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Croyances et représentations enfantines du rêve
In: Enfance, Band 56, Heft 2, S. 149
ISSN: 1969-6981
Le rite et la croyance
In: Revue française de sociologie, Band 27, Heft 2, S. 231
des hommes et des lieux. politique locale et croyances politiques
La communication vise à mettre en perspective des données sociopolitiques tirées de deux enquêtes récentes consacrées à la perception qu'ont les individus de la politique. Les terrains portent sur des systèmes de représentation a priori très différents, avec d'un côté une étude microsociologique auprès des 400 habitants d'un village français (Octon, région Languedoc-Roussillon) et de l'autre des interviews sur l'histoire de vie d'une cinquantaine d'élites politiques dans une métropole italienne (Naples, région Campanie). Notre analyse n'entre donc pas dans les canons classiques de l'analyse comparative, qu'elle s'élabore sur la base d'une grande quantité de variables dont la collecte s'opère selon la même méthode, ou qu'elle fonctionne sur la base d'études primaires ou secondaires de données liées à un petit nombre de cas (Ragin 1996, Landman 2000, Négrier 2005). La combinaison à laquelle nous nous livrons prend au sérieux la variable dont nous entendons tester la prégnance dans l'analyse politique locale. La croyance, pensons-nous, n'est pas de ces indicateurs faciles à mettre en équation. Nous pourrions dire qu'elle participe des sciences humaines, au sens plein du terme, dans leur rapport au lieu du politique. Dès lors, c'est le dialogue entre deux terrains, assumés comme totalement hétérogènes, et non des unités et protocoles rigoureusement semblables, qui permettra ici de lever une partie du voile (ou du suaire) de la croyance en politique. Nous verrons, par incidence ici, et qui devrait être mieux développé par la suite, ce qu'une comparaison casuistique, entre lieux semblables (des métropoles, des villages), pourrait ajouter à notre analyse. Pour l'instant, disons que plutôt qu'une analyse comparative de stricte obédience, notre papier propose une analyse conjonctive, résultant du traitement conjoint d'une dimension dans deux protocoles de recherche distincts. Malgré ces difficultés méthodologiques, nous sommes parvenus à repérer des tendances communes, dans les témoignages recueillis, concernant la façon ...
BASE
des hommes et des lieux. politique locale et croyances politiques
La communication vise à mettre en perspective des données sociopolitiques tirées de deux enquêtes récentes consacrées à la perception qu'ont les individus de la politique. Les terrains portent sur des systèmes de représentation a priori très différents, avec d'un côté une étude microsociologique auprès des 400 habitants d'un village français (Octon, région Languedoc-Roussillon) et de l'autre des interviews sur l'histoire de vie d'une cinquantaine d'élites politiques dans une métropole italienne (Naples, région Campanie). Notre analyse n'entre donc pas dans les canons classiques de l'analyse comparative, qu'elle s'élabore sur la base d'une grande quantité de variables dont la collecte s'opère selon la même méthode, ou qu'elle fonctionne sur la base d'études primaires ou secondaires de données liées à un petit nombre de cas (Ragin 1996, Landman 2000, Négrier 2005). La combinaison à laquelle nous nous livrons prend au sérieux la variable dont nous entendons tester la prégnance dans l'analyse politique locale. La croyance, pensons-nous, n'est pas de ces indicateurs faciles à mettre en équation. Nous pourrions dire qu'elle participe des sciences humaines, au sens plein du terme, dans leur rapport au lieu du politique. Dès lors, c'est le dialogue entre deux terrains, assumés comme totalement hétérogènes, et non des unités et protocoles rigoureusement semblables, qui permettra ici de lever une partie du voile (ou du suaire) de la croyance en politique. Nous verrons, par incidence ici, et qui devrait être mieux développé par la suite, ce qu'une comparaison casuistique, entre lieux semblables (des métropoles, des villages), pourrait ajouter à notre analyse. Pour l'instant, disons que plutôt qu'une analyse comparative de stricte obédience, notre papier propose une analyse conjonctive, résultant du traitement conjoint d'une dimension dans deux protocoles de recherche distincts. Malgré ces difficultés méthodologiques, nous sommes parvenus à repérer des tendances communes, dans les témoignages recueillis, concernant la façon ...
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des hommes et des lieux. politique locale et croyances politiques
La communication vise à mettre en perspective des données sociopolitiques tirées de deux enquêtes récentes consacrées à la perception qu'ont les individus de la politique. Les terrains portent sur des systèmes de représentation a priori très différents, avec d'un côté une étude microsociologique auprès des 400 habitants d'un village français (Octon, région Languedoc-Roussillon) et de l'autre des interviews sur l'histoire de vie d'une cinquantaine d'élites politiques dans une métropole italienne (Naples, région Campanie). Notre analyse n'entre donc pas dans les canons classiques de l'analyse comparative, qu'elle s'élabore sur la base d'une grande quantité de variables dont la collecte s'opère selon la même méthode, ou qu'elle fonctionne sur la base d'études primaires ou secondaires de données liées à un petit nombre de cas (Ragin 1996, Landman 2000, Négrier 2005). La combinaison à laquelle nous nous livrons prend au sérieux la variable dont nous entendons tester la prégnance dans l'analyse politique locale. La croyance, pensons-nous, n'est pas de ces indicateurs faciles à mettre en équation. Nous pourrions dire qu'elle participe des sciences humaines, au sens plein du terme, dans leur rapport au lieu du politique. Dès lors, c'est le dialogue entre deux terrains, assumés comme totalement hétérogènes, et non des unités et protocoles rigoureusement semblables, qui permettra ici de lever une partie du voile (ou du suaire) de la croyance en politique. Nous verrons, par incidence ici, et qui devrait être mieux développé par la suite, ce qu'une comparaison casuistique, entre lieux semblables (des métropoles, des villages), pourrait ajouter à notre analyse. Pour l'instant, disons que plutôt qu'une analyse comparative de stricte obédience, notre papier propose une analyse conjonctive, résultant du traitement conjoint d'une dimension dans deux protocoles de recherche distincts. Malgré ces difficultés méthodologiques, nous sommes parvenus à repérer des tendances communes, dans les témoignages recueillis, concernant la façon ...
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des hommes et des lieux. politique locale et croyances politiques
La communication vise à mettre en perspective des données sociopolitiques tirées de deux enquêtes récentes consacrées à la perception qu'ont les individus de la politique. Les terrains portent sur des systèmes de représentation a priori très différents, avec d'un côté une étude microsociologique auprès des 400 habitants d'un village français (Octon, région Languedoc-Roussillon) et de l'autre des interviews sur l'histoire de vie d'une cinquantaine d'élites politiques dans une métropole italienne (Naples, région Campanie). Notre analyse n'entre donc pas dans les canons classiques de l'analyse comparative, qu'elle s'élabore sur la base d'une grande quantité de variables dont la collecte s'opère selon la même méthode, ou qu'elle fonctionne sur la base d'études primaires ou secondaires de données liées à un petit nombre de cas (Ragin 1996, Landman 2000, Négrier 2005). La combinaison à laquelle nous nous livrons prend au sérieux la variable dont nous entendons tester la prégnance dans l'analyse politique locale. La croyance, pensons-nous, n'est pas de ces indicateurs faciles à mettre en équation. Nous pourrions dire qu'elle participe des sciences humaines, au sens plein du terme, dans leur rapport au lieu du politique. Dès lors, c'est le dialogue entre deux terrains, assumés comme totalement hétérogènes, et non des unités et protocoles rigoureusement semblables, qui permettra ici de lever une partie du voile (ou du suaire) de la croyance en politique. Nous verrons, par incidence ici, et qui devrait être mieux développé par la suite, ce qu'une comparaison casuistique, entre lieux semblables (des métropoles, des villages), pourrait ajouter à notre analyse. Pour l'instant, disons que plutôt qu'une analyse comparative de stricte obédience, notre papier propose une analyse conjonctive, résultant du traitement conjoint d'une dimension dans deux protocoles de recherche distincts. Malgré ces difficultés méthodologiques, nous sommes parvenus à repérer des tendances communes, dans les témoignages recueillis, concernant la façon ...
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La démocratie et les croyances dogmatiques
In: La Revue du MAUSS, Band 49, Heft 1, S. 258-268
ISSN: 1776-3053
La question du croire, reposée par la violence djihadiste, est une voie d'accès au fait anthropologique de la modernité démocratique. Comment penser ensemble deux propositions qui semblent s'exclure ? D'un côté, la modernité sape les croyances dogmatiques, les absolus et les évidences de sens partagées ; la démocratie y puise ses conditions de possibilité. D'un autre côté, la conflictualité tragique du xx e siècle dément la dimension unilatérale de cette thèse, en mettant en évidence le rôle des mythes et des croyances totalitaires. Creuser cette conjonction illogique donnée par l'expérience historique ouvre à son tour des perspectives cruciales sur les recompositions des croyances irrationnelles et de l'enthousiasme fanatique à partir du vide, du nihilisme et du désespoir.
Croyances et goût pour la compétition
In: Revue économique, Band 64, Heft 3, S. 433-443
ISSN: 1950-6694
Les travaux récents montrent que les hommes ont un goût pour la compétition plus prononcé que les femmes. Cet article présente un protocole expérimental mettant en évidence les différents déterminants du choix d'entrer en compétition : les croyances et le niveau de la compétition. Nous trouvons que les sujets peu performants s'adaptent au niveau de la compétition, ce qui n'est pas le cas des sujets performants. Notre expérience permet aussi de montrer que l'information n'est pas traitée de la même façon par les hommes et par les femmes : les femmes donnent plus de poids à l'information reçue, tandis que les hommes tiennent plus compte du niveau de la compétition auquel ils vont faire face. De manière générale, les hommes et les femmes dévient des croyances bayésiennes, et l'information sur leur performance les rend trop pessimistes si cette information est négative (trop optimiste dans le cas contraire).
L'informatique comme pratique et comme croyance
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 134, Heft 1, S. 4-21
ISSN: 1955-2564
L'informatique comme pratique et comme croyance.
La domestication maîtrise de l'ordinateur par des millions de salariés représente un immense effort d'apprentissage. À partir d'enquêtes statistiques et d'entretiens compréhensifs, on tente d'en décrire les conditions et les conséquences. En raison du renouvellement des matériels et des logiciels, les utilisateurs doivent sans cesse renouveler leurs connaissances et expérimenter. L'apprentissage et l'usage de l'informatique dépendent du degré de proximité à la culture légitime et de la position professionnelle.
Les dispositions à apprendre deviennent centrales dans l'activité professionnelle. L'angoisse de salariés relativement bien payés mais dont la position n'est pas garantie, le malaise causé par une réussite scolaire inférieure au capital culturel hérité ou une réussite professionnelle inférieure au capital scolaire, ont favorisé l'investissement personnel de certains dans l'usage de l'ordinateur. L'apprentissage de l'informatique illustre l'importance dans le fonctionnement des entreprises du capital culturel, comme somme de compétences mais aussi de dispositions. Mais, pour les salariés, détenteurs de ce capital, il en est découlé plus de désillusions que de profits tangibles à cause de la domination du capital culturel par le capital économique. Tirer un bénéfice personnel de l'informatisation n'exige pas seulement des compétences cognitives, mais aussi des dispositions culturelles et un sens du jeu social.
Littérature et religion catholique (1880‑1914). Contribution à une socio-histoire de la croyance
In: Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, Heft 87, S. 37-59
ISSN: 2102-5916
De la croyance religieuse à la croyance scientifique
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 123, Heft 1, S. 86-94
ISSN: 1955-2564
De la croyance religieuse à la croyance scientifique.
À la fin du XVIIe siècle en Allemagne, de nouvelles formes d'organisation du savoir commencèrent rapidement à se développer. Progressivement s'est vu abandonné un système religieux qui avait pour but d'assurer la défense du dogme confessionnel au profit d'une nouvelle organisation qui visait au développement du savoir. Comment cette transition s'est-elle effectuée ? Le point de départ est la défense confessionnelle du dogme au xvne siècle. À l'ère de la confession-nalisation, protéger le dogme a été identifié au processus qui avait pour but de renforcer l'identité ecclésiastique. La défense théologique de la vérité était institutionnalisée jusque dans les règles de conduite que devaient suivre les savants et les théologiens en cas de conflit. La sphère publique savante était déterminée par la protection de la vérité confessionnelle. Le processus par lequel s'est accomplie cette protection de la vérité est analysé ici en relation avec la controverse piétiste, qui, entre 1690 et 1720, a représenté un thème dominant en Allemagne. Les formes de la querelle prescrites par les orthodoxes - c'est-à-dire la pratique de protection du dogme - ont constitué un des objets de conflit centraux dans cette controverse évangélique. Ce ne sont pas les idées qui sont à l'origine de la transformation de la sphère publique religieuse mais la pratique du conflit. Les espaces de liberté qui se dessinaient ont joué ici un rôle moteur. Les formes de gestion du savoir de la première phase des Lumières (Frühaufklärung) se sont développées sur cette base.
Cognition et croyances dans les marchés financiers
Ce texte est un rapport de fin de recherche issu de l'ACI cognitique. ; Notre projet s'intéresse aux apports de la psychologie sociale et cognitive à l'étude de la formation des croyances dans les marchés financiers. Notre action a réuni des économistes du Groupe de Recherche en Économie Mathématique et Quantitative (GREMAQ) de l'université de Toulouse-I et des psychologues des équipes de l'université de Toulouse-II issus des équipes Dynamiques Sociocognitives et Vie Politique (DSVP) et Centre de Recherche en Psychopathologie (CERPP). Nos objectifs de départ étaient les suivants : d'élaborer i) une étude expérimentale de l'opération des biais cognitifs et sociaux dans un jeu de marché financier ; et ii) une étude psychométrique des dimensions de surconfiance. Depuis nous avons élaboré deux nouveaux objectifs suite à nos expériences initiales : iii) l'étude de la relation des biais cognitifs et performance chez des courtiers professionnels ; et iv) l'étude des styles cognitifs des entrepreneurs. L'originalité de nos recherches est d'élaborer des mesures psychométriques susceptibles d'identifier quels sont les individus susceptibles de réussir dans un type de marché précis, et donc indirectement de démontrer l'opération de certains biais psychologiques et sociaux dans la prise de décisions des acteurs économiques. Notre démarche est interactionniste, dans la mesure que nous entendons définir quel biais cognitif est susceptible d'interférer dans quel marché, et de théoriser cette interaction. Par exemple, nous avons montré que la miscalibration amène les acteurs à des stratégies d'échange agressives dans un marché avec informations asymétriques où il y a le risque de la winner's curse (toute offre d'achat ou de vente acceptée par le marché doit normalement être perdante).
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Univers mystique-esoterique et croyances paralleles
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 260, S. 49-59
ISSN: 0183-701X, 0337-307X