Journalistes, des salariés comme les autres?: représenter, participer, mobiliser
In: Collection "Res Publica"
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In: Collection "Res Publica"
In: Sociologie du travail, Band 63, Heft 4
ISSN: 1777-5701
In: Revue française de sociologie. [English edition], Band 61, Heft 1, S. 152-155
ISSN: 2271-7641
Families have occupied a politically and symbolically important place in the United States since the settlement of the English colonies in the American continent in the seventeenth century. They have been ubiquitous in TV drama since the early days of American commercial television in the late 1940s. Today, it is hard to find a television series that does not speak directly or indirectly about family. Yet, only few make them their main subject. In the 1950s and 1960s, families were already the subject of television programs, whether in sitcoms, soap operas or westerns. From the 1970s, they began to be the main focus of prime-time drama shows: family drama was born. The researcher Ella Taylor, in Prime Time Families, defines the family drama as "a dramatic series set in the home". The observation of evolutions of the family drama from the 1970s to now aims at understanding the evolution of the perceptions of the family in the collective imagination of American society. This chronological study, divided into three eras, analyzes the genealogy of the family drama as a genre. The first period began in 1972, with the beginning of the broadcast of The Waltons (CBS, 1972-1981) and ended in 1983, at the end of the broadcast of Little House on the Prairie (NBC, 1974-1983). The second period begins in 1978, with the start of the Dallas broadcast (CBS, 1978-1991) and ends in 1993, at the end of the broadcast of Knots Landing (CBS, 1979-1993). The third period began in 1994 with the launch of the release of Party of Five (Fox, 1994-2000) and ends in 2015 with Parenthood (NBC, 2010-2015). ; Les familles et les questions de société qui s'y rapportent occupent une place politiquement et symboliquement importante aux Etats-Unis depuis l'installation des colonies anglaises dans le continent Américain au XVIIe siècle. Elles sont omniprésentes dans les fictions télévisées depuis les débuts de la télévision commerciale américaine, à la fin des années 1940. Aujourd'hui, il est difficile de citer une série qui ne parle pas ...
BASE
Families have occupied a politically and symbolically important place in the United States since the settlement of the English colonies in the American continent in the seventeenth century. They have been ubiquitous in TV drama since the early days of American commercial television in the late 1940s. Today, it is hard to find a television series that does not speak directly or indirectly about family. Yet, only few make them their main subject. In the 1950s and 1960s, families were already the subject of television programs, whether in sitcoms, soap operas or westerns. From the 1970s, they began to be the main focus of prime-time drama shows: family drama was born. The researcher Ella Taylor, in Prime Time Families, defines the family drama as "a dramatic series set in the home". The observation of evolutions of the family drama from the 1970s to now aims at understanding the evolution of the perceptions of the family in the collective imagination of American society. This chronological study, divided into three eras, analyzes the genealogy of the family drama as a genre. The first period began in 1972, with the beginning of the broadcast of The Waltons (CBS, 1972-1981) and ended in 1983, at the end of the broadcast of Little House on the Prairie (NBC, 1974-1983). The second period begins in 1978, with the start of the Dallas broadcast (CBS, 1978-1991) and ends in 1993, at the end of the broadcast of Knots Landing (CBS, 1979-1993). The third period began in 1994 with the launch of the release of Party of Five (Fox, 1994-2000) and ends in 2015 with Parenthood (NBC, 2010-2015). ; Les familles et les questions de société qui s'y rapportent occupent une place politiquement et symboliquement importante aux Etats-Unis depuis l'installation des colonies anglaises dans le continent Américain au XVIIe siècle. Elles sont omniprésentes dans les fictions télévisées depuis les débuts de la télévision commerciale américaine, à la fin des années 1940. Aujourd'hui, il est difficile de citer une série qui ne parle pas ...
BASE
In: Sociologie du travail, Band 59, Heft 1
ISSN: 1777-5701
In: Idées ećonomiques et sociales
ISSN: 2116-5289
In: Sociologie du travail, Band 57, Heft 1, S. 61-80
ISSN: 1777-5701
In: Terrains & travaux: cahiers du Département de Sciences Sociales de l'ENS de Cachan, Band 25, Heft 2, S. 113-129
ISSN: 1627-9506
Le premier syndicat de journalistes (historiquement et par l'audience), le SNJ, est un syndicat catégoriel. On analyse la manière dont il participe à la régulation de cette profession, en interrogeant l'existence d'une division du travail syndical entre ce syndicat non confédéré et les syndicats confédérés. Pour cela, on envisage le SNJ à partir de ses dynamiques institutionnelles et de ses revendications et mobilisations collectives, afin d'analyser l'articulation entre catégoriel, corporatiste, professionnel, et salarial. Si le SNJ se centre sur la défense de la profession et de ses normes, il est également présent dans la défense des enjeux plus classiques liés au salariat. Son organisation et son action sont finalement assez proches de celles des organisations non catégorielles.
In: Sociologie du travail, Band 56, Heft 3, S. 388-390
ISSN: 1777-5701
In: Sociologie du travail, Band 56, Heft 3, S. 388-390
ISSN: 1777-5701
In: La revue de l'IRES, Band 77, Heft 2, S. 107-127
Les journalistes constituent un groupe professionnel dont les contours fluctuent. L'étude de la mise en place d'une innovation technique dans une entreprise de presse en ligne, Le Monde Interactif, permet d'interroger conjointement les dynamiques de l'innovation et la recomposition des identités professionnelles. L'innovation est portée par les salariés qui sont réunis dans des groupes de travail. Elle met à l'épreuve et renforce l'unité du collectif de travail qui dépasse les frontières de métier et les redessine.
In: L' homme et la société: revue internationale de recherches et de syntheses en sciences sociales, Band 189-190, Heft 3, S. 269-304
L'actionnariat salarié apparaît comme une solution pour limiter les pouvoirs des employeurs et pour intégrer les travailleurs dans l'entreprise, conçue au-delà de la société comme un lieu de production collectif. L'analyse de la reprise du groupe de presse Le Monde, dont le premier actionnaire était historiquement ses salariés et notamment les journalistes du quotidien Le Monde , par des actionnaires externes en novembre 2010, interroge les limites de la participation actionnariale des travailleurs. Face aux crises récurrentes que le groupe a traversées, les positions d'actionnaire et de salarié se sont avérées difficiles à concilier. Le renoncement au pouvoir actionnarial lors de la vente du groupe permet une redécouverte des capacités de négociation propres aux salariés. Ce cas montre que paradoxalement, la participation actionnariale des travailleurs ne se révèle pas nécessairement le meilleur moyen d'assurer une autonomie d'exercice aux salariés.
In: Négociations, Band 21, Heft 1, S. 51
ISSN: 1782-1452
In: La revue de l'IRES, Band 77, Heft 2, S. 107-127
ISSN: 1145-1378
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