Weibliche Genitalverstümmelung (FGM) im Senegal
In: Menschenrechte 46
In: Human rights 46
In: Droits de l'homme 46
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In: Droits de l'homme 46
In: Menschenrechte 40
In: Human rights 40
In: Droits de l'homme 40
In: Ergebnisse der Frauenforschung 23
In: Ergebnisse der Frauen- und Geschlechterforschung (Neue Folge) 12
In: Berichte des ... Schweizerischen Historikerinnentreffens 2
In: Itinera 2/3
In: Libelli Rhenani Bd. 37
This study deals with a little known tattooing tradition that was nevertheless practised since the Neolithic. A general definition of this practice is given by comparing anthropological, historical and ethnographical data. In ancient societies where city-state model was the predominant political form, female tattooing was absent. But it was found at their margins over a large portion of the Mediterranean hinterland. As a general rule, female tattooing appears in groups where physiological attributes (gender, age) strongly shape social roles and behaviours. Female tattooing reproduces the designs worn by mothers and grand-mothers. It is normative and, like pottery decoration, put the finishing touches to the physiological development of the girl who is now declared able to play her role of wife and mother. The aniconic, formal designs, deprived of any symbolic grammar, are imbued with aesthetic values related to welfare, the preservation and reproduction of life, eroticism and the performance of the sexual act. ; Dans les sociétés où le tatouage est institué, il est rare qu'il soit paritaire ; on le trouve généralement accordé soit au masculin soit au féminin. Dans le second cas de figure – de loin le plus fréquent – les femmes sont abondamment tatouées (tatouage couvrant) tandis que les hommes ne le sont pas, ou très peu et seulement dans un but thérapeutique ou prophylactique (petits traits ou points isolés). Cette situation a longtemps prévalu sur une large portion du pourtour méditerranéen en dehors (ou aux marges) des sociétés réalisant le modèle de la cité-État. En croisant les données archéologiques, historiques et ethnographiques (anciennes et pré-modernes), il est possible de dégager un certain nombre de caractères communs qui font du tatouage féminin une pratique relativement homogène du point de vue formel, fonctionnel et esthétique. Le décor tatoué est obtenu par répétition et concaténation d'éléments graphiques rudimentaires dans lesquels il n'y a pas lieu de reconnaître les unités d'un langage symbolique articulé. Le tatouage n'a pas la valeur d'un énoncé linguistique, mais il signifie en fonction d'un contexte social déterminé, une fois respectées certaines règles dont les deux principales sont : a) reproduire peu ou prou le décor des mères et des aïeules ; b) avoir reçu l'essentiel de sa parure tatouée avant les fiançailles ou le mariage. Le tatouage est ainsi en mesure de parachever le développement physiologique de la jeune fille en la déclarant prête à jouer son rôle d'épouse et de mère. Pour ce faire, les discours l'investissent de valeurs esthétiques liées au bien-être, à la préservation et à la reproduction de la vie, à l'érotisme et à l'accomplissement de l'acte sexuel.
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This study deals with a little known tattooing tradition that was nevertheless practised since the Neolithic. A general definition of this practice is given by comparing anthropological, historical and ethnographical data. In ancient societies where city-state model was the predominant political form, female tattooing was absent. But it was found at their margins over a large portion of the Mediterranean hinterland. As a general rule, female tattooing appears in groups where physiological attributes (gender, age) strongly shape social roles and behaviours. Female tattooing reproduces the designs worn by mothers and grand-mothers. It is normative and, like pottery decoration, put the finishing touches to the physiological development of the girl who is now declared able to play her role of wife and mother. The aniconic, formal designs, deprived of any symbolic grammar, are imbued with aesthetic values related to welfare, the preservation and reproduction of life, eroticism and the performance of the sexual act. ; Dans les sociétés où le tatouage est institué, il est rare qu'il soit paritaire ; on le trouve généralement accordé soit au masculin soit au féminin. Dans le second cas de figure – de loin le plus fréquent – les femmes sont abondamment tatouées (tatouage couvrant) tandis que les hommes ne le sont pas, ou très peu et seulement dans un but thérapeutique ou prophylactique (petits traits ou points isolés). Cette situation a longtemps prévalu sur une large portion du pourtour méditerranéen en dehors (ou aux marges) des sociétés réalisant le modèle de la cité-État. En croisant les données archéologiques, historiques et ethnographiques (anciennes et pré-modernes), il est possible de dégager un certain nombre de caractères communs qui font du tatouage féminin une pratique relativement homogène du point de vue formel, fonctionnel et esthétique. Le décor tatoué est obtenu par répétition et concaténation d'éléments graphiques rudimentaires dans lesquels il n'y a pas lieu de reconnaître les unités d'un langage ...
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"Il est des criminelles. Le constat seul mérite d'être rappelé, tant le crime semble parfois supposer le seul criminel. Les criminelles, nous en parlons, et ne cessons même d'en parler, jouant avec le fait divers comme avec les règles de la fiction, avec le récit comme avec le témoignage, avec la lettre comme avec l'image, dans la vie et sur la scène, renouvelant chaque fois nos hésitations et nos incertitudes : de nos criminelles, que faire et que dire? Car si notre culture des criminels s'appuie sur une sociologie qui assoit la place des hommes dans un crime devenu, chez Émile Durkheim, un 'phénomène normal', cette même sociologie rappelle depuis qu'elle s'y intéresse la sous-représentation des femmes au sein de la population criminelle. Ce régime d'exception n'empêche pas la multiplicité de figures désormais canoniques, de l'empoisonneuse à la femme fatale en passant par la faiseuse d'anges. La criminelle, aussi absente que protéiforme, occupe ainsi un champ à l'intersection du désir, de la transgression et du fantasme, favorisant la rencontre entre les lectures traditionnelles du féminin et les relectures renouvelées tant par le prisme du crime que par celui des théories du genre et des féminismes. La criminelle permet donc tout à la fois de penser le crime par le genre et d'interroger le genre dans le crime. Tel est l'élément structurant du présent ouvrage qui, tant dans la littérature que dans le cinéma, les arts de la scène ou la sociologie, s'engage sur les traces de personnages par lesquels une société se dédit, contredit ses discours, et se plaît à relativiser ses normes."--Back cover
In: Agora: débats, jeunesses, Band 34, Heft 1, S. 70-83
ISSN: 1968-3758
Der verweichlichte körper oder der maskierte tod
Die gängigen Bilder, die das Weibliche, die schöne, schlanke, sexy oder mütterliche Frau in den Modezeitschriften, Werbespots, Fernsehserien, usw darstellen, verhindern das Tödliche und das Verweichlichte, den Tod und das Weibliche im Gegensatz zur Männlichkeit gleichzeitig zu verbinden. Sie ermöglichen zwar den modernen Gesellschaften, ihren Mitgliedern eine friedliche und wohl geordnete Vision der Welt zu geben, um sie in ihrem Dasein zu beruhigen, aber diese hedonistischen Bilder, die auf Körperzurückhaltung beruhen, zwingen hingegen riesige Opfer auf für das Weibliche, das sich radikal im •Prozess der Verweichlichung" seines Aussehens und seiner Verhaltensweisen einfügt, um seine Geschlechtsidentität sozial zu beglaubigen, und zwar die eines jungen Mädchens.