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In: Rencontres européennes
In: Rencontres européennes
Placée à l'origine dans le pilier intergouvernemental, la politique migratoire de l'Union européenne est ' communautarisée ' par le traité d'Amsterdam à partir de 2004. Deux programmes quinquennaux s'échelonnant de 2004 à 2014 sont alors entrepris (La Haye 2004-2009 et Stockholm 2009-2014) dont l'objet essentiel consiste à renforcer le contrôle des frontières extérieures de l'Union européenne, tout en voulant préserver les droits fondamentaux reconnus aux migrants. Les objectifs définis dans le programme de La Haye sont désormais inscrits dans le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne, entré en vigueur le 1er décembre 2009. Le Traité de Lisbonne mentionne dans son article 78 que l'Union ' développe une politique commune en matière d'asile ', selon la procédure habituelle de la codécision. Trois enjeux sont convoqués à cette réflexion européenne sur l'immigration : la protection des frontières, la pression migratoire et le respect des valeurs de l'Union européenne.Sur ces diverses bases, les Etats membres et l'Union européenne s'attachent, en principe, à réduire leurs divergences. Pourtant, les Etats continuent à mener des actions en ordre dispersé et à conserver des législations décalées. L'actualité demeure révélatrice d'une telle situation. Entre les milliers de naufragés économiques qui viennent échoir sur les côtes occidentales de la méditerranée et les réfugiés notamment moyen-orientaux qui lancent des cris de détresse, l'Union européenne offre une image de division. Chaque pays, selon des enjeux de politique interne, apporte des réponses variées.En outre, la notion d'immigrant est vectrice de confusion car selon la nature de l'immigration, un régime juridique spécifique se déclenche. Le demandeur d'asile n'est pas un migrant économique. Un étudiant étranger souhaitant suivre des études en Europe, relève encore d'une autre catégorie.
In: Collection Rencontres européennes 21
Deuxième partie + Beurdeley, Laurent; Matuszewicz, Régis: Problématique. - S. 21-22 + Di Pascale, Alessia: La politique italienne de contrôle de l'immigration dans les relations avec les pays d'origine et de transit. - S. 137-148 + Dépasser les enjeux sécuritaires: pour un avenir commun plus égalitaire et solidaire + Icard, Philippe; Porteilla, Raphael: La politique étrangère de sécurité commune de l'Union européenne et le conflit israélo-palestinien : entre impuissance juridique avérée et puissance politique à affirmer. - S. 213-243 + Première partie + Hastings, Michel: Le "méditerranéisme" : un nouvel orientalisme? - S. 25-36 + Bazin, Marcel: Préface. - S. 13-15 + Chrai͏bi, Sabah: Flux migratoires, marché de l'emploi et croissance partagée. - S. 165-172 + Boumédiene-Thiery, Alima: Les sécurités dans les relations Nord-Sud en Méditerranée. - S. 159-164 + Mamadou, Faty Moustapha: La Mauritanie sur l'échiquier de l'émigration clandestine vers l'Europe. - S. 149-156 + Belkasmi, Ilham el-: La sécurité européenne et la nécessité de maîtriser les flux migratoires. - S. 37-46 + Beurdeley, Laurent: Les Etats méditerranéens face à l'immigration clandestine : les droits des migrants bafoués. - S. 83-136 + La notion de la sécurité: facteur de domination de l'Union Européenne? + Coutant, Arnaud: La politique américaine en Méditerranée, chronique d'une ambition. - S. 47-82 + Monney Mouandjo, Stéphane: Démocratie et sécurité dans la Méditerranée. - S. 201-212 + Matuszewicz, Régis: La Turquie : pont stratégique entre les producteurs d'hydrocarbures du Sud et les pays du Nord. - S. 173-200
World Affairs Online
In: Les actes de la Revue du droit de l'Union européenne
In: Les actes de la revue du droit de l'Union européenne
In: Collection Rencontres européennes 24
In: http://hdl.handle.net/20.500.12210/15609
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dans la prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés des juristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'est déroulé sur une période de deux ans. La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principe de non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur la période 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont été empruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères de discrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresser aux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner les discriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principe d'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sous l'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française. La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du juge administratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a été confronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différente notamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscrimination ou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode, a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarche totalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes. En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans le discours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
BASE
In: http://hdl.handle.net/20.500.12210/15609.2
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dans la prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés des juristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'est déroulé sur une période de deux ans. La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principe de non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur la période 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont été empruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères de discrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresser aux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner les discriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principe d'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sous l'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française. La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du juge administratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a été confronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différente notamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscrimination ou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode, a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarche totalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes. En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans le discours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
BASE
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dansla prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés desjuristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'estdéroulé sur une période de deux ans.La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principede non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur lapériode 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont étéempruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères dediscrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresseraux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner lesdiscriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principed'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sousl'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française.La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du jugeadministratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a étéconfronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différentenotamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscriminationou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode,a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarchetotalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes.En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans lediscours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
BASE
La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dansla prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés desjuristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'estdéroulé sur une période de deux ans.La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principede non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur lapériode 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont étéempruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères dediscrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresseraux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner lesdiscriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principed'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sousl'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française.La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du jugeadministratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a étéconfronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différentenotamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscriminationou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode,a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarchetotalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes.En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans lediscours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
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La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dansla prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés desjuristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'estdéroulé sur une période de deux ans.La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principede non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur lapériode 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont étéempruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères dediscrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresseraux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner lesdiscriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principed'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sousl'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française.La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du jugeadministratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a étéconfronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différentenotamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscriminationou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode,a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarchetotalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes.En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans lediscours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
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La recherche a porté, plus particulièrement, sur l'analyse du discours du juge administratif dansla prise en compte des discriminations. Pour mener à bien cette réflexion, ont été mobilisés desjuristes, des sociologues, des linguistes et des spécialistes de science politique. Ce travail s'estdéroulé sur une période de deux ans.La première année a permis de cerner comment le juge administratif appréhendait le principede non-discrimination. Afin d'atteindre cet objectif, il a fallu mobiliser la jurisprudence sur lapériode 2000-2015 (environ 7000 décisions et conclusions). Très vite, deux approches ont étéempruntées, la première, afin d'être exhaustif, a consisté à examiner l'ensemble des critères dediscrimination et à analyser comment le juge les exploitait, la seconde a consisté à s'intéresseraux instruments et aux modes de preuves que le juge utilisait pour sanctionner lesdiscriminations. A la suite de cette étude, il ressort que le juge opte clairement pour le principed'égalité et rechigne à mettre en oeuvre le principe de non-discrimination, même si sousl'influence des Cours européennes il l'admet mais en le liant au principe d'égalité à la française.La seconde année de la recherche a permis de mettre en lumière la singularité du jugeadministratif. En effet, par une technique comparatiste, le discours du juge administratif a étéconfronté à celui des cours judiciaires françaises, révélant, une attitude toute différentenotamment de la Cour de cassation que ce soit dans la réception du principe de nondiscriminationou dans la technique d'administration de la preuve. Prolongeant cette méthode,a été également constatée une influence réduite des Cours européennes et une démarchetotalement différente des cours constitutionnelles italiennes et allemandes.En définitive, le principe de non discrimination apparaît comme une greffe prenant mal dans lediscours du juge administratif qui lui préfère le principe d'égalité.
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