen after the crime has taken place'. I think we should treat such claims about the exceptionalism of terrorism with care, not because terrorism isn't sui-generis in important ways, but because the ways in which it is exceptional are likely to depend on how one understands other bad things, such as war, crime or illness. Hence, the exceptional features of terrorism are likely to prove matters of degree, rather than kind. For all great evils, including crime, prevention is preferable to redress. We should therefore prioritise the prevention of murder, rape, corruption, fraud, the spread of Aids or cancer over post-hoc efforts at redress, important though these are, because such things ruin people's lives and destroy societies, whether or not they are also meant to terrorise.
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In: Sécurité globale, Band 18, Heft 2, S. 5-13
ISSN: 2271-2194
In: Outre-terre: revue française de géopolitique, Band 51, Heft 2, S. 197-201
ISSN: 1951-624X
In: Négociations, Band 11, Heft 1, S. 105
ISSN: 1782-1452
International audience ; Le terrorisme, aux formes et modalités diverses, est l'usage prémédité d'une violence en vue d'obtenir des objectifs politiques par l'intimidation ou la terreur. Il prend ses sources dans la philosophie, la religion, la politique ou les conditions économiques. L'analyse du coût de l'attentat du 11 septembre 2001 est complexe, voire impossible, car les impacts économiques de l'action ne sont pas les mêmes à court et à long terme ; en outre, les effets indirects de l'attentat dépendent des choix de l'action gouvernementale et des réactions du secteur privé. Le terrorisme conduit à une évolution des stratégies militaires, lesquelles auront des incidences sur les alliances, les réponses aux menaces, le coût du pétrole, la lutte contre les inégalités, l'aide aux pays les plus démunis et la confiance générale des opérateurs économiques et sociaux.
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International audience ; Le terrorisme, aux formes et modalités diverses, est l'usage prémédité d'une violence en vue d'obtenir des objectifs politiques par l'intimidation ou la terreur. Il prend ses sources dans la philosophie, la religion, la politique ou les conditions économiques. L'analyse du coût de l'attentat du 11 septembre 2001 est complexe, voire impossible, car les impacts économiques de l'action ne sont pas les mêmes à court et à long terme ; en outre, les effets indirects de l'attentat dépendent des choix de l'action gouvernementale et des réactions du secteur privé. Le terrorisme conduit à une évolution des stratégies militaires, lesquelles auront des incidences sur les alliances, les réponses aux menaces, le coût du pétrole, la lutte contre les inégalités, l'aide aux pays les plus démunis et la confiance générale des opérateurs économiques et sociaux.
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International audience ; Le terrorisme, aux formes et modalités diverses, est l'usage prémédité d'une violence en vue d'obtenir des objectifs politiques par l'intimidation ou la terreur. Il prend ses sources dans la philosophie, la religion, la politique ou les conditions économiques. L'analyse du coût de l'attentat du 11 septembre 2001 est complexe, voire impossible, car les impacts économiques de l'action ne sont pas les mêmes à court et à long terme ; en outre, les effets indirects de l'attentat dépendent des choix de l'action gouvernementale et des réactions du secteur privé. Le terrorisme conduit à une évolution des stratégies militaires, lesquelles auront des incidences sur les alliances, les réponses aux menaces, le coût du pétrole, la lutte contre les inégalités, l'aide aux pays les plus démunis et la confiance générale des opérateurs économiques et sociaux.
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Le terrorisme n'existe pas : ou plus exactement, ce n'est pas un concept utilisable par les sciences sociales et la stratégie. En revanche l'usage du terme a une forte signification politique. Pour expliquer ce paradoxe apparent, il est nécessaire d'analyser les usages du terme terrorisme et leurs implications. Nous qu'adversaires en présence comme tiers, victimes, font du terrorisme une forme de conflit spécifique qui aurait sa propre unité et qui pourrait être analysé selon une grille de lecture géopolitique à travers le monde. Pourtant la diversité des logiques conflictuelles, des modalités d'action, des formes sociologiques d'insertion dans les sociétés et entre les États, empêchent semble-t-il de conserver le terme et de l'élever au niveau d'un concept ou même d'une notion commode. Loin d'expliquer, le terme de terrorisme embrouille les situations, les "polémisent" et doit être remplacé par d'autres notions qui, elles, permettront de mieux comparer et cartographier des phénomènes de violence politique recouverts par ce vocable (.).
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Le terrorisme n'existe pas : ou plus exactement, ce n'est pas un concept utilisable par les sciences sociales et la stratégie. En revanche l'usage du terme a une forte signification politique. Pour expliquer ce paradoxe apparent, il est nécessaire d'analyser les usages du terme terrorisme et leurs implications. Nous qu'adversaires en présence comme tiers, victimes, font du terrorisme une forme de conflit spécifique qui aurait sa propre unité et qui pourrait être analysé selon une grille de lecture géopolitique à travers le monde. Pourtant la diversité des logiques conflictuelles, des modalités d'action, des formes sociologiques d'insertion dans les sociétés et entre les États, empêchent semble-t-il de conserver le terme et de l'élever au niveau d'un concept ou même d'une notion commode. Loin d'expliquer, le terme de terrorisme embrouille les situations, les "polémisent" et doit être remplacé par d'autres notions qui, elles, permettront de mieux comparer et cartographier des phénomènes de violence politique recouverts par ce vocable (.).
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