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"Kamandaki's Nītisāra, or The Essence of Politics, redefined the field of political thought in early medieval India and became one of the most influential works in the genre across South and Southeast Asia. It was likely written during or shortly after the Gupta Empire (c. 325-550 C.E.) and enjoyed wide popularity for nearly a millennium. An elegant introduction to the intricacies of statecraft, The Essence of Politics encompasses virtually all aspects of elite social life, making it indispensable for generals, spies, ministers, and other members of the royal court, especially poets writing about war and conquest. Addressed directly to the king, its lessons range from the finer points of military strategy and economic policy to the moral qualities of effective rulers. Kamandaki anchors political practice in intellectual and spiritual discipline. His model of leadership, based on self-control and personal cultivation, is as relevant today as it was in its own time. The Sanskrit text, presented here in the Devanagari script, accompanies a new English prose translation"--

"En face d'un événement extraordinaire qui provoque l'étonnement, un Occidental dit : "qu'est-ce que c'est ?", et un Luba : "qui fait cela ?". Quand quelqu'un fait une chute, un Occidental dit : "Je suis tombé", tandis qu'un Luba dit : "On m'a jeté par terre". Derrière un événement, il n'y a pas de cause impersonnelle mais une intention personnelle. Cette idée est l'une des caractéristiques de la foi en la sorcellerie en milieu luba. La résurgence de la croyance en la sorcellerie ces dernières décennies, aussi bien en RDC qu'ailleurs en Afrique, exige une réflexion critique qui, démasquant l'obscurantisme entourant ce phénomène, libère l'homme africain de cette emprise. Postulant que le Buloji-Mupongo, ou la sorcellerie en milieu luba, suppose l'utilisation des connaissances de la nature et de ses potentialités, et aussi le déploiement d'une activité invisible basée sur une conception spéciale de l'être, cet essai offre les jalons d'une véritable déconstruction de la croyance en la sorcellerie."--Page 4 of cover