La mondialisation avant la mondialisation
In: Sciences humaines: SH, Band 185, Heft 8, S. 9-9
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In: Sciences humaines: SH, Band 185, Heft 8, S. 9-9
In: La Revue du MAUSS, Band n o 20, Heft 2, S. 115-118
ISSN: 1776-3053
In: Relations internationales: revue trimestrielle d'histoire, Heft 124, S. 41-50
ISSN: 0335-2013
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 63, Heft 3, S. 549-610
ISSN: 0032-342X
World Affairs Online
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 65, Heft 3/4, S. 597-612
ISSN: 0032-342X
World Affairs Online
In: Relations internationales: revue trimestrielle d'histoire, Band 124, Heft 4, S. 41-50
ISSN: 2105-2654
Mondialisation économique et mondialisation politique depuis 1945 La mondialisation, multiplication des interdépendances de toutes sortes, contraction sans fin de l'espace et du temps, est une dynamique technico-économique. En même temps, parallèlement, se manifestent des formes de mondialisation politique : ainsi le projet onusien. Alors, quels liens entre l'économique et le politique ? Comme l'illustre le dernier tiers du XX e siècle, les grandes poussées de mondialisation sont dues à des facteurs technico-économiques, mais ceux-ci sont difficilement dissociables de l'esprit général de l'époque. Ces facteurs technico-économiques peuvent contribuer à remodeler le politique. Mais celui-ci constitue un niveau spécifique, autonome. La mondialisation technico-économique n'est portée par aucune finalité. Elle est toujours à la merci de l'imprévisible.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 66, Heft 3, S. 603-618
ISSN: 0032-342X
In: Relations internationales: revue trimestrielle d'histoire, Heft 124, S. 41-50
ISSN: 0335-2013
Globalization means multiplied interdependences of any kind, hugely shrinking space & time. Globalization is a technico-economic process. At the same time, forms of political globalization can develop: for instance, the United Nations scheme. Then what are the links between economics & politics? As suggested by the last third of XXth century, the big globalization thrusts stem from technico-economic factors, but those factors cannot be separated from the intellectual, spiritual climate of the moment. These factors may reshape politics. But politics remains a specific, an autonomous level. Globalization is not moved by any objective. At any time, it can be broken by the unforeseeable! References. Adapted from the source document.
In: Transfer: the European review of labour and research ; quarterly review of the European Trade Union Institute, Band 14, Heft 2, S. 367-368
ISSN: 1996-7284
In: Après-demain: journal trimestriel de documentation politique, S. 3-48
ISSN: 0003-7176
Effects of globalization on national economies, trade, communications, and international law; 24 articles. Some focus on conflicting interests in the European Union of policies in favor of a market economy and a liberal social policy; ways in which globalization can impede the free movement of persons and information.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 63, Heft 3, S. 567-586
ISSN: 0032-342X
In: Défense nationale et sécurité collective. [Französische Ausgabe], Band 62, Heft 7, S. 143-154
ISSN: 1950-3253, 0336-1489
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 66, Heft 3, S. 603-618
ISSN: 1958-8992
Les relations entre mondialisation et démocratie sont pour le moins ambiguës, d'autant quelles donnent souvent lieu à des analyses réduisant la seconde à la seule « démocratie de marché ». La démocratie a en effet deux dimensions : elle est à la fois procédure et culture. La mondialisation favorise sans doute le développement d'une démocratie mondiale en tant que procédure : élections libres et alternance politique sont devenues le modèle politique de référence. Mais ce mode de gouvernement n'est qu'une dimension de la démocratie, une condition nécessaire mais pas suffisante, car une véritable culture démocratique se construit sur le « temps long » et ne peut se limiter aux procédures électorales. À cet égard, le « temps mondial » pense la démocratie comme un phénomène anhistorique, un « espace de services à la carte » mis à disposition de chaque individu. La mondialisation tend ainsi à réduire la démocratie à une revendication exigible immédiatement, qui délégitime l'idée de la démocratie comme construction collective d'une nation, lente, singulière et complexe.
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 49, Heft 1, S. 181-188
« L'État est mort », la cause paraissait entendue. Les Américains avaient imposé la première mondialisation au monde. Les marchés allaient remplacer les États, l'autorégulation et la « bonne gouvernance » suffisant à assurer la normalisation d'un globe qui avait trouvé la quadrature de son cercle. La mondialisation a engendré sa propre criminalité et fourni elle-même le cadre d'une hyper-criminalisation et de l'hyper-terrorisme, révélé par les attentats du 11 septembre. La deuxième mondialisation, qui s'ouvre avec les nouvelles mesures de sécurité américaines, montre que tous les secteurs stratégiques sont dorénavant en voie de protection par des mécanismes identiques d'externalisation des normes américaines. Les États tiers restent toujours démunis face au processus de globalisation, mais ils sont dorénavant chargés d'assumer une partie des charges de sécurité des États-Unis.
In: Esprit, Band Mars, Heft 3, S. 37-47
Afin de rééquilibrer la mondialisation, il faut donner une voix égale au travail et au capital dans la définition des règles, renforcer les normes démocratiques nationales dans les accords internationaux, et favoriser la mobilité transfrontalière des travailleurs.