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Dans le langage courant, le terme immigré est associé mentalement à la notion d'étranger. Aussi, les expressions taux de chômage des immigrés et taux de chômage des étrangers sont perçues comme synonymes. Pourtant, la catégorie des étrangers, à partir de laquelle sont établies les statistiques officielles, ne recouvre que partiellement celle des immigrés. Cette confusion de sens n'est pas sans conséquences, précisément sur un sujet aussi polémique que le chômage des immigrés, où les données chiffrées font l'objet d'interprétations multiples susceptibles de corroborer toute thèse et son contraire, mais dissimulant les réalités socio-économiques de ces populations.

[p. 2] ; column 1 ; 20 ¾ col. in. ; There are many strange stories about the Mormons and their immoral creed. Among these stands a description of a legislative ball from the Deseret News and an excerpt from a speech by Brigham Young about why he dances. "It is fortunate, perhaps, for the United States that this leaven of error and immortality is not geographically central."

The goal of this article is to describe Usage-Based Instruction (UBI), an innovative approach to teaching interpersonal communication in foreign languages. The UBI was inspired by Usage-Based view of language shared by such disciplines as Cognitive Linguistics, Cognitive Psychology, Construction Grammar, Usage-Based Grammar, and Artificial Intelligence. This approach has been used for a number of years by the Foreign Language Program at a small private Mid-Western university in teaching students to orally communicate in foreign languages in beginning foreign language courses. Students taught by the UBI demonstrate better performance, higher fluency, better accuracy and greater language gain than students taught by a more conventional, textbook-approach. In addition to this, they are more engaged in the learning process and consequently are more motivated to continue foreign language study.

The report contains the results of a research project conducted in 2009 at the university Charles-de-Gaulle Lille 3. The objective of the project: evaluate the results of the policy of open repositories in France. The 2nd part of the report contains a state of the art on the analysis of usage statistics of open archives and produces some figures on French open archives, based on data collected on line, on different web sites. The survey is followed by a case study, a log file analysis of the institutional repository IRIS from the university of Lille 1. ; Le rapport présente les résultats d'un projet de recherche mené en 2009 à l'université Charles-de-Gaulle Lille 3. L'objectif du projet : évaluer les résultats de la politique en faveur des archives ouvertes en France. La 2e partie du rapport intitulé « Usage » contient un état de l'art de l'analyse des statistiques d'utilisation des archives ouvertes et fournit quelques éléments chiffrés sur les archives ouvertes en France, à partir de données collectées en ligne sur plusieurs sites. L'enquête est suivie d'une étude de cas, l'analyse des fichiers log de l'archive institutionnelle IRIS de l'université Lille 1.

The report contains the results of a research project conducted in 2009 at the university Charles-de-Gaulle Lille 3. The objective of the project: evaluate the results of the policy of open repositories in France. The 2nd part of the report contains a state of the art on the analysis of usage statistics of open archives and produces some figures on French open archives, based on data collected on line, on different web sites. The survey is followed by a case study, a log file analysis of the institutional repository IRIS from the university of Lille 1. ; Le rapport présente les résultats d'un projet de recherche mené en 2009 à l'université Charles-de-Gaulle Lille 3. L'objectif du projet : évaluer les résultats de la politique en faveur des archives ouvertes en France. La 2e partie du rapport intitulé « Usage » contient un état de l'art de l'analyse des statistiques d'utilisation des archives ouvertes et fournit quelques éléments chiffrés sur les archives ouvertes en France, à partir de données collectées en ligne sur plusieurs sites. L'enquête est suivie d'une étude de cas, l'analyse des fichiers log de l'archive institutionnelle IRIS de l'université Lille 1.

Nos sociétés compromettent de nombreuses manières l'environnement légué aux futures générations. L'une d'entre elles est la surexploitation des ressources de notre planète. Les solutions ne sont pas évidentes, car les ressources expriment des rapports de pouvoir non seulement avec la matière, mais aussi avec les hommes pour lesquels cette matière est un enjeu. Cette contribution tente d'éclairer les arbitrages en matière de gestion des ressources, à partir d'une réflexion sur la notion même de ressource. Tout d'abord, la distinction entre ressources renouvelables et non-renouvelables ne va pas de soi. Les ressources renouvelables ne le sont pas à l'infini. Il existe toujours une limite ; celle de la vitesse de renouvellement. À l'inverse, la notion de ressource de non-renouvelable traduit une fausse idée d'irréversibilité : à l'échelle des temps géologiques le pétrole est, par exemple, tout à fait renouvelable. Cela signifie que réversibilité et irréversibilité se jouent à l'échelle de l'histoire de sociétés humaines et des possibilités la projection de l'homme dans l'avenir. L'inventaire des ressources est, en outre, évolutif. Un changement d'usage, un rapport nouveau à la matière, induit l'apparition de nouvelles ressources, la disparition d'autres devenues inutiles, des inflexions. Quel sens y a-t-il à préserver des ressources pour des générations futures, si nous ne pouvons déterminer celles qui seront indispensables ? Ne risque-t-on pas de préserver des biens qui demain ne serviront plus, quitte à détruire aujourd'hui, sans nous en rendre bien compte, ceux de demain ? Dit rapidement : à quoi serviraient des gisements de silex aujourd'hui ? Étrange posture qui prétend orienter le devenir de l'humanité d'une manière somme toute fort dirigiste. Enfin, tous les objets de l'environnement ne sont pas présents comme ressources. L'environnement, loin d'une transcendance s'imposant d'elle-même, est construit par les sociétés. Si les écosystèmes existent per se, avec leurs flux de matière, d'énergie et d'information ...

Nos sociétés compromettent de nombreuses manières l'environnement légué aux futures générations. L'une d'entre elles est la surexploitation des ressources de notre planète. Les solutions ne sont pas évidentes, car les ressources expriment des rapports de pouvoir non seulement avec la matière, mais aussi avec les hommes pour lesquels cette matière est un enjeu. Cette contribution tente d'éclairer les arbitrages en matière de gestion des ressources, à partir d'une réflexion sur la notion même de ressource. Tout d'abord, la distinction entre ressources renouvelables et non-renouvelables ne va pas de soi. Les ressources renouvelables ne le sont pas à l'infini. Il existe toujours une limite ; celle de la vitesse de renouvellement. À l'inverse, la notion de ressource de non-renouvelable traduit une fausse idée d'irréversibilité : à l'échelle des temps géologiques le pétrole est, par exemple, tout à fait renouvelable. Cela signifie que réversibilité et irréversibilité se jouent à l'échelle de l'histoire de sociétés humaines et des possibilités la projection de l'homme dans l'avenir. L'inventaire des ressources est, en outre, évolutif. Un changement d'usage, un rapport nouveau à la matière, induit l'apparition de nouvelles ressources, la disparition d'autres devenues inutiles, des inflexions. Quel sens y a-t-il à préserver des ressources pour des générations futures, si nous ne pouvons déterminer celles qui seront indispensables ? Ne risque-t-on pas de préserver des biens qui demain ne serviront plus, quitte à détruire aujourd'hui, sans nous en rendre bien compte, ceux de demain ? Dit rapidement : à quoi serviraient des gisements de silex aujourd'hui ? Étrange posture qui prétend orienter le devenir de l'humanité d'une manière somme toute fort dirigiste. Enfin, tous les objets de l'environnement ne sont pas présents comme ressources. L'environnement, loin d'une transcendance s'imposant d'elle-même, est construit par les sociétés. Si les écosystèmes existent per se, avec leurs flux de matière, d'énergie et d'information ...

The data for this project come from a web survey among smartphone users 18 years and older who live in Germany. Respondents were recruited from the German nonprobability online panel of Dynata.



In January of 2020, members of the online panel were invited through a survey-router system, and 3,350 people started the survey. Only smartphone owners were able to proceed to the main questionnaire, and quotas for gender, age, and frequency of smartphone usage were employed to generate a sample with sufficient diversity. Of the panel members who started the survey, 669 were screened out because of the quotas, because they reported not owning a smartphone, or because they did not live in Germany. Of the 2,681 remaining respondents, 156 did not complete the survey (5.8%), and 2,525 respondents completed the questionnaire.



The questionnaire included items on smartphone use and skills as well as sleep behavior, physical activity, and mobility. The questionnaire was programmed in EFS Survey. Respondents could complete the questionnaire on a PC, tablet or smartphone; 36 percent of the respondents completed the questionnaire on a smartphone. The median time for completing the questionnaire was 6 minutes and 48 seconds.