Können Ergebnisse der neueren, interdisziplinären Gedächtnisforschung zu einer Erweiterung und Präzisierung des klinischen Verständnisses von psychischen Prozessen basierend auf unbewussten Erinnerungen, Phantasien und "Wahrheiten" beitragen? Diese Fragen werden in dieser Arbeit diskutiert.In einem selbstkritischen Rückblick auf eine Arbeit, in der R. Pfeifer und M. Leuzinger-Bohleber 1986 Konzepte der klassischen Cognitive Science zum Verständnis einiger Sequenzen aus einer Psychoanalyse beigezogen haben, wird postuliert, dass sich die damals benutzte Computermetapher als nicht geeignet erweist, die Mechanismen des menschlichen Gedächtnisses als biologisches System zu erklären. Im Gehirn gibt es keine Speicherplatten oder lokalisierbare Regionen, in denen Wissen (analog zu Wachstafeln von Aristoteles oder dem Wunderblock) eingeritzt, gespeichert wird, das später wieder abgerufen werden kann: Erinnern und Gedächtnis sind vielmehr Funktionen des gesamten Organismus. Bezugnehmend auf Edelmans Theorie der neuronalen Gruppenselektion (TSNG) wird Gedächtnis konzeptualisiert als dynamischen, rekategorisierenden und interaktiven Prozess, der immer ,,embodied" ist, d.h. auf sensomotorisch-affektiven Vorgängen im Organismus beruht. Eine ausschließlich kognitive Betrachtungsweise des Gedächtnisses hat sich als inadäquat erwiesen.Eine kurze Sequenz aus einer Psychoanalyse mit einem Borderlinepatienten wird analysiert, um zu illustrieren, dass sich diese neueren Konzeptualisierungen von Gedächtnis und Erinnern als produktiv für ein vertieftes klinisches Verstehen erweisen. Es wird postuliert, dass diese interdisziplinären Forschungsergebnisse Erkenntnisse der klinisch-psychoanalytischen Forschung stützen, z.B. wie relevant sich das Durcharbeiten unbewusster Konflikte und Phantasien in der Übertragung im Hinblick auf eine dauerhafte psychische Veränderung erweisen.Schlüsselwörter: Klassische und Embodied Cognitive Science, Gedächtnis, Erinnerung, Psychoanalyse, Theorie der neuronalen Gruppenselektion (TSNG) (Edelman), Rekategorisierung, frame, unbewusste Erinnerung, Durcharbeiten, therapeutischer Prozess, Archeologiemetapher, Computermetapher. ; What can interdisciplinary memory research add to our clinical understanding of psychic functioning based on unconscious memories, fantasies and "truth"? These questions are discussed in this paper.In a critical review of a paper published in 1986, in which we applied concepts from classical cognitive science (in particular the computer metaphor) to some sequences of a psychoanalysis, we suggest that the computer metaphor is not suited for application to the mechanisms of human memory as a biological system: In the brain there is no "box" or location where memory structures are stored and later retrieved but memory is an aspect of the whole organism. Referring to Edelman's theory of the selection of neural groups (TSNG) memory is now conceptualized as a complex, dynamic, recategorizing and interactive process, which is always "embodied", in other words based on actual sensory-motoric-affective experiences.Analyzing a short sequence of a psychoanalysis with a male Borderline patient we illustrate that these new concepts can be helpful for a deeper understanding of the functioning of memory in psychoanalysis. In our view many central insights of psychoanalytical research, e.g. pointing out the relevancy of transference for therapeutic change, are supported by this interdisciplinary research.Keywords: Classical and Embodied Cognitive Science, memory, remembering, psychoanalysis, theory of the selection of neural groups (TSNG) (Edelman), recategorization, frame, unconscious memories, working through, therapeutic process, computer metaphor. ; Je tente ci-dessous de montrer que - et comment - les théories de la mémoire influencent notre perception clinique et, de là, la manière dont nous saisissons (souvent inconsciemment) des évolutions thérapeutiques. Un regard critique jeté sur un travail publié en 1986, dans lequel nous appliquions des concepts empruntés à la théorie classique de la cognition pour analyser quelques séquences d'une psychanalyse, m'incite à conclure que les énoncés formulés à l'époque continuent à fournir des explications plausibles sur le plan clinique - à condition toutefois que nous nous en tenions au niveau purement descriptif. Par contre, compte tenu de la manière dont nous percevons maintenant la question, nous avions alors négligé le problème du « frame of reference »; dans le J contexte de notre analyse descriptive nous n'avions en effet pas effectué de distinction claire entre la reviviscence de souvenirs dans le cadre psychanalytique et les mécanismes qui, au niveau de la mémoire, avaient déterminé ces réminiscences. La métaphore utilisée par la théorie classique de la cognition - à savoir celle du traitement d'informations ou de l'ordinateur - ne peut pas s'appliquer à la manière dont la mémoire humaine fonctionne en tant que système biologique: le cerveau ne comporte pas de «mémoire» qui serait réactivée au moment où l'individu se trouve confronté (inconsciemment et par un processus cognitif) à des similitudes structurelles entre informations actuelles et informations appartenant au passé.En fait, et comme l'ont montré les travaux de Brooks, Edelman, Rosenfield, Clancey, Glenberg et du groupe travaillant avec Pfeifer, la mémoire constitue un aspect de tout l'organisme : elle n'est ni un module, ni un organe spécifique. La notion de mémoire est théorique et vise à expliquer des comportements; nous parlons d'apprentissage et de mémoire dès lors que le comportement de l'organisme évolue avec le temps.Au moment de choisir d'autres manières de conceptualiser la « mémoire en tant que structures emmagasinées » nous nous somme référés entre autres à la théorie d'Edelman concernant la sélection de groupes neuronaux (TSNG); il caractérise lui-même sa théorie comme une approche tenant compte de l'ontogenèse et de la phylogenèse de l'évolution du cerveau. Il utilise les mécanismes de «darwinisme neuronal» qu'elle contient pour expliquer et décrire les processus de mémoire autant au niveau de l'anatomie et de la biologie des neurones qu'à celui de la psychologie.En se basant sur ce principe on peut décrire la mémoire en tant que fonction de tout l'organisme, en tant que processus dynamique complexe au cours duquel des catégories sont créées; il se fonde sur l'interactivité, se réfère toujours à des vécus sensori-moteurs-affectifs actuels («incorporés ») et se manifeste à travers le comportement de l'organisme. Nous ne disposons malheureusement pas aujourd'hui d'une métaphore appropriée qui permettrait de concrétiser cette conceptualisation. Edelman écrit, par exemple, que le cerveau fonctionne plus comme un orage dans la forêt vierge que comme un ordinateur. Il se peut toutefois qu'il s'avère impossible de trouver une métaphore unique pour caractériser cette conception de la mémoire, processus dynamique s'adaptant constamment à de nouvelles situations.Il semble que ces nouvelles théories de la mémoire confortent à un niveau interdisciplinaire la recherche clinico-psychanalytique entreprise ces dernières années ; celle-ci postule en effet de manière toujours plus radicale que les évolutions thérapeutiques ne sont pas simplement provoquées par un retour à des traumatismes datant de la petite enfance (métaphore : archéologie), ni d'ailleurs par une «réalisation» se produisant dans la tête de l'analysant. Elles sont le produit d'un affrontement dans le cadre de la relation de transfert avec l'analyste (y compris des aspects sensoriels et affectifs faisant partie de l'interaction thérapeutique, c'est-à-dire «résonance corporelle» entre deux personnes comprise). Dans ce sens, 'se souvenir' n'est pas simplement évoquer des informations emmagasinées ; il s'agit au contraire d'un processus extrêmement dynamique de re-catégorisation qui se déroule dans l'ici et maintenant du transfert. De plus, il semble que se souvenir et devenir conscient dépendent d'une interaction entre un système et son environnement (dialogue intérieur ou extérieur avec des objets) et qu'ils impliquent la construction de «vérités narratives» dans le cadre de relations actuelles ou actualisées ; simultanément, cette construction entraîne un rapprochement créatif avec une «vérité historique» (les expériences liées à la socialisation sont ancrées dans la biologie). C'est ainsi qu'au moment où d'anciens processus de catégorisation sont revivifiés, des vécus (traumatiques) demeurés inconscients sont modifiés et différenciés, ce qui constitue une condition sine qua non à l'évolution structurelle de comportements donnés ; en effet, se souvenir consciemment permet d'intégrer de manière différente une biographie toute personnelle (cf. Damasio, 1999) et d'en disposer autrement. Finalement, nous pensons que la recherche récente sur la mémoire, qui tente une fois de plus de mettre en évidence la base biol0gique et neuro-anatomique des processus psychiques, pourrait expliquer de manière plausible pourquoi les besoins et conflits qui naissent lors de la phase de socialisation précoce sont si durables et déterminants et pourquoi des «psychanalyses intervenant pour modifier des structures » doivent durer longtemps : les processus biologiques ne peuvent pas évoluer aussi rapidement qu'une perception «purement cognitive » !Certaines questions importantes du point de vue scientifique et épistémologique n'ont pas pu être traitées dans le cadre du présent texte. Par exemple, la tentative faite par Edelman pour redéfinir les rapports entre biologie et psychologie en postulant - tout en évitant tout réductionnisme et tout parallélisme - que sa théorie du darwinisme neuronal décrit des principes qui peuvent être appliqués tant au niveau anatomique et neurophysiologique qu'à celui de la description psychologique. Il nous semble toutefois que du point de vue épistémologie, cette démarche soit quelque peu problématique. Il est vrai que ses conceptualisations sont novatrices et permettent de saisir de manière différente certains processus de mémoire ('se rappeler' par ex.) et donc des processus psychiques proches de la manière dont le cerveau fonctionne et du plan biologique. Ses idées sont en outre plus proches de la psychanalyse que ne le sont les théories de la régulation de type cybernétique; contrairement à ces dernières, elles impliquent une sorte de «théorie du conflit» («survival of the fittest»). On sait que la théorie de Darwin a beaucoup influencé Freud; il s'y réfère directement lorsqu'il tente d'expliquer la prohibition de l'inceste ou élabore son hypothèse du parricide dans la horde archaïque. Il reste toutefois que ses écrits montrent clairement qu'il considérait la psychanalyse comme une méthode indépendante de recherche permettant, par exemple, d'expliquer la prohibition de l'inceste sur la base du conflit œdipien. On peut toutefois se demander si les modèles élaborés par Edelman permettent vraiment de jeter un regard nouveau sur d'autres aspects de la théorie et de la pratique psychanalytiques. L'histoire de la science inclut plus d'un exemple de ce genre d'erreur : un modèle est détaché du champ d'application pour lequel il a été développé et utilisé ailleurs - souvent de manière irréfléchie et peu critique. Dans ce sens, il me semble qu'un transfert naïf des concepts d'Edelman vers l'ensemble de la psychanalyse et en particulier sur sa théorie de la culture pose problème. Pour ne mentionner qu'un aspect: la théorie freudienne de la culture se situe Ci l'opposé des théories du darwinisme social qui semblent être actuellement à la mode et qui pourraient exploiter les idées d'Edelman pour légitimer «scientifiquement» des intérêts politiques. Ce darwinisme social menace une dimension culturelle que Freud a toujours considérée comme fragile et qui se fonde entre autres sur le conflit œdipien et la nécessité de sublimer (donc d'entreprendre constamment un effort psychique). Dans ce sens, Freud a expliqué un comportement social en l'attribuant Ci des rapports dialectiques entre biologie et culture et non pas simplement Ci une stratégie de survie de type darwinien (cf. entre autres Leuzinger-Bohleber, 1997 a, b).Je pense donc qu'en menant un dialogue avec les sciences cognitives, la psychanalyse se retrouve sur la corde raide : il faut d'une part que les résultats de ses recherches aient une « cohérence externe » (Strenger, 1991) et qu'elle poursuive son discours avec la communauté scientifique; elle risque d'autre part d'accepter trop rapidement des points de vue «scientifiques» qui, même s'ils sont acceptés dans le contexte d'une certaine culture, n'en aboutissent pas moins à une perte: elle renoncerait Ci aborder l'objet auquel la recherche psychanalytique doit absolument s'intéresser - l'inconscient, tabou individuel et collectif.
Inhaltsangabe: Einleitung: Seit Mitte der 70er Jahre des 20. Jahrhunderts erleben die Erdöl fördernden Länder am persischen Golf aufgrund ihrer Einnahmen durch Erdölverkäufe einen immensen wirtschaftlichen Aufschwung. Die Vereinigten Arabischen Emirate (VAE) sind einer dieser Golfstaaten, welche innerhalb weniger Jahre über große Kapitalmengen verfügen konnten und diese in den Aufbau von Wirtschaft und Infrastruktur investierten. Der daraus entstehende Bedarf an qualifizierten oder unqualifizierten Arbeitskräften konnte nicht annähernd aus den Reihen der einheimischen Bevölkerung gedeckt werden und so rekrutierte die emiratische Regierung die nötigen Arbeiter aus arabischen und ostasiatischen Ländern. Aus diesen Anfängen entwickelte sich ein Migrationsstrom, welcher bis heute anhält und dazu geführt hat, dass die VAE derzeit das Land (bei Ländern über 1 Mio. Einwohner) mit dem größten Migrantenanteil weltweit sind. Arbeitskräfte aus Indien stellen seit den 80 er Jahren die anteilig größte Fremdpopulation in den VAE dar. Alle Theorien, welche das soziale Phänomen Migration zu begründen versuchen, gehen von einem Einfluss bestimmter Rahmenbedingungen auf die Entstehung von Migration und das Migrationsvolumen aus. Am Beispiel der Arbeitsmigration indischer Gastarbeiter in die VAE sollen in der vorliegenden Arbeit die relevanten Bedingungen, welche eine Migration auslösen und aufrechterhalten, beleuchtet werden. Die wirtschaftlich unterschiedlichen Gegebenheiten von Herkunfts- und Zielregion, welche sich in der Ausprägung eines Lohngefälles widerspiegeln, sind laut neoklassischer Migrationstheorie die wichtigsten Auslösefaktoren für eine Wanderungsbewegung. Auf Grundlage der durch diese formulierten Thesen, sollen die wirtschaftlichen Rahmenbedingungen sowohl für das Zielland die VAE, als auch für das Hauptherkunftsland Indien am Beispiel des südindischen Bundesstaates Kerala herausgearbeitet werden. Für die VAE wird dabei die Verkettung von Einnahmen durch Erdölverkäufe mit getätigten Investitionen und der darauf folgenden Nachfrage nach Arbeitskräften untersucht werden. Für das Beispiel Kerala wird die außergewöhnlich hohe Arbeitslosigkeit, welche lange Zeit in diesem indischen Bundesstaat herrschte mit wirtschaftspolitischen Fehlentscheidungen in Zusammenhang gebracht. Außerdem werden die auf Migration Einfluss nehmenden sozialen und demografischen Faktoren des Bundesstaates herausgearbeitet. Neben den wirtschaftlichen Bedingungen soll auch der durch die Bestimmungen von Herkunfts- und Zielland abgesteckte gesetzliche Rahmen betrachtet werden. Bei der Auswertung der Veränderungen des Migrationsvolumens wird dem Einfluss von Gesetzlichkeiten sowohl im Zielland als auch im Herkunftsland Rechnung getragen. Die Erkenntnisse dieser Untersuchungen werden am Ende der Arbeit in eine Evaluation der Erklärungspotentiale zweier verschiedener Theorien zur Migration einfließen. Es soll geprüft werden, wie umfassend jede dieser beiden Theorien in der Lage ist, eine Erklärung für das Einsetzen und den Fortbestand der Migration aus Indien in die VAE zu liefern. Ein zweiter Fokus der Arbeit liegt auf einem ausgewählten Phänomen des emiratischen Arbeitsmarktes, welches in jüngster Zeit, im Jahre 2007, durch die Ausrufung einer landesweiten Amnestie massiv in die Schlagzeilen der emiratischen Gazetten geriet. Es handelt sich um die große Zahl an Gastarbeitern, welche sich ohne Aufenthaltsgenehmigung illegal im Land aufhalten. Der Entstehung dieser großen Gruppe an illegalen Gastarbeitern liegen bestimmte politische Strukturen zugrunde, deren Herausarbeitung die zweite Zielstellung dieser Arbeit bilden soll. Bei der Verfolgung dieser Zielstellung werden die mit dieser Thematik in engem Zusammenhang stehenden Varianten des formellen und informellen Zugangs zum Arbeitsmarkt der VAE herausgearbeitet und ihr jeweiliger Anteil am Zustandekommen dieser Situation bewertet. Ausführlich werden hierbei das Bürgschaftssystem, die Tätigkeit der Arbeitsvermittlungsagenten und die Einreise mit Touristen- oder Besuchsvisum behandelt. Über diese genannten Hauptzielstellungen hinaus sollen dem Leser Einblicke in die Geschichte sowie in allgemeine Abläufe, Aspekte, Strukturen und Charakteristika der Arbeitsmigration von Indien nach den VAE gewährt werden. Hilfreich für die Erlangung von aktuellen Informationen war eine vom Autor durchgeführte Feldforschung hauptsächlich im Emirat Dubai. Die Feldforschung umfasste vier Experteninterviews und eine an fünfundzwanzig indischen Migranten mittels eigens erstelltem Fragebogen durchgeführte Befragung.Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: ABKÜRZUNGSVERZEICHNIS, GRAFIKVERZEICHNIS4 TABELLENVERZEICHNIS, INTERVIEWVERZEICHNIS5 EINLEITUNG6 1THEORETISCHER RAHMEN ZU MIGRATIONSPROZESSEN8 1.1EINFÜHRUNG ZUR THEORIE8 1.2MAKROTHEORETISCHE ERKLÄRUNGSANSÄTZE9 1.2.1MAKROANSATZ DER NEOKLASSISCHEN MIGRATIONSTHEORIE10 1.2.2THEORIE DES DUALEN ARBEITSMARKTES NACHMICHAEL J. PIORE11 1.2.3WELTSYSTEMTHEORIE NACH IMMANUEL WALLERSTEIN12 1.3MIKROTHEORETISCHEANSÄTZE DER MIGRATIONSFORSCHUNG13 1.3.1MIKROANSATZ DER NEOKLASSISCHEN MIGRATIONSTHEORIE14 1.3.2DIE "NEUE MIGRATIONSTHEORIE"14 1.3.3SEU (SUBJECTIVE-EXPECTED-UTILITY)- MODELL15 1.4BESCHRIEBENE PHÄNOMENE DER NEUEREN MIGRATIONSFORSCHUNG16 1.4.1TRANSNATIONALE MIGRATION16 1.4.2MIGRATIONSSYSTEME16 1.4.3SOZIALE NETZWERKE UND SOZIALES KAPITAL17 1.4.4KETTENMIGRATION17 1.5DER INTEGRIERENDE HANDLUNGSTHEORETISCHE MIGRATIONSANSATZ NACH HARTMUT ESSER18 2.GESCHICHTE UND ENTWICKLUNG DER MIGRATION AUS INDIEN IN DIE ARABISCHEN GOLFSTAATEN IM ALLGEMEINEN UND DIE VEREINIGTEN ARABISCHEN EMIRATE (VAE) IM SPEZIELLEN24 2.1DIE GESCHICHTE UND ENTSTEHUNG VON ARBEITSMIGRATION IN DER GOLFREGION24 2.2ARBEITSMIGRATION IN DIE VAE27 2.3INDIEN ALS EMIGRATIONSLAND31 2.4DIE EMIGRATION VON INDERN IN DIE GOLFREGION UND DIE VAE35 3.WIRTSCHAFTLICHE UND POLITISCHE RAHMENBEDINGUNGEN DES MIGRATIONSPROZESSES40 3.1DIE WIRTSCHAFTLICHE ENTWICKLUNG IN DEN VAE UND DIE VERBINDUNG ZUR IMMIGRATION40 3.2DIE WIRTSCHAFTLICH / SOZIALE SITUATION IN INDIEN AM BEISPIEL KERALA UND SEINE VERBINDUNG ZUR EMIGRATION46 3.3DIE IMMIGRATIONSGESETZGEBUNG DER VAE49 3.4DAS BÜRGENSYSTEM IN DEN VAE (ARABISCH: KAFALA)51 3.5INDISCHE GESETZGEBUNG ZUR EMIGRATION IN DIE VAE (BZW. ANDERE GOLFSTAATEN)54 3.6CHARAKTERISTISCHE MERKMALE DER INDISCHEN GOLFMIGRANTEN57 4.DIE FELDFORSCHUNG62 4.1ZIEL UND FRAGESTELLUNG DER FELDFORSCHUNG62 4.2ZIELGRUPPEN UND METHODEN DER FELDFORSCHUNG63 4.3ERGEBNISSE VON FELDARBEIT UND FRAGEBOGEN65 5.DER MIGRATIONSPROZESS: ABLÄUFE UND MUSTER69 5.1DIE REKRUTIERUNG INDISCHER GASTARBEITER. STRUKTUREN UND ENTWICKLUNG69 5.2DIE FUNKTIONSWEISE UND BEDEUTUNG VON NETZWERKEN BEI DER MIGRATION78 5.3DIE BEDEUTUNG DER BÜRGEN FÜR EINE INFORMELLE EINREISE AUS INDIEN80 5.4DIE ENTSTEHUNG VON ILLEGALITÄT81 5.5AKTUELLE MAßNAHMEN ZUR BEKÄMPFUNG VON ILLEGALITÄT85 6.VERDIENSTE VOR ALS AUCH NACH DER MIGRATION UND DIE PRAXIS DER LOHNZURÜCKHALTUNGEN IN DEN VAE88 6.1LOHNZURÜCKHALTUNGEN IN DEN VAE88 6.2DIE HÖHE DER LÖHNE IN DEN VAE90 6.3DIE HÖHE DER LÖHNE IM HERKUNFTSLAND INDIEN UND SPEZIELL IN KERALA91 6.4DAS ANREIZPOTENTIAL DER LÖHNE IN DEN VAE93 7.DIE RÜCKÜBERWEISUNGEN NACH INDIEN UND DEREN EFFEKTE IM BUNDESSTAAT KERALA95 7.1DIE RÜCKÜBERWEISUNGEN NACH KERALA95 7.2RÜCKÜBERWEISUNGEN ALS GRUNDLAGE WIRTSCHAFTLICHER VERÄNDERUNGEN IMBUNDESSTAAT KERALA97 8.ERKLÄRUNGSPOTENTIALE DES MAKROANSATZES DER NEO-KLASSISCHEN MIGRATIONSTHEORIE SOWIE DES HANDLUNGS-THEORETISCHEN ANSATZES NACH HARTMUT ESSER101 8.1ERKLÄRUNGSPOTENTIALE DER NEOKLASSISCHEN MIGRATIONSTHEORIE101 8.2ERKLÄRUNGSPOTENTIALE DES HANDLUNGSTHEORETISCHEN ANSATZES NACH HARTMUT ESSER104 ZUSAMMENFASSUNG109 LITERATURVERZEICHNIS113 VERZEICHNIS DER INTERNETQUELLEN116 VERZEICHNIS DER ZEITUNGSARTIKEL119 ANHANG (FRAGEBOGEN)120Textprobe:Textprobe: Kapitel 5.2, Die Funktionsweise und Bedeutung von Netzwerken bei der Migration: Wie schon im theoretischen Teil, insbesondere im Abschnitt 1.4. gezeigt, spielen persönliche Beziehungen und Netzwerke eine bedeutende Rolle speziell für den Erhalt und das Wachsen von Migrationsströmen. Der folgende Abschnitt soll die Funktionsweise solcher Netzwerke am konkreten Beispiel, der Arbeitsmigration indischer Gastarbeiter nach den VAE, beleuchten. Es soll deren fundamentale Bedeutung für den Migrationsprozess verdeutlicht werden. Die Neurekrutierung von Arbeitskräften funktionierte in den Anfangszeiten der Arbeitsmigration in die Golfregion, also bis zum Beginn der 70er Jahre, fast ausschließlich über persönliche Netzwerke wie Freunde und Familie. Der Arbeitgeber wandte sich mit seinem Gesuch nach zusätzlichen Arbeitskräften an einem vertrauenswürdigen Arbeitnehmer, welcher daraufhin versuchte, aus dem Kreise seiner Bekanntschaft und Verwandtschaft neue Arbeitnehmer anzuwerben. "In fact almost four-fifth of the total number of migrants receive information about employment possibilities abroad from this [friends and relatives] source." Der bereits migrierte Arbeitnehmer fungierte dabei meist als Überbringer der notwendigen Visa oder der NOC (No Objection Certificate z.B. für Bahrain). Nur durch das Wirken dieser Art von Netzwerken ist es zu erklären, dass in Indien sogenannte "Gulf Enclaves" oder "Mini Gulf" genannte Gebiete entstehen konnten, die sich durch ihren äußerst hohen Anteil an Migrationsbeziehungen in die Golfstaaten auszeichnen. "In Kerala the "Gulf Enclaves" of Tiruvalia, Chavakkhad, Tirur, Varkala, Kasanakotta etc. are examples of this active network system" Für jeden Bewohner dieser Regionen ist die Möglichkeit, zeitweise in einem der Golfstaaten zu arbeiten, eine real existierende Chance und Handlungsalternative, allein schon deshalb, weil in der Region massenhaft (positive) Vorbilder unter den bereits Zurückgekehrten existieren, von denen Informationen und Unterstützung erhalten werden können. Die Lösungen für eventuell auftretende Probleme und viele hilfreiche Tricks gehören hier zum Informations-Allgemeingut. Ebenso sind die Beziehungen, die die Bezugspersonen zu Arbeitgebern im Golf haben, sehr bedeutend. In den oben genannten Enklaven, aber nicht nur dort, nimmt die Verwendung von persönlichen Netzwerken, trotz dem ab Mitte der 70er Jahre vermehrten Aufkommen von Vermittlungsagenten bis heute eine dominante Rolle ein. Derartige Beziehungen erlangen auch dann eine herausragende Bedeutung, wenn der Migrant im Golfstaat, in diesem Beispiel der VAE, anlangt. Im Falle, dass der Migrant bereits über alle notwendigen Papiere und das Arbeitsvisum verfügt und er deren Hilfe dafür nicht benötigt, können ihm Verwandte und Bekannte vor Ort allerlei nützliche Informationen über Abläufe und Strukturen liefern. So bleiben dem Neuankömmling Fehler und damit Zeit und Geld erspart. Unterstützung erfährt der Migrant häufig dadurch, dass er, selbst wenn es nur vorübergehend ist, den Wohnraum bei Freunden oder Verwandten nutzen kann. Besondere Bedeutung erhält diese Art von Hilfe in Fällen, in denen der Migrant mit einem Touristenvisum eingereist ist und noch kein Arbeitsverhältnis eingegangen ist. Der Anteil dieser Gruppe lag laut ZPR-Studie bei 17 % und laut Befragung des Autors bei knapp 50 %. Die Reise in die VAE ist mittels eines Touristenvisums auch den Indern möglich, die im Normalfalle die Migrationserlaubnis der indischen Regierung einholen müssten. Diese lassen sich im Reisepass einen Vermerk anbringen, welcher sie als Nichtarbeitssuchende ausweist, was sie aber nicht daran hindert, sofort nach Ankunft in den VAE auf Arbeitssuche zu gehen. Diese Suche erfolgt in den meisten Fällen mit Hilfe persönlicher Beziehungen vor Ort. Hat der Suchende Arbeit gefunden, muss er das Land verlassen, um erneut mit einem Arbeitsvisa, welches der Arbeitgeber oder Bürge organisiert hat, einzureisen. Die Hauptfunktionen von indischen Migrationsnetzwerken in die VAE liegen zunächst in der Übertragung, Lieferung, Bereitstellung von Informationen, weiterhin in der Hilfe bei der Akquise von Arbeit durch das Vermitteln eines Arbeitsvertrages für Freunde und Bekannte und darüber hinaus in der Gewährung materieller Hilfe, etwa durch Schenkungen, Leihgaben oder dem Einräumen von Nutzungsrechten (z.B. Wohnung in den VAE). Die Bedeutung der Bürgen für eine informelle Einreise aus Indien: Nach der Behandlung der Abläufe bei der Rekrutierung von Arbeitskräften mittels Agenten, als Beispiel für einen formellen Weg der Migration, soll nun ein weiterer sehr bedeutender Weg der Einreise indischer Arbeiter in die VAE und die Golfstaaten beschrieben werden. Grundlage bildet das im Abschnitt 3.4. beschriebene, in den VAE und allen anderen Golfstaaten installierte, System der Bürgschaftsübernahme. Es beinhaltet das Recht eines einheimischen Bürgen, einen Antrag auf Arbeitskräfte bzw. zusätzliche Arbeitskräfte bei der Visakommission des Arbeitsministeriums zu stellen. In vielen Fällen benötigt dieser selbst aber keine zusätzlichen Arbeiter, sondern er verkauft die Arbeitsvisa an Migranten, welche mit Touristenvisa eingereist sind oder sich noch in Indien befinden. Diese suchen sich nun mit dem "open visa" selbst eine Arbeit. Verlängert sich dieser Prozess, weil der Arbeiter zum Beispiel statt einer Festanstellung nur Gelegenheitsarbeiten findet, so ist er nach Ablauf des nur 60 Tage gültigen Visums gezwungen, den Bürgen des Visums regelmäßig dafür zu bezahlen, ihn nicht anzuzeigen. Gesetzlich wäre der Arbeiter gezwungen, nach Ablauf des Visums das Land zu verlassen. Die Anzahl an auf diese Weise in die Golfländer gelangten Inder war (und ist wahrscheinlich immer noch) bedeutend. "(…)a sample survey conducted among returned migrants in Kerala during mid 1980´s revealed that about 75 percent of them had gone to the Middle East without formal contracts(...)" Es ist zu vermuten, dass ein bedeutender Teil dieser 75 % von Migranten nicht in der Lage war, nach ihrer Einreise ohne gültigen Arbeitsvertrag eine feste Anstellung zu finden. Eine weitere Variante aus diesen Arbeitern Profit herauszuschlagen, ist das Verleihen an Andere die deren Arbeitskraft benötigen. Für die Bürgen ist es keine unbedeutende Geldquelle, wenn sie entweder von einer Anzahl (indischer) Arbeiter monatlich einen Teil von deren Lohn als Schweigegebühr oder aber eine Leihgebühr von anderen Arbeitgebern erhalten. Das gezielte "Verkaufen" von teuren Bürgschaften an Migranten, deren Visa abgelaufen sind, ist gängige Praxis.
Mit den in Österreich 1990 beschlossenen und in vergleichbaren Ländern zur Beschlußfassung anstehenden Gesetzen wird Psychotherapie als eigenständige Profession im Gesundheitssystem anerkannt. Um eine optimale und effiziente Versorgung sicherzustellen, gibt es immer wieder Forderungen und Vorschläge zur Verbesserung der Zusammenarbeit zwischen den im Gesundheitsbereich tätigen Berufsgruppen. Vor dem Hintergrund dieser Entwicklung interessierte uns, welche Aspekte professioneller Kooperation für Psychotherapeuten bedeutsam sind und welche Einstellungen sie dazu haben. Sieben Psychotherapeuten mit langer Berufserfahrung wurden dazu ausführlich interviewt. Auf Grundlage dieser Interviews wurde ein Fragebogen mit 78 Items entwickelt und an 79 Psychotherapeuten erprobt. Die Items des Fragebogens werden zu Themenbereichen zusammengefaßt und interpretiert. Die Analyse der Antworten führte zu einer vorläufigen Typologie von Therapeuten hinsichtlich ihrer Einstellung zu professioneller Kooperation.Schlüsselwörter: Psychotherapeutische Kooperation, Einstellungen, Professionalisierung. ; With the law for psychotherapeutic practice in 1990 psychotherapy entered the health-care system as a new profession. To provide a better and more efficient service politicians and professionals again and again made proposals for an enhancement of co-operation between the different professional groups in this system. On this background the present pilot study examines the opinions of psychotherapists towards cooperation with other professionals outside institutional settings. The study consists of two parts. In a first step seven experienced psychotherapists were interviewed about cooperation and the importance of this topic for their professional work. In a second step a 78-item questionnaire informed by the result of the interviews was administered to 79 psychotherapists in Austria. The result supports a multi-faceted concept of co-operation. The items are grouped according to certain domains and interpreted. An explorative factor analysis of the questionnaire indicates a provisional typology of therapists in regard to their attitudes towards professional co-operation.Keywords: Psychotherapeutic co-operation, attitudes, professionalization. ; La psychothérapie est en passe de devenir profession indépendante au sein du système de santé: des lois ont été approuvées en Autriche en 1990 et sont prêt de l'être dans d'autres pays. Ceci fait que les praticiens de ce métier appartiennent désormais à un domaine professionnel dans lequel se manifeste constamment un besoin d'améliorer la coordination des prestations et la coopération entre leurs fournisseurs.La réforme de la psychiatrie a permis de satisfaire - au moins au niveau régional - l'exigence d'une offre ambulatoire tenant compte de toute la complexité des troubles psycho-sociaux et du fait qu'ils sont indissociables de différents domaines du quotidien des patients; ce but est atteint grâce à une offre de traitements intégrés et multidisciplinaires. Hans Strotzka a proposé que l'on utilise ce même modèle de traitement au niveau de l'offre en psychothérapie: dans le cas idéal, cette dernière ne doit être pratiquée que dans le contexte de groupes interdisciplinaires appliquant une pluralité de méthodes; en effet, ce n'est qu'en procédant ainsi qu'on peut travailler dans des conditions adaptées aux patients et superviser le travail. Le législateur a satisfait jusque dans certaines limites à l'exigence d'une collaboration entre professionnels. Compte tenu des exigences venues soit du sein de la profession, soit de l'extérieur (à savoir surtout des milieux politiques) et demandant que les spécialistes coopèrent en fonction de chaque cas, nous avons voulu savoir quels sont les facteurs que les psychothérapeutes eux-mêmes considèrent comme importants par rapport à cette démarche. L'étude devait être menée en deux étapes: (1) examen préliminaire de l'objet et (2) observation de la collaboration pratique. Notre objectif scientifique était pragmatique: nous voulions savoir quant la collaboration professionnelle est indiquée et quand elle est plus efficace que des méthodes moins exigeantes en rapport avec la coordination des prestations (ex.: adresser le patient à d'autres). Dans la partie de l'étude qui est actuellement terminée (attitudes des psychothérapeutes envers la coopération entre professionnels) nous nous sommes concentrés sur un type de collaboration volontaire pratiquée hors des équipes et institutions existantes; il s'agit là d'un aspect qui a été peu étudié. Des démarches de coopération se trouvent dans tous les domaines du quotidien. Nous coopérons, par exemple, au niveau de la coordination de la vie familiale et du ménage; la forme dominante dans ces domaines est une simple répartition des tâches en fonction du sexe et de l'âge des participants et elle est organisée par le biais d'une démarche ouverte et continue de communication. D'autres types de coopération se trouvent dans les jardins d'enfants, les écoles, etc., bref, collaborer est un élément central du quotidien, qui n'est pas toujours enregistré consciemment et que l'on ne thématise qu'à partir du moment où il ne fonctionne pas. Se référant aux théories du jeu et de l'échange, les spécialistes de la psychologie sociale ont largement étudié la coopération en tant que forme d'interaction humaine. Une des questions centrales de leurs travaux fut: quand faut-il qu'en cours d'interaction une personne coopère avec d'autres, et quand est-il préférable qu'elle se comporte de manière égocentrique ? Un modèle du type de situation correspondant à ce problème a été utilisé dans de nombreuses expériences: celui du "dilemme itératif du prisonnier". Dans ce type de relations sociales une collaboration est élaborée sur des bases rationnelles mais aussi en fonction d'un aspect émotionnel. Les travaux de Winfried Bion présentent une description détaillée de ces phénomènes. L'auteur entend par coopération la formation d'équipes dont l'efficacité dépend de facteurs relevant de la dynamique des groupes. Selon sa thèse centrale, tout groupe social va se subdiviser toujours en deux - un "groupe actif" et un "groupe affectif" - et être influencé par cette division. Ces mêmes phénomènes de dynamique des groupes sont présents lorsque les participants ne se rencontrent pas concrètement; ils se trouvent donc même dans des "groupes virtuels". En fonction des objectifs que nous avions fixés à notre étude, nous avons élaboré une stratégie de recherche en deux étapes. Dans le but de cerner les manières subjectives dont la coopération est considérée, nous avons d'abord mené des interviews semi-structurées avec sept thérapeutes disposant d'une longue pratique professionnelle, considérés comme "coopératifs" et exerçant leur métier dans différents contextes. Les renseignements acquis par le biais de ces interviews, complétés d'informations tirées de la littérature, ont servi à construire un questionnaire comportant 78 items en rapport avec l'attitude des sujets. En tout 79 psychothérapeutes ont rempli ce questionnaire. Les résultats de l'étude montrent que les psychothérapeutes manifestent une attitude positive envers une coopération volontaire pratiquée en fonction de chaque cas et la considèrent comme avantageuse. Ceci fait qu'il y a de bonnes chances pour qu'ils répondent de manière "ouverte" à une offre dans ce sens et qu'un processus de coopération soit mis en marche. Si l'on passe du niveau d'une adhésion globale — que nous avons appelée "représentation idéologique" du concept de coopération - à celui d'attitudes plus étroitement liées à des comportements concrets, il devient utile de différencier plus avant. Une proportion considérable des réponses présente un large degré de variance, ce qui implique qu'il faut accepter que le consensus entre psychothérapeutes n'est pas très marqué. Un grand nombre de personnes interrogées considèrent qu'une coopération entre professionnels permet d'éviter des dommages éventuels. Ceci s'applique autant au préjudice que pourraient souffrir les clients en conséquence de stratégies thérapeutiques qui se bloqueraient mutuellement qu'aux problèmes posés au travail thérapeutique par des clients qui cherchent à mettre en conflit leurs différents thérapeutes. Seule un peu moins de la moitié des personnes interrogées ont une attitude positive envers l'application en psychothérapie du "modèle du case management" pratiqué avec succès dans d'autres domaines du système de santé pour organiser les démarches de coopération. Les attitudes varient également par rapport à une éventuelle collaboration entre spécialistes, telle qu'elle est pratiquée de manière routinière en médecine. Une majorité considère que les coûts indirects occasionnés par le fait que d'autres thérapeutes sont difficilement atteignables ne nuit pas forcément à la collaboration. Pourtant les coûts directs résultant du fait que le travail de coopération n'est pas rémunéré sont perçus par la moitié des thérapeutes interrogés comme un obstacle à la démarche. Alors que nous avions formulé l'hypothèse contraire, une grande majorité ne pense pas que la réussite de cette dernière dépende du sexe des spécialistes concernés. Selon une première classification des psychothérapeutes en fonction de leur attitude envers la collaboration entre professionnels, ceux-ci se répartissent en trois types présumés: (1) le thérapeute est ouvert à une coopération à différents niveaux; (2) le thérapeute a une attitude généralement positive, mais ne collabore que de manière très sélective; (3) le thérapeute ne s'intéresse pas à une coopération ou même rejette cette possibilité. A notre avis les résultats de l'étude permettent de conclure que lorsqu'il s'agit de coopérer, les psychothérapeutes ne disposent pas de routines établies et élaborent leurs propres stratégies en cours de carrière. Cet aspect s'est manifesté clairement dans les interviews menées dès le début du projet; il se confirme en outre par le fait qu'on n'enregistre pas de différences statistiques entre les trois indices lorsqu'on subdivise l'échantillon en fonction de la profession d'origine des thérapeutes, de leur situation professionnelle, de leur orientation thérapeutique et de la durée de leur activité professionnelle. Nous n'acceptons toutefois pas l'idée qu'en ce qui concerne la collaboration entre psychothérapeutes, des solutions simples existent, qui seraient applicables à tous les cas. L'un des objectifs de notre étude était de cerner une "atmosphère", au-delà de la manière subjective dont l'individu perçoit la situation. Il s'agira de compléter les résultats présentés ici - et concernant des attitudes - d'une étude de la pratique "vécue" de la collaboration entre professionnels. Ceci devrait permettre de répondre aux questions suivantes: Dans quelles conditions et avec quelle fréquence une collaboration est-elle vraiment pratiquée ? Quelles sont les alternatives à cette forme très complexe d'interaction sociale ? Quels sont les rapports entre "attitude envers la coopération" et "comportement coopératif" ? Ce n'est qu'une fois qu'une étude auprès d'un échantillon représentatif de psychothérapeutes aura été menée et aura fourni des réponses à ces questions qu'on pourra, par exemple, exiger des responsables qu'ils intègrent à la formation (continue) un apprentissage de la coopération en tant que "skill" professionnel. ; unknown ; publishedVersion
Mit den in Österreich 1990 beschlossenen und in vergleichbaren Ländern zur Beschlußfassung anstehenden Gesetzen wird Psychotherapie als eigenständige Profession im Gesundheitssystem anerkannt. Um eine optimale und effiziente Versorgung sicherzustellen, gibt es immer wieder Forderungen und Vorschläge zur Verbesserung der Zusammenarbeit zwischen den im Gesundheitsbereich tätigen Berufsgruppen. Vor dem Hintergrund dieser Entwicklung interessierte uns, welche Aspekte professioneller Kooperation für Psychotherapeuten bedeutsam sind und welche Einstellungen sie dazu haben. Sieben Psychotherapeuten mit langer Berufserfahrung wurden dazu ausführlich interviewt. Auf Grundlage dieser Interviews wurde ein Fragebogen mit 78 Items entwickelt und an 79 Psychotherapeuten erprobt. Die Items des Fragebogens werden zu Themenbereichen zusammengefaßt und interpretiert. Die Analyse der Antworten führte zu einer vorläufigen Typologie von Therapeuten hinsichtlich ihrer Einstellung zu professioneller Kooperation.Schlüsselwörter: Psychotherapeutische Kooperation, Einstellungen, Professionalisierung. ; With the law for psychotherapeutic practice in 1990 psychotherapy entered the health-care system as a new profession. To provide a better and more efficient service politicians and professionals again and again made proposals for an enhancement of co-operation between the different professional groups in this system. On this background the present pilot study examines the opinions of psychotherapists towards cooperation with other professionals outside institutional settings. The study consists of two parts. In a first step seven experienced psychotherapists were interviewed about cooperation and the importance of this topic for their professional work. In a second step a 78-item questionnaire informed by the result of the interviews was administered to 79 psychotherapists in Austria. The result supports a multi-faceted concept of co-operation. The items are grouped according to certain domains and interpreted. An explorative factor analysis of the questionnaire indicates a provisional typology of therapists in regard to their attitudes towards professional co-operation.Keywords: Psychotherapeutic co-operation, attitudes, professionalization. ; La psychothérapie est en passe de devenir profession indépendante au sein du système de santé: des lois ont été approuvées en Autriche en 1990 et sont prêt de l'être dans d'autres pays. Ceci fait que les praticiens de ce métier appartiennent désormais à un domaine professionnel dans lequel se manifeste constamment un besoin d'améliorer la coordination des prestations et la coopération entre leurs fournisseurs.La réforme de la psychiatrie a permis de satisfaire - au moins au niveau régional - l'exigence d'une offre ambulatoire tenant compte de toute la complexité des troubles psycho-sociaux et du fait qu'ils sont indissociables de différents domaines du quotidien des patients; ce but est atteint grâce à une offre de traitements intégrés et multidisciplinaires. Hans Strotzka a proposé que l'on utilise ce même modèle de traitement au niveau de l'offre en psychothérapie: dans le cas idéal, cette dernière ne doit être pratiquée que dans le contexte de groupes interdisciplinaires appliquant une pluralité de méthodes; en effet, ce n'est qu'en procédant ainsi qu'on peut travailler dans des conditions adaptées aux patients et superviser le travail. Le législateur a satisfait jusque dans certaines limites à l'exigence d'une collaboration entre professionnels. Compte tenu des exigences venues soit du sein de la profession, soit de l'extérieur (à savoir surtout des milieux politiques) et demandant que les spécialistes coopèrent en fonction de chaque cas, nous avons voulu savoir quels sont les facteurs que les psychothérapeutes eux-mêmes considèrent comme importants par rapport à cette démarche. L'étude devait être menée en deux étapes: (1) examen préliminaire de l'objet et (2) observation de la collaboration pratique. Notre objectif scientifique était pragmatique: nous voulions savoir quant la collaboration professionnelle est indiquée et quand elle est plus efficace que des méthodes moins exigeantes en rapport avec la coordination des prestations (ex.: adresser le patient à d'autres). Dans la partie de l'étude qui est actuellement terminée (attitudes des psychothérapeutes envers la coopération entre professionnels) nous nous sommes concentrés sur un type de collaboration volontaire pratiquée hors des équipes et institutions existantes; il s'agit là d'un aspect qui a été peu étudié. Des démarches de coopération se trouvent dans tous les domaines du quotidien. Nous coopérons, par exemple, au niveau de la coordination de la vie familiale et du ménage; la forme dominante dans ces domaines est une simple répartition des tâches en fonction du sexe et de l'âge des participants et elle est organisée par le biais d'une démarche ouverte et continue de communication. D'autres types de coopération se trouvent dans les jardins d'enfants, les écoles, etc., bref, collaborer est un élément central du quotidien, qui n'est pas toujours enregistré consciemment et que l'on ne thématise qu'à partir du moment où il ne fonctionne pas. Se référant aux théories du jeu et de l'échange, les spécialistes de la psychologie sociale ont largement étudié la coopération en tant que forme d'interaction humaine. Une des questions centrales de leurs travaux fut: quand faut-il qu'en cours d'interaction une personne coopère avec d'autres, et quand est-il préférable qu'elle se comporte de manière égocentrique ? Un modèle du type de situation correspondant à ce problème a été utilisé dans de nombreuses expériences: celui du "dilemme itératif du prisonnier". Dans ce type de relations sociales une collaboration est élaborée sur des bases rationnelles mais aussi en fonction d'un aspect émotionnel. Les travaux de Winfried Bion présentent une description détaillée de ces phénomènes. L'auteur entend par coopération la formation d'équipes dont l'efficacité dépend de facteurs relevant de la dynamique des groupes. Selon sa thèse centrale, tout groupe social va se subdiviser toujours en deux - un "groupe actif" et un "groupe affectif" - et être influencé par cette division. Ces mêmes phénomènes de dynamique des groupes sont présents lorsque les participants ne se rencontrent pas concrètement; ils se trouvent donc même dans des "groupes virtuels". En fonction des objectifs que nous avions fixés à notre étude, nous avons élaboré une stratégie de recherche en deux étapes. Dans le but de cerner les manières subjectives dont la coopération est considérée, nous avons d'abord mené des interviews semi-structurées avec sept thérapeutes disposant d'une longue pratique professionnelle, considérés comme "coopératifs" et exerçant leur métier dans différents contextes. Les renseignements acquis par le biais de ces interviews, complétés d'informations tirées de la littérature, ont servi à construire un questionnaire comportant 78 items en rapport avec l'attitude des sujets. En tout 79 psychothérapeutes ont rempli ce questionnaire. Les résultats de l'étude montrent que les psychothérapeutes manifestent une attitude positive envers une coopération volontaire pratiquée en fonction de chaque cas et la considèrent comme avantageuse. Ceci fait qu'il y a de bonnes chances pour qu'ils répondent de manière "ouverte" à une offre dans ce sens et qu'un processus de coopération soit mis en marche. Si l'on passe du niveau d'une adhésion globale — que nous avons appelée "représentation idéologique" du concept de coopération - à celui d'attitudes plus étroitement liées à des comportements concrets, il devient utile de différencier plus avant. Une proportion considérable des réponses présente un large degré de variance, ce qui implique qu'il faut accepter que le consensus entre psychothérapeutes n'est pas très marqué. Un grand nombre de personnes interrogées considèrent qu'une coopération entre professionnels permet d'éviter des dommages éventuels. Ceci s'applique autant au préjudice que pourraient souffrir les clients en conséquence de stratégies thérapeutiques qui se bloqueraient mutuellement qu'aux problèmes posés au travail thérapeutique par des clients qui cherchent à mettre en conflit leurs différents thérapeutes. Seule un peu moins de la moitié des personnes interrogées ont une attitude positive envers l'application en psychothérapie du "modèle du case management" pratiqué avec succès dans d'autres domaines du système de santé pour organiser les démarches de coopération. Les attitudes varient également par rapport à une éventuelle collaboration entre spécialistes, telle qu'elle est pratiquée de manière routinière en médecine. Une majorité considère que les coûts indirects occasionnés par le fait que d'autres thérapeutes sont difficilement atteignables ne nuit pas forcément à la collaboration. Pourtant les coûts directs résultant du fait que le travail de coopération n'est pas rémunéré sont perçus par la moitié des thérapeutes interrogés comme un obstacle à la démarche. Alors que nous avions formulé l'hypothèse contraire, une grande majorité ne pense pas que la réussite de cette dernière dépende du sexe des spécialistes concernés. Selon une première classification des psychothérapeutes en fonction de leur attitude envers la collaboration entre professionnels, ceux-ci se répartissent en trois types présumés: (1) le thérapeute est ouvert à une coopération à différents niveaux; (2) le thérapeute a une attitude généralement positive, mais ne collabore que de manière très sélective; (3) le thérapeute ne s'intéresse pas à une coopération ou même rejette cette possibilité. A notre avis les résultats de l'étude permettent de conclure que lorsqu'il s'agit de coopérer, les psychothérapeutes ne disposent pas de routines établies et élaborent leurs propres stratégies en cours de carrière. Cet aspect s'est manifesté clairement dans les interviews menées dès le début du projet; il se confirme en outre par le fait qu'on n'enregistre pas de différences statistiques entre les trois indices lorsqu'on subdivise l'échantillon en fonction de la profession d'origine des thérapeutes, de leur situation professionnelle, de leur orientation thérapeutique et de la durée de leur activité professionnelle. Nous n'acceptons toutefois pas l'idée qu'en ce qui concerne la collaboration entre psychothérapeutes, des solutions simples existent, qui seraient applicables à tous les cas. L'un des objectifs de notre étude était de cerner une "atmosphère", au-delà de la manière subjective dont l'individu perçoit la situation. Il s'agira de compléter les résultats présentés ici - et concernant des attitudes - d'une étude de la pratique "vécue" de la collaboration entre professionnels. Ceci devrait permettre de répondre aux questions suivantes: Dans quelles conditions et avec quelle fréquence une collaboration est-elle vraiment pratiquée ? Quelles sont les alternatives à cette forme très complexe d'interaction sociale ? Quels sont les rapports entre "attitude envers la coopération" et "comportement coopératif" ? Ce n'est qu'une fois qu'une étude auprès d'un échantillon représentatif de psychothérapeutes aura été menée et aura fourni des réponses à ces questions qu'on pourra, par exemple, exiger des responsables qu'ils intègrent à la formation (continue) un apprentissage de la coopération en tant que "skill" professionnel.
Background: The prevalence of type 2 diabetes mellitus (T2D) and the number of patients with comorbidities like hypertension, dyslipidemia and cardiovascular diseases are increasing worldwide. Evidence-based medicine uses the best available evidence from systematic research to make decisions about the care of individual patients. The systematisation and appraisal of evidence are done in care guidelines, which in turn aim to guide the application of effective diabetes prevention and care interventions in different age groups and settings. Patients with T2D need continuous and individualised care. They are therefore seen as the ideal target group for the use of digital health interventions like telemedicine. However, heterogeneous patient populations, telemedicine phenotypes and settings hamper the evaluation of digital health interventions. Comparing study results to provide evidence-based recommendations is further complicated by the diversity of applied study designs. Therefore, there is a need for a systematic review of the current state of research while considering the described variability. In line with this aim five research studies were conducted. Objective: The overall objective of this thesis was, to identify current needs of patients with diabetes (publication 1), to systematically analyse the effectiveness of different diabetes prevention and care interventions (publications 2+3) and to evaluate digital diabetes prevention and care interventions (publications 4+5). Material und Method: To analyse current needs of patients with diabetes, three substudies were conducted in the beginning (publication 1). They consisted of a standardised survey of experts to analyse existing chronic care programs, an expert workshop to identify patients' needs and an online survey to prioritise the categorised needs dimensions seen from the perspective of patients and health care providers. Two literature overviews were performed to analyse the best available evidence in diabetes prevention and care. An umbrella review analysed the available evidence to identify effective interventions of blood sugar regulation on cardiovascular risk (publication 2). Study quality was assessed using OQAQ (Overview Quality Assessment Questionnaire). Afterwards, a literature overview aimed to identify effective measures of population-based prevention and communication strategies to provide recommendations for policy makers on how to prevent diabetes in different age groups and settings (publication 3). In a next step, digital diabetes prevention and care interventions were summarised. To evaluate digital health interventions with more than one active function, a study protocol was developed. It describes the evaluation of a hypothetical gamification-based smartphone application for weight loss in overweight and obese adolescents (publication 4). As a last step, an umbrella review (publication 5) systematically analysed the effectiveness of telemedicine interventions in diabetes, dyslipidaemia and hypertension. Potentially relevant records had to analyse the effectiveness of telemedicine on clinical outcomes under real-life conditions in patients with one of the defined target diseases using either a systematic review or meta-analysis based on RCTs. Results of meta-analyses and their subgroup analyses were used to identify effective components or other characteristics (e.g. intensity or frequency of feedback). Overall certainty of outcomes was assessed using the Grading of Recommendations, Assessment, Development and Evaluation (GRADE) tool. Results and Implications: The standardised survey on current care models indicated that a lack of national guidelines, cost-ineffective and non-individualised health care as well as long waiting periods were criticised. Education of patients, communication within the team and with the patient, prevention and health promotion as well as the accessibility of services were significantly more important to patients when compared to health care providers. The identified differences in priorities support the early assessment of these preferences. The umbrella review on the potential of blood sugar regulation for the reduction of cardiovascular risk identified 44 records which were of good quality (OQAQ-median = 17). The results suggest that pharmacological and non-pharmacological interventions have the potential to improve cardiovascular outcomes. When deciding for a certain intervention as well as its intensity, baseline blood pressure and cardiovascular risks of the patient should be considered. Guidelines on cardiovascular prevention should take into account pathophysiological mechanisms as well as individual lifestyle interventions. While effective measures for individual level prevention including physical activity and diet programs were found, available evidence for population-based intervention was scarce and insufficient. The literature overview conducted afterwards identified evidence-based interventions for population-based prevention, including taxation of unhealthy products and specific prevention strategies in certain settings (e.g. kindergartens, schools). These strategies may contribute to the development of policies and governmental regulations for the prevention of diabetes in different age groups and settings. To evaluate a digital mobile health intervention consisting of more than one component, a study protocol for a single-centre, two-arm, triple-blinded, randomised controlled trial following the CONSORT recommendations was developed. The intervention consists of a smartphone application that provides both tracking and gamification elements for lifestyle change. The control group uses an identically designed application, which solely features the tracking of health information. It appears favourable to use RCTs for proof of concept assessments, to evaluate the effectiveness of an app or specific components in controlled settings. The fifth publication of this thesis shows that telemedicine may lead to significant and clinically relevant reductions of HbA1c (≤ -0,5 %) in patients with T2D. The identified reduction rates are comparable to those of non-pharmacological and even some pharmacological interventions. Extracted subgroup analyses showed that certain population and intervention characteristics seem to be associated with improved clinical benefits. This applies to interventions with a rather short duration ( 8,0 %) were identified as population characteristics favourable for clinically relevant improvements of HbA1c. In addition to the characteristics, future updates of guidelines should carefully consider the low levels of certainty as indicated by the low GRADE results. The present thesis provides a systematic overview of effective measures in diabetes prevention and care. Overall, there is a potential for the early and structured assessment of patients' preferences. The systematisation and appraisal of the best available evidence on the effectiveness of telemedicine in patients with diabetes and associated comorbidities revealed areas for the update of present guidelines. There is a need for methodologically robust studies on the effectiveness of telemedicine in specific populations and in consideration of combined digital health components. The results and identified research needs have the potential to motivate future studies.:Inhaltsverzeichnis I Abkürzungsverzeichnis III Abbildungsverzeichnis VI Tabellenverzeichnis VII Liste der entstandenen Publikationen VIII 1 Einführung in die Thematik 1 1.1 Diabetes 1 1.1.1 Epidemiologie 1 1.1.2 Krankheitstypen, Krankheitsstadien und Begleiterkrankungen 2 1.1.3 Diabetesprävention 5 1.1.4 Diabetesversorgung 6 1.2 Evidenzbasierte Medizin 9 1.3 Digitalisierung 14 1.4 Stand der Forschung 15 1.4.1 Unterstützungs- und Versorgungsprobleme 15 1.4.2 Individuelle und populationsbasierte Maßnahmen zur Diabetesprävention 16 1.4.3 Herausforderungen digitaler Diabetesprävention und -versorgung 22 1.5 Zieldefinition und Fragestellung 25 2 Thematischer Zusammenhang und Methodenüberblick 26 3 Individualising Chronic Care Management by Analysing Patients' Needs – A Mixed Method Approach 28 4 Blood Sugar Regulation for Cardiovascular Health Promotion and Disease Prevention 31 5 What should governments be doing to prevent diabetes throughout the life course? 34 6 Efficacy of gamification-based smartphone application for weight loss in overweight and obese adolescents: study protocol for a phase II randomized controlled trial 36 7 Mapping the Evidence on the Effectiveness of Telemedicine Interventions in Diabetes, Dyslipidemia, and Hypertension: An Umbrella Review of Systematic Reviews and Meta-Analyses 38 8 Diskussion und Ausblick 41 8.1 Einordnung der Ergebnisse 41 8.2 Limitationen und Methodenkritik 49 8.3 Wissenschaftliche Kontribution und Ausblick 50 9 Schlussfolgerung 51 10 Zusammenfassung 53 11 Summary 57 12 Literaturverzeichnis 60 13 Anhang 110 13.1 Wissenschaftliche Kontribution der Publikationen 110 13.2 Details zu Publikationen als Erstautor 112 13.3 Volltexte der entstandenen Veröffentlichungen 117 13.4 Curriculum Vitae 198 13.5 Danksagung 199 Anlage 1 200 Anlage 2 202 ; Hintergrund: Die Häufigkeit des Typ-2-Diabetes mellitus (T2D) sowie die Zahl von Patienten mit Begleiterkrankungen wie Hypertonie, Lipidstoffwechselstörungen und kardiovaskulären Erkrankungen sind weltweit ansteigend. Die evidenzbasierte Medizin nutzt die beste verfügbare Evidenz aus systematischer Forschung um Entscheidungen für die individuelle Patientenversorgung zu treffen. Die Aufarbeitung und Bewertung der Evidenz erfolgt in Versorgungsleitlinien, welche wiederum zur Verwendung wirksamer Maßnahmen der Diabetesprävention und -versorgung in verschiedenen Altersgruppen und Settings anleiten können. Patienten mit T2D bedürfen der kontinuierlichen und individualisierten Versorgung. Sie gelten daher als ideale Patientengruppe, um digitale Versorgungsformen wie Telemedizin zu nutzen. Heterogene Patientenpopulationen, Telemedizinanwendungen und Settings erschweren jedoch die Evaluation digitaler Gesundheitsanwendungen. Zusätzlich wird durch die Diversität der angewandten Studiendesigns ein Vergleich der Studienergebnisse, mit dem Ziel evidenzbasierte Empfehlungen zu formulieren, verkompliziert. Es fehlt daher an einer systematischen Aufarbeitung des Forschungsstands unter Berücksichtigung der geschilderten Variabilität. Mit diesem Ziel wurden fünf Forschungsarbeiten angefertigt. Fragestellung: Übergeordnetes Ziel der vorliegenden Arbeit war es, bestehende Unterstützungs- und Versorgungsprobleme von Patienten mit Diabetes zu identifizieren (Publikation 1), die Wirksamkeit verschiedener Maßnahmen der Prävention und Versorgung des Diabetes systematisch aufzubereiten (Publikationen 2+3) und digitale Diabetespräventions- und –versorgungsstrategien zu bewerten (Publikationen 4+5). Material und Methode: Mit dem Ziel, bestehende Unterstützungs- und Versorgungsprobleme von Patienten mit Diabetes zu analysieren, wurden zu Beginn drei Teilstudien durchgeführt (Publikation 1). Diese beinhalteten eine standardisierte Expertenbefragung zu bestehenden Versorgungsmodellen, einen Workshop zur Identifikation von Versorgungs- und Unterstützungsproblemen und die Durchführung einer mehrsprachigen Online-Befragung zur Priorisierung der kategorisierten Problembereiche aus Sicht der Patienten und Leistungserbringer. Zur Analyse der besten verfügbaren Evidenz zur Diabetesprävention und –versorgung wurden zwei Übersichtsarbeiten durchgeführt. Ein Umbrella Review untersuchte die verfügbare Evidenz effektiver Maßnahmen der Blutzuckerregulation auf das kardiovaskuläre Risiko (Publikation 2). Die Studienqualität wurde durch OQAQ (Overview Quality Assessment Questionnaire) bewertet. Im Anschluss hatte eine Literaturübersicht das Ziel, wirksame Maßnahmen der Verhältnisprävention sowie Kommunikations-strategien zu identifizieren, um Handlungsempfehlungen abzuleiten, wie politische Entscheidungsträger in verschiedenen Altersgruppen und Settings Diabetes verhindern können (Publikation 3). In einem nächsten Schritt wurden Ansätze der digitalen Diabetesprävention und –versorgung aufgearbeitet. Zur Evaluation von digitalen Interventionen mit mehr als einer aktiven Funktion wurde ein Studienprotokoll entwickelt. Dieses beschreibt die Evaluation einer (hypothetischen) spielbasierten mobilen Applikation zur Gewichtsreduzierung bei übergewichtigen und adipösen Jugendlichen (Publikation 4). Im letzten Schritt wurde ein Umbrella Review (Publikation 5) durchgeführt, um die Wirksamkeit von Telemedizin bei Patienten mit Diabetes, Lipidstoffwechselstörungen und Hypertonie systematisch zu erheben. Potentiell relevante Forschungsarbeiten mussten die Wirksamkeit (effectiveness) von Telemedizin auf klinische Outcomeparameter unter realweltlichen Bedingungen bei mindestens einer der definierten Erkrankungen in Form von systematischen Übersichtsarbeiten und Meta-Analysen auf Basis von RCTs untersucht haben. Ergebnisse von Meta-Analysen und deren Subgruppenanalysen wurden herangezogen, um effektive Funktionen oder andere Charakteristika (z.B. Intensität oder Häufigkeit von Feedback) zu identifizieren. Um das Vertrauen in den Effektschätzer der Subgruppenanalysen zu bewerten, wurde das GRADE-Schema (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) angewandt. Ergebnisse und Schlussfolgerungen: Die standardisierte Befragung zu verfügbaren Versorgungsmodellen von Patienten mit Diabetes ergab, dass das Fehlen nationaler Versorgungsleitlinien, nicht kosteneffektive und nicht-individualisierte Versorgung sowie lange Wartezeiten häufig bemängelt wurden. Für die befragten Patienten waren im Vergleich zu den befragten Leistungserbringern die Patientenschulung, Kommunikation im Behandlungsteam und mit dem Patienten, die Prävention und Gesundheitsförderung, sowie die Verfügbarkeit der Versorgungsdienstleistungen signifikant wichtiger. Die identifizierten unterschiedlichen Prioritäten zwischen den an der Versorgung beteiligten Akteuren legen nahe, diese Präferenzen frühzeitig zu erfassen. Der Umbrella Review zum Potential der Blutzuckerregulation für Verbesserungen kardiovaskulärer Risiken identifizierte 44 Übersichtsarbeiten mit mehrheitlich guter Qualität (OQAQ-Median = 17). Unter Berücksichtigung unterschiedlicher Endpunkte legen die Erkenntnisse nahe, dass sowohl pharmakologische als auch nicht-pharmakologische Interventionen kardiovaskuläre Endpunkte verbessern können. Die Entscheidung für eine Intervention und ihre Intensität sollte neben dem Blutdruck auch das bestehende kardiovaskuläre Risiko zu Beginn der Behandlung berücksichtigen. Leitlinien im Bereich der kardiovaskulären Prävention sollten sowohl pathophysiologische Mechanismen als auch individuelle verhaltensorientierte Präventionsmaßnahmen einbeziehen. Während im Bereich der Verhaltensprävention wirksame Strategien, wie die Steigerung der körperlichen Aktivität und die Anpassung der Ernährungsgewohnheiten, identifiziert wurden, war die verfügbare Evidenz von populationsbasierten Maßnahmen der Verhältnisprävention im durchgeführten Umbrella Review begrenzt und nicht belastbar. Die im Anschluss durchgeführte Literaturübersicht konnte jedoch belastbare Evidenz zur Verhältnisprävention, wie die Besteuerung ungesunder Nahrungsmittel und spezifische Präventionsmaßnahmen in Settings (z.B. Kindergarten, Schule etc.), identifizieren. Diese Ansätze können dazu beitragen, regulatorische Maßnahmen zur Diabetesprävention in verschiedenen Altersgruppen und Settings zu entwickeln. Zur Evaluation einer mobilen digitalen Gesundheitsanwendung mit mehreren Funktionen wurde ein CONSORT-konformes Studienprotokoll für eine monozentrische, zweiarmige, dreifach verblindete, randomisierte, kontrollierte Studie entwickelt. Die Intervention bestand aus einer Smartphone-Applikation, die "Tracking" und spielerische Anregungen zur Lebensstiländerung verbindet. Die Kontrollgruppe erhielt eine Smartphone-Applikation mit identischem Design, die jedoch ausschließlich Tracking von Gesundheitsinformationen anbietet. Im Rahmen des frühen Wirksamkeitsnachweises scheinen RCTs hilfreich, um die Wirksamkeit einer App bzw. ausgewählter Funktionen klinisch kontrolliert zu testen. Die fünfte Publikation der vorliegenden Dissertation zeigt, dass Telemedizin den HbA1c bei Patienten mit T2D klinisch relevant (≤ -0,5 %) reduzieren kann. Die identifizierten Reduktionsraten sind mit jenen von etablierten lebensstilmodifizierenden und selbst einigen pharmakologischen Interventionen vergleichbar. Extrahierte Subgruppenanalysen legen nahe, dass bestimmte Populations- und Interventionscharakteristika mit einer gesteigerten Wirksamkeit assoziiert sind. Hierzu gehören Interventionen mit relativ kurzer Dauer ( 8,0 %) wurden als Patientencharakteristika identifiziert, bei denen Telemedizin zu klinisch relevanten und signifikanten Verbesserungen des HbA1c führte. Neben diesen Charakteristika sollten zukünftige Leitlinienupdates das geringe Vertrauen in die Effektschätzer, in Form der schlechten GRADE Bewertungen, berücksichtigen. Die vorliegende kumulative Dissertation liefert einen Beitrag zur systematischen Übersicht über wirksame Ansätze der Diabetesprävention und –versorgung. In der Gesamtschau zeigt sich ein Potential für die frühzeitige und strukturierte Berücksichtigung von Patientenpräferenzen. Durch die Aufbereitung und methodische Bewertung der verfügbaren Evidenz zur Wirksamkeit von Telemedizin bei Diabetes und assoziierten Begleiterkrankungen wurden Ansätze für die gezielte Aktualisierung bestehender Leitlinien identifiziert. Es besteht ein Bedarf für methodisch robuste Studien zur Wirksamkeit von Telemedizin in spezifischen Populationen und unter Berücksichtigung der Kombination digitaler Interventionsfunktionen. Die Ergebnisse und identifizierten Forschungsbedarfe haben das Potential, zukünftige Studien zu motivieren.:Inhaltsverzeichnis I Abkürzungsverzeichnis III Abbildungsverzeichnis VI Tabellenverzeichnis VII Liste der entstandenen Publikationen VIII 1 Einführung in die Thematik 1 1.1 Diabetes 1 1.1.1 Epidemiologie 1 1.1.2 Krankheitstypen, Krankheitsstadien und Begleiterkrankungen 2 1.1.3 Diabetesprävention 5 1.1.4 Diabetesversorgung 6 1.2 Evidenzbasierte Medizin 9 1.3 Digitalisierung 14 1.4 Stand der Forschung 15 1.4.1 Unterstützungs- und Versorgungsprobleme 15 1.4.2 Individuelle und populationsbasierte Maßnahmen zur Diabetesprävention 16 1.4.3 Herausforderungen digitaler Diabetesprävention und -versorgung 22 1.5 Zieldefinition und Fragestellung 25 2 Thematischer Zusammenhang und Methodenüberblick 26 3 Individualising Chronic Care Management by Analysing Patients' Needs – A Mixed Method Approach 28 4 Blood Sugar Regulation for Cardiovascular Health Promotion and Disease Prevention 31 5 What should governments be doing to prevent diabetes throughout the life course? 34 6 Efficacy of gamification-based smartphone application for weight loss in overweight and obese adolescents: study protocol for a phase II randomized controlled trial 36 7 Mapping the Evidence on the Effectiveness of Telemedicine Interventions in Diabetes, Dyslipidemia, and Hypertension: An Umbrella Review of Systematic Reviews and Meta-Analyses 38 8 Diskussion und Ausblick 41 8.1 Einordnung der Ergebnisse 41 8.2 Limitationen und Methodenkritik 49 8.3 Wissenschaftliche Kontribution und Ausblick 50 9 Schlussfolgerung 51 10 Zusammenfassung 53 11 Summary 57 12 Literaturverzeichnis 60 13 Anhang 110 13.1 Wissenschaftliche Kontribution der Publikationen 110 13.2 Details zu Publikationen als Erstautor 112 13.3 Volltexte der entstandenen Veröffentlichungen 117 13.4 Curriculum Vitae 198 13.5 Danksagung 199 Anlage 1 200 Anlage 2 202
Der Focus dieser Arbeit liegt auf den strategischen Reaktionen deutscher Städte (insbesondere Stadtpolitik und Stadtverwaltung) auf den demographischen Wandel als ein gesamtdeutsches gesellschaftliches Phänomen, welches sich räumlich differenziert darstellt. Was sind vor diesem Hintergrund die wahrgenommenen Probleme und wie gehen die Städte damit um? Was sind handlungsleitende Strategien? Im Rahmen des Dissertationsvorhabens wurden 122 Städte bezüglich der Fragestellungen untersucht (Auswertung der demographischen Daten, Recherche auf den Homepages der Städte, Analyse der Neujahrsansprachen der Oberbürgermeister, Untersuchung der explizit artikulierten Strategien der Städte in Form von Stadtentwicklungs- und Integrationskonzepten). Die breite Auswahl empirischer Ergebnisse in der Art eines Surveys ergänzt die auf Fallstudien basierenden Forschungen zum demographischen Wandel in Deutschland. Die demographischen Veränderungen werden im Allgemeinen von den Städten als Herausforderung erkannt und auch thematisiert (in 50 von 104 Neujahrsansprachen explizit erwähnt). Die Städte stellen sich der Herausforderung, wollen aktiv in das Geschehen eingreifen: einerseits am Verteilungskampf um Bevölkerung teilhaben/den Trend umkehren und sich aktiv um Bevölkerungszuwanderung bemühen; andererseits die mit dem Wandel einhergehenden Probleme bewältigen und gegebenenfalls die Strukturen an die neue Situation anpassen. 60 von 122 Städten verzeichnen schon jetzt einen Rückgang ihrer Bevölkerung, 62 haben noch Bevölkerungswachstum. Wahrgenommene Probleme bezüglich des Bevölkerungsrückganges sind in erster Linie Leerstände im Wohnbereich, der geringere Anteil an jüngeren Menschen, unterausgelastete soziale und technische Infrastruktur sowie eine steigende Pro-Kopf-Verschuldung der Einwohner. Strategien der Städte im Umgang mit dem Bevölkerungsrückgang sind in erster Linie eine aktivierende Familienpolitik (z.B. Familienfreundliche Stadt, Bauland für Familien, Bündnis für Familie, Familienpass, bessere Vereinbarkeit von Beruf und Familie), der Ausbau der Bildungs- und Betreuungseinrichtungen (z.B. Ganztagsschulen, Betriebskindergärten, Krippen, etc.) sowie der Stadtumbau zur Anpassung der Strukturen an die sich ändernden Rahmenbedingungen. Bei 58 von 122 Städten findet sich das Thema Alterung auf den Internetseiten der Städte wieder. In diesem Zusammenhang werden besonders die Herausforderungen im Umgang mit der Bereitstellung einer altersgerechten Infrastruktur und einer optimalen Gesundheitsversorgung herausgestellt. Bezüglich der Strategien überwiegen Ansätze zur Verbesserung der Pflegesituation und des seniorengerechten Wohnens (z.B. betreutes Wohnen, Mehrgenerationenhaus), aber auch der Wissenstransfer von Alt zu Jung soll gefördert werden. Desweiteren werden in 111 von 122 Städten die Belange der älteren Mitbürger von sogenannten Seniorenbeiräten vertreten. Dass der Teilaspekt der Heterogenisierung einen zentralen Aspekt darstellt, zeigen die Ergebnisse der Interneterhebung – bei 108 von 122 Städten fanden sich Treffer zum Thema Integration. Der Ausländeranteil in den untersuchten Städten liegt zwischen 1,4 Prozent in Gera und 25,1 Prozent in Offenbach. Trotz der Integrationsbemühungen vieler Städte zeigen sich doch vielschichtige Probleme – Sprachprobleme, geringe berufliche Qualifizierung, Rückzug der Migranten in Nischenwelten (Segregation, Herausbildung von Parallelgesellschaften), hohe Arbeitslosigkeit, kein Wahrnehmen der Integrationsangebote (z.B. Integrationskurse) und auch Ausländerfeindlichkeit und Rechtsextremismus. Dem allen versuchen die Städte zu begegnen – in erster Linie in ihrer Sprache, indem sie sich als weltoffen und tolerant bezeichnen. Desweiteren setzen sich für die Belange der ausländischen Mitbürger in 90 Städten sogenannte Aus-länderbeiräte oder auch Integrationsbeiräte ein. In 25 Städten gibt es anstelle eines Beirates - oder zusätzlich - einen Integrationsbeauftragten. 14 von 122 Städten besitzen weder einen Beirat noch einen Integrationsbeauftragten. 50 Städte weisen schon explizit artikulierte Strategien in Form von Integrationskonzepten auf. Bei 28 weiteren Städten ist ein solches Konzept in Arbeit. Die Sprachförderung wird in den meisten Konzepten als Schlüssel zu Bildung und Integration angesehen. Weitere Strategien sind die Förderung der Arbeitsmarktintegration, die interkulturelle Öffnung und die Partizipation am öffentlichen Leben. Bei der Zusammenführung der sektoralen Strategien der Fachämter in eine übergeordnete für die Gesamtstadt geltende Strategie, leisten 'Integrierte Stadtentwicklungskonzepte' bereits in 70 Städten einen wichtigen Beitrag. Durch ein abgestimmtes Vorgehen können aufgrund der geringeren Finanzausstattung der Kommunen Prioritäten gesetzt und Handlungsschwerpunkte festgelegt werden. Nur ein solch integrierter Ansatz wird es den Städten in Zukunft ermöglichen, ihre Handlungsfähigkeit zu bewahren.:1 Einleitung 3 1.1 Demographischer Wandel und Strategien der Stadtentwicklung – Stand der Diskussion 3 1.2 Problemstellung und Forschungsfragen 8 1.3 Allgemeiner Bezugsrahmen der Arbeit 9 1.4 Empirischer Bezugsrahmen 10 1.4.1 Untersuchungsgegenstand 10 1.4.2 Erhebungsmethoden 12 1.5 Aufbau der Arbeit 16 2 Die Stadt im Kontext des demographischen Wandels 17 2.1 Die Stadt 17 2.1.1 Akteure, Akteurskonstellationen und institutioneller Rahmen 17 2.1.2 Organisation 22 2.1.3 Aufgaben 23 2.2 Der demographische Wandel und die Theorie der zweiten demographischen Transformation 25 2.3 Stadt und Bevölkerungsrückgang – "die schrumpfende Stadt baut um" 28 2.3.1 Wir werden "Weniger" 28 2.3.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 31 2.3.3 Strategien und Handlungsansätze 38 2.4 Stadt und Alterung – "die alternde Stadt zieht um" 48 2.4.1 Wir werden "Älter" 48 2.4.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 54 2.4.3 Strategien und Handlungsansätze 55 2.5 Stadt und Internationalisierung – "die bunte Stadt denkt um" 59 2.5.1 Wir werden "Bunter" 59 2.5.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 61 2.5.3 Strategien und Handlungsansätze 63 2.6 Reurbanisierung – die Lösung für die schrumpfende, alternde und weltoffene Stadt 65 3 Pläne, Strategien und der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 67 3.1 Strategische Planung oder Planung mit Strategien? 68 3.2 Strategische Planung im Umgang mit dem demographischen Wandel 73 4 Reaktionen deutscher Städte 75 4.1 Wir werden weniger, älter und bunter 76 4.2 Problemwahrnehmung der Städte – aktuelle Herausforderungen 79 4.2.1 Die Herausforderung des demographischen Wandels 81 4.2.2 Bevölkerungsrückgang ist keine Chance 81 4.2.3 Wir werden älter – ein Traum wird wahr? 84 4.2.4 Kulturelle Vielfalt ist nicht nur eine Bereicherung 86 4.3 Handlungsleitende Strategien – Pläne und Konzepte im Umgang mit dem demographischen Wandel 88 4.3.1 Die Kinder- und familienfreundliche Stadt 94 4.3.1.1 Bessere Vereinbarkeit von Familie und Beruf 97 4.3.1.2 Attraktives Wohnen in der Stadt 100 4.3.1.3 Sprachrohre für Kinder und Familien 103 4.3.1.4 Städtische Hilfen 106 4.3.2 Die seniorenfreundliche Stadt 108 4.3.2.1 Lebenslanges Lernen, die Potentiale der Alten und das Ehrenamt 109 4.3.2.2 Wohnen im Alter 111 4.3.2.3 Sprachrohre für Senioren 113 4.3.2.4 Angebote und Hilfen für Senioren 114 4.3.3 Die ausländerfreundliche und weltoffene Stadt 117 4.3.3.1 Sprache als Schlüssel zu Bildung und Arbeit 122 4.3.3.2 Wohnen und Migranten – Integration auf Stadtteilebene 125 4.3.3.3 Sprachrohre und Hilfen für Migranten 129 4.3.4 Die Stadtumbaustadt – nicht mehr nur ein ostdeutsches Phänomen 133 4.3.4.1 Chancen für die Städte 134 4.3.4.2 Rückbau- und Anpassungstrategien – Entwicklung findet 'Innenstadt' 135 4.3.5 Strategische Stadtplanung – ein Hilfsmittel im Wandel? 140 4.3.5.1 Wir brauchen Strategien 140 4.3.5.2 Die Entwicklung von Strategien – Vorgehen nach Plan 141 4.3.5.3 Der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 146 5 Zusammenfassende Schlussfolgerungen und Perspektiven 155 6 Quellenverzeichnis 167 6.1 Literatur 167 6.2 Dokumente 186 6.2.1 Reden der Oberbürgermeister/innen 186 6.2.2 Stadtentwicklungskonzepte 198 6.2.3 Integrationskonzepte 201 6.3 Internetseiten der Städte 204 6.4 Telefoninterviews 206 7 Abbildungsverzeichnis 212 ; The focus of this work lies on strategic reactions of German cities (in particular city politics and city council) to the phenomenon of demographic change, which appears spatially differentiated. What are the problems perceived in the recent past? How do cities deal with these problems? What are the strategies pursued? Answers to these questions will be given based on an empirical research of 122 mostly large and medium-sized county-free cities in Germany (analysis and interpretation of demographic data, internet research on city homepages, content analysis of New year's speeches of city mayors, content analysis of established strategies in the form of city development concepts and concepts dealing with the integration of immigrants). The broad range of empirical findings in the manner of a survey complements demographic research in Germany that is mainly based on case studies. Most of the German cities recognize demographic change as the main challenge in the near and further future and pick it out as a central theme in city development (in 50 out of 104 New Year's speeches it was explicitly mentioned). The cities rise to that challenge and are willing to do everything within their power: On the one hand they try to gain population by striving immigration (especially young families), on the other hand they want to deal with the problems that come along with populations loss, ageing and a high percentage of foreigners and adjust city structures to the new developments. 60 out of 122 cities are already affected by population loss, 62 still have a growing population. Perceived problems regarding this matter are primarily the high vacancy rates on the housing market, the small share of young people, less utilization of social and technical infrastructure and the increasing per-capita debt (fewer inhabitants lead to less income and less allocation of funds from the German federation and Länder).To become or to be child and family-friendly is one of the main pursued strategies of cities to confront population decline and ageing. In detail cities follow an activating family policy: they provide beneficial land for building for families, participate in the national program 'Alliance for Families', and give benefits concerning leisure activities. Further strategies concern the development of the urban social infrastructure as fulltime schools, day care and nursery schools to provide a better support in reconciliation of work and family life. For the adjustment of a city's social and technical infrastructure as well as the housing market, funds for urban redevelopment are widely used. On 58 out of 122 city homepages the issue of ageing has been picked out as an important theme. In this regard especially the challenges concerning an age-appropriate infrastructure and health care have been emphasized. So cities strive for a better health care provision for older people (outpatient care, home care, new forms of foster homes) as well as senior-friendly housing (e.g. assisted living, 'Multi-Generational Homes') and the knowledge transfer between different generations (e.g. the elderly and the young). Besides those strategies 111 cities have an elected advisory council for senior citizens that stand up for the concerns of older people. Looking at the aspect of integration of immigrants it can be seen that this issue really concerns city officials. Not only that issue-related hits could be found on 108 city homepages, but also the number of perceived problems and developed concepts makes integration an important aspect in dealing with the consequences of demographic change. The share of immigrants in German cities shows significant differences between East and West Germany – it varies between 1.4 percent in the City of Gera and 25.1 percent in the City of Offenbach. Despite numerous integration efforts cities are confronted with severe and complex problems – like language problems, low professional qualification levels and little career opportunities, high unemployment rates of immigrants, development of parallel societies/immigrant communities (segregation), missing acceptation of integration offers (language courses etc.) and xenophobia. Dealing with these problems cities firstly want to be seen as cosmopolitan, multi cultural and tolerant. Secondly numerous cities (90) established an advisory board for foreigners or so called integration agents (25) that regard the interests and suggestions of immigrants. Thirdly the cities developed (50) or are still working on concepts (28) dealing with the integration of immigrants. The promotion of language skills is in most concepts seen as 'the key' to education and integration. Further strategies are employment promotion and integration in the local labor market, cross-cultural communication and competence and the participation in public life. For the integration of all kinds of sectoral strategies in an overall strategy for the entire city, city development processes and concepts have been a big help in dealing with demographic change in 70 cities. Due to the financial crisis, the coordination of interests enables city officials to assign priorities and key aspects of activity. This approach will be necessary, if German cities want to keep their capacity to act in the future.:1 Einleitung 3 1.1 Demographischer Wandel und Strategien der Stadtentwicklung – Stand der Diskussion 3 1.2 Problemstellung und Forschungsfragen 8 1.3 Allgemeiner Bezugsrahmen der Arbeit 9 1.4 Empirischer Bezugsrahmen 10 1.4.1 Untersuchungsgegenstand 10 1.4.2 Erhebungsmethoden 12 1.5 Aufbau der Arbeit 16 2 Die Stadt im Kontext des demographischen Wandels 17 2.1 Die Stadt 17 2.1.1 Akteure, Akteurskonstellationen und institutioneller Rahmen 17 2.1.2 Organisation 22 2.1.3 Aufgaben 23 2.2 Der demographische Wandel und die Theorie der zweiten demographischen Transformation 25 2.3 Stadt und Bevölkerungsrückgang – "die schrumpfende Stadt baut um" 28 2.3.1 Wir werden "Weniger" 28 2.3.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 31 2.3.3 Strategien und Handlungsansätze 38 2.4 Stadt und Alterung – "die alternde Stadt zieht um" 48 2.4.1 Wir werden "Älter" 48 2.4.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 54 2.4.3 Strategien und Handlungsansätze 55 2.5 Stadt und Internationalisierung – "die bunte Stadt denkt um" 59 2.5.1 Wir werden "Bunter" 59 2.5.2 Probleme, Folgen und räumliche Auswirkungen 61 2.5.3 Strategien und Handlungsansätze 63 2.6 Reurbanisierung – die Lösung für die schrumpfende, alternde und weltoffene Stadt 65 3 Pläne, Strategien und der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 67 3.1 Strategische Planung oder Planung mit Strategien? 68 3.2 Strategische Planung im Umgang mit dem demographischen Wandel 73 4 Reaktionen deutscher Städte 75 4.1 Wir werden weniger, älter und bunter 76 4.2 Problemwahrnehmung der Städte – aktuelle Herausforderungen 79 4.2.1 Die Herausforderung des demographischen Wandels 81 4.2.2 Bevölkerungsrückgang ist keine Chance 81 4.2.3 Wir werden älter – ein Traum wird wahr? 84 4.2.4 Kulturelle Vielfalt ist nicht nur eine Bereicherung 86 4.3 Handlungsleitende Strategien – Pläne und Konzepte im Umgang mit dem demographischen Wandel 88 4.3.1 Die Kinder- und familienfreundliche Stadt 94 4.3.1.1 Bessere Vereinbarkeit von Familie und Beruf 97 4.3.1.2 Attraktives Wohnen in der Stadt 100 4.3.1.3 Sprachrohre für Kinder und Familien 103 4.3.1.4 Städtische Hilfen 106 4.3.2 Die seniorenfreundliche Stadt 108 4.3.2.1 Lebenslanges Lernen, die Potentiale der Alten und das Ehrenamt 109 4.3.2.2 Wohnen im Alter 111 4.3.2.3 Sprachrohre für Senioren 113 4.3.2.4 Angebote und Hilfen für Senioren 114 4.3.3 Die ausländerfreundliche und weltoffene Stadt 117 4.3.3.1 Sprache als Schlüssel zu Bildung und Arbeit 122 4.3.3.2 Wohnen und Migranten – Integration auf Stadtteilebene 125 4.3.3.3 Sprachrohre und Hilfen für Migranten 129 4.3.4 Die Stadtumbaustadt – nicht mehr nur ein ostdeutsches Phänomen 133 4.3.4.1 Chancen für die Städte 134 4.3.4.2 Rückbau- und Anpassungstrategien – Entwicklung findet 'Innenstadt' 135 4.3.5 Strategische Stadtplanung – ein Hilfsmittel im Wandel? 140 4.3.5.1 Wir brauchen Strategien 140 4.3.5.2 Die Entwicklung von Strategien – Vorgehen nach Plan 141 4.3.5.3 Der Beitrag integrierter Stadtentwicklungskonzepte 146 5 Zusammenfassende Schlussfolgerungen und Perspektiven 155 6 Quellenverzeichnis 167 6.1 Literatur 167 6.2 Dokumente 186 6.2.1 Reden der Oberbürgermeister/innen 186 6.2.2 Stadtentwicklungskonzepte 198 6.2.3 Integrationskonzepte 201 6.3 Internetseiten der Städte 204 6.4 Telefoninterviews 206 7 Abbildungsverzeichnis 212
»Der Faktor Mensch bestimmt den Unternehmenserfolg« – die zentrale Managementerkenntnis wird in kaum einem Unternehmen umgesetzt. Jörg Knoblauch spricht Klartext: Wer im Vertrauen auf das Bauchgefühl neue Mitarbeiter auswählt, wer sich darauf verlässt, dass sich die Fehlbesetzung noch zum Performer entwickeln wird, wer unter Personalentwicklung nur das jährliche Mitarbeitergespräch versteht, der darf sich nicht wundern, wenn sein Team in eine Abwärtsspirale gerät. Knoblauch zeigt, warum das Personalmanagement in die Unternehmensführung gehört und warum es ein entscheidender Wettbewerbsvorteil ist, wenn Mitarbeiterauswahl, -förderung und -führung oberste Priorität bekommen.
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Die vorliegende Arbeit befasst sich mit der Synthese und Charakterisierung von nanostrukturierten Mikropartikelpulvern mit einstellbarem Zerfalls- und Dispergierungsverhalten und deren Anwendung als verstärkender Füllstoff sowie deren Eignung für Sensoranwendungen. Sie ist in drei Teilbereiche gegliedert: Der erste Teil beschreibt die Synthese der nanostrukturierten Mikropartikelpulvern durch Sprühtrocknung von kolloidalen oxidischen (silicatischen und eisenoxidischen) Nanopartikeln. Es wird ausgeführt, wie durch Variation der Art und Größe der Primärpartikel und deren mengenanteiligen Kombination Mikropartikel unterschiedlichster nanostruktureller Maserung und Ausprägung erhalten wurden. Das Spektrum dieser Partikel reichte von homogen verteilten Strukturen bis hin zu Kern-Satellit-Struktur, von kontrollierter Aggregierung bis hin zur vollständigen Dispergierbarkeit. Im zweiten Teil der Arbeit wurden die Partikel im Hinblick auf ihre Eignung und Verwendung als Füllstoffe für Elastomer-Matrices untersucht. Im Fokus stand die Verstärkungswirkung und die Korrelation mit dem Dispergierverhalten in PDMS. Im dritten Teil der Arbeit wurde das Syntheseprinzip der Herstellung nanostrukturierter Mikropartikel auf Hydroxid-basierte Systeme wie LDHs erweitert. Teil I: Von Silica-NP zu nanostrukturierten Mikropartikeln mit einstellbarem Zerfallsverhalten Um nanostrukturierte Mikropartikel mit einem integrierten Zerfallsverhalten zu erzeugen, wurden zunächst kolloidale Silica-NP mit einer Größe von 20 nm abgestuft mit unterschiedlichen Mengen (0, 1/10, 1/5, 1/3, 1/2, 2/3, 1) eines hydrophobierend wirkenden Silans (Triethoxyoctylsilan, OCTEO) modifiziert. Neben den beiden Extremen der vollständigen und unmodifizierten Varianten (1 und 0) wurden teilweise modifizierte Zwischenstufen erhalten, indem die Silanmenge auf 2/3, 1/2, 1/3, 1/5 und 1/10 im Vergleich zu den vollmodifizierten Silica-NP verringert wurde. Die modifizierten Nanopartikel zeigten beim Dispergieren in verschiedenen Flüssigkeiten (Wasser, Toluol) eindeutige und graduell klar differenzierbare Unterschiede in Abhängigkeit vom Bedeckungsgrad der Partikeloberfläche mit dem Silan. Wie erwartet nahm das hydrophobe Verhalten der Nanopartikel mit zunehmendem Bedeckungs- und damit Modifizierungsgrad zu und die Nanopartikel waren in unpolaren Flüssigkeiten wie Toluol gut dispergierbar, während sie in polaren Flüssigkeiten wie Wasser zur Agglomeration und Sedimentation neigten. In einem nächsten Schritt wurden die zu unterschiedlichen Graden mit OCTEO modifizierten kolloidalen Silica-NP mittels Sprühtrocknung in mikroskalige Pulver überführt. Die nanostrukturierten Mikropartikelpulver wurden mit verschiedenen Analysemethoden wie REM-Aufnahmen, BET-, FTIR- und TG-Messungen untersucht, und die Eigenschaften der gebildeten Partikel charakterisiert. Die nanostrukturierten Mikropartikel zeigten auf den REM-Aufnahmen abhängig vom Modifizierungsgrad der Nanopartikel ein sehr unterschiedliches Aussehen. Während die Mikropartikel aus vollständig modifizierten Nanopartikeln eine eher raue Oberfläche besaßen, hatten die aus unmodifizierten Nanopartiklen gebildeten eine sehr glatte, kompakt erscheinende Oberfläche, was als Hinweis auf eine Kondensation und eine damit verbundene Aggregation der Nanopartikel gewertet wurde. Da sich diese Hypothese anhand der Aufnahmen aber nicht beweisen ließ, wurden in einer nächsten weiterführenden Testreihe Nano-Indenter-Experimente unter dem REM mit den aus voll- und unmodifizierten Nanopartikeln aufgebauten Mikropartikeln durchgeführt. Die Ergebnisse bestätigten den ersten Eindruck der REM-Aufnahmen insofern, als das sich die sehr kompakt wirkenden unmodifizierten Partikel nicht mit einer Wolfram-Spitze eindrücken ließen und damit die Hypothese mechanisch stabiler Aggregate untermauerten. Ganz anders verhielten sich die vollmodifizierten Partikel, die mithilfe der Wolfram-Spitze so eingedrückt werden konnten, dass die Nanopartikel aus dem Mikropartikelverbund herausgelöst wurden und teilweise vereinzelt vorlagen. Hier handelte es sich mit hoher Wahrscheinlichkeit um Agglomerate, die unter der Einwirkung einer Scherkraft wieder vereinzelt werden konnten. Da es mit mikroskopischen Verfahren wie REM nicht möglich war, unmittelbare Aussagen bezüglich der Wechselwirkung der Nanopartikel im Mikropartikel zu treffen, wurden zunächst die Oberflächeneigenschaften mittels BET-, FTIR- und TG-Messungen untersucht. Im Hinblick auf die spätere Anwendung war es sehr wichtig, die Oberflächeneigenschaften der Mikropartikel möglichst umfassend zu charakterisieren, da diese entscheidend zur Dispergierbarkeit der Partikel in einem Matrixsystem beitragen. Mithilfe der FTIR- und TG-Messungen konnte die Anwesenheit und Menge von Silan auf der Partikeloberfläche bestimmt werden. Es zeigte sich ein klarer Trend für die zu verschiedenen Graden mit OCTEO modifizierten Silica-NP. Mit zunehmender Silanmenge nahm sowohl die Intensität der FTIR-Bande für die CH2- und CH3-Streckschwingung als auch der Masseverlust zu. Im Gegensatz zu diesen Messungen zeigte sich bei den BET-Messungen kein klarer Trend in Abhängigkeit vom Bedeckungsgrad der Silica-NP. Die höchsten Werte für die spezifische Oberfläche hatten Mikropartikel, die aus 1/5- und 1/3-modifizierten Silica-NP bestanden. Eine schlüssige Erklärung wird darin gesehen, dass durch die Alkylgruppen auf der Oberfläche ein Kondensieren der Silica-NP weitestgehend verhindert wurde und gleichzeitig noch genügend Mikroporen vorhanden blieben, die mit den Stickstoffmolekülen wechselwirken konnten. Neben den Standard-Analysemethoden wurden Dispergierbarkeitsuntersuchungen durchgeführt sowie die Hansen-Dispergierbarkeitsparameter (HDP) und die ET (30)-Werte mit dem Reichardt-Farbstoff bestimmt. Anhand der Dispergierbarkeitsuntersuchungen konnten erste qualitative Aussagen getroffen werden, ob es sich um hydrophile oder hydrophobe Partikel handelt. Diese ersten Ergebnisse und Trends konnten anschließend mit den HDP und dem RD quantitativ untermauert werden. Die Polarität der Mikropartikel, die aus zu unterschiedlichen Graden mit OCTEO modifizierten Silica-NP aufgebaut waren, nahm mit zunehmender Oberflächenbedeckung ab. Dieser Trend korrelierte mit den aus den FTIR- und TG-Messungen erhaltenen Werten. Da es mit den Silica-basierten Mikropartikeln nicht möglich war, unmittelbare Aussagen zum Agglomerations- bzw. Aggregationsgrad der Nanopartikel im Mikropartikel zu treffen, wurde das Prinzip der Agglomerations/Aggregationssteuerung über Oberflächenmodifikation auf magnetische Nanopartikel übertragen und so ein Modell geschaffen, das die Wechselwirkung auf nanopartikulärer Ebene sichtbar und messbar macht. Diese Informationen zum Agglomerationsgrad der Nanopartikel lieferten wertvolle Hinweise im Hinblick auf die Dispergierbarkeit der Partikel in einer Matrix: Handelte es sich bei den Partikeln um lose Agglomerate, könnten diese zum Beispiel in einem Elastomer wieder auf Primärpartikelgröße dispergiert werden, während Aggregate nur in undefinierte Sekundärstrukturen zerfallen. Gleichzeitig wurde mit dieser Systemübertragung die Frage beantwortet, ob es sich bei den teilmodifizierten Partikeln um eine Mischung aus voll- und unmodifizierten Partikeln handelte oder ob das Silan statistisch über die komplette Oberfläche verteilt war. Wie auch schon beim Silica-System wurden die Nanopartikel zunächst abgestuft mit OCTEO modifiziert (0, 1/10, 1/3, 1/2, 2/3, 1) und anschließend sprühgetrocknet. Aufgrund ihrer magnetischen Eigenschaften konnten die Eisenoxid-Partikel mittels ZFC- und FC-Messungen untersucht werden. Diese spezielle Analysemethode erlaubte es, Aussagen über den Grad der magnetischen Wechselwirkung der Partikel zu treffen und somit indirekt auch über den Grad der Agglomeration/ Aggregation der Nanopartikel im Mikropartikel. Es zeigten sich klare Unterschiede in den Werten für die Blocking-Temperatur (TB) zwischen den voll- und unmodifizierten Partikeln. TB ist die Temperatur, ab welcher die Magnetisierungsrichtung der Partikel aufgrund der thermischen Energie frei fluktuieren kann. Die vollmodifizierten Partikeln hatten einen sehr niedrigen Wert für TB, was auf eine schwache Dipol-Dipol- Wechselwirkung zwischen den einzelnen Eisenoxid-NP schließen ließ, während die unmodifizierten Eisenoxid-Partikel einen hohen TB-Wert hatten, woraus zu schließen war, dass es sich um Aggregate mit einem sehr geringen Partikel-Partikel-Abstand handelte und einer deshalb höheren Wechselwirkung. Die Werte der teilmodifizierten Partikel folgten dem Trend, dass mit zunehmender Silan-Bedeckung der TB-Wert abnahm. Um die Frage der Silan-Verteilung zu beantworten, wurde zusätzlich ein Mischsystem aus voll- und unmodifizierten Eisenoxid-NP versprüht. Sollte es sich bei den teilmodifizierten Partikeln (als Beispiel 1/2) nicht um eine statistische Verteilung der Octylgruppen auf der Oberfläche handeln, müssten die beiden Messungen Übereinstimmungen aufweisen. Dies war allerdings nicht der Fall, was mithilfe der ZFC- und FC-Messungen gezeigt werden konnte. Der TB-Wert des Mischsystems lag zwischen dem der voll- und zu 2/3-modifizierten Partikel, während der Tir-Wert dem der unmodifizierten Partikel entsprach. Die Breite der Aufspaltung zwischen TB undTir konnte als breite Partikelverteilung (Mischung aus Agglomeraten und Aggregaten) interpretiert werden. Im Hinblick auf die Anwendung als Füllstoff wurden die Mikropartikel in eine PDMS-Matrix eingearbeitet und erneut ZFC- und FC-Messungen durchgeführt, wobei die gleichen Trends wie bei den reinen nanostrukturierten Mikropartikeln erhalten wurden. Das bedeutete, dass sich die vollmodifizierten Eisenoxid-NP gut im Elastomer verteilt hatten und somit eine nur sehr geringe Dipol-Dipol-Wechselwirkung vorhanden war. Mit dem entwickelten System der nanostrukturierten Mikropartikel lässt sich der Agglomerations- bzw. Aggregationsgrad der Nanopartikel mehr oder weniger gezielt einstellen, und es können zusätzlich Voraussagen über die Redispergierbarkeit des Partikelpulvers in einer geeigneten Matrix gemacht werden. Basierend auf den gewonnen Erkenntnissen, die zum Verständnis der nanostrukturierten Mikropartikel beitrugen, wurden in einem nächsten Schritt gezielt komplexe Strukturen aufgebaut. Für eine gezielte Strukturierung von Nanopartikeln in Kern-Satellit-Partikel wurde zunächst große 100 nm Silica-NP mit einem PCE funktionalisiert und anschließend mit kleinen und großen unmodifizierten Silica-NP versprüht. Wurden die geeigneten Verhältnisse (70:20:10; 100 nm Mel : 100 nm blank : 20 nm blank) der Partikel zueinander gewählt, konnten Kern-Satellit-Strukturen auf der Mikropartikeloberfläche erzeugt werden. Beim Dispergieren der Mikropartikel in einer Flüssigkeit und in einem Elastomer (PDMS) konnten vereinzelte Kern-Satellit-Strukturen erhalten werden. Um zu bestätigen, dass es sich bei den dispergierten Kern-Satellit-Partikeln nicht um durch Trocknungseffekte entstandene Strukturen handelte, wurden in-situ-Flüssigkeitszellen- TEM-Aufnahmen gemacht. Die Aufnahmen konnten zeigen, dass sich die Kern-Satellit- Partikel in Abhängigkeit zueinander bewegen und nicht jeder Nanopartikel für sich, was auf eine Bindung der Partikel untereinander hindeutete. Neben den Silica-basierten Kern-Satellit-Partikeln konnten auch welche erzeugt werden, deren Satellit-Partikel aus Eisenoxid bestanden. Mit diesem System ist es möglich, multifunktionelle Partikel mit verschiedensten Eigenschaften und Strukturen herzustellen. Teil II: Anwendungspotential nanostrukturierter Mikropartikel Im zweiten Teil der Arbeit wurde zunächst die Anwendung der nanostrukturierten Mikropartikel als Füllstoff in IR und PDMS untersucht. Dafür wurde ein weiteres Silan, Si69TM, zur abgestuften Modifizierung der Silica-NP eingesetzt. Es handelt sich um ein multifunktionelles Silan, welches sowohl an die Partikeloberfläche als auch an das Elastomer binden kann. Bei den mechanischen Untersuchungen der IR-Silica-Komposite zeigte sich, dass das Silan einen entscheidenden Einfluss auf die Verstärkung bei kleinen Deformationen hatte. Während bei dem monofunktionellen Silan (OCTEO) eine direkte Korrelation zwischen Bedeckungsgrad und mechanischer Verstärkung (G') bei gleichbleibendem Füllstoffgehalt beobachtet werden konnte, hatte der Bedeckungsgrad beim multifunktionellen Silan (Si69TM) keinen Einfluss. Anders als bei kleinen Deformationen zeigte sich bei großen Deformationen ein gegenteiliges Bild. Die Verschleißrate der IR-Silica-Komposite nahm bei beiden Silantypen mit zunehmendem Modifizierungsgrad ab, wobei die mit Si69TM modifizierten Partikel-Komposite wesentlich beständiger gegen Verschleiß waren als die mit OCTEO modifizierten Partikel-Komposite, was auf die zusätzliche Matrixanbindung des Si69TM zurückzuführen war. Wurden die IR-Silica- Komposite mit den PDMS-Silica-Kompositen verglichen, konnten keine übereinstimmenden Trends gefunden werden. Im PDMS-System war die mechanische Verstärkung für Mikropartikel aus 2/3 mit OCTEO modifizierten Silica-NP maximal. Diese Unterschiede könnten sowohl auf die unterschiedliche Einarbeitung als auch auf die sehr unterschiedlichen Matrices zurückgeführt werden. Als weitere Anwendung wurden die nanostrukturierten Mikropartikel als Schersensoren für den 3D-Druck untersucht. Hierfür wurden die Silica-NP mit einem PCE modifiziert und anschließend sprühgetrocknet. Um die entstandenen Mikropartikel vollständig in einer Matrix zu dispergieren, waren hohe Scherkräfte und lange Scherzeiten erforderlich, was eine mögliche Anwendung als Schersensor nur schwer realisierbar macht. Teil III: Erweiterung des Ansatzes zur Herstellung nanostrukturierter Mikropartikel auf Hydroxid-basierte Systeme Im dritten Teil dieser Arbeit wurde das System zur Modifizierung von oxidischen Silicaund Eisenoxid-Partikeln auf ein hydroxidisches Systeme übertragen. Hierfür wurden mittels Fällungsprozess LDH-Partikel hergestellt, die anschließend mit OCTEO modifiziert und abschließend sprühgetrocknet wurden. In gleicher Weise wie bei den Mikropartikeln aus Silica-NP nahm der hydrophobe Charakter der LDH-Mikropartikel mit zunehmendem Modifizierungsgrad der Ausgangspartikel zu, was sich anhand von Untersuchungen zur Dispergierbarkeit in Flüssigkeiten unterschiedlicher Polarität zeigte. Zudem ließen sich die aus vollmodifizierten LDHs aufgebauten Mikropartikel in einer PDMS-Matrix wieder in vereinzelte Partikel dispergieren. Die Verstärkung der Komposite war für die teilmodifizierten Partikel (2/3) maximal, da es sich hier, wie auch bei den anderen Partikelsystemen (Silica und Eisenoxid), um eine Mischung aus vereinzelten LDHs und kleineren Aggregate handelte, was aufgrund der starken Füllstoff-Füllstoff-Wechselwirkung zu einer mechanischen Verstärkung bei kleinen Deformationen/Dehnungen führte. Die Eigenschaften der Polymer-Partikel-Komposite ließen sich über den Modifizierungsgrad der Primärpartikel einstellen. Dies konnte für alle drei Partikelsysteme (Silica, Eisenoxid und LDH) beobachtet werden. Ausblick In der vorliegenden Arbeit konnte die Synthese von verschiedenen nanostrukturierten Mikropartikeln und deren einstellbaren Zerfall gezeigt werden. Um den Zerfall der Mikropartikel noch gezielter einstellen zu können, sollte in weiterführenden Arbeiten vor allem die Modifizierung der Nanopartikel noch eingehender untersucht werden. Mithilfe der magnetischen Messungen konnte zwar zwischen einer Mischung aus un- und vollmodifizierten Partikel im Vergleich zu teilmodifizierten Partikel unterschieden werden, es konnten jedoch keine konkreten Aussagen zur Verteilung der Silanmoleküle auf der Partikeloberfläche getroffen werden. Hierfür sollten weitere Charakterisierungsmethoden hinzugezogen werden, die die Modifizierung auf molekularer Ebene analysieren. Zusätzlich sollte die Verteilung/Anordnung der teilmodifizierten Nanopartikel im Mikropartikel untersucht werden. Gerade für Nanopartikel mit einem geringen Modifizierungsgrad (1/10, 1/5 und 1/3) sind verschiedene Anordnungen möglich. Die Nanopartikel können sich während der Sprühtrocknung so anordnen, dass sich die Alkylketten entweder nach außen oder in die Mitte des Mikropartikels orientieren/ausrichten. Die Anordnung der Nanopartikel hat einen großen Einfluss auf die Polarität der entstehenden Mikropartikel- pulver. Darüber hinaus hat sie einen Einfluss auf die Aggregation der Nanopartikel untereinander und somit auf die Bildung von komplexen Unterstrukturen wie zum Beispiel Kern-Satellit-Partikel. Neben der Modifizierung der Nanopartikel sollte die Herstellung der komplexen Strukturen/Suprapartikel weiter optimiert werden. Mit einem detaillierten Verständnis der physikalischen Prozesse während der Sprühtrocknung könnte die Anzahl der Satelliten auf den Kernpartikel kontrollierter eingestellt werden. Grundsätzlich kann das hier entwickelte System der nanostrukturierten Mikropartikel mit einstellbarem Zerfallsverhalten an eine Vielzahl von Anwendungen angepasst werden. Da das System für zahlreiche Partikeltypen (Silica-, Eisenoxid-NP und LDH) geeignet ist, könnten verschiedene Partikel ko-versprüht und so Suprapartikel mit ganz neuen Funktionalitäten und Eigenschaften erzeugt werden. Diese können als verstärkende Füllstoffe in Elastomere oder zur Stabilisierung von Dispersionen eingesetzt werden. Mischpartikel aus Silica- und Eisenoxid-Partikel hätten zum Beispiel den Vorteil, dass sie eine Dispersion stabilisieren und gleichzeitig wieder magnetisch abgetrennt werden können. Diese Mischpartikel könnten auch als Füllstoffe in komplexe Kunststoffbauteile eingearbeitet werden, in denen sie zum einen als mechanisch verstärkender Füllstoff wirken und gleichzeitig durch induktive Erwärmung das Bauteil vernetzt. Beim induktiven Erwärmen handelt es sich um eine schonende Methode Bauteile gezielt zu vernetzen, indem die Wärme im Bauteil selbst, über magnetische Verluste der Magnetpartikel in einem magnetischen Wechselfeld, erzeugt wird und nicht über seine Oberfläche eingebracht werden muss. Eine weitere interessante Anwendung für Mischpartikel ist die als magnetooptisch aktiver Marker oder Tracer in der medizinischen Diagnostik. Aufgrund von Quenching-Effekten (Auslöschungseffekte) ist es schwierig magnetische Nanopartikel mit einer Farbigkeit oder Fluoreszenz auszustatten.[385] Mischt man jedoch die magnetischen Nanopartikel mit einem weiteren Partikelsystem wie zum Beispiel Silica-NP oder LDHs, können magnetooptische Eigenschaften erhalten werden ; The herein presented work deals with the synthesis and characterization of nanostructured microparticle powders with adjustable burst behavior and their application as reinforcing fillers as well as their application as a shear sensors. For this purpose, the work was structured into three parts. The first part was dedicated to the synthesis of nanostructured microparticle powders produced by spray-drying colloidal nanoparticles. Depending on the composition of the particles during the spray-drying process, it was possible to produce nanoparticulate structures such as core-satellites. In the second part of the work, these nanostructured microparticles could be redispersed in a suitable matrix such as polydimethylsiloxane (PDMS) and then tested for a potential application as reinforcing fillers. In the third and final part of the work, the synthesis approach was extended to hydroxide-based systems such as layered double hydroxides particles (LDHs). Part I: From silica nanoparticles to nanostructured microparticles with adjustable burst behavior To generate nanostructured microparticles with an integrated burst behavior, colloidal silica nanoparticles with a size of 20 nm were either partially or completely (1/10, 1/5, 1/3, 1/2, 2/3, 1) modified with triethoxyoctylsilane (OCTEO), which makes the nanoparticle surfaces hydrophobic or semi-hydrophobic, or the nanoparticles were left blank (0). To achieve the part-modification" the amount of silane was reduced accordingly to 2/3, 1/2, 1/3, 1/5 and 1/10 compared to the completely modified silica nanoparticles. The modified nanoparticles showed clear differences when dispersed in different liquids (water, toluene) depending on the silanization degree of the particle surface. As expected, the hydrophobic behavior of the nanoparticles increased with increasing silane coverage and the nanoparticles were redispersible in non-polar liquids such as toluene while they tended to agglomerate and sediment in polar liquids such as water. In a next step, the colloidal silica nanoparticles, which were modified to different degrees with OCTEO, were spray-dried to yield a powder. The obtained nanostructured microparticle powders were then characterized by various analysis methods such as scanning electron microscope (SEM), specific surface area measurement by nitrogen adsorption according the Brunauer, Emmett and Teller theory (BET), FTIR measurements and thermogravimetric analysis (TGA) to examine the properties of the formed particles in more detail. SEM revealed that the nanostructured microparticles showed a very different appearance depending on the degree of modification of the nanoparticles. The microparticles consisting of completely modified nanoparticles had a rather rough surface, while the ones consisting of non-modified nanoparticles had a very smooth and compact surface, which could be due to possible condensation and associated hard agglomeration of the nanoparticles. Since based on SEM images alone it was not possible to confirm this assumption, in a next series of tests, in situ nano-indenter experiments were carried out in the SEM with microparticles composed of completely and non-modified nanoparticles. These results finally confirmed the first impression gained by SEM, as the very compact non-modified particles could not be indented with a tungsten tip which is possibly a good indication that hard agglomerates prevail in this case. The completely modified particles could be indented with the tungsten tip, thus behaved quite differently. The microparticles showed a ductile/plastic behavior and the nanoparticles could be separated from each other. This suggests that these particles probably consist of soft agglomerates of nanoparticles which can be separated again by force. Since it was not possible to make substantiated statements regarding the interaction of the nanoparticles within the microparticle with microscopy methods such as SEM, the surface properties of the particles were studied using BET, FTIR measurements and TGA. With a view to later applications, it it was important to characterize the surface properties of the microparticles in detail, since these are essential for the dispersibility of the particles in a matrix system. Using FTIR measurements and TGA the presence and amount of silane on the particle surface was determined. There was a clear trend for the silica nanoparticles which were modified to different degrees with OCTEO. As the amount of silane increased, both the intensity of the FTIR band for CH2 and CH3 stretching and mass loss increased. In contrast to these measurements, the BET measurements showed no clear trend depending on the surface coverage of the silica nanoparticles. The highest values for the specific surface area were found for microparticles consisting of 1/5- and 1/3-modified silica nanoparticles. In these cases, the condensation of the silica nanoparticles was largely prevented by the surface alkyl groups, and at the same time, there were still enough micropores that were able to interact with the nitrogen molecules which may explain the higher values. In addition to the standard analytical methods, liquid tests were performed and Hansen dispersibility parameters (HDP) and ET (30) values with Reichardt's dye (RD) were determined. Based on the liquid tests, first qualitative statements, concerning the hydro- philicity or hydrophobicity of the particles, modified to a different extend with silane, were made. These results and trends were then quantitatively substantiated with the HDP and the RD experiments. The polarity of the microparticles which were built up to different degrees with OCTEO modified silica nanoparticles decreased with increasing surface coverage. This tendency correlated with the values obtained from the FTIR and TG measurements. Since it had not been possible so far to determine the degree of soft and hard agglomeration of the silica nanoparticles in the microparticles, the system was transferred to iron oxide nanoparticles. The degree of agglomeration of the nanoparticles was crucial for subsequent dispersion in a matrix: If the particles were loose, soft agglomerates, they could be redispersed into primary nanoparticles in an elastomer, while hard agglomerates would only disintegrate into undefined secondary structures. At the same time, this system transfer was intended to answer the question whether the partially modified particles are a mixture of completely and non-modified particles or whether the silane is statistically distributed over the entire surface of all nanoparticles, i.e. whether all nanoparticles are modified to the same extend with silane. Similar to the silica system, the iron oxid nanoparticles were modified to different degrees with OCTEO (0, 1/10, 1/3, 1/2, 2/3, 1) and then spray-dried. Due to their magnetic properties, the iron oxide particles could be analyzed by Zero-Field-Cooled (ZFC) and Field-Cooled (FC) measurements. This special analysis method made it possible to deduce statements on the degree of the magnetic interaction of the particles and thus indirectly on the degree of soft and hard agglomeration of the nanoparticles in the microparticle. There were significant differences in the blocking temperature (TB) between the completely and the non-modified particles. TB is the temperature at which the magnetization direction of the particles can freely fluctuate due to thermal energy. The completely modified particles had very low TB value, suggesting a weak dipole-dipole interaction between the individual iron oxide nanoparticles. In contrary to this, the non-modified iron oxide particles had a high TB value, suggesting that the nanoparticles form hard agglomerates , coming with a very small particle-particle distance and therefore a higher interaction. The values of the partially modified particles followed the trend that the TB value decreased with increasing silane coverage. In order to answer the question of the silane distribution, a mixed system consisting of completely and non-modified iron oxide nanoparticles was also spray-dried. If the partially modified particles (as example 1/2) were a mixture of non-modified and modified nanoparticles and therefore the silane was not statically distributed on the nanoparticle surface, the TB value should be the same as for the mixed system. This was not the case however, as demonstrated by the ZFC and FC measurements. The TB value of the mixed system was between the one of the completely and 2/3-modified particles, while the irreversible temperature (Tir) value corresponded to that of the non-modified particles. The width of the splitting between TB and Tir could be interpreted as a broad particle distribution (mixture of soft and hard agglomerates). For the use as fillers, the microparticles were incorporated in a PDMS matrix and ZFC and FC measurements were again performed, and the same trends were observed as for the pure nanostructured microparticles. From this it could be concluded that the completely modified iron oxide nanoparticles had been well distributed in the elastomer and thus had very little dipole-dipole interaction. With the developed system of nanostructured microparticles, the degree of soft and hard agglomeration of the nanoparticles can be adjusted more or less specifically, and additional predictions can be made about the redispersibility of the particle powder in a suitable matrix. Based on the insights gained to understand the system, more complex structures were built up. For the adjustable structuring of nanoparticles in core-satellite particles, large 100 nm silica nanoparticles were firstly functionalized with a polycarboxylate ether (PCE) and afterwards spray-dried with small and large non-modified silica nanoparticles. By choosing a suitable ratio (70:20:10, 100 nm Mel : 100 nm blank : 20 nm blank) of the particles composition was chosen, core-satellite structures were generated on the microparticle surface. The dispersion of microparticles in a liquid or in an elastomer (PDMS) resulted in isolated core-satellite structures. In situ liquid cell TEM was carried out to confirm that the dispersed core-satellite particles were not only structures created by drying-effects. It was possible to record core-satellite particles moving/rotating in relation to each other which was an indication that the small particles were bound to the larger ones. In addition to the silica-based core-satellite particles, core-satellite particles were synthesized whose satellite particles consisted of iron oxide. This proved the approach being suitable to produce multifunctional particles with different properties and structures. Part II: Application potential of nanostructured microparticles In the second part of the work, the application of the nanostructured microparticles as reinforcing fillers in isopren rubber (IR) and PDMS, as well as shear sensor in 3D printing was examined. For this purpose, the silica nanoparticles were modified with the silane bis(triethoxysilylpropyl)tetrasulfide (Si69TM) in addition to OCTEO. Si69TM is a multifunctional silane capable of covalently binding to both, the particle surface via the ethoxy groups and the elastomer via the sulphur. The mechanical investigations of the IR-silica composites demonstrated that the silane modification of the silica nanoparticles had a significant influence on the reinforcement at small strain amplitudes. While the monofunctional silane (OCTEO) revelaed a direct correlation between the degree of coverage and mechanical reinforcement (G') at a constant filler content, the degree of coverage of the multifunctional silane (Si69TM) had no effect. In contrast to small strain amplitudes, a completely different behavior was found for large strain amplitudes. The wear rate of the IR-silica composites decreased with increasing modification degree for both silane types. The Si69TM modified particle composites were much more resistant to wear than the OCTEO modified particle composites due to the additional matrix binding of the Si69TM. When comparing the IR-silica composites to the PDMS-silica composites, no consistent trends were found. In the PDMS system, the mechanical reinforcement by the particles was at maximum for particles being modified on their surface to an extend of 2/3 by OCTEO. These differences could be attributed to the different incorporation processes as well as the different matrices. Another potential application for the nanostructured microparticles as shear sensor in 3D printing was tested. For this purpose, the silica nanoparticles were modified with a PCE and then spray-dried. In order to completely disperse the resulting microparticles in a matrix, high shear forces and long shear rates were required, which makes a potential application as shear sensor for the current system rather challenging to be realized in practice. Part III: Extension of the approach for the preparation of nanostructured microparticles to hydroxide-based systems In the third part of this work, the system of silica particle modification was transferred to hydroxide-based particles. For this purpose, LDHs were produced by a precipitation process and then modified with OCTEO and finally spray-dried. LDHs are an interesting material due to the broad application potential like as adsorbers for gases, drug containers, and flame-retardants. Exactly as with the silica particles, the hydrophobic character of the LDH microparticles increased with increasing modification degree of the primary LDHs which could be shown by liquid tests. In addition, the microparticles consisting of completely modified LDHs could be dispersed into isolated particles in a PDMS matrix. Similar to the silica particle systems, the reinforcement of the composites was the highest for the partially modified particles (2/3). The partly modified particles consisted of a mixture of isolated LDH particles and small hard agglomerates, which lead to a mechanical reinforcement at small strain amplitudes due to the strong filler-filler interaction. The properties of the polymer-particle composites could be adjusted by the modification degree of the primary LDHs. Outlook In the present work, the synthesis of different nanostructured microparticles and their adjustable burst was shown. In order to be able to carefully adjust the disintegration of the microparticles, the modification of the nanoparticles in particular should be investigated in more detail in future woks. Although it was possible to differentiate between a mixtures of non-modified and completely modified particles compared to partially modified particles, it was not possible to make any specific statements about the distribution of the silane molecules on the particle surface. For this purpose, further characterization methods should be consulted, which analyze the modification at the molecular level. In addition, the distribution/arrangement of the partially modified nanoparticles in the microparticle should be investigated. Especially for nanoparticles with a low degree of modification (1/10, 1/5 and 1/3) different arrangements are possible. During spraydrying, the nanoparticles can either be arranged in such a way that the silane molecules orient themselves in the direction of the particle surface or in the center of the particle. The arrangement of the nanoparticles has a great influence on the polarity of the resulting microparticle powders. In addition, it has an influence on the hard agglomeration of nanoparticles and thus on the formation of complex substructures, such as core-satellite particles. In addition to the modification of the nanoparticles, the production of complex structures/supraparticles should be further optimized. With a detailed understanding of the physical processes during spray-drying, the number of satellites on the core particles could be more controlled. In principle, the system of nanostructured microparticles with adjustable burst behavior, which has been developed herein, can be adapted to a large number of applications. Since the system is suitable for many types of particles (silica, iron oxide and LDH), different nanoparticle building blocks particles could be spray-dried together to create supraparticles with completely new functionalities and properties. These can be used as reinforcing fillers in elastomers or for the stabilization of dispersions. For example, mixed particles of silica and iron oxide particles would have the advantage to stabilize a dispersion and at the same time may be magnetically recovered again. These mixed particles could also be incorporated as fillers into complex plastic components in which they act as mechanically reinforcing fillers on the one hand and, at the same time, crosslink the components by inductive heating. The inductive heating is a gentle method to selectively crosslink components, since the heat produced by the magnetic particles in the component itself and does not have to be introduced over its surface
Der Schutz der biologischen Vielfalt ist eine gesellschaftlich sehr wichtige Aufgabe, deren Bedeutung in den letzten Jahrzehnten zunehmend auch politisch erkannt wird. Nationale wie globale Zielsetzungen, den Verlust der biologischen Vielfalt aufzuhalten und eine positive Trendwende zu erreichen, wurden bislang allerdings verfehlt. Als wichtige Ursachen für den Verlust der Artenvielfalt werden sowohl der Landnutzungswandel als auch Klimaveränderungen gesehen. Landnutzungsintensivierungen haben insbesondere seit der zweiten Hälfte des 20. Jahrhunderts zu einem zunehmenden Rückgang der Artenvielfalt in der Agrarlandschaft geführt. Die Ursachen für diesen Rückgang sind vielfältig. Sie umfassen eine Abnahme der Nahrungsgrundlage vieler Arten, u.a. durch den Einsatz von Herbiziden und Insektiziden, und den Verlust von geeigneten Fortpflanzungs- und Nahrungshabitaten durch einen Rückgang der Strukturvielfalt und des Anteils naturnaher Habitate. Seit Ende des 20. Jahrhunderts rückt zunehmend auch der Klimawandel als Einflussgröße für den Rückgang der Artenvielfalt in den Fokus. Einhergehend mit steigenden Temperaturen wurden bereits Verschiebungen von Verbreitungsgrenzen und Veränderungen in der Phänologie von Arten beobachtet. Bis zum Ende des 21. Jahrhunderts werden neben weiter steigenden Temperaturen die Zunahme von Hitzewellen und extremen Niederschlagsereignissen, eine Veränderung der Niederschlagsverhältnisse und ein weiterer Anstieg des Meeresspiegels erwartet. Zwischen Klima und Landnutzung gibt es vielfältige Wechselwirkungen und sich gegenseitig verstärkende Effekte - auch in ihrer Wirkung auf einzelne Arten und die biologische Vielfalt. Hier gilt es, Methoden zur Erfassung und Bewertung von Auswirkungen landnutzungs- und klimawandelbedingter Umweltveränderungen zu entwickeln und aufzuzeigen, durch welche Maßnahmen negative Auswirkungen auf die Artenvielfalt vermieden oder vermindert werden können. Akteure zur Umsetzung solcher Maßnahmen sind einerseits der behördliche und ehrenamtliche Naturschutz. Andererseits ist gerade in der Agrarlandschaft auch die Einbindung von Landwirten entscheidend, um möglichst dauerhafte und großflächige Wirkungen zu erzielen. Ein Weg der Einbindung von Landwirten in naturschutzfachliche Maßnahmenprogramme führt über die lebensmittelerzeugenden Unternehmen, die Abnehmer ihrer Produkte sind. Solche Unternehmen, gerade aus der Biobranche, suchen zunehmend nach Möglichkeiten, ihren Kunden transparent und glaubwürdig zu kommunizieren, was ihre Zulieferlandwirte für den Erhalt und die Förderung der Artenvielfalt leisten. Flächendeckende Vor-Ort-Erfassungen von Arten sind dabei aber sowohl aus Kosten- als auch aus Zeitgründen unrealistisch. Einfache Modelle bzw. Indikatorensets, die die Artenvielfalt auf landwirtschaftlichen Flächen valide abbilden und dabei zeiteffizient und praxisnah in der Datenerhebung und Anwendung sind, werden daher dringend benötigt, fehlen aber bislang. Auf Basis solcher Modelle können auch Maßnahmen für die Betriebsebene und deren Potenzial zur Steigerung der Artenvielfalt abgeleitet werden. Im Hinblick auf Auswirkungen des Klimawandels auf Tierarten fehlen derzeit vor allem auf regionaler Ebene Einschätzungen über die Empfindlichkeit von Artengemeinschaften gegenüber den projizierten Klimaänderungen und darüber, wie sich klimabedingte Arealverschiebungen auf die Zusammensetzung regionaler Artengemeinschaften auswirken könnten. Solche Einschätzungen braucht es aber, um den naturschutzfachlichen Handlungsbedarf für Anpassungsstrategien und -maßnahmen zu identifizieren und zu konkretisieren. Zu entsprechenden Anpassungsmaßnahmen gibt es bereits eine Reihe von Empfehlungen, die allerdings häufig unspezifisch bleiben, so dass vielen Praktikern unklar ist, welche Maßnahmen Priorität haben und wie diese konkret umgesetzt werden sollen und können. Daher ist es erforderlich, solche allgemeinen Maßnahmenempfehlungen für die jeweilige regionale Ebene unter Berücksichtigung der Empfindlichkeit der dort vorkommenden Arten und möglicher klimabedingter Ein- und Abwanderungsprozesse zu konkretisieren. Vor dem Hintergrund dieser Wissenslücken war das Ziel der vorliegenden Arbeit, einen Beitrag dazu zu leisten, Auswirkungen landnutzungs- und klimawandelbedingter Umweltveränderungen auf Tierarten auf der regionalen bzw. lokalen Ebene zu ermitteln und zu bewerten, um darauf aufbauend geeignete und für die jeweilige Ebene hinreichend konkrete naturschutzfachliche Maßnahmen zur Verminderung negativer Auswirkungen ableiten zu können. Dazu wurde exemplarisch für einzelne Regionen, Lebensräume und Tierartengruppen untersucht, 1) anhand welcher Indikatorensets und Modelle sich die Artenvielfalt auf der Ebene landwirtschaftlicher Betriebe praxistauglich, zeiteffizient und valide abbilden lässt, 2) an welchen Kriterien eine Empfindlichkeit von Tierarten gegenüber klimatischen Veränderungen auf naturräumlicher Ebene festgemacht werden kann, 3) wie sich ein klimawandelbedingter Turnover in Artengemeinschaften eines Naturraums abschätzen lässt, 4) welche Maßnahmen zum Erhalt und zur Förderung der Artenvielfalt basierend auf den Ergebnissen solcher Analysen auf lokaler und regionaler Ebene abgeleitet werden können, 5) welche Synergien sich im Hinblick auf Maßnahmen zur Verringerung negativer Auswirkungen von Klimawandel und Landnutzung ergeben und welche Grenzen die entwickelten Methoden zur Einschätzung solcher Auswirkungen aufweisen. Hinsichtlich der Auswirkungen landnutzungsbedingter Umweltveränderungen auf Tierarten wurde untersucht, ob und wie sich die Artenvielfalt und mögliche Veränderungen durch die Landnutzung oder durch Naturschutzmaßnahmen auf der Ebene landwirtschaftlicher Betriebe mit Hilfe von einfach handhabbaren Modellen und Indikatorensets abbilden lassen. Dazu wurden in umfangreichen Literaturstudien mögliche Einflussvariablen identifiziert, die für die Artenvielfalt von Tagfaltern auf Rainen und die Artenvielfalt von Vögeln in Hecken sowie auf Äckern von Bedeutung sein können. Auf sieben über Deutschland verteilten landwirtschaftlichen Betrieben wurden sowohl Daten zu diesen möglichen Einflussvariablen erhoben als auch Erfassungen der Artengruppen Tagfalter und Vögel durchgeführt. Durch multiple lineare Regressionsanalysen wurden aus dem Set der möglichen Einflussvariablen anhand der auf den Betrieben erhobenen Daten diejenigen identifiziert, die die Artenvielfalt von Tagfaltern und Vögeln am besten vorhersagen. Bei Tagfaltern auf Rainen sind dies die Heterogenität der umgebenden Landschaft, der Mahdzeitpunkt, die Breite, Länge und das Gräser-Kräuter-Verhältnis des Rains sowie die Bewirtschaftungsart angrenzender Felder. Für die Artenvielfalt von Vögeln in Hecken wurden die Variablen Länge und Breite der Hecke, die Anzahl der Gehölzarten, das Vorkommen von Höhlen/Totholz, das Vorhandensein von Dornsträuchern sowie die Breite des angrenzenden Krautsaums als wichtigste Einflussfaktoren zur Vorhersage der Artenvielfalt ermittelt. Ein Modell zur Vorhersage der Artenvielfalt von Vögeln auf Äckern wurde verworfen, da die Ergebnisse deutlich von der Datenlage der Stichprobe geprägt waren und nur zum Teil den Erkenntnissen aus der zuvor durchgeführten Literaturstudie entsprachen. Die aus den Modellergebnissen ableitbaren Maßnahmen für die Betriebsebene beziehen sich auf die jeweils bedeutsamen Einflussfaktoren - z.B. das Mahdregime bzw. den Mahdzeitpunkt bei Rainen und die Anlage oder Verbreitung von Krautsäumen zwischen Hecken und den an diese angrenzenden Feldern - und betreffen sowohl die Optimierung vorhandener Strukturen als auch die Neuanlage von Landschaftselementen. Diese stellen einen Baustein im Spektrum sinnvoller Maßnahmen auf landwirtschaftlichen Betrieben dar und sollten durch weitere flankiert werden. Dazu ist eine gesamtbetriebliche Perspektive wichtig, die die betriebs- und landschaftsraumspezifischen Voraussetzungen einbindet. Zur Unterstützung hierbei kann einerseits landwirtschaftliche Beratung, andererseits aber auch eine vom Landwirt selbst bedienbare naturschutzfachliche Managementsoftware dienen. In eine solche Software (MANUELA - Managementsystem Naturschutz für eine nachhaltige Landwirtschaft) wurden die in der vorliegenden Arbeit entwickelten Modelle bereits implementiert und ergänzen dort bereits vorhandene Tools, zum Beispiel zur Ermittlung und Bewertung der Pflanzenartenvielfalt auf Äckern, aber auch zum Landschaftsbild und zum Biotopverbund. Hinsichtlich der Auswirkungen klimawandelbedingter Umweltveränderungen wurde untersucht, an welchen Kriterien sich eine Empfindlichkeit von Tierarten gegenüber solchen Umweltveränderungen auf naturräumlicher Ebene festmachen lässt und welche Eigenschaften eine Anpassung an sich ändernde Umweltbedingungen erschweren. Mit Hilfe einer auf solchen Kriterien basierenden Empfindlichkeitsanalyse wurde ermittelt, wie viele Tierarten in den naturräumlichen Regionen "Harz" und "Lüneburger Heide und Wendland" eine erhöhte Empfindlichkeit gegenüber klimawandelbedingten Umweltveränderungen aufweisen. Dabei wurden Vertreter der Artengruppen Brutvögel, Amphibien, Reptilien, Heuschrecken, Tagfalter und Libellen mit einbezogen. Eine voraussichtlich erhöhte Empfindlichkeit gegenüber spezifisch klimawandelbedingten Umweltveränderungen lässt sich bei jeweils ca. 39% der untersuchten Tierarten in den naturräumlichen Regionen "Harz" und "Lüneburger Heide und Wendland" feststellen. Dabei scheinen insgesamt mehr Arten negativ von einer Abnahme der Sommerniederschläge betroffen zu sein als von einer Erhöhung der Temperaturen. Weiterhin wurde ermittelt, wie klimabedingte Veränderungen der Zusammensetzung von Vogellebensgemeinschaften in einem Naturraum abgeschätzt und Prognosen über mögliche klimabedingte Zu- und Abwanderungen von Arten getroffen werden können. Dazu wurde der Artenpool des Naturraums Lüneburger Heide mit den Artenpools zukünftig klimaanaloger Räume verglichen. Zukünftig klimaanaloge Räume sind Gebiete, die gegenwärtig klimatische Verhältnisse aufweisen, die zukünftig für das Untersuchungsgebiet projiziert werden. Die Ergebnisse zeigen, dass die Mehrzahl der Vogelarten die für den Zeitraum 2071-2100 erwarteten Klimabedingungen im Naturraum Lüneburger Heide vermutlich tolerieren kann, die Artenvielfalt insgesamt aber möglicherweise abnehmen wird. Viele der potenziell aus dem Naturraum abwandernden Arten sind an Feuchtgebiete als Lebensraum gebunden. Zur Verringerung negativer klimawandelbedingter Auswirkungen auf Tierarten können zum einen derzeitige Gefährdungsursachen und Stressoren minimiert werden, um die Habitatverfügbarkeit und qualität zu erhöhen und die Resilienz sowie das Anpassungspotenzial von Arten zu stärken. Als prioritäre Maßnahmen sind je nach naturräumlicher Region die folgenden anzusehen: Maßnahmen zum Schutz und zur Wiederherstellung von Feuchtlebensräumen, Maßnahmen zur Verhinderung von Nährstoffeinträgen bzw. Eutrophierung und zur Extensivierung landwirtschaftlicher Nutzung, Maßnahmen zur Erhöhung der Konnektivität in der Landschaft und zur Verringerung des Landschaftsverbrauchs, Maßnahmen zur Offenhaltung von Lebensräumen und Maßnahmen zur naturnahen Waldrandgestaltung bzw. Waldbewirtschaftung. Zum anderen kann zur Verringerung negativer klimawandelbedingter Auswirkungen auf Tierarten die Konnektivität in der Landschaft gefördert und der Erhalt und die Schaffung von Biotopverbundstrukturen gestärkt werden, um den Arten eine Anpassung durch die Verschiebung ihrer Verbreitungsareale zu ermöglichen. Besonders auf überregionale Biotopverbundmaßnahmen zur Anpassung an den Klimawandel angewiesen sind in beiden naturräumlichen Regionen Arten des Offenlandes, in der naturräumlichen Region "Lüneburger Heide und Wendland" zusätzlich auch Arten der Gewässer. Da viele der derzeitigen Gefährdungsursachen potenziell klimaempfindlicher Arten nutzungsbezogen sind und auch direkte oder indirekte Folge landwirtschaftlicher Nutzung sein können, sind Synergien zwischen Maßnahmen zur Verminderung negativer Auswirkungen von Landnutzungs- und Klimawandeleinflüssen offenkundig. Dies betrifft auch die Stärkung des Biotopverbunds. Hier spielen Raine und Hecken in der Agrarlandschaft eine wichtige Rolle - auch vor dem Hintergrund des Klimawandels, da viele der auf Biotopverbund als Anpassungsmaßnahme angewiesenen Arten Bewohner des Offenlandes sind. Ein besonderes Gewicht kommt im Hinblick auf den Klimawandel dem Schutz bzw. der Renaturierung und Schaffung von Feuchtlebensräumen zu. Diese werden bislang nur zum Teil durch die Modelle zur Abschätzung der Artenvielfalt auf landwirtschaftlichen Betrieben abgedeckt, so dass in der Erweiterung der Modelle um die Lebensräume Feuchtgrünland und Grünland im Allgemeinen eine mögliche Weiterentwicklung der vorliegenden Arbeit zu sehen ist. Da ein Großteil der Fläche Deutschlands landwirtschaftlich genutzt wird, kommt der Landwirtschaft bei der Bewahrung der Artenvielfalt eine Schlüsselrolle zu. Die vermehrte Integration naturschutzfachlicher Ziele in die Landbewirtschaftung kann daher wesentlich zum Erhalt und zur Förderung der Artenvielfalt beitragen, nicht nur im Hinblick auf landnutzungsbezogene sondern auch auf klimawandelbezogene Einflüsse. Die vorliegende Arbeit liefert dazu wichtige Ansätze. ; The conservation of biodiversity is a task of great importance for society. In recent decades, political awareness for biodiversity issues has risen, yet, global as well as national objectives to halt the loss of biodiversity have failed. Important causes of biodiversity loss include land use change as well as climatic changes. From the second half of the twentieth century, agricultural intensification has increasingly led to a decline of farmland biodiversity. This decline is caused by a multitude of factors, particularly a loss of semi-natural habitats and structural diversity as well as a shortage of food supply due to a usage of herbicides and insecticides. Since the end of the twentieth century, climatic changes have increasingly become apparent as another threat to biodiversity. Along with increasing temperatures, shifts of distribution ranges as well as in the phenology of species have already been observed. By the end of the 21st century, further increasing mean temperatures, an increase of hot extremes, a decrease of cold periods, a shift in annual precipitation regimes and a further rise of sea levels can be expected. Climate and land use interact in a variety of ways - as do their effects on species and overall biodiversity. Thus, methods to capture and evaluate the effects of land use and climatic changes on species, and measures to prevent or mitigate the impacts, are greatly needed. Important stakeholders for the implementation of such measures are nature conservation authorities and organisations. However, protecting farmland biodiversity also requires the involvement of farmers to ensure sustainable and long-term effects. One way to involve farmers in nature conservation programs is to address the food companies they supply their products to. Food companies, especially from the organic sector, are increasingly looking for ways to transparently and credibly communicate to their customers how farmers (the suppliers) preserve and enhance biodiversity on their land. As company-wide biodiversity surveys of species in the field are not feasible, easy-to-use models and indicator sets projecting biodiversity on farmland, in both a sound and time-efficient way, are greatly needed. Such models could also help to identify and allocate nature conservation measures for a given farm and assess what biodiversity enhancement potentials are associated with which measure. Regarding climate change impacts on animals, assessments on regional levels evaluating the sensitivity of animals towards such changes are largely missing. So too are estimations on how distribution shifts might alter regional species communities. However, such information is greatly needed to identify and specify appropriate adaptation strategies and measures. While recommendations for such adaptation strategies and measures already exist, they are mostly vague making it difficult for stakeholders to prioritise and implement them. Thus, it is necessary to specify general recommendations for given regions that take into account the climate sensitivity of the region's species as well as alterations in the region's species community. Considering these knowledge gaps, the objective of this dissertation was to contribute to the assessment and evaluation of impacts of land use and climate change on animals on a regional and local level and, based on these assessments, derive measures suitable to aid in the mitigation of negative impacts. Single regions, habitats and animal species groups were therefore investigated in order to assess; 1. which indicator sets and models are suitable to project biodiversity on a farm level in a practical, time-efficient and sound way; 2. which criteria indicate a sensitivity of animals towards climatic changes within an ecoregion; 3. how climate change induced turnovers in species communities within an ecoregion can be estimated; 4. which measures to preserve and enhance biodiversity can be derived based on such analyses for the local and regional level; 5. which synergies exist between measures for mitigating the negative impacts of land use and climate change and what are the limitations of the methods for the assessment of such impacts. With respect to the impacts of land use on animals, I investigated if and how biodiversity and possible changes caused by land use or nature conservation measures can be projected with farm level based easy-to-use models and indicator sets. Therefore, I identified possible predictor variables effecting the species numbers of butterflies on field margins and birds in hedgerows and on arable fields. This was accomplished on the basis of an extensive literature review. Subsequently, the possible predictor variables, as well as butterflies and birds, were recorded on seven farms throughout Germany. By means of multiple linear regression analyses based upon the data recorded on the farms, variables were identified that best predicted the species numbers of butterflies and birds. In terms of butterflies, these variables included the landscape heterogeneity of the surroundings, the time of mowing, the width, length and the grass-herb-ratio of the margin as well as the management of the adjacent field. For birds in hedgerows, the variables length and width of a hedgerow, the number of woody species, the presence of tree holes, the presence of thorny shrubs, and the width of the herbaceous margin bordering the hedgerow were identified as the best predictors for species numbers. The model for predicting bird species numbers on arable fields was rejected as the results were significantly influenced by the examined sample and were only partly compatible with the results of the literature review. Measures for the farm level are related to the predictor variables of the models in question, e.g. recommendations for the time of mowing of field margins or, for hedgerows, the establishment or extension of herbaceous margin strips between the hedgerow and bordering fields. These measures concern the improvement of existing landscape elements as well as the establishment of new ones. They should be seen as one component within a set of adequate measures for farms that ought to be accompanied by others. Therefore, a whole-farm perspective is needed which integrates farm specifics as well as specific landscape preconditions. To support this process, assistance by farm consultants may be reasonable but so too is GIS-based management software which aids farmers in addressing nature conservation issues. The models of this dissertation have already been implemented in such management software, MANUELA (Managementsystem Naturschutz für eine nachhaltige Landwirtschaft - Management System Nature Conservation for a Sustainable Agriculture). Within this software, the models complement other nature conservation tools, e.g. one that assesses the diversity of plant species on arable fields and others that evaluate landscape aesthetics or the connectivity of habitats. With respect to the impacts of climatic changes on animals, I examined which criteria are relevant for evaluating the sensitivity of species towards these changes. Based on these criteria, I investigated how many animal species from the 'Harz' and 'Lüneburger Heide und Wendland' ecoregions are probably sensitive towards climatic changes projected for the end of the 21st century. These sensitivity analyses included Red List species of breeding birds, reptiles, amphibians, dragonflies and damselflies, grasshoppers and crickets, and butterflies. About 39% of the examined species are probably sensitive towards these climatic changes. Overall, more species seem to be affected by a decrease of summer precipitation than by an increase of mean temperatures. In addition, I assessed how climate change induces turn-overs in bird communities of a given region can be estimated. Hence, the species pool of the 'Lüneburger Heide' ecoregion was compared to species pools of future climatically analogous regions. Future climatically analogous regions are regions which currently have similar climatic conditions to the ones projected for the study area in the future. The results of these analyses show that the majority of species in the 'Lüneburger Heide' are probably able to tolerate the climatic conditions projected for 2071-2100 but that bird species richness, in general, may decline. Species that might potentially leave the regional species community in the course of climate change were often associated with inland wetland habitats. To mitigate negative climate change induced impacts on animals, current non-climatic stressors can be reduced in order to increase habitat availability and quality and to strengthen the resilience and adaptation potential of species. Measures of high priority in this regard - depending on the respective region - include: measures for maintaining and promoting wetlands, measures for reducing eutrophication and for the extensification of agriculture, measures for increasing habitat connectivity and reducing land consumption, measures for the preservation of open landscapes, and measures for a nature-oriented forest management. In addition to reducing non-climatic stressors, habitat connectivity should be increased in order to help species to adapt to climatic changes by shifting their distribution ranges. In both examined ecoregions, most of the potential climate-sensitive species, which depend on an increased habitat connectivity for the adaptation to climatic changes, live in open land. Within the 'Lüneburger Heide und Wendland' ecoregion, additional emphasis in this regard should be put on waterbodies. As many of the current non-climatic stressors impacting potentially climate-sensitive species are related to land use, synergies between measures mitigating negative impacts of land use and climate change are obvious. This is also true for the strengthening of habitat connectivity. Here, field margins and hedgerows play an important role - especially as many of the species that depend on habitat connectivity to adapt to climatic changes live in open land. In light of climate change, a special emphasis has to be put on the maintenance and restoration of grassland and wetlands. So far, grassland and wetlands are only partly covered by the models for the assessment of biodiversity on farmland. An inclusion of these habitats into the MANUELA model toolbox is, therefor, a possible future development. As a large part of Germany is covered by agriculture, farmers have a key role in preserving biodiversity. Integrating nature conservation objectives into farm management is therefore very beneficial not only with regard to mitigating possible impacts of land use but also of climate change. This dissertation provides important approaches for this task.
From the introduction: 'The more you know about the Olympics, the less it is about sport'. (Bob Perry, Design director of Olympic Projects at Scott Carver Pty. Ltd, http://www.infolink.com.au). The Olympic Games as a mega sports event attracts millions of people from all over the world. New records, fascinating performances, scandals or gigantic celebrations are just some of the attractions provided by this event. One attraction for urban planners is the fact that the Games imply opportunities to promote urban development. From an urban planning perspective, the Olympic Summer Games in Barcelona 1992 set a new standard in defining success of an event of this scale. The city used the Games to promote urban development and planning strategies, profiting from the event in a long-term perspective. Furthermore, the city took another opportunity to find again a place on the 'global map" through the Olympic Games. The case of Barcelona is one of the mostly cited successful urban development initiatives connected with a mega sports event. Olympic Cities have taken the opportunity to promote urban development with the event very differently in the history of the Olympics. The International Olympic Committee (IOC) as the event-owner sets some requirements giving only a few cities the right to stage the event. These requirements are checked in the bidding process ending with the decision which city succeeds in getting the right of staging the event. Integrating the success of an Olympic City in terms of urban development and in terms of the bidding process, the main question from an urban planning perspective is: What is the relevance of Urban Development in the Bidding Process for Olympic Games? To answer the definition of the city's success in terms of urban development and the Olympic Games bidding process, it is helpful to investigate the role of Olympic Infrastructure with a view towards urban sustainability. As such, it is believed that respecting specific planning principles in the bidding process can help to (1) ensure sustainable urban development and (2) enhance the quality of the bid. - The first aspect is relevant for the success of the city in terms of urban development to benefit from the Games in a long time perspective. - The second aspect is relevant for the city's success in the bidding process to acquire the right for staging the Games. The aim of this thesis is to examine how the quality of the bid may respond to principles of sustainable urban development. Two main objectives are identified to reach the aim: 1. Identifying opportunities and threats connected to Olympic Infrastructure in the history of the Olympics in order to formulate six main principles of sustainable urban development for the Olympic Games. 2. Analyzing official bidding documents of the IOC connected with these principles in order to understand how sustainable urban development can be considered in the bidding process. The thesis will conclude with recommendations which can be realized in the bidding process striving to ensure the defined success for the city. Abstract: This thesis is structured in four major parts. Part I consists of chapter 2 and 3 and includes the theoretical framework and methodology of the thesis. Chapter 2 describes the character of mega-events and mega sports events in specific. Based on a concept of sustainable urban development, it will place mega sports events in the context of such a development, forming a theoretical approach for the thesis. Chapter 3 presents the methodology used. Part II consists of chapter 4 and 5 and provides an overall understanding of the Olympic Games in the context of urban development. Chapter 4 gives an overview of the characteristics of the Olympic Games in order to understand the event and its background. Chapter 5 examines the relationship between urban development and the Olympic Games. A model will be presented in order to define 'Olympic Urban Development" for the following sections of the chapter. The chapter will then continue with an historical overview of Olympic Urban Development and present the decisions determining the scale of development. Finally, chapter 5 concludes with the summary of opportunities and threats identified in a literature review of the Olympic Games. The research questions of Part II can be defined as follows: - What are the significant characteristics of the Olympics in terms of mega-event factors? - How can Olympic Urban Development be defined and modelled? - Which are the opportunities and threats for the built, natural, economic and social environment related to Olympic Urban Infrastructure? An intermediate result re-structures the identified opportunities and threats putting them in connection with the concepts presented in the theoretical part. Chapter 6 will conclude with a definition of six principles of sustainable urban development for planning the Olympic Games. The research question leading to the intermediate result can be defined as follows: - Which kind of principles may respond to a sustainable Olympic Urban Development? The second part ends with Chapter 7 in which relevant IOC documents about sustainable urban development will be presented. Part III sets the bidding process in connection with sustainable urban development. Chapter 8 provides relevant information to understand the bidding process, its different phases and the selection procedure. Chapter 9 finally analyses the official bidding documents of the IOC for the defined principles of sustainable urban development. Summaries and recommendations will introduce the main findings for each principle and respond to three main research questions: - Which parts in the bidding documents deal with the principle? - How relevant is the principle in the evaluation of the bid? - Which strategies support the quality of the bid and contribute to meet the objectives of the principle? Part IV includes the conclusion of the thesis and summarizes the main findings of the analysis.Inhaltsverzeichnis:Table of Contents: Preface0 Index1 List of Figures and Tables4 1.INTRODUCTION5 1.1Aim and purpose of the thesis5 1.2Structure of the thesis6 PART I: THEORETICAL FRAMEWORK AND METHODOLOGY 2.THEORETICAL FRAMEWORK9 2.1Mega Events9 2.2Factors of mega-events11 2.3Mega Sports Events12 2.3.1Phases of Mega Sports Events13 2.3.2Bidding14 2.3.3Impacts of Mega Sports Events14 2.4Physical Impact: Mega sports event Infrastructure18 2.5Sustainable Urban Development20 2.6Sustainable Urban Development in the context of a mega sports event22 2.7Definitions and Limitations23 3.METHODOLOGY25 PART II: UNDERSTANDING THE OLYMPIC GAMES IN THE CONTEXT OF URBAN DEVELOPMENT 4.Olympic Games Characteristics29 4.1History of the Olympic Games29 4.2The Olympic Movement30 4.3Olympic Games Factors31 4.4Olympic Games Phases35 5.Olympic Urban Development37 5.1Definition37 5.1.1Olympic Infrastructure38 5.1.2Urban Infrastructure38 5.1.3Modelling an Olympic City40 5.2History of Olympic Urban Development42 5.3Decisions determining Olympic Urban Development47 5.3.1Local distribution of Olympic Infrastructure48 5.3.2Funding Model50 5.3.3Expenditure on Olympic Infrastructure51 5.3.4Use of existing Olympic Infrastructure53 5.4Opportunities and Threats54 5.4.1Built environment54 5.4.2Natural Environment57 5.4.3Economic Environment60 5.4.4Social Environment61 5.4.5Summary64 6.Intermediate Result: Defining Principles of Sustainable Urban Development for Planning Olympic Infrastructure66 6.1Principles66 6.2Objectives68 7.Relevant IOC Documents on Sustainable Urban Development70 7.1Olympic Charter70 7.2Olympic Agenda 2170 7.3IOC Manual on Sports and the Environment72 7.4Olympic Games Study Commission73 PART III: THE BIDDING PROCESS IN THE CONTEXT OF SUSTAINABLE URBAN DEVELOPMENT 8.Olympic Games Bidding Process74 8.1History of the Olympic Games Bidding Process74 8.2The process78 8.2.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure (CAP)78 8.2.2Evaluation of the Working Group Report79 8.2.3Phase 2: Candidature Procedure83 8.3Selection of the Host City85 8.3.1Election Procedure85 8.3.2Decision Making in the Electing Procedure for a host city86 8.4Summary88 9.Analysing Principles of Sustainable Urban Development in the Bidding Process90 9.1Principle 1: Integrate Olympic Infrastructure in urban development plans92 9.1.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure92 9.1.2Evaluation in the Working Group Report92 9.1.3Phase 2: Candidature Procedure94 9.1.4Summary95 9.1.5Recommendations96 9.2Principle 2: Ensure Post-Event Use for Olympic Infrastructure97 9.2.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure97 9.2.2Evaluation in the Working Group Report98 9.2.3Phase 2: Candidature Procedure99 9.2.4Summary100 9.2.5Recommendations101 9.3Principle 3: Maximise the use of existing infrastructure by respecting the city's budget104 9.3.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure104 9.3.2Evaluation in the Working Group Report105 9.3.3Phase 2: Candidature Procedure107 9.3.4Summary107 9.3.5Recommendations108 9.4Principle 4: Ensure environmental standards for Olympic Infrastructure and accessibility to environmental goods109 9.4.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure109 9.4.2Evaluation in the Working Group Report109 9.4.3Phase 2: Candidature Procedure111 9.4.4Summary112 9.4.5Recommendations113 9.5Principle 5: Integration of citizens in the planning process of Olympic Infrastructure114 9.5.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure114 9.5.2Evaluation in the Working Group Report114 9.5.3Phase 2: Candidature Procedure115 9.5.4Summary116 9.5.5Recommendations117 9.6Principle 6: Stimulate improvement of Urban Infrastructure through Olympic Infrastructure118 9.6.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure118 9.6.2Evaluation in the Working Group Report119 9.6.3Phase 2: Candidature Procedure120 9.6.4Summary121 9.6.5Recommendations122 PART IV: CONCLUSION126 10.Conclusion126 10.1Conclusion of the analysis126 10.1.1Relevance of Sustainable Urban Development in the Bidding Process126 10.1.2How to respond to principles of sustainable urban development in the bid127 10.2General Conclusions130 10.2.1The interest of the IOC in Sustainable Urban Development130 10.2.2The real winner of a bidding process130 10.2.3Outlook on the future of the Games131 11.Appendix133 11.1References133 11.2Abbreviations137 11.3Extracts from Bidding Documents138 11.3.1Phase 1: Candidature Acceptance Procedure (CAP)138 11.3.2Evaluation: Working Group Report140 11.3.3Phase 2: Candidature Procedure142Textprobe:Text Sample: Chapter 5.4, Opportunities and Threats: This section study provides a discussion on opportunities and threats related to Olympic Infrastructure. Potential effects are presented and ordered according to the different environments of a city (section 2.4). The IOC officially uses the term 'Legacy' for potential post-event effects preferably underlining positive ones. The sources used in this literature review (Cashman, 2002; Essex Chalkley, 2003; Furrer, 2002; Matos, 2006; Liao Pitts, 2006; Preuss, 2006; Centre On Housing Rights and Evictions (COHRE), 2007; Ward, 2007; WWF, 2004) reflect the potential effects of the Olympics critically from different perspectives (researchers, NGOs, IOC related person). If applicable, the opportunities and threats are illustrated with examples. A summary is given in the end of this section as a basis for developing principles of sustainable urban development. As the potential effects have a multidimensional character, two selection criteria limit their number: - Time: The potential effect might occur at any period of the event but must have a relevance for the city in a long-time perspective. - Space: The potential effect might occur at a micro (e.g. dislocation) or macro (e.g. polycentric development) level but is relevant mainly for a city (not a region or nation). 5.4.1, Built environment: - Boost for urban development projects and urban renewal. Locational decision on Olympic Infrastructure opens the opportunity for a city to boost its urban development projects in favour of the city. There is a chance to connect a city's urban development strategy with Olympic Infrastructure projects. History of the Olympics shows that cities have dealt very differently with this opportunity (see section 4.1). Some have used the Olympics to reinvent the city while others have concentrated solely on the successful organization of the event itself. In many cases, Olympic Infrastructure is also used to trigger massive urban regeneration projects and the idea to create new centralities within the city. Development corridors can be focused through Olympic Infrastructure and stimulate urban development nearby. Strategic positioning of Olympic Infrastructure in specific urban areas may contribute to a polycentric development. This is especially true for the positioning of key Olympic Infrastructure represented by the Olympic Main Stadium, the main indoor halls and the aquatic centre. Barcelona 1992 is probably the most successful Olympics regarded to large-scale urban development. Urban planners of the city saw the Olympic Games as an useful instrument to achieve the objectives of development plans which had been the improvement of transport system, creation of new facilities, definition of central space and balancing the city. The initial authorized to make the first draft of the Olympic from an urban perspective was part of the Olympic Bidding Team and later entered into the Organizing Committee. The changes of the entire urban fabric connected to Olympic Infrastructure based on what was already existing in Barcelona became a best practice in terms of mega-event related urban development. - Changes of Urban Development plans in favour of the event/bid. Potential changes of existing urban development plans can occur in the preparation phase of the event due to tight time constraints. To speed up land acquisition for Olympic Infrastructure some cities approve special legislative acts and give power to Organizing Committees. Special building permits are created in the area where Olympic Infrastructure has to be built and can contribute to long-lasting procedural changes in the city. A special law for the Athens 2004 Games recognized the strategic significance of the Olympic Games to the evolution of the metropolitan area. The location of Olympic Infrastructure was determined as to be in accordance with the regional, environmental and urban development guidelines of the master plan of Athens. Through this legislation and the installation of special agencies it was possible to accelerate permits of Olympic Works. - Modernization and Upgrading of existing facilities. In terms of existing infrastructure, the Olympics bring the opportunity to upgrade and modernize sports facilities. This may also decrease financial risk. The main Olympic Stadium as the centrepiece of Olympic Infrastructure relies traditionally on public funding. Some Olympic Cities have strived to use existing facilities or refurbished ones for this major infrastructure project. Naturally, development of sports facilities had to be faced by almost all Olympic cities. Moscow 1980 and Barcelona 1992 used mainly existing sports facilities and refurbished existing Stadiums to Main Olympic Stadiums. Los Angeles 1984 used existing facilities to a large extent. - Unused large-scale facilities. The history of the Olympic Games shows that many Olympic sports facilities received poor post-Games usage. International Olympic Sports Federations have often pushed host cities to provide over-ambitious state-of-the-art facilities which are not in line with the local popularity of the sport. Furthermore, local agendas have often pushed for grandiose landmark legacies to be built in order to showcase the local economy and engineering ability. These objects might be designed over-sized and turn in a post-event period to 'White elephants'. They may neither integrate a long-term urban planning policy nor relate to the population's need for leisure and culture facilities. It is sometimes difficult to convince leading teams in specific sports to move their home ground to new Olympic Infrastructures. Another problem in this respect is the difficulty to attract large crowds to newly developed parts of the city away from trying to opportunity the citizens habits. The Olympic stadium of Sydney 2000 generated continuing losses at A$38 million/year six years after the event. The competition for sports events with other stadia in Sydney caused limited booking and shows the lack of post-use planning. 'Sydney Jurassic Park' is a symbolic expression used by criticizers of the post-use of Sydney Olympic Park. - Increase of Housing stock through Olympic Village. The Olympic Village is often located close to the sports facilities and represents the accommodation for the Olympic Family. It is an essential part of Olympic Infrastructure and has to be addressed by every hosting city. In many cases, Olympic Villages become residential areas for local people or halls of residences for a local university or college after the Games. Thus, an Olympic Village is a chance to increase the city's housing stock and provide facilities for alternative uses in a post-event period. 'In Barcelona and Sydney the former Olympic Villages now provide a mixture of housing that contributes to the cities' housing stock and adds a valuable source of revenue to cover Games-related expenditure'. - Improvement of transport infrastructure. As we have seen in the previous chapter, Olympic Infrastructure induces also the upgrade of the city's transport infrastructure. For an effective transport of athletes, spectators and officials during the event many host cities tend to expand their transport system Investment of previous Olympic Cities is often focused especially on underground or light rail system. Recent Olympic Cities (Athens and Beijing) invest in tram and overhead urban rail system due to high costs and implementation difficulties of underground transport. This may contribute to a better infrastructure for citizens and decreases traffic pressure in inner city and congestion. Asian Olympic Cities have strongly linked the Games to transport infrastructure. Between 1957 and 1964 Tokyo established 73 km underground, 13.2 km monorail and 500 km Shinkansen connecting Tokyo, Kyoto and Osaka. Seoul added 157.1 km to the length of its underground network from 1978 to 1993 for the preparation of the Games. Finally, Beijing extended its light rail length by 87.1 km before 2008. A strong reliance to public transport can be observed in Seoul and Tokyo through this investment related to Olympic Infrastructure. - Development of other Infrastructure. Furthermore, development of Olympic Infrastructure can be a driver for additional infrastructural improvements in the city, affecting the entire urban fabric. A basic infrastructure is needed serving Olympic facilities. Many cities have used the event as a catalyst to induce such investment and bring other infrastructure to a higher level appropriate for international visitors. Such investments can enhance the Quality of life for citizens, tourists and attract inward investment. Tokyo included the improvement of water supply system, higher public health standards for refuse collection, street cleaning, public toilets and three sewage disposal plants. Barcelona, Atlanta and Sydney invested in telecommunication systems through the staging of the event. Cultural and research facilities (Olympic Studies Centre, Olympic Museum) close to Olympic Infrastructure supporting the Olympic Cultural Programme were realized in many Olympic Cities. - Destruction of cultural heritage. There is a potential risk that Olympic Infrastructure may affect the cultural heritage of a city negatively. The potential risk seems to be higher for Olympic Cities approaching development in the inner city. Consequently, disregarding the laws may lead to the destruction of culturally built environment and displacement of residents. Infrastructure development for the Games of Beijing 2008 negatively affected the cultural heritage of the city. Demolition in Beijing was an ongoing process in the whole city, especially threatening the old 'hutong' and 'siheyuan' areas. According to reports of COHRE the violation of Cultural Heritage Protection laws and regulations effected both irreparably damaged cultural heritage and also violated residents' rights to adequate housing.
Hintergrund: Häusliche Gewalt ist ein allgegenwärtiges Problem mit multiplen negativen Gesundheitsauswirkungen für Betroffene und hohen Folgekosten für das Gemeinwesen. Aufgrund der direkten und indirekten Gesundheitsfolgen nehmen Betroffene häufig medizinische Hilfe in Anspruch. Diese Kontakte sind wesentlich häufiger als die Inanspruchnahme spezifischer nichtmedizinischer Hilfeeinrichtungen. Gesundheitsfachkräften kommt hiermit eine wesentliche Rolle bei der Identifizierung häuslicher Gewalt, der Versorgung ihrer Folgen und auch der Prävention weiterer Gewalt zu. Um Fachkräfte im Gesundheitswesen für das Thema zu sensibilisieren und zu qualifizieren, wurde in den Jahren 2008-2010 das Projekt "Hinsehen – Erkennen – Handeln" (HEH) durchgeführt. Es wurden ein Dokumentationsbogen für Sachsen sowie Informationsmaterialien für Betroffene entwickelt und gemeinsam mit dem bereits bestehenden ärztlichen Leitfaden in berufs- und fachgruppenspezifischen Veranstaltungen vorgestellt. Die Evaluation der Veranstaltungen fand kontinuierlich Eingang in die Weiterentwicklung der Materialien. Das Projekt wurde begleitet durch Befragungen von Gesundheitsfachkräften, mit einer Ersterhebung 2009 und einer Folgeerhebung 2010. Basierend hierauf beauftragte das Sächsische Staatsministerium für Gleichstellung und Integration 2015 die Erstellung eines "Maßnahmenkatalogs zur Einbindung des Gesundheitswesens in die Hilfenetzwerke zur Bekämpfung häuslicher Gewalt in Sachsen" und in Vorbereitung dazu eine erneute Befragung aller sächsischen (Zahn-)Ärztinnen und (Zahn-) Ärzten. Die drei genannten Befragungen sind Gegenstand der hier vorgelegten Promotionsschrift. Methoden: Bei den Befragungen 2009 und 2010 wurden 4787 bzw. 4812 Fachkräfte im Gesundheitswesen angeschrieben (Angehörige des Universitätsklinikums, ambulant tätige Ärzt*innen, Psycholog*innen, Hebammen, Physiotherapeut*innen und Pflegekräfte aus Dresden und Chemnitz). Der Fragebogen umfasste 74 Items in den Bereichen: Person und Beruf, Informationsstand zum Thema, Umgang mit Betroffenen, Bekanntheit von Arbeitshilfen und Beratungsstellen, sowie Einstellung zu Fortbildungen zum Thema. Der Rücklauf betrug 1107 (23%) bzw. 788 (16%). Unter den Antwortenden der Re-Befragung 2010 befanden sich 132 von insgesamt 931 Teilnehmern von Schulungen im Rahmen des Projektes HEH. Für die Befragung 2015 wurden alle 20.712 sächsischen (Zahn-)Ärztinnen und (Zahn-)Ärzte (16.757 bzw. 3.955) angeschrieben. Der Fragebogen enthielt 78 Items in den vorgenannten Themenbereichen; zusätzlich sollte ein beigelegter Dokumentationsbogen bewertet werden. Der Rücklauf betrug 1346 (6.5%). Von den weiblichen Angeschriebenen antworteten 8,3%, von den männlichen 4,3%. Die Auswertung der Antworten erfolgte mit Hilfe deskriptiver Statistik. Vergleiche wurden durchgeführt zwischen Berufsgruppen, zwischen den Städten Dresden und Chemnitz, zwischen den Befragungszeitpunkten 2009 und 2010, sowie zwischen Schulungsteilnehmern und Nicht-Schulungsteilnehmern. Bei der Auswertung der Befragung 2015 wurden zusätzlich Beziehungen zwischen der Beantwortung einzelner Items hergestellt. Ergebnisse: a) Informationsstand zum Thema Häusliche Gewalt: Auf einer mehrstufigen Skala zur subjektiven Informiertheit lagen in den jeweiligen Gesamtkollektiven die Antworten mehrheitlich nahe dem Mittelwert; es fanden sich keine Unterschiede nach Befragungsjahren, Städten oder Berufsgruppen. Allerdings fühlten sich niedergelassene Ärztinnen und Ärzte in Dresden im Jahr 2010 signifikant besser informiert als in Chemnitz (p=0.02); in 2015 war dieser Unterschied nicht mehr vorhanden. Unter den Antwortenden 2010 fühlten sich diejenigen, die an einer Schulung teilgenommen hatten, hochsignifikant besser informiert als Nicht-Schulungsteilnehmer (p<.001); dies sowohl im Vergleich innerhalb Dresdens (Effektstärke d=0.59) als auch zwischen den Städten als auch im Vergleich mit dem Gesamtkollektiv 2009. Schränkt man die Vergleiche auf diejenigen Personen ein, die angaben, auf beide Befragungen geantwortet zu haben, war die Effektstärke zwischen Schulungsteilnehmern und Nicht-Schulungsteilnehmern aus Dresden noch etwas höher (d=0.61); zusätzlich fand sich sogar ein Unterschied unter den Nicht-Schulungsteilnehmern 2009 und 2010 (p<0.001; d=0.19). Dieser letzte Unterschied war für die Antwortenden aus Chemnitz nicht vorhanden. Gebeten um eine Schätzung der Lebenszeitprävalenz von Erlebnissen häuslicher Gewalt, antworteten in allen drei Befragungskollektiven nur ein Viertel nahe der tatsächlichen Ziffer für Frauen von 20-30%; für Männer wurde die Ziffer deutlich geringer geschätzt, wobei verlässliche epidemiologische Zahlen nicht vorliegen. Unterschiede zwischen den Untergruppen von Befragten waren nicht zu erkennen. b) Umgang mit Betroffenen: In allen drei Befragungen wurde die vermutete berufliche Kontakthäufigkeit zu Betroffenen als sehr gering eingestuft; einzige Ausnahme bildete die Berufsgruppe der Psycholog*innen. Die Bereitschaft, Betroffene anzusprechen, wurde mit 40-100% als durchaus hoch eingeschätzt, es fanden sich jedoch signifikante Unterschiede zwischen den Berufsgruppen (niedriger bei Hebammen und Pflegekräften, höher bei Ärzt*innen und Psycholog*innen). Die Zufriedenheit mit den Möglichkeiten, Betroffenen zu helfen, wurde durchweg als gering berichtet; lediglich Psycholog*innen gaben eine bessere Einschätzung. Für den Vergleich zwischen Schulungsteilnehmern und Nicht-Schulungsteilnehmern fand sich in der Befragung 2010 ein Trend (p=0.09). c) Bekanntheit von Arbeitshilfen und Beratungsstellen: Von den zur Auswahl gestellten Arbeits- und Informationshilfen war unter (Zahn-)Ärztinnen und (Zahn-)Ärzten das bundesweite Hilfetelefon (geschaltet seit 2011) mit 45% die bekannteste, gefolgt vom sächsischen Ärzteleitfaden (in allen drei Jahrgängen gleichbleibend ca. 30%). Von den örtlichen Beratungsstellen und Hilfeeinrichtungen waren in der Befragung 2015 das Institut für Rechtsmedizin (68%) und die Frauenhäuser (61%) die bekanntesten; lediglich 31% kannten die lokalen spezialisierten Beratungsstellen. In den Jahren 2009 und 2010 waren es sogar nur 9% bzw.13% gewesen. Durchweg waren die Kenntnisse in anderen Berufsgruppen deutlich geringer. Schulungsteilnehmer hatten in der Befragung 2010 signifikant höhere Kenntnisse als Nicht-Schulungsteilnehmer. Diejenigen Antwortenden 2015 mit den geringsten Kenntnissen von Informationsmaterialien und Hilfeeinrichtungen hatten auch die geringste Zufriedenheit mit der Möglichkeit zu helfen angegeben. d) Einstellung zu Fortbildungen zum Thema: Über alle Befragungen hinweg zeigten sich ca. 70% der Ärztinnen und Ärzte an Fortbildungen zum Thema interessiert. Ein zeitlicher Umfang von bis zu zwei Stunden wurde stark bevorzugt. Pflegekräfte hatten ähnliche Präferenzen, Hebammen und Psycholog*innen tendierten zu längeren Fortbildungsdauern. Von möglichen Inhalten wurden am häufigsten genannt: konkrete Handlungsanleitungen, Informationen über Beratungsstellen, rechtliche Aspekte sowie Hinweise zur Gesprächsführung mit Betroffenen. Schlussfolgerung: Die geschilderten Befragungen aus Sachsen zeigen, dass Fachkräfte im Gesundheitswesen, darunter gleichermaßen Ärztinnen und Ärzte wie Angehörige anderer Berufsgruppen, wenig vorbereitet sind, ihre wesentliche Schlüsselrolle bei der umfassenden Hilfe für Betroffene von häuslicher Gewalt einzunehmen und zur Geltung zu bringen. Sie signalisieren zwar einerseits eine hohe Bereitschaft, Betroffene anzusprechen, sehen sich in ihrer Berufsausübung aber in nur sehr geringem Kontakt zu Betroffenen und sind wenig zufrieden mit den Möglichkeiten zu helfen. Gleichzeitig ist die Kenntnis verfügbarer Informationsmaterialien und bestehender Hilfeeinrichtungen unvollständig oder sogar gering. Der offenkundige Bedarf an Awareness-Steigerung einerseits und Kenntnis-Vermittlung andererseits wurde im Projekt HEH adressiert. Die Befragungen zeigen eindeutig, dass derartig fokussierte Schulungen und Fortbildungen einen positiven Effekt haben, gleichzeitig aber, dass sie longitudinal besser verankert werden müssen. Die Befragung hat zusätzlich herausgearbeitet, dass Fortbildungen durchaus auf Interesse stoßen, und welche Formate und Inhalte dabei die größte Akzeptanz finden.:1 EINLEITUNG 1 2 HINTERGRUND: HÄUSLICHE GEWALT UND GESUNDHEITSWESEN 3 2.1 Politische Relevanz 3 2.2 Definition: Häusliche Gewalt 4 2.3 Art der Gewalttaten bei häuslicher Gewalt 4 2.4 Prävalenz häuslicher Gewalt 5 2.5 Prävalenz häuslicher Gewalt in Sachsen 7 2.6 Gesundheitliche Folgen häuslicher Gewalt 9 2.7 Schlüsselstelle Gesundheitswesen 11 2.8 Netzwerke zur Bekämpfung häuslicher Gewalt 11 2.9 Europäische Interventionsprojekte zu häuslicher Gewalt 12 2.10 Interventionsprojekte zu häuslicher Gewalt im Gesundheitswesen in Deutschland 13 2.11 Maßnahmen zum Thema häusliche Gewalt im sächsischen Gesundheitswesen 15 2.12 Maßnahmen zum Thema häusliche Gewalt in der Stadt Dresden 17 3 PROJEKT "HINSEHEN-ERKENNEN-HANDELN" (HEH) 18 3.1 Strategisches Vorgehen 18 3.2 Digitale Verfügbarkeit der Materialien 21 3.3 Fortbildungsformate 21 3.4 Prozessbegleitung und Evaluation der Veranstaltungen 24 3.5 Fachveranstaltung und Öffentlichkeitsarbeit 25 3.6 Zielstellung: Befragungen medizinischer Fachkräfte 26 4 METHODEN 27 4.1 Befragung von Fachkräften im Gesundheitswesen im Jahr 2009 28 4.2 Re-Befragung von Fachkräften im Jahr 2010 34 4.3 Vergleich Befragung Dresden-Chemnitz 2009 und Re-Befragung 2010 36 4.4 Befragung von (Zahn-)Ärztinnen und (Zahn-)Ärzten Sachsen im Jahr 2015 37 4.5 Statistik 42 5 ERGEBNISSE 44 5.1 Ergebnisse Befragung im Jahr 2009 44 5.2 Ergebnisse Re-Befragung Fachkräfte im Jahr 2010 59 5.3 Ergebnisse Befragung im Jahr 2015 71 5.4 Befragungsergebnisse im Vergleich 83 6 DISKUSSION 98 6.1 Hauptergebnisse aus den Fragebogenuntersuchungen 98 6.2 Limitationen und Stärken der Untersuchungen 102 6.3 Klinische Implikationen und Konsequenzen für die politische Willensbildung 104 6.4 Fazit 108 7 ZUSAMMENFASSUNG 110 8 LITERATUR 117 9 TABELLEN 123 10 ABBILDUNGEN 125 11 ABKÜRZUNGEN 129 12 ANHANG 129 13 DANKSAGUNG 155 14 ERKLÄRUNGEN ZUR ERÖFFNUNG DES PROMOTIONSVERFAHRENS 156 15 ERKLÄRUNG ZUR EINHALTUNG RECHTLICHER VORSCHRIFTEN 157 ; Background: Domestic violence is an omnipresent problem with multiple negative consequences for those affected and high costs for the community. Due to direct and indirect health impacts, medical attention is sought frequently. Contact with medical professionals is much more common than with specialized non-medical counseling facilities. Therefore, health care providers play a key role in the identification of domestic violence, treatment of the consequences, and thus prevention of further violence. The 2008-2010 project 'Hinsehen–Erkennen–Handeln' (HEH: Look at–Recognize-Act) was initiated in order to sensitizing and training medical professionals. Information material and a documentation form for Saxony were developed and presented at focused training modules together with existing medical guidelines. The project was flanked by two surveys of health care providers, first in 2009, then in 2010. Based on that, the Saxon Ministry of Equality and Integration in 2015 commissioned a 'Catalog of Measures for Integrating the Health Care System into the Help Network Combating Domestic Violence in Saxony'. In preparation for that, another survey of all physicians and dentists in Saxony was employed. Those three surveys are the subject of the current thesis. Methods: The 2009 and 2010 surveys were sent to 4787 and 4812 professionals, respectively (members of the university clinic, outpatient doctors, psychologists, midwives, physiotherapists and care personnel from Dresden and Chemnitz). They comprised 74 items on: personal information and profession, level of information, handling of those affected, familiarity with work aids and counseling facilities, as well as interest in continued education on the topic. The rates of return were 1107 (23%) and 788 (16%), respectively. Among those who answered in 2010 there were 132 out of a total 931 participants of training modules from the HEH project. The 2015 survey went out to all 20,712 Saxon physicians and dentists (16,757 and 3,955 respectively). It covered 78 items on the same topics. In addition, a proposed documentation form was to be evaluated. There were 1346 replies (6.5%). The rates were 8.3% for female and 4.3% for male recipients. Analysis of the answers was done by descriptive statistics. Points of comparison were: professions, the cities Chemnitz and Dresden, survey year 2009 or 2010, and participation of training modules. For the 2015 survey, relations between different items were analysed. Results: a) Level of Information about Domestic Violence: Answers on the subjective information about the topic mostly converged around the mean irrespective of year of the survey, city, or profession. However, Dresden physicians in private practice felt significantly better informed than those in Chemnitz in 2010 (p=0.02) but not so in 2009. The difference disappeared again in 2015. In 2010, those respondents who attended training modules felt themselves to be much more informed than those who did not (p<0.001), an effect which held true for the comparison within Dresden (effect strength d=0.59), between the cities, and with the 2009 survey. When limiting the comparisons to those who responded to both the 2009 and the 2010 surveys, this effect was even higher comparing Dresdners who attended training modules and those who did not (d=0.61). In addition, there was even a difference between 2009 and 2010 for respondents from Dresden who did not attend training modules (p<0.001; d=0.19), an effect that could not be observed in Chemnitz. When asked to estimate the lifetime prevalence of domestic violence, only a quarter of respondents of all three surveys came close to the actual rate for women, 20-30%. The rate for men was estimated to be significantly lower. There were no divergences between the subgroups of respondents. b) Dealing of those affected: Participants of all three surveys estimated the frequency of their professional contact with those affected to be very low, the only exception being psychologists. Readiness to approach the affected was rated relatively high with 40-100%, but significant differences were found between professions (lower for midwives and nurses, higher for physicians and psychologists). Satisfaction with options for offering help was generally low, only psychologists saw them more positive. Here, the 2010 survey showed an upward trend between those who participated in training modules and those who did not (p=0.09). c) Familiarity with work aids and counseling facilities: For physicians and dentists, among the information and work aids mentioned in the survey, the federal help hotline (started in 2011) was best known with 45%, followed by the Saxon guideline for physicians with 30% for all three surveys. In 2015, the list of local counseling and aid facilities was topped by the institute for forensic medicine (68%) and by women's shelters (61%). Only 31% of respondents knew of the more specifically dedicated local counseling facilities, a number that grew from 9% and 13% in 2009 and 2010, respectively. For other professions, familiarity with these options was markedly lower. Participation in the training modules indicated significantly higher rates of familiarity in the 2010 survey. In 2015, those with the least knowledge of informational material and counseling facilities were least satisfied with the options for offering help. d) Interest in continued education: Across all surveys, around 70% of physicians showed interest in continued education, strongly favoring units at a length of two hours. Nurses showed very similar preferences, while midwives and psychologists tended towards longer durations. The subjects most commonly called for were concrete guidelines for action, counseling facilities, legal aspects, and conversational skills. Conclusion: The surveys from Saxony show how ill prepared medical professionals are to enact their key role in the comprehensive care for people affected by domestic violence. They show a high readiness to address those affected, but estimate their professional contacts to such cases to be rare. They are unhappy with their ability to help, while having only incomplete or even poor familiarity with informational material and counseling facilities. The project HEH addressed the obvious need for raising awareness and imparting information. The surveys clearly demonstrated that offering training modules had a positive effect. However, more continued education is needed in the long run. Fortunately, there is a high interest in such training. The surveys revealed suggestions for educational subjects and formats.:1 EINLEITUNG 1 2 HINTERGRUND: HÄUSLICHE GEWALT UND GESUNDHEITSWESEN 3 2.1 Politische Relevanz 3 2.2 Definition: Häusliche Gewalt 4 2.3 Art der Gewalttaten bei häuslicher Gewalt 4 2.4 Prävalenz häuslicher Gewalt 5 2.5 Prävalenz häuslicher Gewalt in Sachsen 7 2.6 Gesundheitliche Folgen häuslicher Gewalt 9 2.7 Schlüsselstelle Gesundheitswesen 11 2.8 Netzwerke zur Bekämpfung häuslicher Gewalt 11 2.9 Europäische Interventionsprojekte zu häuslicher Gewalt 12 2.10 Interventionsprojekte zu häuslicher Gewalt im Gesundheitswesen in Deutschland 13 2.11 Maßnahmen zum Thema häusliche Gewalt im sächsischen Gesundheitswesen 15 2.12 Maßnahmen zum Thema häusliche Gewalt in der Stadt Dresden 17 3 PROJEKT "HINSEHEN-ERKENNEN-HANDELN" (HEH) 18 3.1 Strategisches Vorgehen 18 3.2 Digitale Verfügbarkeit der Materialien 21 3.3 Fortbildungsformate 21 3.4 Prozessbegleitung und Evaluation der Veranstaltungen 24 3.5 Fachveranstaltung und Öffentlichkeitsarbeit 25 3.6 Zielstellung: Befragungen medizinischer Fachkräfte 26 4 METHODEN 27 4.1 Befragung von Fachkräften im Gesundheitswesen im Jahr 2009 28 4.2 Re-Befragung von Fachkräften im Jahr 2010 34 4.3 Vergleich Befragung Dresden-Chemnitz 2009 und Re-Befragung 2010 36 4.4 Befragung von (Zahn-)Ärztinnen und (Zahn-)Ärzten Sachsen im Jahr 2015 37 4.5 Statistik 42 5 ERGEBNISSE 44 5.1 Ergebnisse Befragung im Jahr 2009 44 5.2 Ergebnisse Re-Befragung Fachkräfte im Jahr 2010 59 5.3 Ergebnisse Befragung im Jahr 2015 71 5.4 Befragungsergebnisse im Vergleich 83 6 DISKUSSION 98 6.1 Hauptergebnisse aus den Fragebogenuntersuchungen 98 6.2 Limitationen und Stärken der Untersuchungen 102 6.3 Klinische Implikationen und Konsequenzen für die politische Willensbildung 104 6.4 Fazit 108 7 ZUSAMMENFASSUNG 110 8 LITERATUR 117 9 TABELLEN 123 10 ABBILDUNGEN 125 11 ABKÜRZUNGEN 129 12 ANHANG 129 13 DANKSAGUNG 155 14 ERKLÄRUNGEN ZUR ERÖFFNUNG DES PROMOTIONSVERFAHRENS 156 15 ERKLÄRUNG ZUR EINHALTUNG RECHTLICHER VORSCHRIFTEN 157
Pädagogische Fachkräfte nutzen Social Media-Plattformen als professionelle Handlungsräume. Diese Nutzung umfasst die Grundformen pädagogischen Handelns, wie Arrangieren, Animieren und Informieren/Beraten. "Wenn ich als Pädagogikprofessor in einer Straßenbahn Eltern Ratschläge gebe, wie sie mit einem offensichtlich übermüdeten Kind umgehen sollen, dann handele ich vermutlich anmaßend, aber nicht professionell, denn die Tram ist nicht der Ort meiner Profession." (Giesecke 1997: 47) Wie sieht es aus, wenn die Orte pädagogischer Profession nun aber gezielt ausgedehnt werden, indem pädagogische Fachkräfte in Sozialen Onlinenetzwerken (SONW) pädagogisch agieren? SONW werden somit zu neuen pädagogischen Handlungsräumen. Der Beitrag zeigt anhand ausgewählter Fallbeispiele, wie SONW von pädagogischen Fachkräften der Offenen Kinder- und Jugendarbeit (OKJA) als pädagogische Handlungsräume genutzt werden. Noch nie zuvor haben so viele junge Menschen und Erwachsene das Internet täglich genutzt (mpfs 2017; Projektgruppe ARD/ZDF–Multimedia 2017). Angesichts dieser hohen Bedeutung stellt sich die Frage, inwiefern auch die Soziale Arbeit die Potenziale des Internets und besonders die Potenziale von SONW für sich nutzen kann. Eine Vorreiterrolle bezüglich der Nutzung von SONW als pädagogische Handlungsräume nehmen die pädagogischen Fachkräfte der OKJA ein (JFF 2011). Zunächst wird in diesem Beitrag anhand einiger Situationen aus der OKJA verdeutlicht, wie SONW als pädagogische Handlungsräume genutzt werden. Die verwendeten Beispiele entstammen qualitativen Interviews mit Fachkräften, die im Rahmen des Dissertationsprojekts der Autorin geführt wurden. Der anschließende Abschnitt beschäftigt sich mit der Frage nach der Wahrnehmung und Artikulation von SONW als pädagogische Handlungsräume durch die Fachkräfte. In einer Zusammenfassung werden die geschilderten Situationen hinsichtlich der Grundformen pädagogischen Handelns nach Giesecke kategorisiert. Der Artikel schließt mit einer Positionierung zu den Herausforderungen durch SONW und einem Ausblick. Exemplarische Situationen der Nutzung von SONW Im Folgenden werden ausgewählte Situationen der alltäglichen Nutzung von SONW und deren pädagogische Implikationen vorgestellt. Der erste Beispielkomplex zeigt dies am Beispiel der Postings von Jugendlichen. Dadurch, dass die Jugendarbeiterin Clara auf Facebook mit den Jugendlichen befreundet ist, erfährt sie von Beleidigungen und Streits und hat die Möglichkeit Einfluss zu nehmen: "Dann hab ich gemerkt, die fängt dann an mit der zu chatten und auf die Startseite: 'Und du bist so doof' und haste nicht gesehen [zu schreiben]. Und dann konnte ich natürlich im Vorfeld schon eingreifen. Und wenn sie dann kamen, dann hatte ich eine Information, die ich sonst nicht gehabt hätte und hab sie mir dann alle ins Büro geholt und hab das ganz offen angesprochen." Bei Streits zu intervenieren ist für die pädagogischen Fachkräfte in der OKJA alltägliche pädagogische Arbeit. In einem ersten Schritt wird die Situation beruhigt und in einem anschließenden Schritt mit den Beteiligten in einem pädagogischen Rahmen bearbeitet. Clara kann situativ entweder mittels Kommentar direkt in die Interaktion im SONW einsteigen oder zu einem späteren Zeitpunkt ein Gespräch in der Einrichtung forcieren. Sie bewertet es als sehr hilfreich, Dinge indirekt zu erfahren, da sich das o.g. Mädchen vielleicht nicht von sich aus an sie gewandt hätte. Clara erhält durch ihre Facebook-Freundschaft auch Informationen, die nicht explizit an sie adressiert wurden, somit obliegt es ihrer pädagogischen Kompetenz, sensibel mit diesen Informationen umzugehen und zu entscheiden, ob sie sie aktiv nutzt oder die Situation passiv beobachtet. Der Jugendarbeiter Felix hat ein Bild kommentiert, das zwei Mädchen gepostet hatten. Auf diesem Bild inszenieren sich die Mädchen auf Straßenbahnschienen sitzend. Felix schien es erforderlich dies zu hinterfragen: "'Okay, das ist nicht so ganz eindeutig, was wollt ihr mit diesem Foto sagen? Wollt ihr sagen, dass euch das Leben nicht mehr gefällt und ihr wartet darauf, dass die nächste Straßenbahn kommt und euch überfährt?'" Die Mädchen erfahren Selbstwirksamkeit, da der Jugendarbeiter auf das Foto reagiert. Durch das offene Thematisieren der Bildbotschaften werden sie zum Reflektieren ihres Handelns angehalten und somit Bildungsprozesse angeregt. Felix ist zudem sensibilisiert und kann zu einem späteren Zeitpunkt ggf. eine Beratungs- oder Informationssituation initiieren. Informationen, die Clara aus den Postings der Jugendlichen über diese erhält, nutzt sie, um in der Anschlusskommunikation ein Gefühl emotionaler Verbundenheit hervorzurufen: "Und wenn du dann zum Beispiel bei Facebook schon gesagt hast: 'Finde ich toll, du hast ein neues Kleid'. Dann kommen sie an: 'Mensch Clara, wirklich? Ist das ein schönes Kleid? Sag mal ehrlich.'" Die Jugendarbeiterin reagiert hier wertschätzend auf Dinge, die für die Jugendlichen aktuell von Belang sind und zwar im Einzelfall, aber ebenso auch bereits durch die Tatsache, dass sie sich auf die Kommunikationsweise der Jugendlichen einlässt. Sie erzeugt dadurch ein positives Klima und ruft ein Gefühl emotionaler Verbundenheit hervor. Clara selbst beschreibt dies als Intensivierung der Kontakte. Oder anders gesagt: Sie nutzt die SONW unterstützend, um die Beziehung zu den Jugendlichen kontinuierlich weiterzuentwickeln. Diese Grundlagen für den Aufbau einer vertrauensvollen Arbeitsbeziehung werden von der Jugendarbeiterin arrangiert. Im zweiten Beispielkomplex werden die pädagogischen Implikationen und Intentionen anhand der Postings der pädagogischen Fachkräfte vorgestellt. Felix verfolgt sowohl pädagogische als auch administrative Absichten, wenn er Aktionen der Einrichtung mittels Bildpostings in SONW dokumentiert. Die Postings haben zum einen den Zweck ein Zugehörigkeitsgefühl zur Einrichtung zu fördern, indem gemeinsame Erlebnisse positiv erinnert werden und die Jugendlichen animiert werden, diese Emotionen zu reflektieren und zu verbalisieren. "Also wenn ein schönes Foto natürlich da ist und dann die Reaktion drauf kommen würde: 'Ja, ich war dabei. Das war total geil.' Dann wäre damit schon sehr viel erreicht." Außerdem möchte Felix einen Dialog über diese spezifische Aktion unter den Jugendlichen anregen. Er eröffnet mit der Kommentarfunktion eine niedrigschwellige Möglichkeit und motiviert die Jugendlichen damit, sich zu artikulieren. En passant erhält er durch die Kommentare Feedback und kann weitere entsprechende Angebote arrangieren. Zugleich hat sowohl die Dokumentation als auch der Anschlussdialog der Jugendlichen Signalcharakter nach außen: Außenstehende erhalten einen Eindruck von Angeboten und Zielgruppe sowie einen Eindruck davon, wie die pädagogischen Fachkräfte arbeiten; Lebendigkeit und Offenheit wird signalisiert. Sowohl Clara als auch Felix nutzen die SONW, um alltägliche pädagogische Angebote oder besondere Erlebnisse zu arrangieren und initiieren. Einen Vorteil sehen sie vor allem darin, dass sie mittels Postings in kurzer Zeit eine große Zielgruppe, nämlich alle mit der Einrichtung verbundenen Jugendlichen, erreichen können. Deutlich wird dies in Felix' Einrichtung, in der täglich das aktuelle pädagogische Angebot gepostet wird. Dadurch erreicht er auch eine Zielgruppe, die sonst nicht die Einrichtung besucht, sondern lediglich punktuell zu Außenveranstaltungen kommt. "Wie zum Beispiel jetzt im Sommer, wenn wir irgendwo Baden fahren dann wird das gepostet." Das Werben für den Badeausflug mittels Postings in SONW ermöglicht den o.g. Jugendlichen einen Zugang zur Einrichtung bzw. zu dem pädagogischen Personal und die Teilnahme an den pädagogischen Aktionen. Felix kann dies wiederum nutzen, um mit den Jugendlichen in Kontakt zu treten und Vertrauen aufzubauen. Außerdem kann eine andere Umgebung einen guten Rahmen bieten, um Barrieren zwischen den unterschiedlichen Besucher_innengruppen abzubauen und neue gruppendynamische Prozesse anzustoßen. Clara hatte beispielsweise Karten für die Castings von X Factor und Supertalent und postete: "Ich hab Karten. Wer will […] mitkommen?" bzw. "Ich hab keine Karten mehr." Sie ermöglicht den Jugendlichen damit, etwas Besonderes, nicht Alltägliches, zu erleben und schafft Möglichkeiten für Bildungsprozesse. Das Arrangieren der Teilnahme an besonderen Erlebnissen und pädagogischen Angeboten impliziert dementsprechend auch pädagogisches Handeln und ist über ein massenmediales Werben hinausgehend. Das pädagogische Handeln in SONW und SONW als pädagogische Handlungsräume Die vorherigen Explikationen haben den pädagogischen Gehalt im Umgang mit beiderseitigen Postings aufgezeigt. In einigen Beispielen wurde direkt im SONW interveniert, womit deutlich wurde, wie dieses als zusätzlicher, pädagogischer Handlungsraum der OKJA genutzt wird. Weiterführend stellt sich nun aber die Frage, inwiefern die beiden pädagogischen Fachkräfte die SONW als pädagogische Handlungsräume wahrnehmen und in dieser Deutlichkeit als solche bezeichnen. Nach ihrem Begriffsverständnis befragt, definiert Clara pädagogisches Handeln als "alles Handeln, was du in Bezug auf Jugendliche erzieherisch ausübst". Als Beispiel benennt sie das Eingehen auf Konflikte auf Basis von pädagogischen und entwicklungspsychologischen Fachkenntnissen, also "zu wissen, was damit gemeint sein kann und das dann eben ansprechen". Dabei verwendet sie einen aufrüttelnd-provokanten Sprachstil, sog. Modulationen (vgl. Cloos et al. 2009), um den Jugendlichen ihr Verhalten und dessen Konsequenzen bewusst zu machen. Für Clara findet sich diese Art pädagogischen Handelns fraglos auch in den SONW wieder. Sie verdeutlicht dies am weiteren Beispiel eines männlichen Jugendlichen, der sich in Bodybuilder-Pose fotografiert hat: "Und ich sage, 'Meine Güte, jetzt machste aber einen auf Muskelprotz!' und mach das mit so'nem Smiley hinten dran, so dass der eigentlich weiß, was ich damit meine." Auch hier verwendet sie Modulationen, um den Jugendlichen zur Reflexion seines Verhaltens anzuregen und ihm die Wirkungen des geposteten Bildes vor Augen zu führen. Zusätzlich hätte Clara die Möglichkeit die Interaktion auf Facebook für spätere Anschlusskommunikation innerhalb der Einrichtung zu verwenden. Auffällig an Claras Verständnis von pädagogischem Handeln ist vor allem, dass sie den Fokus im Schwerpunkt auf konflikthafte oder problematische Situationen richtet. Pädagogisches Handeln umfasst für sie somit korrigierendes Handeln. Darin unterscheidet sich ihre Definition von der Gieseckes. Dieser definiert pädagogisches Handeln als positive Beeinflussung des Menschen hin zu einer mündigen Persönlichkeit, indem man Gelegenheiten zu Bildungsprozessen bietet (vgl. 1997: 22ff.). Felix definiert pädagogisches Handeln als das Arrangieren von Workshops, das Animieren oder das Vermitteln von Toleranz in der Gruppe. Damit bezieht er sich allerdings lediglich auf die Face-to-Face-Arbeit innerhalb der Einrichtung, denn Felix bezweifelt, dass pädagogisches Handeln auf SONW übertragen werden kann: "Und bezogen auf Netzwerke lässt sich wirklich die Frage stellen, ist das eine Form von pädagogischem Handeln wenn ich das veröffentliche, die Angebote? Weil das ist ja wirklich eigentlich nur Öffentlichkeitsarbeit, Informationsarbeit". Obwohl er also durchaus in SONW pädagogisch agiert, reflektiert und artikuliert er dies nicht dementsprechend. Für ihn sind SONW weniger zusätzliche pädagogische Handlungsräume als vielmehr Werkzeuge, die administrative Aufgaben erleichtern. Auch Giesecke grenzt den Informationsoutput von Massenmedien von pädagogischem Handeln ab und hält fest, dieses finde immer von Angesicht zu Angesicht statt. Lediglich in den ggf. daran anschließend hergestellten, interaktiven Situationen könne pädagogisch gehandelt werden (1997: 47f.). Wie die Explikationen aber deutlich gemacht haben, ist dies auf Grund der Interaktivität von SONW heute keine grundlegende Bedingung für pädagogisches Handeln mehr. Felix nutz zwar in der Handlungspraxis diese Interaktivität, in der Reflexion und Artikulation spielt die Interaktivität jedoch keine Rolle. Anhand der beiden Fallbeispiele wird deutlich, dass die Reflexion pädagogischer Implikationen in der Nutzung von SONW nicht unbedingt die Praxis abbildet. Laut Giesecke ist der Gegenpol zum Handeln stets die Reflexion (1997: 45). Sein Konzept der Grundformen pädagogischen Handelns sieht er als Instrument, das Handeln zu reflektieren (1997: 17). Diese Grundformen (1997: 76ff.)1 dienen nun als Struktur, um das pädagogische Handeln der Explikationen reflektierend zu verdeutlichen. Arrangieren (1): Indem die pädagogischen Fachkräfte die vielfältigen Kommunikationskanäle von SONW nutzen, arrangieren sie die Voraussetzungen für vertrauensvolle Arbeitsbeziehungen oder arrangieren Situationen, die Bildungsprozesse ermöglichen. Animieren: Die pädagogischen Fachkräfte animieren die Jugendlichen zur Teilnahme an pädagogischen Arrangements wie Ausflügen und weiteren pädagogischen Situationen. Ebenso animieren sie die Jugendlichen sich in SONW zu artikulieren. Informieren/Beraten: Das Informieren und Beraten kann sich einerseits in den SONW abspielen, andererseits aber auch lediglich inhaltlich auf die SONW bezogen sein und offline/face-to-face stattfinden. Beide pädagogische Fachkräfte merken an, dass aus ihrer Sicht ein Face-to-Face-Gespräch aufgrund der Kanalreduktion nicht durch Nachrichten über SONW zu ersetzen und es daher wichtig sei, stets "zweigleisig" (Clara) zu arbeiten. Im Folgenden werden Herausforderungen und Reflexionsbedarfe, die sich aus den obigen Beispielen ergeben, erörtert. Herausforderungen und Ausblick SONW sind keine Jugendräume. Firmen sind dort ebenso präsent wie Erwachsene, die dort beruflich und privat netzwerken. Dementsprechend ist die Frage, ob sich pädagogische Fachkräfte in SONW aufhalten sollten, hinfällig (vgl. Stix 2014). Wichtiger ist es, einen Umgang miteinander zu entwickeln, der weder den pädagogischen Fachkräften noch den Jugendlichen zum Nachteil wird. Um die Jugendlichen zu erreichen, nutzen die pädagogischen Fachkräfte die bei jungen Menschen angesagten SONW-Angebote. Diese sind in der Regel kommerziell und wenig transparent oder reguliert, was den Umgang mit Nutzer_innendaten betrifft. Dies erfordert aus pädagogischer Sicht das Prüfen und Abwägen von Vor- und Nachteilen. Dementsprechend kann es nicht nur aufgrund der Kanalreduktion wichtig sein, ein Gespräch über ein sensibles Thema face-to-face zu führen und dies den Jugendlichen zu vermitteln. Ein reflektierter und sensibler Umgang mit Daten gilt auch für die Dokumentation von Aktionen, wie Felix ihn schildert. Beim Posten von Bildern muss er das Persönlichkeitsrecht der Jugendlichen beachten und prüfen, ob und ggf. welche Informationen möglicherweise unbeabsichtigt preisgegeben werden. Des Weiteren stellt sich die ethische Frage, inwiefern sich pädagogische Fachkräfte Informationen aktiv aus SONW besorgen und nutzen dürfen (vgl. Kutscher 2015). Eine weitere Herausforderung ergibt sich aus der Frage, ob nicht Jugendliche, die keinen Zugang zu SONW haben, ausgegrenzt oder benachteiligt werden. Dies zu reflektieren ist eine Aufgabe pädagogischer Professionalität. Die Nutzung von SONW birgt pädagogische Chancen. Zugleich ergeben sich daraus auch neue Verantwortungsdimensionen für das professionelle Handeln pädagogischer Fachkräfte. Das Handeln in SONW muss hinsichtlich möglicher negativer Konsequenzen für die Jugendlichen reflektiert werden. Die Entwicklung einer eigenen (medien-) pädagogischen Haltung sowie eine Rahmung durch Träger und kollegialer Austausch können dabei helfen. Pädagogisch professionell zu sein bedeutet auch, die Trends der jungen Menschen zu kennen und pädagogisch darauf zu reagieren. Im Falle von Social Media bewegt sich die Masse seit 2015 zu Angeboten wie WhatsApp und Instagram (mpfs 2016: 32f.). Es bleibt spannend, ob sich auch WhatsApp mit seinen anderen Strukturen mittelfristig als pädagogischer Handlungsraum etablieren und wie das pädagogische Handeln dort konkret aussehen wird – und welche Konflikte dies zu fachlichen Logiken und Standards mit sich bringt (vgl. Deutscher Bundestag 2013, S. 394), die zu reflektieren und in die Gestaltung pädagogischen Handelns einzubeziehen sind. (1) Ausgenommen das Unterrichten, von Giesecke verstanden als das Erklären von relativ komplexen Sachzusammenhängen in einem längeren Argumentationsprozess (1997: 79). ; Pedagogical professionals use social media platforms as professional spaces for action. This use includes the basic forms of pedagogical action, such as arranging, animating and informing/advising. "If I, as a professor of education, give advice to parents in a tram on how to deal with an obviously overtired child, then I am probably acting presumptuously, but not professionally, because the tram is not the place of my profession." (Giesecke 1997: 47) But how does it look when the places of pedagogical profession are now deliberately extended by pedagogical professionals acting pedagogically in online social networks (SONW)? SONW thus become new spaces for pedagogical action. The article uses selected case studies to show how SONW are used as pedagogical spaces of action by pedagogical professionals in open child and youth work (OKJA). Never before have so many young people and adults used the internet on a daily basis (mpfs 2017; Projektgruppe ARD/ZDF-Multimedia 2017). In view of this high importance, the question arises to what extent social work can also use the potentials of the internet and especially the potentials of SONW for itself. A pioneering role with regard to the use of SONW as pedagogical spaces for action is played by the pedagogical professionals of OKJA (JFF 2011). First of all, this article will illustrate how SONW are used as pedagogical spaces of action by means of some situations from OKJA. The examples used are taken from qualitative interviews with professionals conducted as part of the author's dissertation project. The following section deals with the question of how professionals perceive and articulate SONW as pedagogical spaces for action. In a summary, the situations described are categorised with regard to the basic forms of pedagogical action according to Giesecke. The article concludes with a position on the challenges posed by SONW and an outlook. Exemplary situations of SONW useIn the following, selected situations of everyday SONW use and their pedagogical implications are presented. The first set of examples shows this with the example of postings by young people. Because the youth worker Clara is friends with the young people on Facebook, she learns about insults and arguments and has the opportunity to influence them: "Then I noticed that she starts chatting with them and writes on the homepage: 'And you are so stupid' and hasn't seen it [to write]. And then of course I could intervene in advance. And then when they came, then I had information that I wouldn't have had otherwise and then I got them all into the office and addressed it quite openly." Intervening in disputes is everyday pedagogical work for the educational professionals in OKJA. In a first step, the situation is calmed down and then dealt with in a pedagogical framework with the parties involved. Clara can either directly enter into the interaction in the SONW by means of comments or force a conversation in the facility at a later time. She finds it very helpful to learn things indirectly, as the girl mentioned above might not have approached her on her own. Through her Facebook friendship, Clara also receives information that was not explicitly addressed to her, so it is up to her pedagogical competence to deal sensitively with this information and to decide whether she uses it actively or observes the situation passively. The youth worker Felix commented on a picture that two girls had posted. In this picture, the girls are staging themselves sitting on tram tracks. Felix seemed to need to question this: ''Okay, that's not so clear, what are you trying to say with this photo? Are you saying you don't like life anymore and you're waiting for the next tram to come and run you over?'" The girls experience self-efficacy as the youth worker responds to the photo. By openly thematising the picture messages, they are encouraged to reflect on their actions and thus educational processes are stimulated. Felix is also sensitised and can initiate a counselling or information situation at a later stage if necessary. Clara uses information that she receives about the young people from their postings to evoke a feeling of emotional connection in the follow-up communication: "And if, for example, you have already said on Facebook: 'I think it's great, you have a new dress'. Then they arrive: 'Gee Clara, really? Is that a nice dress? Tell me honestly.'" Here, the youth worker responds appreciatively to things that are of current concern to the young people, in individual cases, but also by the very fact that she engages with the young people's way of communicating. She thus creates a positive climate and evokes a feeling of emotional connection. Clara herself describes this as an intensification of contacts. Or in other words, she uses the SONW in a supportive way to continuously develop the relationship with the young people. These foundations for building a trusting working relationship are arranged by the youth worker. In the second set of examples, the pedagogical implications and intentions are presented based on the postings of the pedagogical professionals. Felix pursues both pedagogical and administrative intentions when he documents actions of the institution by means of picture postings in SONW. On the one hand, the postings have the purpose of promoting a sense of belonging to the institution by positively remembering shared experiences and encouraging the young people to reflect on and verbalise these emotions. "So if a nice photo is there, of course, and then the reaction to it would be: 'Yes, I was there. That was totally cool. Then that would already achieve a lot." Felix also wants to stimulate a dialogue about this specific action among the young people. With the comment function, he opens up a low-threshold possibility and thus motivates the young people to articulate themselves. En passant, he receives feedback through the comments and can arrange further corresponding offers. At the same time, both the documentation and the follow-up dialogue of the young people have a signal character to the outside: outsiders get an impression of the offers and the target group as well as an impression of how the educational professionals work; liveliness and openness are signalled. Both Clara and Felix use the SONW to arrange and initiate everyday educational offers or special experiences. They see an advantage above all in the fact that they can reach a large target group, namely all the young people associated with the institution, in a short time by means of postings. This becomes clear in Felix's facility, where the current educational offer is posted daily. In this way, he also reaches a target group that otherwise does not visit the facility, but only comes to outside events selectively. "Like now, for example, in the summer, when we go swimming somewhere then it is posted." Advertising the swimming trip by means of postings in SONW enables the above-mentioned young people to gain access to the facility or to the educational staff and to participate in the educational activities. Felix can in turn use this to get in touch with the young people and build trust. In addition, a different environment can provide a good framework to break down barriers between the different groups of visitors and to initiate new group dynamic processes. For example, Clara had tickets for the X Factor and Supertalent auditions and posted: "I got tickets. Who wants to come [.]?" or "I don't have tickets anymore." It thus enables young people to experience something special, not ordinary, and creates opportunities for educational processes. Arranging participation in special experiences and educational offers accordingly implies pedagogical action and goes beyond mass media advertising. The pedagogical action in SONW and SONW as pedagogical action spacesThe previous explications have shown the pedagogical content in dealing with mutual postings. In some examples, interventions were made directly in the SONW, making it clear how this is used as an additional, pedagogical space for action by the OKJA. However, the question now arises as to what extent the two pedagogical professionals perceive the SONW as a pedagogical space for action and describe it as such. When asked about her understanding of the term, Clara defines pedagogical action as "all actions that you carry out educationally in relation to young people". As an example, she mentions addressing conflicts on the basis of pedagogical and developmental psychological expertise, i.e. "knowing what can be meant by this and then addressing it". In doing so, she uses an evocative-provocative style of language, so-called modulations (cf. Cloos et al. 2009), to make the young people aware of their behaviour and its consequences. For Clara, this kind of pedagogical action is unquestionably also found in the SONW. She illustrates this with another example of a male adolescent who has photographed himself in a bodybuilder's pose: "And I say, 'My goodness, now you're being a muscleman!' and do it with a smiley face on the back, so that he actually knows what I mean." Again, she uses modulations to encourage the young person to reflect on their behaviour and to make them aware of the effects of the posted image. In addition, Clara would have the opportunity to use the interaction on Facebook for later follow-up communication within the institution. What is striking about Clara's understanding of pedagogical action is that she focuses on conflictual or problematic situations. For her, pedagogical action thus includes corrective action. In this, her definition differs from that of Giesecke. The latter defines pedagogical action as positively influencing people towards a mature personality by providing opportunities for educational processes (cf. 1997: 22ff.). Felix defines pedagogical action as arranging workshops, animating or teaching tolerance in the group. However, he only refers to face-to-face work within the institution, because Felix doubts that pedagogical action can be transferred to SONW: "And in relation to networks, the question can really be asked, is this a form of pedagogical action when I publish the offers? Because that is really only public relations work, information work. Although he does act pedagogically in SONW, he does not reflect and articulate this accordingly. For him, SONW are less additional pedagogical spaces for action than tools that facilitate administrative tasks. Giesecke also distinguishes the information output of mass media from pedagogical action and states that this always takes place face to face. Pedagogical action can only take place in the interactive situations that may subsequently be created (1997: 47f.). However, as the explications have made clear, this is no longer a fundamental condition for pedagogical action due to the interactivity of SONW today. Felix does use this interactivity in the practice of action, but interactivity does not play a role in reflection and articulation. Based on the two case studies, it becomes clear that the reflection of pedagogical implications in the use of SONW does not necessarily reflect practice. According to Giesecke, the antithesis of action is always reflection (1997: 45). He sees his concept of basic forms of pedagogical action as an instrument to reflect action (1997: 17). These basic forms (1997: 76ff.)1 now serve as a structure to reflectively clarify the pedagogical action of the explications. Arranging (1): By using SONW's multiple channels of communication, the pedagogical professionals arrange the conditions for trusting working relationships or arrange situations that make educational processes possible. Animate: The educational professionals encourage the young people to participate in educational arrangements such as excursions and other educational situations. They also encourage the young people to articulate themselves in SONW. Informing/advising: On the one hand, information and counselling can take place in the SONW, but on the other hand, it can also be related to the content of the SONW and take place offline/face-to-face. Both pedagogical professionals note that from their point of view, a face-to-face conversation cannot be replaced by messages via SONW due to the reduction of channels and that it is therefore important to always work "on two tracks" (Clara). Challenges and needs for reflection arising from the above examples are discussed below. Challenges and outlookSONW are not youth spaces. Companies are present there as well as adults who network there professionally and privately. Accordingly, the question of whether educational professionals should be in SONW is moot (cf. Stix 2014). It is more important to develop a way of dealing with each other that is not detrimental to either the pedagogical professionals or the young people. In order to reach the young people, the educational professionals use the SONW offers that are popular among young people. These are usually commercial and not very transparent or regulated when it comes to handling user data. From a pedagogical point of view, this requires checking and weighing the advantages and disadvantages. Accordingly, it can be important to have a conversation about a sensitive topic face-to-face and to communicate this to the young people, not only because of the channel reduction. A reflective and sensitive handling of data also applies to the documentation of actions, as Felix describes. When posting pictures, he has to consider the young people's right to privacy and check whether and which information might be revealed unintentionally. Furthermore, the ethical question arises to what extent educational professionals may actively obtain and use information from SONW (cf. Kutscher 2015). Another challenge arises from the question of whether young people who do not have access to SONW are excluded or disadvantaged. Reflecting on this is a task of pedagogical professionalism. The use of SONW offers pedagogical opportunities. At the same time, it also gives rise to new dimensions of responsibility for the professional action of educational specialists. The actions in SONW must be reflected on with regard to possible negative consequences for the young people. The development of one's own (media) pedagogical attitude as well as framing by the responsible body and collegial exchange can help here. Being pedagogically professional also means being aware of young people's trends and reacting to them pedagogically. In the case of social media, the masses have been moving towards offers such as WhatsApp and Instagram since 2015 (mpfs 2016: 32f.). It remains exciting to see whether WhatsApp with its other structures will also establish itself as a pedagogical space of action in the medium term and what pedagogical action there will look like in concrete terms - and what conflicts this will entail with professional logics and standards (cf. Deutscher Bundestag 2013, p. 394), which need to be reflected and included in the design of pedagogical action. (1) Except for teaching, understood by Giesecke as explaining relatively complex factual contexts in a longer process of argumentation (1997: 79).
Forschungskonzept Das Nachhaltigkeitsleitbild der Agenda 21 und die damit verknüpften Rollenerwartungen an die Privatwirtschaft sind ein Bezugsrahmen der vorliegenden Doktorarbeit. Die Agenda 21, ein zentrales Dokument der UN-Konferenz für Umwelt und Entwicklung (UNCED 1992), und Dokumente der Folgekonferenzen weisen der Privatwirtschaft eine zentrale Rolle bei der Verwirklichung nachhaltiger Entwicklung zu: Wirtschaftsunternehmen sollen Wertschöpfung auf der Grundlage umweltverträglichen Umgangs mit natürlichen Res-sourcen erreichen. Als verantwortungsvolle Unternehmen sollen sie die Interessen ihrer Anspruchsgruppen berücksichtigen, und diese Gruppen sollen ihrerseits die Privatwirt-schaft bei der Realisierung nachhaltiger Entwicklung unterstützen. Regierungsunabhängige Umweltorganisationen erwarten von der Privatwirtschaft umwelt-verträglichen Umgang mit natürlichen Ressourcen und üben entsprechend Druck auf Unternehmen aus. Die Literatur dokumentiert jedoch Konflikte zwischen dem Rollenver-ständnis der Privatwirtschaft und den Erwartungen internationaler Organisationen und zivilgesellschaftlicher Anspruchsgruppen. Seitens der Unternehmen bestehen Zweifel, ob die Anforderungen dieser Akteure angemessen sind und inwieweit sie die ihnen zuge-wiesene Verantwortung übernehmen sollen. Auf diese Problematik bezieht sich die vor-liegende, 2006 bis 2008 durchgeführte qualitative empirische Untersuchung. Das Ziel der Forschungsarbeit war, den Wissensstand zum Umgang kleiner bis mittelgro-ßer Produktionsunternehmen mit ihren Rohstoff liefernden natürlichen Ressourcen zu erweitern - ihrer Rolle in Marktketten, ihrer Beziehungen zu Stakeholdern und die Berück-sichtigung natürlicher Ressourcen durch ihr Management. Als Beispiel ausgewählt wur-den Holzmöbel erzeugende Unternehmen (Möbelhersteller), eine mittelständische Bran-che der holzverarbeitenden Industrie. Da Möbelproduktion hohe Wertschöpfung aus Roh-holz ermöglicht, erschien dieses Beispiel aufschlussreich im Hinblick auf die allgemeine Annahme der Agenda 21, hohe ökonomische Wertschöpfung aus Holz lasse Impulse für nachhaltige Waldwirtschaft erwarten. Die Untersuchung wurde in Regionen mit unter-schiedlichen gesellschaftlichen, volkswirtschaftlichen und insbesondere forst- und holz-wirtschaftlichen Rahmenbedingungen durchgeführt. Forschungsfragen waren: Wie stellt sich "Forst" aus der Sicht von Möbelherstellern dar? In welcher Beziehung stehen Möbelhersteller zu ihren Anspruchsgruppen und wie kom-munizieren sie "Forst" gegenüber diesen Gruppen? Wie berücksichtigen Möbelhersteller "Forst" in ihren Entscheidungen? Der Verfasser stellt diese Forschungsfragen unter den Oberbegriff "Forstrationalität". Das Konstrukt "Forstrationalität" umreißt, wie Entscheidungsträger in der Holzindustrie Wald-bewirtschaftung als ihre Rohstoffbasis wahrnehmen und in Entscheidungen einbeziehen. Es umfasst alle Aspekte der Wahrnehmung und Interpretation sowie des Verhaltens holz-verarbeitender Industrieunternehmen bezüglich ihrer Rohstoffquelle "Forst". Grundlagen hierfür sind Theorien der Ressourcenabhängigkeit (Pfeffer und Salancik 1978/2003; Steimle, 2008) und des Sensemaking (Weick 1995, 2001). Informationen zur Beantwortung der Forschungsfragen wurden in drei Zentren der Möbel-industrie mit unterschiedlichen gesellschaftlichen und forstlichen Rahmenbedingungen in Brasilien und in Deutschland gewonnen: in Rio Branco do Acre (RBA) im brasilianischen Amazonasgebiet; in São Bento do Sul (SBS) in Südbrasilien und in Nordrhein-Westfalen (NRW) in Deutschland. Die drei Regionen in zwei Ländern vergleichende Feldforschung stellte besondere Anforderungen an die Forschungsmethodik. Vorgehen und Aufbau der Erhebungsinstrumente waren in den drei Regionen identisch: Grundlegendes empirisches Wissen vermittelten Inhaltsanalysen von Fachzeitschriften der Möbelwirtschaft (1) sowie die Auswertung von Sekundärinformationen (2). Telefonische Leitfadeninterviews mit Ex-perten (3) beleuchteten die Unternehmensumfelder und gaben allgemeine Hinweise zum Verhalten von Entscheidungsträgern der Möbelindustrie. Das Spektrum der "Forstrationa-litäten" der Entscheidungsträger erschloss sich im persönlichen Kontakt bei Betriebsbesu-chen; in jeder Region wurden zwei Hersteller von Massivholzmöbeln und ein Hersteller von Möbeln aus Holzwerkstoffen ausgewählt (4). Ergebnisse der Fachzeitschriftenanalyse Die quantitative Inhaltsanalyse von Fachzeitschriften diente dazu, das Gesamtspektrum der für den Wirtschaftszweig Möbelindustrie relevanten Fachthemen kennen zu lernen und die relative Bedeutung der Themenfelder "Umweltschutz" sowie "Waldressour-cen/Forstwirtschaft" einzuschätzen. Zusammenfassend konnten folgende Schlüsse gezo-gen werden: 1. Die Themenfelder "Umwelt" und "Forst" interessieren in der Möbelindustrie, erhalten aber in der Fachpresse weniger Raum als Themenfelder wie Wirtschaft, Technologie und Wettbewerb. 2. Im Themenfeld "Umwelt" sind in Deutschland wie in Brasilien Aspekte des eigenen Produktionsstandortes (innerbetrieblicher Umweltschutz) die bedeutendsten Themen der Möbelindustrie. 3. In der brasilianischen Möbelindustrie stehen "forst"-bezogene Aspekte stärker im Fo-kus als in Deutschland. Ergebnisse der regionalen Fallstudien Ergebnisse der Untersuchungsphasen (2) bis (4) stellt die Dissertation in Form von drei regionalen Fallstudien mit identischer Gliederung vor: a) Rahmenbedingungen der Möbel-hersteller b) Nicht-marktliche Anspruchsgruppen c) Lieferanten von Holzprodukten d) Mö-belabnehmer e) Interaktion der Möbelhersteller untereinander f) Forst- und Umweltmana-gement. Die regionalen Fallstudien bestätigen die Einsicht aus der Fachzeitschriftenanalyse, dass die spezifische Situation des gesamten regionalen Sektors "Forst- und Holzwirtschaft" die brasilianischen Möbelhersteller stärker prägt als die in NRW. So fanden in RBA in jünge-rer Zeit einschneidende forst- und umweltpolitische sowie institutionelle Veränderungen statt, die neue Rahmenbedingungen für alle holzbe- und -verarbeitenden Unternehmen gesetzt haben. In der Region SBS beschäftigt "Forst" die Möbelhersteller ebenso wie an-dere Zweige der Holzwirtschaft wegen eingetretener oder in der Zukunft erwarteter Holz-knappheiten sowie angesichts staatlicher Kontrolle der Verwendung von Holz aus legaler Waldnutzung. In NRW werden hingegen die einheimische Waldbewirtschaftung ebenso wie die Verarbeitung von Vorprodukten aus nichttropischen Holzarten als unproblematisch wahrgenommen, forstliche Themen erscheinen nicht als kritisch im Makroumfeld der Mö-belindustrie. In NRW wie in SBS dominiert die Auseinandersetzung mit gesamt- und bran-chenwirtschaftlichen Kerndaten, mit nationalen und internationalen Markttrends sowie mit technologischen Entwicklungen die Agenda der Möbelhersteller. Die Möbelhersteller unterliegen der Aufsicht von Umweltbehörden. Die Kontrolle des in-nerbetrieblichen Umweltschutzes, zum Teil verknüpft mit Arbeitsschutz, zeigte sich in al-len drei Regionen als Schwerpunkt der Aktivität dieser Behörden. Anders als in Deutsch-land unterliegt in Brasilien die Holzbeschaffung durch holzbe- und -verarbeitende Betriebe behördlicher Kontrolle. Die Fachverbände der Möbelindustrie in allen drei Fallstudienregionen definieren als ihre zentrale Aufgabe die Vertretung der Interessen ihrer Mitgliedsunternehmen gegenüber Politik und Gesellschaft. In beiden brasilianischen Fallstudienregionen, in denen forstbe-zogene Probleme die Möbelindustrie intensiv beschäftigen, sehen die Möbelindustriever-bände forstbezogene Angelegenheiten auch als ihre Aufgabe. In RBA agiert der Verband mit dem Ziel, die behördliche Registrierung von Möbelproduzenten des informellen Sek-tors voranzubringen und diese zur Verarbeitung von Holz aus legaler Waldnutzung zu verpflichten. In SBS haben die Möbelfachverbände in Perioden der Holzknappheit der Entwicklung der regionalen Forstwirtschaft und der Holzversorgung der Möbelindustrie große Aufmerksamkeit gewidmet; zur Zeit der Untersuchung drängten andere wirtschaftli-che Probleme die Waldthematik in den Hintergrund. Die durch die Forschungsarbeit erfassten Möbelhersteller stehen selten in direktem Kon-takt mit privaten Umweltorganisationen. Sie nehmen jedoch wahr, dass diese Organisa-tionen die Rahmenbedingungen der Möbelindustrie durch Verbraucherkampagnen, An-forderungen an die ersten Stufen der Forst-Holz-Wertschöpfungsketten und durch politi-sches Lobbying indirekt beeinflussen. Die Abhängigkeit der Möbelhersteller von Holzproduktlieferanten variiert in den drei Un-tersuchungsregionen. In NRW ist diese Abhängigkeit schwach ausgeprägt, weil die Mö-belhersteller Vorprodukte regional wie überregional problemlos einkaufen können und weil auch große Holzlieferanten Ansprüche der Möbelindustrie etwa bezüglich der Qualität, Abmessungen und Vorfertigung von Schnittholz und Holzwerkstoffen berücksichtigen. In Brasilien stellt sich die Situation anders dar. In SBS haben große bis mittelgroße Möbel-hersteller wegen der Unsicherheit der Holzversorgung und der Qualität von Vorprodukten aus Holz Schritte zur Rückwärtsintegration unternommen (eigene Sägewerke, vereinzelt eigene Bewirtschaftung von Kiefern-Plantagen) oder alternative Vorproduktquellen ge-sucht. In RBA stellt die behördlich kontrollierte Forderung, nur Holz aus "ordentlicher Waldwirtschaft" zu verarbeiten, die zu einem großen Teil staatlich geförderten Möbelher-steller des formellen Sektors vor Probleme. Denn ein hoher Anteil des entsprechenden regional verfügbaren Tropenholzes wird in Form von Holzhalbwaren in andere Regionen Brasiliens verkauft oder exportiert. Für die Möbelhersteller in RBA sind die Einkaufspreise hochwertiger Holzvorprodukte, insbesondere wenn diese aus zertifiziertem Holz erzeugt werden, deshalb in den letzten Jahren stark gestiegen, während die Möbelpreise aufgrund der Konkurrenz zahlreicher kleiner informeller Produzenten, aber auch durch das Angebot kostengünstig produzierter Serienmöbel aus Südbrasilien unter Druck stehen. Nur wenige gut organisierte Möbelhersteller in RBA scheinen bislang tragfähige Strategien zu verfol-gen, um diesem Dilemma zu begegnen. Die Beziehung von Möbelherstellern zu ihren Abnehmern ist in allen drei Fallstudienregio-nen durch Abhängigkeiten der Möbelhersteller geprägt. In RBA hängen formell registrierte Möbelhersteller stark von öffentlichen Aufträgen ab. In SBS sind Möbelhersteller von der Serienproduktion für den Exportmarkt abhängig; vielfach geben Auslandskunden die Mo-delle vor und haben großen Einfluss auf die Möbelpreisbestimmung. Beim Möbelabsatz im Inland stehen die Hersteller in NRW wie in SBS großen Einkaufsverbänden oder Kon-zernunternehmen des Möbeleinzelhandels gegenüber. In allen drei Regionen erhält die Möbelindustrie von ihren unmittelbaren Möbelabnehmern wie von Endverbrauchern nur schwache "Forst"-Signale - die Herkunft des für die angebo-tenen Möbel verarbeiteten Holzes aus "legaler" oder "nachhaltiger" Waldbewirtschaftung ist allenfalls ein nachrangiges Einkaufskriterium bzw. ist sie nur in Marktnischen relevant. Eine Ausnahme bilden die öffentlichen Auftraggeber in RBA, deren Möbelbeschaffung explizit den Aufbau nachhaltiger regionaler Forst-Holz-Wertschöpfungsketten in Acre stüt-zen soll. Experten der drei Untersuchungsregionen bezeichneten die Interaktion von Möbelherstel-lern untereinander als wenig kollegial, sondern wettbewerbsgeprägt. Unternehmen koope-rierten primär in für den Wettbewerb wenig relevanten Bereichen (z.B. gemeinsame Mes-sebesuche im Ausland). Die Initiative zu intensiverer Kooperation gehe häufig von Ver-bänden oder staatlichen Organisationen aus. Die Unternehmensbesichtigungen und Gespräche mit Experten zeigten, dass die in die Untersuchung einbezogenen Möbelhersteller nicht über ein systematisch aufgebautes Umweltmanagement verfügen. Die Beschäftigung mit Umweltproblemen orientiere sich vorwiegend an den für sie relevanten umweltrechtlichen Vorschriften. In NRW befolgen die Möbelhersteller nach Experteneinschätzung durchweg die Umweltauflagen; ihre Pro-duktionsbetriebe unterliegen strengen Kontrollen der Umweltbehörden. In Brasilien um-fassen behördliche Umweltschutzanforderungen für Möbelhersteller zusätzlich zum inner-betrieblichen Umweltschutz auch die Auflage, die Holzherkunft aus legaler Waldnutzung nachzuweisen. Bezüglich der Umsetzung der Umweltschutzanforderungen auf betriebli-cher Ebene ergab sich in beiden brasilianischen Regionen ein differenziertes Bild. Theoriebezogene Ergebnisinterpretation Der Verfasser versuchte zu verstehen, wie Unternehmer und Manager in der holzverar-beitenden Industrie das eigene Umfeld wahrnehmen und deuten, wie sie Entscheidungen treffen und begründen. Im Fokus stand die Forstrationalität von Entscheidungsträgern in möbelerzeugenden Unternehmen. Von ihm verfolgte Interpretationsansätze waren: 1. die Unterscheidung von Anlässen forstbezogenen Verhaltens der Möbelhersteller; 2. die Unterscheidung von Verhaltensbezugsebenen und Zeithorizonten; 3. die Prüfung, inwieweit das spezifische Verhalten bezüglich der für die Möbelher-stellung beanspruchten natürlichen Ressource Wald generellen Verhaltensmu-stern von Entscheidungsträgern in Produktionsunternehmen entspricht. Zu (1) Anlässe forstbezogenen Verhaltens Gefragt werden kann nach der wahrgenommenen Dringlichkeit forstbezogener Signale, die ein Möbelhersteller aus seinem Umfeld erhält: Können Anspruchsgruppen aus seiner Sicht ein bestimmtes forstbezogenes Verhalten verlangen bzw. erzwingen? Die Fallstudi-en legen den Schluss nahe, dass Möbelhersteller Einflüsse von Produktketten-externen Anspruchsgruppen wahrnehmen und reflektieren. Die Intensität wahrgenommener An-sprüche ist jedoch offenbar nur selten so hoch, dass sie Reaktionen der Möbelhersteller auslöst. In der Untersuchung erkennbar waren aber Verhaltensänderungen brasilianischer Möbelhersteller nach Einführung der DOF-Dokumentation zum Nachweis der Beschaffung von Holz aus legalen Quellen. Im Umkehrschluss lässt sich vermuten, dass Möbelherstel-ler forstbezogene Themen aus ihren Umfeldern vorwiegend als Signale wahrnehmen, die sie ihrem Selbstverständnis entsprechend individuell bewertet mit ihren Strategien ver-knüpfen, die sie aber auch ignorieren können. Die Art der für die Herstellung eines Möbelstücks verwendeten Holzvorprodukte bzw. die Materialkombination lenkt die Aufmerksamkeit von Möbelkäufern mehr oder minder stark auf den Bezug zum "Forst", wodurch auch die Forstrationalität der Möbelhersteller beein-flusst wird. In der Untersuchung ergaben sich diesbezüglich Unterschiede des Selbstver-ständnisses und der Marketingkommunikation zwischen Herstellern von Möbeln aus Holzwerkstoffen und aus Massivholz, bei den letzteren wiederum bezüglich der Möbelher-stellung aus Tropenholz oder nicht-tropischen Holzarten. Hersteller von Massivholzmö-beln stellten häufig einen Bezug ihrer Möbel zur Natur oder zum Wald her. Dabei betonten Hersteller von Tropenholzmöbeln die Individualität einzigartiger Holzarten aus artenrei-chen Naturwäldern; Hersteller von Möbeln aus nicht-tropischen Holzarten hingegen hoben die Herkunft der Möbelhölzer aus nachhaltig bewirtschafteten "nicht-tropischen" Wäldern hervor. Hersteller von Holzwerkstoffmöbeln argumentierten "ökologisch" mit den Vorteilen hoher Holzausbeute bei der Herstellung und Verarbeitung von Holzwerkstoffen, wodurch Waldressourcen geschont würden. Die brasilianischen Möbelhersteller sehen sich mit Ungewissheiten der Holzversorgung konfrontiert; sie interpretieren diese unterschiedlich, auch innerhalb der beiden Fallstudi-enregionen. In allen drei Untersuchungsregionen bekannten sich die in die Untersuchung einbezogenen Möbelhersteller zur Verarbeitung von Holz aus unbedenklichen Quellen. Sie erwarten Absatzrisiken für den Fall diesbezüglicher Zweifel ihrer Abnehmer. Gegen-wärtig sei kritisches Hinterfragen der Herkunft von Möbelhölzern seitens der Möbelab-nehmer jedoch selten und beziehe sich vorwiegend auf Tropenholz. Zu (2) Verhaltensbezugsebenen und Zeithorizonte Waldbewirtschaftung ist nur in wenigen Fällen ein eigenes Tätigkeitsfeld von Möbelher-stellern. Mit ihrem forstbezogenen Verhalten ergreifen Möbelhersteller folglich in der Re-gel nicht unmittelbar forstwirtschaftliche Maßnahmen, sondern beeinflussen diese indirekt oder reagieren auf die von anderen Akteuren gesetzten Forstthemen. Dies erfolgt zum einen durch Auswahl der für die Möbelproduktion eingesetzten Materialien und deren Be-schaffung, also durch ein direkt an die Möbelproduktion gebundenes Verhalten. Zum an-deren geschieht dies durch den Umgang und die Kommunikation mit Anspruchsgruppen im unmittelbaren Umfeld und im Makroumfeld. Materialorientiertes Verhalten und die Be-ziehungen zu Anspruchsgruppen stehen jedoch nicht isoliert nebeneinander, sondern können miteinander verknüpft sein, etwa weil bei Materialwahl-Entscheidungen das Ver-trauen zu Lieferanten und Abnehmerpräferenzen berücksichtigt werden. Mit Blick auf die Zeithorizonte der Entscheidungen von Möbelherstellern machte die Ana-lyse deutlich, dass in deren Kurzfristperspektive Forstrationalität von untergeordneter Be-deutung ist und andere Aspekte der Unternehmensumfelder im Vordergrund stehen (z.B. Holzversorgung für das aktuelle Produktionsprogramm und Wettbewerb). In der mittel- und langfristigen Zeitperspektive hingegen erhalten forstbezogene Überlegungen und Maßnahmen (wie Einsatz alternativer Holzvorprodukte oder Verwendung von Holz aus zertifizierter Waldbewirtschaftung) größeres Gewicht. Zu (3) Spiegelt Forstrationalität generelle Verhaltensmuster? Etliche der in der Forschungsarbeit registrierten Ausprägungen von Forstrationalität der Möbelhersteller lassen sich allgemeinen Verhaltensmustern von Entscheidungsträgern in Wirtschaftsunternehmen zuordnen: Legitimation: Die in die Untersuchung einbezogenen Möbelhersteller in allen drei Unter-suchungsregionen hoben hervor, ihr eigenes forstbezogenes Verhalten, insbesondere die Wahl der verarbeiteten Holzvorprodukte, sei gesetzeskonform und ökologisch unbedenk-lich. Diesen Standpunkt vertraten sie unabhängig von ihren jeweiligen Möglichkeiten, die Rohstoffquellen der beschafften Materialien zu beurteilen und zu beeinflussen. Anpassung: Die Möbelhersteller reagieren auf Anforderungen aus ihren Umfeldern, etwa auf behördliche Vorschriften und Kontrollen, Kritik von Umweltschutzverbänden, Nachfra-ge von Verbrauchern oder veränderte Wettbewerbsbedingungen. Solche Reaktionen schließen auch das forstbezogene Verhalten ein, wobei Vermeidung (zum Beispiel Ver-zicht auf die Verarbeitung von Tropenholz) ein alternatives oder komplementäres Verhal-ten sein kann. Antizipation: Unternehmen entwickeln Antizipationsstrategien, um sich auf erwartete zu-künftige Herausforderungen, Risiken und Chancen frühzeitig einzustellen. Dieses Verhal-ten zeigten Möbelhersteller in allen drei Untersuchungsregionen, etwa in ihrem Umgang mit der Forst-Holz-Produktketten-Zertifizierung oder der Erprobung neuer Holzarten und Holzwerkstoffe. Innovation: Sie ist eine Form der Umsetzung von Anpassung und Antizipation, ist aber für die Massivholz-Möbelhersteller auch eine eigenständige Verhaltensform. Zum Teil haben sie dabei Aspekte der Waldbewirtschaftung (besonders deutlich bei den Möbelherstellern in SBS, die Plantagenbewirtschaftung als neues Geschäftsfeld integriert haben) und der Weiterentwicklung ihrer Rohstoffbasis von vornherein im Blick, zum Teil ergeben sich se-kundäre Effekte für die Forstwirtschaft. Die vorliegende Untersuchung zur "Forstrationalität" holzverarbeitender Unternehmen hat gezeigt, dass Möbelhersteller Stärken und Schwächen der Waldnutzung in ihrer Standort-region wahrnehmen und forstbezogene Entscheidungen reflektiert treffen. Wie sie ent-scheiden, hängt von den Rahmenbedingungen der Industrie, dem Verhalten ihrer An-spruchsgruppen, von den spezifischen Unternehmensstrategien, auch von Wertvorstel-lungen der Eigentümer und Manager ab. Ihnen stehen bestimmte staatliche und private Anspruchsgruppen mit Erwartungen gegenüber, die dem Konzept nachhaltiger Entwick-lung der Agenda 21 entsprechen. Die Unternehmensbeispiele der Fallstudien zeigen ein-zelne Ansatzpunkte für die Verwirklichung nachhaltiger Entwicklung in waldreichen Re-gionen durch die Herstellung von Möbeln. Jedoch erscheint das gegenwärtige forstbezo-gene Verhalten der Möbelhersteller nicht umfassend nachhaltigkeitsorientiert, sondern pragmatisch selektiv abgestimmt auf die Erfordernisse, Interessen und Handlungsmög-lichkeiten der Unternehmen. Potenzial der Möbelindustrie, höhere Wertschöpfung durch immaterielle Phasen der Produktion (ihr Marketing, speziell die Produktgestaltung) zu erreichen, ist vorhanden. Auf der Grundlage neutraler Nachhaltigkeitsüberprüfung in der Holzwertschöpfungskette durch anerkannte Forstzertifizierungs-Systeme könnten von Holzmöbelherstellern durchaus stärkere Impulse für die Entwicklung und Aufrechterhal-tung nachhaltiger Forstwirtschaft ausgehen. Abschließend seien die theoretischen Erklärungsansätze Ressourcenabhängigkeit und Sensemaking angesprochen, denen in dieser Forschungsarbeit gefolgt wurde. Der Zu-sammenhang zwischen beiden ist bereits aus Pfeffer (1978) ableitbar. Steimle (2008) stellt diesen Zusammenhang explizit her, um das Nachhaltigkeitsverhalten von Unter-nehmen theoretisch zu erklären. Auch der Verfasser kombinierte beide Ansätze: Das Konzept der Ressourcenabhängigkeit war hilfreich bei der Analyse der Umfeldeinbettung der Möbelhersteller und bei der Interpretation ihrer Beziehungen zu bestimmten An-spruchsgruppen; der Sensemaking-Ansatz erleichterte es, die Umfeldwahrnehmung aus Sicht der Entscheidungsträger in der Möbelindustrie und ihr forstbezogenes Verhalten zu verstehen. ; Research concept The guideline to sustainability provided by Agenda 21, and the associated expectations of private enterprise with respect to their role in sustainability, represent a frame of reference for the study presented in this Ph.D. thesis. Agenda 21, a central document of the United Nations Conference on Climate and Development (UNCED 1992), and documents pro-duced by the following conferences attribute a central role to private enterprise in the real-isation of sustainable development. Commercial enterprises are expected to create value on the basis of an environmentally acceptable use of natural resources. Responsible en-terprises should accommodate the interests of the respective stakeholder groups, and these groups should in turn support private enterprise in the achievement of sustainable development. Non-governmental environmental organisations' expectations of private enterprise revolve around the environmentally appropriate use of natural resources and, accordingly, they exert pressure on businesses to do so. Nevertheless, the literature documents conflicts between commercial enterprise's understanding of its role and the expectations of interna-tional organisations and civil stakeholder groups. From the perspective of enterprise, doubts exist over whether the demands of these actors are reasonable and over the ex-tent to which commercial enterprise should assume the responsibility attributed to it. The objective of this study was to deepen the knowledge of the use by small and medium sized enterprises (SMEs) of the natural resources providing the raw materials necessary for their production activities – their role in market chains, their relationships with stake-holders and the consideration given to the management of natural resources. Enterprises manufacturing wood furniture were chosen for the study, as a representative example of an SME branch within the wood processing industry. As furniture production facilitates high value creation from raw wood, this example was deemed to be revealing with respect to the general assumption of Agenda 21 that high economic value creation from wood generates impulses for sustainable forestry. The investigation was carried out in regions with contrasting social, economic and especially forest and wood industry framework con-ditions. The research questions were: How do furniture manufacturers perceive 'forestry'? What is the relationship between furniture producers and the corresponding stakeholder groups, and how do they communicate 'forestry' to these groups? How do furniture producers ac-count for 'forestry' in their decisions? The author posed these questions under the overarching concept 'forest rationality.' The 'forest rationality' construct outlines how decision makers in the wood industry perceive forest management as the basis of their raw material supply, and how they account for it within decision making. It incorporates all aspects of the perception and interpretation, as well as the behaviour of wood processing enterprises with respect to the source of their raw material, 'forestry.' The basis for this is theories relating to resource dependence (Pfeffer and Salancik 1978, 2003; Steimle, 2008) and 'sensemaking' (Weick 1995, 2001). The information used to answer the research questions was obtained from three centres of the furniture industry in Brazil and in Germany, each with different social and forestry framework conditions. The three centres were in Rio Branco do Acre (RBA) in the Bra-zilian Amazon, in São Bento do Sul (SBS) in southern Brazil and in Nordrhein-Westfalen (NRW) in Germany. The comparative data collection carried out in the three regions posed particular demands in terms of the research methods. The approach chosen and the design of the data collection instruments were identical in the three regions. Funda-mental empirical knowledge was provided by means of a content analysis of furniture in-dustry journals (1) and the evaluation of secondary information (2). Guided telephone interviews with experts (3) illuminated the environments in which the enterprises operate and provided general insights into the behaviour of decision makers in the furniture in-dustry. The spectrum of forestry reasoning of the decision makers was further developed through personal contact made during visits to companies. In each region two producers of solid wood furniture and a producer of furniture from derived timber products were se-lected (4). Results of the journal analysis The quantitative content analysis of industry journals served to provide information about the overall spectrum of issues relevant for the furniture industry, and allowed for an as-sessment of the relative significance of the issues 'environmental protection' and 'forest resources/forestry.' The conclusions may be summarised as follows: 1. The issues 'environment' and 'forestry' are of interest within the furniture sector, but receive less attention in the industry press than topics such as economics, technology and competition. 2. In the furniture industry in both Germany and Brazil, the most important themes under the heading 'environment' are aspects concerning the local production site (enterprise-internal environmental protection). 3. 'Forestry'-related aspects are the focus of greater attention within the Brazilian fur-niture industry than the German. Results of the regional case studies The results of the research phases (2) to (4) are presented in the dissertation in the form of three regional case studies with an identical structure, namely a) the framework condi-tions affecting furniture manufacturers, b) non-market stakeholder groups, c) suppliers of wood products, d) furniture consumers, e) interaction between furniture manufacturers, f) forest and environmental management. The regional case studies confirmed the view provided by the analysis of the industry press that the specific situation of the entire regional 'forestry and wood industry' affects the Brazilian furniture manufacturers more so than those in NRW. In RBA there have re-cently been drastic changes in forestry and environmental policy, as well as institutional changes, which have generated new framework conditions for all wood producing and processing enterprises. In the SBS region 'forestry' occupies furniture manufacturers as much as other branches of the wood sector due to existing or expected future shortages of wood, and as a consequence of state control over the use of wood from legitimate forestry. In NRW, on the other hand, native forest management and the processing of materials derived from non-tropical tree species are considered to be unproblematic, and forestry-related themes do not appear to be critical in the macro-environment of the furni-ture industry. In NRW and in SBS the issue of core economic data for the sector as a whole, and branches within the sector, of national and international market trends and of technological developments dominate the agenda of the furniture manufacturers. The furniture manufacturers are subject to restrictions imposed by environmental authori-ties. The control of enterprise-internal environmental protection, linked in part with work safety, was identified as a focus of the activities of these authorities in all three regions. Unlike in Germany, in Brazil the sourcing of wood by wood processing enterprises is sub-ject to official control. The representative associations within the furniture industry in all three case study regions define as their central task the representation of the interests of their member organisa-tions to policy makers and society. In both Brazilian case study regions, in which forestry-related problems greatly occupy the furniture industry, the furniture industry associations also view forestry-related matters as being within their remit. In RBA the responsible as-sociation is seeking to advance the official registration of furniture manufacturers within the informal sector and to oblige them to process only wood obtained from legal sources. In SBS the furniture associations have focused considerable attention on the development of regional forestry and the supply of wood to the furniture industry in periods of wood shortage. At the time of this study, however, other economic problems had pushed the issue of forestry into the background. It was observed that the furniture producers studied as part of the research are rarely in direct contact with private environmental organisations. However, they are aware that these organisations indirectly influence the framework conditions affecting the furniture industry through consumer campaigns, by placing demands on the first links of the forest-wood value chain and through political lobbying. The dependence of the furniture producers on the suppliers of wood products varies be-tween the three study regions. This dependency is weak in NRW because the furniture manufacturers can source materials regionally and beyond without any difficulties, and because large wood suppliers take into consideration the demands of the furniture in-dustry with respect to quality, dimensions and the preparation of sawn wood and derived timber materials. This contrasts with the situation in Brazil. In SBS large to moderately large furniture manufacturers have taken a number of steps towards backward vertical integration (establishment of own sawmills, in some cases resorting to the management of pine plantations) or have sought alternative sources of pre-finished materials. The rea-sons for this are the uncertainty of the wood supply and the quality of the pre-finished wood products. In RBA the statutory requirement that only wood derived from 'legitimate sources' be used in manufacturing poses problems for the largely state-sponsored furni-ture manufacturers in the formal sector. A large proportion of the regionally available tropical wood is sold in or exported to other regions of Brazil in the form of part-wood goods. The prices paid by furniture manufacturers for high quality pre-finished wood pro-ducts, particularly those made of certified wood, have increased considerably in recent years, whereas furniture prices are under great pressure due to competition from numer-ous small, informal manufacturers and as a result of the supply of cheaply manufactured, mass produced furniture from southern Brazil. As yet, only a few well-organised furniture manufacturers in RBA appear to have adopted a strategy capable of countering this di-lemma. In all three regions the relationship between furniture manufacturers and their customers is characterised by dependencies of the furniture manufacturers. In RBA formally regis-tered furniture manufacturers are greatly dependent upon public contracts. In SBS furni-ture manufacturers are dependent upon mass production for the export market, with inter-national customers often specifying the models and exerting a considerable influence on price setting. In terms of national sales, the manufacturers in NRW and in SBS are pitted against the large purchasing associations and groups within the furniture retail industry. In all three regions the furniture industry receives only weak 'forestry' signals from its di-rect costumers and end users – that the wood used in the furniture provided is sourced from 'legal' or 'sustainable' forest management is, at best, a subordinate purchase cri-terion, or is only relevant in niches within the market. The public clients in RBA are an exception as their furniture acquisitions are explicitly intended to support the development of sustainable regional forest-wood value chains in Acre. Experts from the three research regions characterised the interaction between furniture manufacturers as competitive, with little cooperation evident. Any cooperation between the enterprises occurs primarily in those areas that are of little relevance for competition (e.g., visits to exhibitions abroad). Initiatives prompting intensive cooperation often stem from associations or governmental organisations. The visits to the enterprises in the three regions and discussions with the experts revealed that the furniture manufacturers involved in the study do not possess a systematically de-veloped system of environmental management. Consideration of environmental problems is oriented primarily towards the relevant environmental regulations. According to the ex-perts, in NRW the furniture manufacturers adhere to the rules. Their production facilities are subject to strict controls by the environmental authorities. In Brazil the statutory envi-ronmental regulations for furniture manufacturers include not only the enterprise-internal environmental protection stipulations but also the means to demonstrate that the wood used stems from legal sources. The implementation of the environmental protection re-quirements at operational level was found to be variable in the two Brazilian regions. Interpretation of the results in a theoretical context The author sought to understand how entrepreneurs and managers in the wood process-ing industry perceive and interpret their own environment; how they make and justify deci-sions. The focus was on the forestry reasoning exhibited by decision makers in furniture manufacturing enterprises. The interpretative approaches followed were: 1. The differentiation of motives for forestry-relevant behaviour displayed by furniture manufacturers; 2. The differentiation of behavioural planes of reference and time horizons; 3. The examination of the extent to which the specific behaviour with respect to the forest resource, as the principal source of the raw material used in the manufac-ture of furniture, corresponds to the general behavioural patterns of decision mak-ers in manufacturing enterprises. On (1) motives for forestry-related behaviour One might enquire as to the perceived urgency of the forestry-related signals that a furni-ture manufacturer receives from his environment: can, as far as the manufacturer is con-cerned, stakeholder groups demand or even force a certain forestry-related behaviour? The case studies suggest that furniture manufacturers perceive and take into consider-ation influences exerted by stakeholder groups external to the product chain. It would ap-pear, however, that the intensity of the perceived demands is rarely so high as to cause a reaction on the part of the manufacturers. Changes in the behaviour of Brazilian manufac-turers did become evident in the study after the introduction of the DOF documentation requiring that they be able to prove the wood they use is sourced legally. Conversely, it can be assumed that furniture manufacturers predominantly perceive forestry-related themes within their environment as signals, which they assess individually on the basis of their own beliefs and either integrate within their strategies or ignore. The type of pre-finished wood product – or combination of materials – used in the manu-facture of a piece of furniture serves to focus the attention of furniture buyers onto the relationship with 'forestry' to a greater or lesser extent, through which the forestry reason-ing of the manufacturers is also influenced. The investigation revealed differences in understanding and in marketing approaches between the manufacturers of furniture made of derived timber products and those of furniture made from solid wood; and in the latter case there was a further distinction between users of tropical and non-tropical tree spe-cies. The manufacturers of solid wood furniture often draw a link between their furniture and nature or the forest. Manufacturers of furniture made with tropical wood emphasise the individuality of unique types of wood stemming from natural forests rich in species. The manufacturers of furniture using non-tropical species, alternatively, accentuate the fact that their wood stems from sustainably managed 'non-tropical' forests. Manufacturers using derived timber products base their 'ecological' arguments on the advantages of the low levels of waste in the production and processing of derived timber products, as a re-sult of which forest resources are used more efficiently. The Brazilian furniture manufacturers are concerned by the uncertainties surrounding the supply of wood. The associated problems are perceived differently by different manufac-turers, even within the two case study regions. In all three study regions the furniture manufacturers involved in the study avowed the use of wood from legitimate sources, and expect risks to their sales if their customers were to have doubts in this regard. At present there is little critical scrutiny of the origins of the wood used in furniture by the consumer, however, and that which exists focuses predominantly on the use of tropical wood. On (2) behavioural planes of reference and time horizons In only very few cases is forest management an activity undertaken by furniture manufac-turers. The forestry-related behaviour of the furniture manufacturers does not involve di-rect participation in forest management operations, but rather in influencing these indi-rectly, or in reacting to the forest issues taken up by other actors. This is expressed in the choice of the materials used in furniture manufacture, and in their procurement; that is, through behaviour linked directly to furniture manufacture. It is also expressed in the communication with stakeholder groups situated in the enterprises' immediate surround-ings and in their macro-environment. Material-oriented behaviour and the relationship with stakeholder groups are not independent issues but may be linked; for example, because in decisions concerning material selection the manufacturer's trust in the supplier and the preferences of the consumers are taken into consideration. In terms of the time horizons of the decisions made by furniture manufacturers, the analy-sis made clear that forestry reasoning plays a subordinate role in their short term perspec-tive, and that other aspects are of greater importance for the enterprises in question (e.g., wood supply for the current production programme and competition). Forestry-related considerations and measures (e.g., the use of alternative pre-finished wood products or the use of certified wood) are afforded greater weighting in the medium to long term. On (3) whether forest rationality reflects general patterns of behaviour Many of the forms of forest rationality of the furniture manufacturers identified in the re-search can be matched to general behavioural patterns of decision makers in commercial enterprises: Legitimacy: The furniture manufacturers from all three regions involved in the study em-phasised that their own forestry-related behaviour complies with the law and is ecologi-cally sound, particularly the choice of pre-finished wood products. They adopted this posi-tion irrespective of their abilities to judge or influence the sources of the raw materials pro-cured. Adaptation: The furniture manufactures react to demands from their environment, such as statutory regulations and controls, criticism from environmental protection associations, requests from customers and altered competition conditions. Such reactions also incorpo-rate their forestry-related behaviour, with avoidance (e.g., avoiding the use of tropical wood) a possible alternative or complementary behaviour. Anticipation: Enterprises develop anticipation strategies in order to prepare in advance for expected future challenges, risks and opportunities. This behaviour was exhibited by furni-ture manufacturers in all three study areas; for example, in their manner of dealing with forest-wood product chain certification and in the testing of new wood types and derived timber products. Innovation: Innovation is a form of manifestation of adaptation and anticipation, but is also a distinct form of behaviour in the case of the manufacturers of solid wood furniture. They have, to a certain extent, aspects of forest management (particularly evident in the case of the furniture manufacturers in SBS that have integrated plantation management as a new area of operations) and the further development of their raw material base firmly in focus from the outset. There are also secondary effects for forestry. This study of the 'forest rationality' of wood processing enterprises shows that furniture manufacturers perceive the strengths and weaknesses associated with forest utilisation in their regions, and that they reflect carefully on forestry-related decisions. The decisions they make depend on the framework conditions within the industry, the behaviour of the associated stakeholder groups, the strategy of the specific enterprise and on the ideals of the owners and managers. They are confronted by the expectations of certain state and private stakeholder groups; expectations that correspond with the concept of sustainable development espoused by Agenda 21. The enterprises included in the case studies re-vealed individual starting points for the achievement of sustainable development in forest-rich regions through the production of furniture. However, the current forestry-related be-haviour of the manufacturers is not comprehensively geared towards sustainability. Rather it is pragmatically selective, tailored to the needs, interests and possible courses of action available to the respective enterprise. The potential for furniture manufacturers to achieve greater value creation in the non-material phases of the production process (marketing, and especially product design) exists. On the basis of neutral sustainability assessments in the wood value creation chain, carried out by recognised forestry certification systems, it is certainly possible for manufacturers of wood furniture to create greater impulses for the development and maintenance of sustainable forestry. Finally, to the theoretical approaches offering a potential explanation considered in the study, namely resource dependence and 'sensemaking.' The connection between the two could already be inferred from Pfeffer (1978). Steimle (2008) revealed the link between the two explicitly, in order to explain theoretically the sustainability behaviour of enter-prises. The author of this study also combined both approaches. The concept of resource dependence was helpful in the analysis of how embedded manufacturers are in their envi-ronment, and in the interpretation of their relationship with certain stakeholder groups. The 'sensemaking' approach rendered it easier to understand the perception by decision mak-ers in the industry of their business environment and their forestry-related behaviour.
Северо-Монгольская горная лесостепь, переходная зона между тайгой и открытой степью, имеет богатый животный и растительный мир. Для сельского хозяйства это самая продуктивная часть страны и имеет плотность населения выше средней по Монголии. Древостои светлой тайги, в которых преобладает лиственница (Larix sibirica Ledeb.), представляют основу монгольских продуктивных лесов и поставляются все больше в соответствии с растущим спросом на деловую древесину и дрова. В лесах Монгольской горной лесостепной зоны и таежной зоны наблюдается, особенно с конца прошлого века, заметное сокращение площади леса. Основными факторами этого сдвига растительности являются изменения в землепользовании, частота пожаров, появление вредителей и изменение климата. На видовой состав, прирост и структуру древостоев оказывают сильное влияние различные природные и антропогенные режимы воздействия и климатические факторы. Понимание влияния климатических факторов на эти воздействия и экологическое влияние от воздействий на древостои и их реакцию с точки зрения структуры, прироста и обновлений необходимо для развития экологически и регионально соответствующих программ ведения лесного хозяйства. Частые, интенсивные, обширные воздействия, прежде всего лесозаготовки и лесные пожары, способствовали появлению сукцессионных лесов (Betula platyphylla Sukaczev), в которых преобладает береза. Несмотря на предпринимаемые усилия по созданию альтернативных подходов к управлению лесами в Монголии существует недостаток знаний о влиянии основных факторов и воздействий на структуру лесов и лесной растительности и недостаточная мощность. Одной из областей с традиционно сильным землепользованием является аймак Селенги, расположенный к северу от Улан-Батора. В 2009 году Монгольский Университет естественных наук в Дархане и группа лесопользователей в исследовательском районе Альтансумбэр создали исследуемые площади и провели экспериментальные опыты выборочной рубки. Эта инициатива в области была поддержана в рамках проекта UNFAO «Укрепление потенциала и институциональное развитие для совместного управления природными ресурсами и сохранения лесов в лесных районах Монголии» (GCP / MON / 002 / NET), финансируемого правительством Нидерланды. Большинство исследуемых площадей имеет размер 2500 м². Исследовательский район Альтансумбэр расположен к западу от Дархана и является ярким примером монгольской горной лесостепной зоны. Исследовательский район Бугант расположен к востоку от Дархана в западных горах Хенти и является частью густой таежной зоны. Изучалось влияние климатических факторов и выборочной вырубки на рост и структуру поврежденных от пожара березовых и лиственничных древостоев светлой тайги в исследовательском районе Алтансумбэр (горная лесостепная зона, северные склоны). В исследовательском районе Бугант (таежная зона, южные и восточные склоны) изучено влияние климатических факторов на прирост березы и проведено сравнение с результатами Алтансумбэр. Различия в отношении повреждений от пожара между березой и сосной (Pinus sylvestris L.) оценивались отдельно. Во всех исследованных древостоях обоих исследуемых районов были обнаружены признаки лесных пожаров, и большинство древостоев также показали признаки предыдущих мелкомасштабных лесозаготовок. Посредством дендрохронологических методов были рассмотрены отношения климата и роста и проведен анализ экстремальных годов. В районе исследований Алтансумбэр непространственная и пространственная структура леса была проанализирована как до, так и непосредственно после прореживания и после трех лет. Анализы произведены в форме анализа прореживания с использованием L-функции и радиальной функции распределения. Влияние снижения конкуренции на прирост остальных деревьев было описано и проанализировано с помощью линейных смешанных моделей. Подрост был зафиксирован на всех площадях в Алтансумбэр в 2012 и в Бугант в 2011 году и возобновился на некоторых площадях в Бугант в 2013 году. Для обоих видов, лиственницы и березы, осадки во время позднего лета и ранней осени предыдущего года и непосредственно перед началом вегетационного периода текущего года были решающим климатическим фактором, определяющим рост деревьев. Анализ экстремальных годов сильного и слабого роста показал значительное сходство между обоими видами. Достаточные осадки перед началом вегетационного периода были для роста молодых деревьев важнее, чем для старых. В более сухой и высококонтинентальной горной лесостепной зоне (Алтансумбэр) по сравнению с более влажной таежной зоной (Бугант) связь между осадками и ростом березы была более выраженной. Признаки повреждения насекомыми были найдены только в Бугант (таежная зона). Все хронологии берез показали высокую чувствительность к более высоким температурам, как правило, весной, и взаимосвязь между временным возникновением негативного соотношения температуры и роста и направления склона. На северных склонах в Алтансумбэр статистические отрицательные соотношения температуры и роста березы произошли в мае. На южных склонах в Буганте это отрицательное соотношение возникло раньше по времени, в апреле. Это отрицательное соотношение температуры и роста в хронологии лиственницы в Алтансумбэр не было установлено. В обоих исследуемых районах среднегодовые показатели роста хвойных пород были выше, чем у березы. Наблюдаемое различие в отношении показателей роста и чувствительности к весенним температурам может быть связано с различной защитной способностью березы и хвойных пород от очень распространенных низкоинтенсивных поверхностных пожаров, которые имеют свой пиковый сезон весной и частично управляются климатическими факторами. Количество видимых поврежденных огнем берез с тонкой корой в Буганте было более, чем в восемь раз выше, чем сосны с толстой корой из того же древостоя. В древостоях, где береза смешана со светлыми хвойными породами, малоинтенсивный режим пожаров имеет более негативное и длительное влияния на рост берез, чем на рост хвойных пород с толстой корой. С другой стороны, разрушение древостоя интенсивными пожарами или сокращение площади вследствие повторяющейся интенсивной вырубки может благоприятствовать преобладанию березы из-за ее способности прорастания – поросль от пня. Характеристики структуры леса и реакции на воздействия изучались исключительно в исследовательском районе Алтансумбэр и могли быть связаны с процессами сукцессии, пожарами и нерегулируемыми вырубками. Агрегированное размещение деревьев было подтверждено для всех лиственничных древостоев и большинства березовых древостоев в Алтансумбэр до выборочной рубки. Вследствие прорастания береза часто встречается агрегировано в очень узких, небольших группах. Лиственница, напротив, появилась в более свободных кластерах, где деревья распределены на более дальнем расстоянии. Вследствие того, что березы имеют меньшую продолжительность жизни и интенсивнее конкурируют друг с другом, у березовых древостоев имеется способность развиваться к случайному размещению деревьев раньше, чем у лиственничных древостоев. Конкуренция сыграла значительную роль в исследуемых древостоях светлой тайги. В исследовательском районе Алтансумбэр соотношение между конкуренцией и ростом оценивалось до, непосредственно после и через три года после прореживания. Прореживания проводились с различной интенсивностью (5,4% - 52,4% площадь сечения). Основными критериями отбора деревьев для рубки были относительно низкое состояние здоровья и способность к росту, на что указывало повреждения ствола и развитие кроны, форма ствола, а также расстояние между отдельными деревьями. Этот отбор привел в значительной мере к низовому прореживанию. Как и ожидалось, прореживание способствовало регулярному размещению деревьев. Тем не менее, дальнейший рост новых стволов привело к тому, что распределение деревьев древостоя менялось обратно в направлении агрегированного. Прирост был в значительной степени вызван ослаблением конкуренции как результат прореживания, и ответ прироста был действительным в абсолютном и относительном выражении. Относительное увеличение прироста по сравнению с периодом до прореживания было немного выше для березы, чем для лиственницы, несмотря на сравнительно поздний средний возраст древостоев на момент прореживания в 2009 году, особенно для березы. Данные были полученны из анализа годичных колец деревьев ( средний возраст лиственница: 22-61 год, березы - 44-68 лет). Основываясь на региональных данных недавней национальной инвентаризации лесов (MPNFI) как норме, количество подроста во всех древостоях в Алтансумбэр относительно низко, тогда как число подроста в Бугант выше среднего. В целом результаты показали, что более методическая стратегия управления лесами является возможной с научной точки зрения. Вместе с тем местное управление лесами должно служить многофункциональным целям регионального лесопользования. Потенциал лесов обеспечивать такие экосистемные услуги, как защита водного режима и почвы, постоянный растительный покров, биоразнообразие, внесение вклада в снижение негативных последствий изменения климата должен быть гарантирован. Это, принимая во внимание длительное изменение климата, усиление воздействий и развитие требований общества, особенно сложно. Основная цель лесоводства должна заключаться в повышении устойчивости и жизнестойкости лесных экосистем к различным воздействиям и одновременно делать возможным использование древостоев. Две модели использования представляются возможными: промышленное производство изделий из дерева (в основном из лиственницы и сосны) или производство энергии на базе древесины (в основном береза), заготовка дров. Плотные древостои светлой тайги, отведенные под производственные леса, могут быть подвергнуты прореживанию или выборочной рубке от одного до двух раз в первые 50-60 лет. в соответствии с вышеназванными критериями. При выборочной рубке в форме небольших групп (Femel) в этих древостоях происходит способствование регенерации и переход в окончательное пользование. Подсадка подроста должна рассматриваться только в том случае, если желаемая регенерация недостаточна или если древостой должен быть изменен на другой древесный состав. Часть сукцессивных березовых древостоев рядом с поселениями могла бы управляться как низкоствольный лес для получения дров. Директивы лесоводства должны принимать во внимание различные специфические экологические и климатические условия, различный возраст древостоев, цели в области лесоводства и реалистические варианты управления. Управленческие меры должны быть усилены путем национального и регионального управления лесами. Рекомендуется также анализировать экономическую эффективность лесохозяйственных операций, таких, как различные системы заготовки древесины. Результаты и выводы проекта охватывают лишь относительно короткие временные рамки. Необходимо продолжить наблюдение долгосрочного влияния выборочной рубки, особенно с точки зрения стабильности древостоя, почвы и спорадической вечной мерзлоты. ; Die nordmongolische Gebirgswaldsteppe, die Übergangszone zwischen Taiga und offener Steppe, besitzt eine reiche Tier- und Pflanzenwelt. Für die Landwirtschaft ist diese Region der produktivste Landesteil und weist für die Mongolei eine überdurchschnittlich hohe Siedlungsdichte auf. Helle Taigabestände, die von Lärche (Larix sibirica Ledeb.) dominiert werden, stellen das Rückgrat der mongolischen Wirtschaftswälder dar und sind zunehmend einer wachsenden Nachfrage an Industrie- und Brennholz ausgesetzt. Die borealen Wälder der mongolischen Gebirgswaldsteppenzone und der Taigazone sind, vor allem seit dem Ende des letzten Jahrhunderts, sichtbar zurückgegangen. Die hauptsächlichen Triebkräfte dieser Vegetationsverschiebung sind Änderungen in Bezug auf Landnutzung, Waldbrandhäufigkeit und das Auftreten von Schädlingen und Klimawandel. Artenzusammensetzung, Zuwachs und Bestandesstruktur werden stark von den verschiedenen natürlichen und anthropogenen Störungsregimen und auch Klimafaktoren beeinflusst. Ein Verständnis zum Einfluss von Klimafaktoren auf diese Störungen und den ökologischen Einfluss von Störungen auf Waldbestände und ihre Reaktion in Bezug auf Struktur, Zuwachs und Verjüngung ist essentiell für die Entwicklung von ökologisch und regional angepassten Waldbewirtschaftungsprogrammen. Häufigere intensive großflächige Störungen, vor allem Holzeinschlag und Waldbrände, förderten das Auftreten von Sukzessionswäldern, die oft von Birken (Betula platyphylla Sukaczev) dominiert werden. Trotz laufender Bemühungen zur Etablierung alternativer Waldbewirtschaftungsansätze in der Mongolei, fehlt es an Wissen über die Auswirkungen der wichtigsten Einflussfaktoren und Störungen auf Waldstruktur und Waldwachstum und an ausreichenden Kapazitäten. Eine der Provinzen mit traditionell intensiver Landnutzung ist der Selenge Aimag, nördlich von Ulaanbaatar. Im Jahr 2009 wurden von der Mongolischen Universität für Lebenswissenschaften in Darchan und der Waldnutzergruppe Altansumber Referenzflächen und experimentelle Durchforstungsversuche eingerichtet. Die Mehrzahl der Forschungsflächen weist eine Größe von jeweils 2500m² auf. Diese Initiative wurde durch das UNFAO-Projekt " Capacity Building and Institutional Development for Participatory Natural Resources Management and Conservation in Forest Areas of Mongolia" (GCP / MON / 002 / NET) unterstützt, welches durch die niederländische Regierung finanziert wurde. Das Forschungsgebiet Altansumber liegt westlich von Darchan und ist ein Paradebeispiel für die mongolische Gebirgswaldsteppenzone. Das Forschungsgebiet Bugant liegt östlich von Darchan im westlichen Khentii-Gebirge und ist Teil der dicht bewaldeten Taigazone. Die Auswirkungen von Klimafaktoren und selektiver Holznutzung auf Waldstruktur und Wachstum von Birke und Lärche wurden in feuergestörten Beständen der hellen Taiga des Forschungsgebietes Altansumber (Gebirgswaldsteppenzone, Nordhänge) untersucht. Im Forschungsgebiet Bugant (Taigazone, Süd- und Osthänge) wurde der Einfluss von Klimafaktoren auf den Zuwachs der Birke untersucht und mit den Ergebnissen von Altansumber verglichen. Unterschiede in Bezug auf Brandschäden zwischen Birke und Kiefer (Pinus sylvestris L.) wurden separat in einer kleinen Fallstudie erfasst. In allen untersuchten Beständen beider Forschungsgebiete wurden Anzeichen von Waldbränden gefunden, und die meisten Bestände zeigten auch Spuren von ehemaliger, kleinräumiger Holznutzung. Mittels dendrochronologischer Methoden wurden die Klima-Wachstums-Beziehungen untersucht und Weiserjahranalysen durchgeführt. Im Forschungsgebiet Altansumber wurde die nicht-räumliche und räumliche Waldstruktur sowohl vor, als auch direkt nach der Durchforstung und drei Jahre später analysiert. Die Analysen wurden in Form von Eingriffsanalysen unter Verwendung von L-funktionen und Paarkorrelationsfunktionen durchgeführt. Die Auswirkung von Konkurrenzverringerung auf den Zuwachs der verbleibenden Bäume wurde mittels linear gemischter Modelle beschrieben und analysiert. Die Verjüngungsschicht wurde auf allen Flächen in Altansumber 2012 und in Bugant 2011 aufgenommen und auf einigen Flächen in Bugant 2013 wiederaufgenommen. Für beide Arten, Lärche und Birke, war Niederschlag während der Zeit des Spätsommers und Frühherbstes des Vorjahres und direkt vor der Vegetationsperiode des laufenden Jahres, ein entscheidender Klimafaktor und bestimmend für das Baumwachstum. Die Weiserjahranalyse zeigte eine weitgehend gute Übereinstimmung zwischen beiden Arten. Ausreichend Niederschlag vor dem Beginn der Vegetationsperiode war für das Wachstum junger Birken wichtiger als für ältere. Die Beziehung zwischen Niederschlag und Zuwachs der Birke war in der trockeneren und hochkontinentalen Gebirgswaldsteppenzone (Altansumber), im Vergleich zu der feuchteren Taigazone (Bugant), ausgeprägter. Anzeichen für Insektenschäden konnten nur in Bugant (Taigazone) gefunden werden. Alle Birkenchronologien zeigten eine hohe Empfindlichkeit gegenüber höheren Temperaturen, typischerweise im Frühjahr, sowie eine Beziehung zwischen dem zeitlichen Auftreten der negativen Temperatur-Wachstums-Beziehung und Hangexposition. Auf den Nordhängen in Altansumber trat eine signifikante negative Korrelation zwischen Temperatur und Zuwachs der Birke im Mai auf. Auf den Südhängen in Bugant trat diese negative Korrelation zeitlich früher, im April, auf. Diese signifikant negative Temperatur-Wachstums-Beziehung konnte für die Lärchen-Chronologie in Altansumber nicht bestätigt werden. In beiden Forschungsgebieten war die durchschnittliche jährliche Zuwachsleistung der Nadelbäume höher als die der Birke. Die beobachtete Differenz, bezüglich der Zuwachsleistung und der Empfindlichkeit gegenüber der Frühjahrstemperatur, könnte zu einem gewissen Grad mit unterschiedlichen Schutzmechanismen von Birken- und Nadelbäumen, gegenüber den sehr häufig auftretenden niedrig intensiven Bodenfeuer zusammenhängen, welche im Frühjahr ihre Hauptsaison haben und teilweise durch Klimafaktoren gesteuert werden. Die Anzahl von sichtbar feuergeschädigten Bäumen war in Bugant für die dünnborkigen Birken bis über achtmal so hoch wie die für die dickborkigen Kiefern aus dem gleichen Bestand. In aus Birken und Nadelbäumen gemischten Beständen hat ein niedrig intensives Bodenfeuerregime einen negativeren und länger anhaltenden Einfluss auf das Wachstum der Birke als auf das Wachstum von dickborkigen Nadelbäumen. Auf der anderen Seite fördern intensive Brände oder intensiver Einschlag oder Kahlschlag die Dominanz von Birkensukzession aufgrund ihrer Fähigkeit zum Stockausschlag. Charakteristika der Waldstruktur und Störungsreaktion wurden ausschließlich im Forschungsgebiet Altansumber untersucht und konnten mit Sukzessionsprozessen, Waldbränden und ungeregeltem Holzeinschlag in Verbindung gebracht werden. Eine signifikant unregelmäßige ("geklumpte") Baumverteilung konnte für alle Lärchen- und die meisten Birkenbestände in Altansumber vor der Durchforstung bestätigt werden. Aufgrund von Stockausschlag traten junge Birken häufig in sehr engen, kleinen Trupps auf. Lärchen hingegen tauchten in lockereren Clustern verteilt über größere Distanzen auf. Da Birken geringere Lebensspannen aufweisen und intensiver untereinander konkurrieren, könnten sie in reinen Beständen eine zufällige räumliche Verteilung früher als die Lärche erreichen. Konkurrenz spielte eine signifikante Rolle in den untersuchten hellen Taigabeständen. Im Forschungsgebiet Altansumber wurde die Beziehung zwischen Konkurrenz und Zuwachs vor, direkt nach und drei Jahre nach der Durchforstung ausgewertet. Die Eingriffe wurden in verschiedenen Durchforstungsstärken durchgeführt (5,4% - 52,4% G). Hauptkriterien für die Auswahl von zu entfernenden Bäumen waren relativ niedrigerer Gesundheitszustand und Wachstumspotenzial, angedeutet durch Stammschäden, Kronenentwicklung und Stammform sowie Abstand zwischen den einzelnen Bäumen. Diese Auswahl führte weitgehend zu Niederdurchforstungen. Wie erwartet förderte Durchforstung eine regelmäßige Baumverteilung. Allerdings führte das Einwachsen von neuen Stämmen die Waldstruktur zurück in Richtung geklumpter Baumverteilung. Der Zuwachs wurde signifikant durch die, von der Durchforstung ausgelösten, Konkurrenzverringerung gesteuert und die Zuwachsreaktion war in absoluter und relativer Betrachtung gültig. Die relative Zuwachssteigerung gegenüber der Periode vor der Durchforstung war für die Birke etwas höher als für die Lärche, trotz der relativ hohen durchschnittlichen Bestandesalter zum Zeitpunkt der Durchforstung im Jahr 2009, insbesondere für die Birken. Die Daten wurden aus Jahrringanalysen abgeleitet (mittleres Alter der Lärchenbestände: ca. 22 und 61 Jahre; Birkenbestände: ca. 44 und 68 Jahre). Basierend auf den regionalen Daten aus der aktuellen nationalen Waldinventur (MPNFI) als Referenzwert, ist die Anzahl in der Verjüngungsschicht in Altansumber in allen Beständen nach der Durchforstung relativ niedrig, wohingegen die Anzahl in der Verjüngungsschicht in Bugant überdurchschnittlich ist. Insgesamt zeigen die Ergebnisse, dass eine mehr methodisch fundierte Waldbewirtschaftungsstrategie möglich ist. Jedoch müssen die örtlichen waldbaulichen Maßnahmen den multifunktionalen regionalen Waldbewirtschaftungszielen dienen. Die Kapazität der Wälder weiterhin Ökosystemleistungen, wie Wasser- und Bodenschutz, kontinuierliche Vegetationsabdeckung und Biodiversität zur Verfügung zu stellen, und zur Minderung von negativen Effekten durch den Klimawandel beizutragen, muss gesichert werden. Dies ist angesichts des anhaltenden Klimawandels, der zunehmenden Häufigkeit von Störungen und der Entwicklung gesellschaftlicher Bedürfnisse besonders schwierig. Das wichtigste waldbauliche Ziel sollte die Verbesserung der Stabilität und Resilienz der Waldökosysteme gegenüber unterschiedlichen Störungen sein und dabei simultan die Nutzung einiger Bestände ermöglichen. Zwei Nutzungsmodelle könnten möglich sein: Industrieholzproduktion (hauptsächlich Lärche und Kiefer) oder Energieholzproduktion (hauptsächlich Birke). Dichte helle Taigabestände, die als Wirtschaftswälder ausgewiesen sind, könnten in den ersten 50-60 Jahren ein bis zwei Mal, entsprechend den oben genannten Kriterien, durchforstet oder selektiv eingeschlagen werden. Zu einem späteren Zeitpunkt könnten diese Bestände dann in Femelschlagsysteme zur Förderung der Verjüngung und zur endgültigen Nutzung überführt werden. Unterpflanzen von Jungwuchs sollte nur in Betracht gezogen werden, wenn die gewünschte Verjüngung nicht ausreicht oder wenn der Bestand in eine andere Baumartenzusammensetzung überführt werden soll. Ein Teil der Sukzessionsbirkenbestände in der Nähe von Siedlungen könnte als Niederwälder zur Energieholzgewinnung bewirtschaftet werden. Waldbaurichtlinien müssen erarbeitet werden und die unterschiedlichen speziellen ökologischen und klimatischen Bedingungen verschiedener Bestandesalter, die waldbaulichen Ziele und realistische Bewirtschaftungsoptionen berücksichtigen. Kontrollmechanismen müssen von der nationalen und regionalen Forstverwaltung verstärkt werden. Es wird empfohlen, auch die ökonomische Effizienz von waldbaulichen Operationen, z. B. verschiedene Erntesysteme zu analysieren. Die Ergebnisse und Schlussfolgerungen des Projektes stammen aus einem relativ kurzen Beobachtungszeitraum. Die Langzeitwirkungen von verschiedenen selektiven Einschlagsintensitäten müssen untersucht werden, insbesondere in Bezug auf Bestandesstabilität, Boden und sporadischen Permafrost. ; The northern Mongolian mountain forest steppe, the transition zone between taiga and open steppe, is rich in plant and animal life. It is the most productive region in the country in terms of agriculture and, as a result, exhibits settlement density above average for Mongolia. Light taiga stands, dominated by larch (Larix sibirica Ledeb.), are the backbone of Mongolian production forests and become increasingly opened to the growing demand for timber and firewood. The boreal forests of the Mongolian mountain forest steppe and taiga zones have experienced a visible decline in forest area and quality, especially since the end of the last century. The main drivers of this vegetation shift are changes in land use, fire frequency, pest occurrence and climate change. Species composition, growth and stand structure are strongly affected by the different natural and anthropogenic disturbance regimes and climate factors. Understanding the impact of climate factors on these disturbances and the ecological impact of disturbances on forest stands and their response in terms of structure, growth and regeneration is essential for the development of ecologically and regionally adapted forest management programs. Increasingly intensive large-scale disturbances, especially logging and forest fires, have boosted the presence of succession forests, often dominated by birch (Betula platyphylla Sukaczev). Despite ongoing initiatives for the establishment of alternative forest management approaches in Mongolia, there is a lack of knowledge regarding the influence of the main impact factors and disturbances on forest structure and forest growth, as well as a lack of capacity. One of the provinces with traditionally intense land use is the Selenge Aimag located to the north of Ulaanbaatar. Reference plots and experimental thinning trials were established in 2009 by the Mongolian University of Life Sciences in Darkhan and the forest user group Altansumber. The majority of the plots exhibit a size of 2500 m² each. This initiative was supported by the UNFAO-Project "Capacity Building and Institutional Development for Participatory Natural Resources Management and Conservation in Forest Areas of Mongolia" (GCP/MON/002/NET), which was financed by the government of the Netherlands. The research area Altansumber is situated west of Darkhan and is a prime example of the Mongolian mountain forest steppe zone. The research area Bugant is situated east of Darkhan in the western Khentii Mountains and is part of the densely forested taiga zone. The effects of climate factors and selective cutting on forest structure and growth of birch and larch were studied in the fire disturbed light taiga stands of the research area Altansumber (mountain forest steppe zone, north-facing slopes). In the research area Bugant (taiga zone, south- and east-facing slopes), the impact of climate factors on the growth of birch was studied and compared with the results from Altansumber. Differences concerning fire damage between birch and pine (Pinus sylvestris L.) were assessed separately in a small case study. Signs of fire were found in all researched stands in both research areas, and most stands also showed traces of previous small-scale logging activities. Using dendrochronological methods, the climate-growth relationships were examined and pointer year analyses conducted. In the research area Altansumber non-spatial and spatial forest structure was analysed before, directly after the thinning and three years later. The analyses were conducted in form of harvest event analyses and using L-functions and pair correlation functions. The effect of competition relief on the growth of the remaining trees was modelled with linear mixed-effects models. Regeneration was assessed in all plots in Altansumber in 2012 and in Bugant in 2011 and re-assessed in some plots in Bugant in 2013. For both, larch and birch, precipitation during the late summer and early autumn of the previous year and directly before the growing season of the current year was a decisive climatic factor determining tree growth. Pointer year analysis showed good agreement between the two species. Sufficient precipitation prior to the start of the growing season was more relevant for the growth of younger birch trees than for older ones. The relationship between precipitation and the growth of birch was more pronounced in the drier and highly continental mountain forest steppe zone (Altansumber) than in the more humid taiga zone (Bugant). Indication of insect damage was found only in Bugant (taiga zone). All birch chronologies showed a strong sensitivity to higher temperatures, typically during spring, and a relationship between the timing of the negative temperature-growth relation and slope exposition. On the north-facing slopes in Altansumber, the significant negative correlation between temperature and growth of birch occurred in May. On the south-facing slopes in Bugant, this negative correlation occurred earlier, in April. This negative temperature-growth relation was not confirmed for the larch chronology in Altansumber. In both research areas, the average annual growth performance was higher for conifers than for birch. The observed difference concerning growth performance and sensitivity to spring temperature may be to some extend related to the different protection capacities of birch and conifers against the very common low-intensity surface fires, which peak during spring and are partly driven by the climate factors. The number of obviously fire damaged trees in Bugant was up to over eight times higher for the thin-barked birches than for the thick-barked pine trees. In conifer-birch mixed stands, a low intensity surface fire regime has a more negative and longer-lasting influence on the growth of birch than on the growth of thick-barked conifers. However, intensive stand-replacing fires and repeated intensive cutting or clear cutting favour the dominance of birch succession due to their re-sprouting capacity. Forest structure characteristics and disturbance response were studied exclusively in Altansumber and could be linked to succession processes, fire and unregulated logging. A significantly irregular ("clumped") tree distribution was confirmed for all larch stands and the majority of the birch stands in Altansumber before the thinning. Due to coppicing, young birch often occurred in very small, tight clusters. Larch, in contrast, occurred in looser clusters spread over greater distances. Because birches have shorter life spans and compete more intensely with one another, they may have the capacity to develop in pure stands a random spatial distribution sooner than larch. Competition played a significant role in the light taiga stands monitored in this study. In Altansumber, the relationship between competition and growth was evaluated before, directly after and three years after the thinning. The thinnings were carried out with different thinning intensities (removal: 5.4% - 52.4% G). The main criteria for selecting trees for removal were relatively lower health status and growth capacity, as indicated by damages at the stem and crown development, by stem shape, as well as spacing between trees. This selection largely lead to thinnings from below. As expected, thinning promoted regular tree distribution. However, the ingrowth of new stems redirected stand structure towards clumped tree distribution. Growth was significantly triggered by the thinning-induced competition relief, and growth response was valid in absolute and relative terms. Compared to the period before the thinning, relative growth increase was slightly higher for birch than for larch despite the relatively late average stand age at the time of thinning in 2009, especially for the birch trees. Data were derived from tree-ring analyses (average age of the larch stands: ca. 22 and 61 years; birch stands: ca. 44 and 68 years). Based on the regional data of the recent national forest inventory (MPNFI) as reference values, regeneration in Altansumber was relatively low in all stands after thinning, whereas regeneration in Bugant was over average. Overall, the results indicate that a more methodical forest management strategy is feasible. Local silvicultural actions, however, need to serve multifunctional regional forest management objectives. The capacity of the forests to provide ecosystem services such as water and soil protection, continuous vegetation cover, and biodiversity and to contribute to the mitigation of negative effects of climate change has to be ensured. This is particularly challenging in the face of ongoing climate change, increasing disturbance frequency and the development of societal needs. The main silvicultural objectives should be to improve the stability and resilience of forest ecosystems against different disturbances while simultaneously enabling the utilization of some stands. Two utilization models may be possible: timber production (predominantly larch and pine) or energy wood production (predominantly birch). Dense light taiga stands designated as production forests could be thinned or selectively cut one to two times in the first 50-60 years of growth according to the criteria mentioned above. At a later stage, these stands could be transformed to shelterwood cutting systems for promotion of regeneration and for final utilization. Underplanting of regeneration should only be considered if the desired regeneration is not sufficient or if the stand shall be transformed to another tree species composition. Some of the succession birch stands close to settlements could be managed as coppice forests for energy wood production. Forest management guidelines need to be elaborated and take into account the special ecological and climatic conditions, different stand conditions, silvicultural objectives and realistic management options. Control mechanisms need to be reinforced by the national forest administration. It is recommended to analyze also the economic efficiency of silvicultural operations, e.g. different harvest systems. The results and conclusions of the project are derived from a relatively short study period. Long term effects of different selective cutting intensities need to be studied, especially with regard to stand stability, soil and sporadic permafrost.
Bodenerosion durch Wasser ist ein ubiquitäres Problem, dass sowohl die landwirtschaftliche Produktivität vermindert, Bodenfunktionen einschränkt und auch in anderen Umweltkompartimenten schädliche Auswirkungen haben kann. Oberflächengewässer sind durch die mit Bodenerosion einhergehende Belastung durch Sediment, sedimentgebundenen und gelösten Nährstoffen sowie anderen Schadstoffen besonders betroffen. Das Wissen über Erosionsprozesse und Sedimentfrachten hat daher große Bedeutung für den Schutz der Güter Boden und Wasser und darüber hinaus eine ökonomische Bedeutung. Generell kann innerhalb eines Hanges oder Einzugsgebietes von einer Zone der Erosion, des Transports und der Sedimentation ausgegangen werden. Jedoch führen Abflussbildungsprozesse und rauhigkeits- bzw. topographiebeeinflusste Abflusskonzentration zu einer individuellen Differenzierung. Räumliche und zeitliche Prozessdiskontinuitäten oder Konnektivitäten und Schwellenwerte modifizieren die Erosions- und Sedimentaustragssituation in einem Einzugsgebiet darüber hinaus. Die Landschaftstrukturelemente Relief und Boden kontrollieren demnach über die Bodenfeuchtedifferenzierung im entscheidenden Maße die Abflussbildung und Sedimentfracht in einem Einzugsgebiet. Obwohl in den gemäßigten und kühlen Klimaregionen ein großer Teil der Abflussbildung im Winter stattfindet und von Bodenfrost sowie Schneeschmelzen geprägt sein kann, ist über die Prozesse und die Größe der Sediment- und Nährstoffausträge bei solchen winterlichen Randbedingungen nur wenig bekannt. Systematische Untersuchungen existieren vor allem für Norwegen und Russland. Dieses Defizit spiegelt sich auch in den vorhandenen Modellansätzen zur Abbildung der Bodenerosion und der Abschätzung von Sedimentausträgen aus Einzugsgebieten wider. Zum einen werden in der Regel weder Schneedeckenaufbau bzw. -schmelze noch die Veränderungen des Bodenwasserflusses bei Bodenfrost berücksichtigt. Zum anderen werden die Erosivität des Schneeschmelzabflusses und die Beeinflussungen der Bodenerodibilität, z.B. durch Frost-Tau Zyklen, nicht hinreichend wiedergegeben. Ziel der vorliegenden Arbeit ist es daher, auf der Analyse von Daten aus einem deutschen und einem russischen Untersuchungseinzugsgebiet aufbauend, die wichtigsten Prozesse und Größen der Abflussbildung und Stoffausträge bei winterlichen Rahmenbedingungen zu charakterisieren und in einem Modellsystem umzusetzen. Die weitergehende Anwendung dieses Modellsystems dient der Interpretation räumlicher Heterogenitäten und zeitlicher Variabilitäten sowie der Auswirkungen von klimatischen- und Landnutzungsänderungen auf den Sedimentaustrag der beiden Untersuchungseinzugsgebiete. Das 1.44 km² große Einzugsgebiet Schäfertal liegt im östlichen Unterharz. Über den Grauwacken und Tonschiefern haben sich aus einem periglazialen Decklagenkomplex Braun- und Parabraunerden entwickelt, die ackerbaulich mit einer Wintergetreide-Raps Fruchtfolge genutzt werden. In der Tiefenlinie dominieren hydromorph überprägte Böden mit Wiesennutzung. Das Klima weist bei einer Jahresmitteltemperatur von 6.8°C und 680 mm Jahresniederschlagssumme eine geringe kontinentale Überprägung auf. Neben langjährigen umfangreichen hydro-meteorologischen Messungen finden seit mehreren Jahren Untersuchungen zum Sediment- und Nährstoffautrag statt. Eine regelmäßige zweiwöchentliche Beprobung des Abflusses am Gebietsauslass wird durch eine automatisierte Hochwasserprobenahme vor allem bei Schneeschmelzen ergänzt. Neben der Sedimentkonzentration werden unter anderem Phosphor und gelöster organischer Kohlenstoff nach Standardmethoden bestimmt. Auch im russischen Zielgebiet Lubazhinkha liegt das Hauptaugenmerk auf der Charakterisierung der Abflussbildung und der Stoffausträge bei den jährlich auftretenden Schneeschmelzen. Das Einzugsgebiet liegt ungefähr 100 km südlich von Moskau im Übergangsbereich der südlichen Taiga zur Waldsteppe. Die insgesamt 18.8 km² werden zur Hälfte landwirtschaftlich und zu einem Drittel forstwirtschaftlich genutzt. Die aktuelle räumliche Differenzierung der Nutzung in diesem Gebiet wird durch die reliefbedingte Kappung und hydromorphe Überprägung der vorherrschenden grauen Waldböden bestimmt. Das Klima und die Hydrologie sind durch Schneedeckenaufbau und –schmelze, bei einer Jahresdurchschnittstemperatur von 4.4°C und einer Jahresniederschlagsmenge von 560 mm, geprägt. Zur Erfassung des Stoffaustrags werden Hochwasserprobenahmen am Gebietsauslass sowie an den beiden wichtigsten Zuflüssen genommen und neben Sediment- und Nährstoffkonzentrationen weitere physikalische und chemische Parameter bestimmt. Die Auswertung der Daten des Schäfertals zeigen für den Untersuchungszeitraum eine deutliche Dominanz der Hochwasserereignisse, die durch Schneeschmelzen hervorgerufen werden. Einzugsgebietsbedingungen mit gefrorenem Boden führen zu einer Modifizierung der Abflussentwicklung vor allem im ansteigenden Teil des gemessenen Hydrographen durch Auftreten von schnellen oberflächen- oder oberflächennahen Abflüssen. Der Spitzenabfluss bei den acht zur Interpretation herangezogenen Hochwasserereignissen variiert zwischen 30 und 270 l s-1, bei Abflussmengen von 1-50 mm. Die am Gebietsauslass ermittelten maximalen Sedimentkonzentrationen liegen für die beiden Ereignisse ohne gefrorenen Boden bei unter 650 mg l-1 und damit deutlich unter den bis zu 6000 mg l-1 bei teilweise oder ganz gefrorenen Böden im Schäfertal. Lediglich bei einem Ereignis mit Niederschlag und ungefrorenem Boden treten hohe Sedimentkonzentrationen auf, die auf Gerinnepflegemaßnahmen und dadurch leichte Mobilisierbarkeit von Material zurückzuführen sind. Dementsprechend schwanken die Sedimentfrachten der Einzelereignisse und erreichen bis zu 17 t. Die wichtigste Steuergröße ist dabei die Ausbildung erosiven Abflusses auf den Hängen durch eine Verminderung der hydraulischen Leitfähigkeit bei gefrorenen Böden. Der Vergleich der Sedimentkonzentrationen der Hochwasserereignisse mit der zweiwöchentlichen Grundbeprobung verdeutlicht, ebenso wie Hysteresekurven der Einzelereignisse, die unterschiedlichen Dynamiken der Austragssituationen. Während die durch Bodenfrost geprägten Ereignisse ein gegen den Uhrzeigersinn verlaufendes Abfluss-Sedimentkonzentrationsverhältnis aufweisen, das auf eine Sedimentquelle auf den Hängen hinweist, sind die Hysteresekurven bei nicht gefrorenen Böden im Uhrzeigersinn orientiert. Eine Sedimentherkunft in Gerinnenähe oder den Gerinneböschungen selbst ist daher wahrscheinlich. Diese Annahmen werden auch durch eine differenzierte Phosphoranreicherungsrate im ausgetragenen Sediment bestätigt. Darüber hinaus kann teilweise eine ereignisinterne Dynamik beobachtet werden, die auf zeitliche Variabilität in der Abflussbildung und damit zusammenhängend, eine räumliche Heterogenität der Sedimentquellen belegt. Während im Untersuchungsgebiet Schäfertal ein mehrmaliges Auftreten von Schneeschmelzen innerhalb eines Winters möglich ist, kommt es im russischen Einzugsgebiet zu einem regelmäßigen Schneedeckenaufbau über den Winter hinweg und einer Schneeschmelze in der Regel im März oder in der ersten Aprilhälfte. Die Auswertung mehrjähriger Datenreihen belegt die Bedeutung der Schneeschmelze für die Abflussbildung und den Sedimentaustrag aus dem Untersuchungsgebiet Lubazhinkha. Für die drei zur Interpretation herangezogenen Schneeschmelzen liegt die Sedimentfracht zwischen 50 und 630 t bei deutlichen Unterschieden in den hydrologischen Rahmenbedingungen. Die ereignisbezogene Sedimentfracht von mindestens 0.3 t ha-1 liegt zwar über der für das Schäfertal ermittelten, befindet sich aber im Bereich der Werte, die in anderen Studien bei vergleichbaren Böden und Nutzungsformen bestimmt wurden. Eine detaillierte Analyse der Messwerte der Schneeschmelze im Jahr 2003 belegt eine Dynamik innerhalb dieses Einzelereignisses. Bei Sedimentkonzentrationen im Abfluss am Gebietsauslass von 6 bis 540 mg l-1 kommt es zu einer Sedimentfracht von ungefähr 190 t. Während die maximalen Konzentrationen von Sediment und Phosphor mit der Spitze des Abflusses einhergehen, liegt für DOC eine Verzögerung vor, die durch eine langsamere Schneeschmelze und Mobilisierung von DOC aus dem humusreichen Oberboden der Waldflächen ausgelöst wird. Eine Differenzierung der Abflusskomponenten ermöglicht eine weitergehende Interpretation der ereignisinternen Dynamik der Stoffquellen und Eintragspfade. Bei geringen Abflussmengen (< 2,5 mm d-1) findet ein Stoffeintrag überwiegend in gelöster Form über die Bodenwasserpassage und langsame Abflusskomponenten in den Vorfluter statt. Bei höheren Abflussmengen dominieren schnelle Abflusskomponenten bzw. Oberflächenabfluss, der zeitlich dynamisch unterschiedliche Stoffquellen mobilisiert. Neben diesen ereignisinternen treten interanuelle Variabilitäten auf, die durch witterungsbedingte Faktoren bestimmt werden. Wie im Schäfertal spielt auch im Lubazhinkhaeinzugsgebiet die Ausbildung von Bodenfrost und damit verbundene Veränderung der Infiltrationseigenschaften der Böden eine große Rolle. Das Schneewasseräquivalent, die Schneeschmelzdynamik und Bodenfrosteigenschaften, z.B. Eindringtiefe, sind die wichtigsten Steuergrößen. Die Variabilität dieser Randbedingungen führt zu einer hohen interannuellen Differenzierung der Abflussbildung und der Sedimentausträge. Für die Schneeschmelze 2004 kann so bei überdurchschnittlich hohen Wintertemperaturen und nur teilweise gefrorenen Böden sowie geringem Schneewasseräquivalent eine geringe Sedimentfracht ermittelt werden. Darüber hinaus verdeutlichen die Hysteresekurven der Sedimentkonzentrationen Unterschiede in der Sedimentquelle für die Einzeljahre, die von den oben genannten Rahmenbedingungen abhängen. Auf der Basis des Monitoring lassen sich für beide Einzugsgebiete die wichtigen abflussbildenden Prozesse charakterisieren und Einflussgrößen erfassen. Dem Bodenfrost und der Schneeschmelzdynamik kommen dabei übergeordnete Bedeutung zu. In beiden Gebieten werden bei winterlichen Rahmenbedingungen erhebliche Mengen an Sediment und Nährstoffen ausgetragen. Die Interpretation physikalischer bzw. chemischer Parameter des Abflusses ermöglicht darüber hinaus auch Aussagen über die zeitliche Variabilität und räumliche Heterogenität der Sedimentherkunftsräume. Aus den Erkenntnissen der Einzugsgebietsbeobachtung ergeben sich für einen Modellansatz verschiedenen Anforderungen, die vor allem die räumlich differenzierte Darstellung des Einflusses von Bodenfrost auf den Bodenwasserhaushalt sowie die Bodenerosion durch oberflächlich abfließendes Schneeschmelzwasser betreffen. Die Grundlage für das Modellsystem "IWAN" (Integrated Winter erosion And Nutrient load model) stellt das hydrologische Modell WASIM ETH Ver. 2 und das Stoffhaushaltsmodell AGNPS 5.0 dar. Die Verknüpfung dieser beiden auf Rasterzellen aufbauenden Modelle ermöglicht die Nutzung von kontinuierlichen, räumlich differenzierten Informationen zum Oberflächenabfluss für die Abschätzung der Bodenerosion. Durch diese Schnittstelle wird die sehr hohe Parametersensitivität des SCS-CN Verfahrens in AGNPS durch geringere Einzelsensitivitäten verschiedener Parameter des Bodenwasserhaushaltes in WASIM ersetzt und gleichzeitig eine plausible, prozessbasierte räumliche Abflussbildung berechnet. Durch die Implementierung eines Moduls zur Abschätzung der Bodentemperatur in WASIM ist zusätzlich die Grundlage für eine weitergehende Verbesserung der Abflussbildung bei winterlichen Randbedingungen gelegt. Durch das Modul wird die Oberbodentemperatur aus Werten der Lufttemperatur unter Einbeziehung der Exposition und der Landnutzung auf der Basis einer Polynomanpassung abgeschätzt. Bei einer modellierten Schneedecke von mehr als 5 mm Schneewasseräquivalent wird die berechnete Bodentemperatur des Vortages übernommen. Bei Bodentemperaturen unter dem Gefrierpunkt wird darüber hinaus die gesättigte hydraulische Leitfähigkeit des Bodens auf Null herabgesetzt, so dass im Zuge der Schneeschmelze zunächst das noch freie Porenvolumen aufgefüllt wird und danach Oberflächenabflussbildung beginnt. Für das Schäfertal liegt die Güte der Anpassung der Bodentemperatur bei Korrelationskoeffizienten von 0.62 bis 0.81 und für das Lubazhinkhaeinzugsgebiet bei Werten von 0.82 bis 0.91. Die räumlich und zeitlich differenzierte Oberflächenabflussinformation dient als Grundlage einer neu entwickelten Berechnung der Rillenerosion bei Schneeschmelzen, die den dafür nicht geeigneten empirischen Ansatz in AGNPS ersetzt. Basierend auf der Grundannahme eines dreieckigen, nicht durch Frost in der Eintiefung beeinträchtigten Rillenprofils und, da wassergesättigt, nichtkohesiver Bodeneigenschaften wird für jede Rasterzelle eine Rille simuliert. Die Erodibilität des Bodens wird als Funktion von Wurzelparametern und des Durchmessers der wasserstabilen Aggregate erfasst. Die Scherkraft des Schneeschmelzeabflusses in der Rille wird in Abhängigkeit von der Oberflächenrauhigkeit und dem Aggregatdurchmesser betrachtet und darauf aufbauend in einem Impulsstromansatz die erodierte Bodenmenge berechnet. In Verbindung mit dem durch das modifizierte WASIM berechneten und gerouteten Oberflächenabfluss ergibt sich so ein räumlich differenziertes Bild der Bodenerosion. Das Modellsystem IWAN beinhaltet neben der Erosionsberechnung ein eingabefenstergesteuertes Menü zur Datenkonvertierung und zum Prä- sowie Postprozessing. Die Ergebnisse der Anwendung des Modellsystems für die beiden Einzugsgebiete belegen, dass sowohl die entscheidenden Prozesse der Abflussbildung als auch des Sedimentaustrags wiedergegeben werden. Für das Schäfertal wurde für die Kalibrierungsjahre 1994 bis 1995 eine Modellierungsgüte von R2 0.94 bzw. 0.91 erzielt. Mit Ausnahmen der Schneeschmelze im Jahr 1996 werden die Episoden hohen Abflusses in den Jahren 1996 bis 2003 mit dem kalibrierten Parametersatz gut wiedergegeben und das witterungsbedingte Trockenfallen im Sommer zufriedenstellend dargestellt. Auf dieser Basis wird für die experimentell erfassten und diskutierten Schneeschmelzereignisse das Gesamtabflussvolumen dieser Ereignisse mit hoher Güte abgebildet. Die räumlich differenziert berechnete Bodenfeuchte und Bodenfrostvorkommen bedingen einen variablen Anteil des Oberflächenabflusses am Gesamtabfluss. Für das Schneeschmelzerosionsmodul hat das Abflussvolumen ebenso wie die Hangneigung und Abflusslänge eine positive Sensitivität. Aufgrund von Parameterkombinationen und nichtlineare Algorithmen kann es jedoch vor allem für die Wurzelparameter und den Manning Koeffizienten zu differenzierten Sensitivitätsentwicklungen kommen. Für die Simulation der Erosion im Schäfertal wurde daher zunächst auf einen Parametersatz zurückgegriffen, der auf der Basis von Erosionsparzellenversuchen kalibriert wurde. Die Mittelwerte der berechneten Erosion liegen zwischen 0.0006 und 0.96 t ha-1 für die sechs gemessenen Einzelereignisse im Schäfertal. Die Medianwerte und hohen Standardabweichungen belegen jedoch, dass insgesamt Zellen mit geringen Erosionswerten überwiegen. Die Ereignisse mit gefrorenen Böden weisen eine signifikant höhere Erosion auf. Unterschiede in der Erosion treten bei gleichen Gesamtabflussvolumen wie z.B. bei den Ereignissen vom 20.01.2001 und 26.02.2002 durch differenzierte Abflusskonzentration auf dem nord- bzw. südexponierten Hang auf. Neben einer Überprüfung der Plausibilität der berechneten Werte, werden die räumlichen Verteilungsmuster durch Geländeaufnahmen bestätigt. Die Anpassung der berechneten Sedimentfracht an die gemessenen Werte erfolgte durch die Kalibrierung des Manning Koeffizienten für ein Ereignis. Die simulierte Sedimentfracht ist in einigen Hangfußbereichen aufgrund der Abflussakkumulation besonders hoch und erreicht für den Gebietsauslass Werte zwischen 0.0 und 13.84 t. Mit der Ausnahme des Ereignisses vom 26.02.2002 ist die Sedimentfracht leicht unterschätzt, so dass sich in der Summe für die drei Winterhalbjahre 2001 bis 2003 ein Gesamtfehler von 11 t ergibt. Die Differenz zwischen der simulierten und beobachteten Sedimentfracht ist für den 26.12.2002 am größten. Als mögliche Ursache für die Abweichungen der berechneten zu den gemessenen Werten, wird die zeitliche Variabilität und räumliche Heterogenität der Oberflächenrauhigkeit, vor allem in Hinblick auf Bodenbearbeitung und Bodenfrosteinflüssen, diskutiert. Die generelle Verteilung der Sedimentquellen, Transportwege und Übertrittstellen vom Hang ins Gewässer stimmt mit Geländebeobachtungen überein. Eine quantitative Überprüfung der räumlichen Ergebnisse auf der Einzelereignisebene ist für das Schäfertal jedoch nicht möglich. Für das Lubazhinkhaeinzugsgebiet können zwei Parametersätze für das Kalibrierungsjahr 2004 identifiziert werde, die eine zufriedenstellende Modellierungsgüte für das hydrologische Modell erreichen. Obwohl einer dieser Parametersätze die Schneeschmelzsituationen und Maximalabflüsse gut darstellt, sind die Areale mit Oberflächenabflussbildung innerhalb des Einzugsgebietes nicht plausibel verteilt. Im Gegensatz dazu werden die lateralen Wasserflüsse und damit die prozessbestimmende Bodenfeuchteverteilung durch den anderen Parametersatz besser abgebildet. Es kommt jedoch zu einer Überschätzung der Spitzenabflüsse der Schneeschmelzhochwasser für die Validierungsjahre 2003 und 2005. Die auf der Basis der Messwerte erkannten Unterschiede zwischen den Einzeljahren werden ebenso dargestellt wie die differenzierte Abflussbildung innerhalb einer Schneeschmelzsituation. Neben Oberflächenabflussbildung auf den flachen Kuppenbereichen und auf Sättigungsflächen in den Talböden, wird auch die beobachtete verzögerte Abflussbildung unter Wald durch das Modell berücksichtigt. Bei zehn Tagen mit Oberflächenabfluss innerhalb der drei Schneeschmelzen 2003 bis 2005 mit Oberflächenabflussvolumen von 0.3 bis 24.1 mm d-1 werden durch das Modellsystem IWAN Erosionssummen von 10 bis 280 t d-1 simuliert. Bei einem variablen Flächenanteil von ca. 5 bis 46 % des Gesamtgebietes, auf dem Erosion stattfindet, bewegen sich die Werte der effektiven Erosion bei 0.1 bis 0.32 t ha-1 für die Einzeltage und 0.44 bis 0.92 t ha-1 für die mehrtägigen Schneeschmelzen. Die am Gebietsauslass simulierte Sedimentfracht liegt zwischen 6.7 und 365.8 t pro Tag und summiert sich auf 246.2 t für die Schneeschmelze 2003. Im Jahr 2004 werden 99.9 t und im Jahr 2005 sogar 757.9 t Austrag simuliert. Für das Kalibrierungsjahr 2004 kommt es zu einer Überschätzung der Sedimentfracht im Vergleich zur gemessenen von lediglich 10 t bzw. 12%. Für die Schneeschmelze im Jahr 2003 liegt die Abweichung mit diesem Parametersatz bei -9 %. Für das Jahr 2005 fällt die Berechnung mit einem Fehler von 33 % nicht so gut aus. Insgesamt führen Schneeschmelztage mit geringer simulierter Erosionsmenge zu einer zusätzlichen Mobilisierung von Sediment aus dem Gerinne und umgekehrt, hohe Erosionsmengen zu einer Deposition von Material auf den Wald- und Grünlandflächen und im Gerinne selbst. Hohe Sedimentfrachten werden daher vor allem für die Talflanken und die kerbtalähnlichen Talanfänge berechnet. Durch die räumliche Differenzierung der Abfluss- und Erosionsprozesse kommt es zu signifikanten Unterschieden bei der berechneten Sedimentfracht für die beiden Teileinzugsgebiete. Bei Schneeschmelztagen mit Abflussbildung unter Wald wird aufgrund des höheren Waldanteils im Lubazhinkhateilgebiet eine höhere Sedimentmenge ausgetragen. Die Unterschiede im Gerinneverhalten und zwischen den Teileinzugsgebieten verdeutlichen die insgesamt hohe Prozessrepräsentanz der Modellergebnisse. Das Modellsystem IWAN bildet für beide Einzugsgebiete mit hoher Plausibilität die räumliche und zeitliche Dynamik der Oberflächenabflussbildung während der Schneeschmelze und die damit verbundenen Erosionsprozesse ab. Der Modellansatz stellt somit eine Möglichkeit zwischen Modellergebnisaggregierung für den Gebietsauslass und aufwendiger Geländebeobachtung bzw. –messungen dar. Die prozessbeschreibende Modellierung mit zufriedenstellender Güte sowohl für das Schäfertal als auch für das Lubazhinkhaeinzugsgebiet stellt die Grundlage für die Berechnung von Klima- oder Landnutzungsszenarien dar. Eine Auswertung der bestehenden langjährigen Datenreihe aus dem Schäfertal bestätigt zunächst den allgemeinen Trend zur Erwärmung vor allem im Winterhalbjahr. Demgegenüber lässt der instrumentenbedingte Fehler bei der Niederschlagmessung keine Ableitung eines Trends aus den vorhandenen Daten zu. Aus der meteorologischen Datenreihe des Schäfertals wurden insgesamt 13 Jahre mit definierter Abweichung von +2.5 bis -2.5 °C und fünfmal +0.5 °C von der durchschnittlichen Winterlufttemperatur (Jd 330-90) gegenüber dem langjährigen Wintermittel ausgewählt. Im Gegensatz zu Wettergeneratoren werden dadurch eine Kombinationen aus Lufttemperatur und Niederschlag erfasst, die typischen Witterungssituationen entsprechen. Die Niederschlagssummen für den Winterzeitraum dieser Szenariojahre liegen zwischen -45 % und + 75 % gegenüber den langjährigen Mittelwerten. Die Modellergebnisse belegen die große Bedeutung der Witterungssituationen für die Abflussbildung in der Art, dass eine erhöhte Niederschlagsumme nicht zwingend auch eine überdurchschnittliche Abflussmenge hervorruft. Schneedeckendynamik und Bodenfrost sind die prägenden Elemente. Die Anzahl der Schneetage und die Dauer einer Schneeperiode liegt bei negativen Temperaturabweichungen deutlich über den Szenarien mit positiver Abweichung. Insgesamt zeigen die Ergebnisse der hydrologischen Simulation für die Szenarien, dass sowohl eine starke Abweichung nach oben oder unten vom bisherigen Durchschnitt vermehrt zu Oberflächenabflussbildung führt. Die Erosionssummen der Szenariotage mit Oberflächenabfluss variieren zwischen 4 und 141 t d-1 und stehen aufgrund des nicht veränderten Parametersatzes in direkter Abhängigkeit zum Abflussvolumen. Die berechneten Erosionssummen für Situationen ohne Bodenfrost fallen generell geringer aus, befinden sich aber wie auch die Ereignisse mit Bodenfrost im Wertebereich der Referenzereignisse. Im Bereich der Referenzereignisse liegen auch die Sedimentfrachten mit 0.03 bis 13.15 t d-1. Eine erhöhte Variabilität ist zu erwarten, wenn die Veränderungen der Vegetationsperioden und der Fruchtfolgen in den Modellansatz aufgenommen würden. Eine Betrachtung der Erosionsummen und Sedimentfrachten nicht auf Basis von Tageswerten sondern von Schneeschmelzereignissen zeigt deutlich, dass die Klimaszenarien mit hohen Abweichungen von den Normwerten auch erhöhte Gesamtstoffausträge verursachen. Im russischen Lubazhinkhaeinzugsgebiet führen die Transformationsprozesse im Landwirtschaftssektor zu tiefgreifenden Änderungen der Landnutzung. Auf einer Analyse der Entwicklung in den letzten 15 Jahren aufbauend, kann für das Gebiet von einer deutlichen Modifikation im Verhältnis Grünland, Acker und Wald ausgegangen werden. Diese Dynamik spiegelt sich in den fünf Szenarien wider, die flächenspezifische Änderungen vorsehen. Die Variationen reichen von einem Szenario, in dem ein ausländischer Investor die landwirtschaftliche Nutzfläche auf alle geeigneten Böden ausdehnt, über eine Ausdehnung der Waldflächen in einem laufenden staatlichen Waldschutzprogramm bis hin zum Aufbau kleinbäuerlicher Strukturen und lokale Vermarktung der Produkte durch sich entwickelnden Tourismus. Die Gesamtabflussmenge der Szenarien liegt zwischen 276.4 und 293.3 mm für die Simulationsperiode 2003 bis 2005. In Abhängigkeit vom Waldflächenanteil und der damit verbundenen Evapotranspiration treten im Vergleich zum Ist-Zustands des Referenzszenarios nur geringe positive oder negative Abweichungen auf. Im Unterschied dazu treten bei der Betrachtung der Oberflächabflussentwicklung für die drei Schneeschmelzperioden relativ große Abweichungen bis zu über 20 mm auf. Diese Unterschiede sind am deutlichsten in den durch Bodenfrost und hohes Schneewasseräquivalent ausgezeichneten Jahre 2003 und 2005 für das Szenario mit dem größten Waldflächen- und Grünlandanteil. Mit wenigen Ausnahmen führen die Szenarien zu einer Erhöhung der simulierten Sedimentfracht am Gebietsauslass. Die Ergebnisse belegen darüber hinaus, dass eine Verminderung der Erosion auf den Hängen allein nicht zu einer Frachtreduzierung führen muss, da bei geringer Sedimentbelastung im Gerinne Material aufgenommen werden kann. Ein flächenspezifischer Vergleich zweier Szenarien belegt die Bedeutung der Verortung der Nutzungsänderungen innerhalb des Einzugsgebietes und der damit einhergehenden Konnektivität von abflussbildenden Arealen und Erosionsflächen zum Gerinne hin. Die Szenarioergebnisse weisen auf die steigende Bedeutung von Extremereignissen hin, die im Zuge des Klimawandels zu erwarten sind. Ebenso wird die Verknüpfung von Hang- und Gerinneprozessen als Attribut eines Einzugsgebietes unterstrichen, das bei Managementmaßnahmen beachtet werden muss. Insgesamt belegen die Ergebnisse für beide Untersuchungsgebiete, dass das Modellsystem IWAN nach einer Kabibrierung erfolgreich zur Abschätzung von möglichen zukünftigen Sedimentquellen und Sedimentausträgen eingesetzt werden kann. Weitergehender Forschungsbedarf besteht in der Frage der Übertragbarkeit des Monitoringansatzes in Naturräume mit anderen, zum Teil komplexeren hydrologischen Einzugsgebietsreaktionen und darauf aufbauenden Stoffausträgen und Austragspfaden. Darüber hinaus kann im Modellsystem IWAN eine Verbesserung durch eine Berechnung der Rillenausbildung auf dem Hang sowie eine Modifikation der Sedimenttransportberechnung erzielt werden. Bei einer Übertragung auf andere Einzugsgebiete sollte eine umfassende Sensitivitätsanalyse und Ergebnisunsicherheitsbetrachtung vor allem in Hinblick auf die Kopplung von Teilmodellen innerhalb des Modellsystems erfolgen.:Gliederung Gliederung V Liste der Abbildungen VII Liste der Tabellen XII 1 Einleitung und Fragestellung 3 1.1 Bodenerosion und Sedimentfracht in Einzugsgebieten 3 1.1.1 Abflussbildung, Bodenerosion und Sedimentaustrag 3 1.1.2 Winterliche Situationen 5 1.2 Modellierungsansätze 13 1.2.1 Modelle und Modellkopplungen 13 1.2.2 Probleme der Modellanwendung 17 1.3 Wissensdefizite und Zielstellung 23 2 Untersuchungsgebiete und Methoden 25 2.1 Schäfertal 25 2.1.1 Naturraum 25 2.1.2 Methoden 28 2.2 Lubazhinkha 31 2.2.1 Naturraum 31 2.2.2 Methoden 36 2.3 Datenverarbeitung 38 3 Ergebnisse und Diskussion des Monitorings in den Einzugsgebieten 41 3.1 Schäfertal 41 3.1.1 Abflussbildung 41 3.1.2 Stoffausträge bei Hochwasserereignissen 45 3.2 Lubazhinkha 54 3.2.1 Bedeutung der Schneeschmelze für den Stoffaustrag 54 3.2.2 Stoffdynamik während der Schneeschmelze 57 4 Modellentwicklung 69 4.1 Zielstellungen der Modellmodifikation und -entwicklung 69 4.2 WASIM-AGNPS 70 4.2.1 Wasserhaushaltsmodell WASIM 70 4.2.2 Stofftransportmodell AGNPS 72 4.2.3 Schnittstelle WASIM-AGNPS 74 4.3 Modifikation von WASIM für winterliche Abflussbildung 76 4.3.1 Grundlagen 76 4.3.2 Datenerhebung 77 4.3.3 Sensorauswahl 77 4.3.4 Ergebnisse 79 4.3.5 Empirisches Modell 82 4.3.6 Bodentemperaturteilmodul 83 4.3.7 Anpassung mit Daten aus dem Einzugsgebiet Lubazhinkha 85 4.4 Schneeschmelzerosionsmodell (SMEM) 87 4.4.1 Rillenprofil 87 4.4.2 Bodenerosion 90 4.4.3 Technische Umsetzung 96 4.5 Modellsystem IWAN 97 4.5.1 Schnittstelle SMEM-AGNPS 97 4.5.2 Graphische Benutzeroberfläche 99 5 Modellergebnisse und Diskussion 105 5.1 Schäfertal 105 5.1.1 Bodentemperatur 105 5.1.2 Hydrologie 108 5.1.3 Schneeschmelzerosion 113 5.1.4 Sedimentfracht 120 5.2 Lubazhinkha 126 5.2.1 Hydrologie 126 5.2.2 Schneeschmelzerosion 133 5.2.3 Sedimentfracht 137 6 Szenariorechnungen 143 6.1 Klimaszenarien Schäfertal 143 6.1.1 Szenarienauswahl 143 6.1.2 Modellergebnisse und Diskussion 148 6.2 Landnutzungsszenarien Lubazhinkha 158 6.2.1 Szenarienauswahl 158 6.2.2 Modellergebnisse und Diskussion 163 7 Schlussfolgerungen 169 7.1 Einzugsgebiete 169 7.2 Modellsystem IWAN 172 7.3 Szenarien 176 7.4 Forschungsbedarf 178 8 Zusammenfassung 179 9 Summary 189 10 Literatur 199 Appendix 207 Abkürzungen Modellübersicht Quellcode (VBA) ; Soil erosion by water is a ubiquitous problem that impairs the agricultural productivity, diminishes soil functionality and may harmfully affect neighbouring environmental compartments. Surface waters are especially affected by the sediment, sediment bounded and soluble nutrients as well as pollutants mobilised by soil erosion. The knowledge about erosion processes and sediment loads is of high relevance for the protection of the soil and water and has moreover an economic dimension. Generally, a slope or catchment can be divided into three zones: erosion, transport and sedimentation. However, runoff generating processes and roughness or topography triggered runoff concentration lead to an individual differentiation. Furthermore, spatial and temporal discontinuities of processes or connectivities and thresholds modify the erosion and sediment characteristics. Relief and soil as structural elements of a catchment control accordingly the soil moisture differentiation and in an essential way the runoff generation and sediment load. In temperate and cold climates an important portion of runoff is generated in winter and can be affected by soil frost and snowmelt. However, only little knowledge exists about the processes and dimension of sediment and nutrient emissions under these wintry conditions. Systematic research exists particularly in Russia and Norway. The related deficits are also reflected in existing model approaches to estimate soil erosion and sediment fields from catchments. On the one hand neither the snow development or snow melt nor the modification of the soil water flow in case of frozen soil is considered. On the other hand the erosivity of the snow melt runoff and the modification of the soil erodibility through, for example frost-thaw cycles, is adequately reflected. It is the main focus of the presented work to identify, by analysing data from a German and a Russian catchment, the dominant processes and triggers of runoff generation and diffuse pollution under winter conditions. The results are implemented into a model system which is utilised to analyse spatial heterogeneity and temporal variability of processes and to estimate the effects of climate and land use change on sediment loads in the two target areas. The 1.44 km² catchment Schaefertal is located in the eastern lower Harz Mountains approx. 150 km SW of Berlin, Germany. Cambisols and Luvisolos have developed from periglacial slope deposits on greywacke and argillaceous shale. These slopes are utilised agriculturally with a crop rotation of mainly winter grain and canola. The thalweg is dominated by hydromorphic soils and pasture. The climate is slightly continental with an annual average temperature of 6.8°C and 680 mm total annual precipitation. In addition to long-time hydro-meteorological measurements, since several years research into sediment and nutrient emissions is conducted. A routine biweekly sampling of the runoff at the catchment outlet is supplemented by automatic high flow sampling especially during snow melt flows. Besides suspended sediment concentration, phosphorus species and dissolved organic carbon are sampled and analysed following standard methods. Also in the Russian catchment Lubazhinkha the main focus is the characterisation of runoff generation and sediment/nutrient transport during snowmelt events. The catchment is located about 100 km south of Moscow, Russia in the transition zone from southern Taiga to forest steppe. The area of 18.8 km² is utilised half by agriculture and one third by forestry. The recent spatial differentiation of this land use is triggered by the relief determined erosive shortening and hydromorphic characteristics of the dominant grey forest soils. Climate and hydrology are dominated by snow cover accumulation and snow melt; annual average temperature is 4.4°C and the annual precipitation sum is 560 mm. High flow samples are taken at the catchment outlet behind a small dam and at the two most important tributaries to characterise mobilisation processes and the sediment and nutrient concentrations. The interpretation of data from the Schaefertal demonstrate for the period of investigation the importance of high flow situations that are caused by snow melt. Catchment conditions characterised by frozen soils lead to a modification of the measured hydrograph, especially through the occurrence of fast surface or near-surface components. The peak flow of the eight high flow events which are employed for interpretation vary between 30 and 270 l s-1, with total runoff volumes in a range from 1 to 50 mm. The sediment concentrations that are observed at the catchment outlet are below 650 mg l-1 for the two events without frozen soil and therewith distinct below the maximum of around 6000 mg l-1 for events with frozen or partly frozen soil conditions. Solely, one event with rainfall on unfrozen soil is characterised by high sediment concentration which is caused by channel maintenances and easy mobilisation of material from the channel banks. According to this, the sediment yields vary for the single events and achieve up to 17 t. The most important trigger is the generation of erosive surface runoff on the slopes by reduction of the hydraulic conductivity of the frozen soils. The comparison of the sediment concentrations of high flow events and the biweekly sampling as well as hysteresis curves of the single events clarify the differing dynamics of sediment export situations. The soil frost affected events show an anti-clockwise direction of the discharge-sediment relationship which points to a sediment source on the slope, whereas the hysteresis curves of unfrozen soil conditions are oriented clockwise. For these events a sediment source near the channel or the channel bank is probable. These assumptions are also supported by a differentiated phosphorus enrichment ratio in the exported sediment. Furthermore, a dynamic in the progress of the single events can be observed which is caused by the temporal variability of the runoff generation and confirms the related spatial heterogeneity of sediment sources. Contrary to the Schaefertal with several snow melt events per year, in the Russian catchment the snow cover is accumulated over the entire winter and one snow melt flood occurs in March or during the first half of April. The interpretation of multiannual data document the importance of the spring snow melts for the runoff generation and sediment export from the catchment Lubazhinkha. The sediment yield of three observed snow melt events varies between 50 and 630 t in dependency on the hydrological conditions. The event related sediment load of at least 0.3 t ha-1 is above the values that were measured in the Schaefertal but in the range of other studies with comparable soils and land use. Detailed analyses of the measurements of the snow melt in spring 2003 document the dynamic within one event. A sediment concentration at the catchment outlet from 6 to 540 mg l-1 led to a total event sediment yield of 190 t. The maximum concentrations of sediment and phosphorus peak with the discharge. In contrast, the concentration of dissolved organic carbon (DOC) is delayed compared to the runoff peak due to the slow snow melt development under forest stands and mobilisation of DOC from the organic rich topsoil of these forest areas. A differentiation of runoff components allows a further interpretation of event specific dynamic of sediment sources and transport pathways. In case of low discharge (< 2.5 mm d-1) the material transfer is dominated by dissolved forms and enters the channel passing the soil as slow runoff. Fast runoff components or surface runoff dominate situations with higher amounts of discharge in which sediment and nutrient sources are mobilised with temporal dynamic. Besides this event internal dynamic inter-annual variability exists that is a result of weather conditions in the specific winter. Similar to the Schaefertal, the development of frozen soils and the related modification of infiltration characteristics of the soils play an important role in the Lubazhinkha catchment. Other important triggers are snow water equivalent, snow melt dynamic and specific soil frost characteristics, i.e. depth of penetration. The variability of these boundary conditions led to a high inter-annual differentiation of runoff generation and sediment loads. Thus, for the snowmelt 2004 with above average winter air temperatures and only partly frozen soils, as well as low snow water equivalent, a comparable low sediment load was observed. In addition, the hysteresis curves of the discharge-sediment concentration relationship indicate differences in the sediment sources for the single snow melt events which are in dependency of the abovementioned factors. For both catchments the established monitoring system and selected parameters provide an insight into runoff generating processes and relevant triggers. Occurrences of soil frost and snow melt dynamics are most important factors. Wintry conditions led to high sediment and nutrient yields in both catchments. The interpretation of physical and chemical parameters of discharge allows the identification of spatial heterogeneity and temporal variability of sediment source areas. Several demands for a model approach arise from these findings of catchment monitoring which are especially related to the spatial differentiated estimation of surface runoff generating areas and soil erosion through snow melt water. The basis for the model system "IWAN" (Integrated Winter erosion And Nutrient load model) is the hydrological model WASIM ETH Ver.2 and the nutrient load model AGNPS 5.0. The linking of these two raster-based models facilitates the utilisation of continuous, spatial differentiated information for surface runoff to estimate soil erosion. By this, the high parameter sensitivity of the SCS-CN approach in AGNPS is replaced with sensitivities distributed among different parameters of the soil water calculation in WASIM and the concurrent calculation of a plausible process based spatial differentiated runoff generation. The implementation of a module to estimate the soil temperature forms the basis for an improved calculation of soil water flows and runoff generation under winter conditions. This module calculates the topsoil temperature based on values of air temperature and considers exposition and land use. The calculated soil temperature of the previous day is assumed in case of a snow cover of more than 5 mm water equivalent. The saturated hydraulic conductivity of the soil is set to zero if the calculated soil temperature drops below freezing and surface runoff begins after the water free soil pore volume is filled up. The goodness of fit for the Schaefertal shows a correlation coefficient of 0.62 to 0.81 and for the Lubazhinkha catchment values in a range between 0.82 and 0.91. The spatial and temporal differentiated information of surface runoff is fundamental to a new developed calculation of rill erosion during snow melt situations which replaces the empirical erosion estimation of AGNPS. One rill for each raster cell is simulated on the assumption of a non-cohesive soil through water saturation and that soil frost does not hinder the deepening of the triangular rill profile. The soil erodibilty is a function of root parameters and diameter of water stable aggregates. The erosivity of the snow melt runoff in the rill is calculated in dependency of surface roughness and soil aggregate diameter. A spatial differentiated estimation of soil erosion is possible in combination with the routed surface runoff from the modified WASIM. In addition to the erosion estimation, the model system IWAN comprises a user interface for data conversion as well as pre- and post-processing options. The results of the model system application for both catchments demonstrate that the dominant processes of runoff generation as well as sediment loss are matched. For the Schaefertal a modelling agreement of r² equalling 0.94 and 0.91 is realised for the year of calibration 1994 and the year of validation 1995, respectively. With the exception of 1996 all periods of high flow and the falling dry of the channel in summer from 1996 until 2003 are represented satisfactorily with the calibrated set of parameters. On this basis, the total runoff volume of the observed and above discussed snow melt events has been modelled with a high degree of accuracy. The spatially differentiated calculation of soil moisture and soil frost occurrence results in a variable fraction of surface runoff on the total runoff for these events. Runoff volume, slope and flow length show positive sensitivities in the new snow melt erosion module. However, parameter combinations and non-linear algorithms, especially for root parameters and the Manning coefficient, may lead to more complex sensitivity properties. Thus, the simulation of soil erosion in the Schaefertal was first conducted with a set of parameters that was calibrated with results of erosion plot experiments. The average values of calculated erosion vary between 0.0006 and 0.96 t ha-1 for the six events from the Schaefertal. However, the median values and high standard deviations prove that most of the cells have low erosion values. The results for events with frozen soils are characterised by significant higher values of erosion. Despite similar total runoff volume i.e. of the events from 20.01.2001 and 26.02.2002 differences occur because of distinctions in runoff concentration on the north and south exposed slope. The spatial results are positively compared to field mapping in addition to a plausibility control of the calculated values. The adjustment of the calculated values for sediment load against the observations is done with calibration of the Manning coefficient for one randomly selected event. The sediment load in some footslope areas caused by runoff concentration is especially high and in the range of 0.0 to 13.84 t for single events. The event sediment yield is generally underestimated with the exception of the event on 26.02.2002. The total absolute error for the three winter seasons is 11 t. The difference between simulated and observed sediment load is highest for the 26.12.2002. This distinction may originate in the temporal variability and spatial heterogeneity of surface roughness against the background of soil frost influences and tillage operations. The general distribution of modelled sediment sources, transport pathways and connecting points to the channel are confirmed by field observations. However, a quantification of the spatial model results on the basis of the observed single events is not possible. For the Lubazhinkha catchment two sets of hydrological parameters are identified for the year of calibration 2004 which achieve satisfying results in comparison to the observed discharge. Although one of these set of parameters performed better in reproducing the peak flows of the snow melt situations, the spatial distribution of surface runoff generating areas was not plausible. Contrary, the second set of parameters characterises the lateral water flows and thus the important spatial soil moisture distribution in a more realistic way. However, the snow melt peak flows for the years of validation 2003 and 2005 are overestimated. The difference between the years, which was identified on the basis of the interpretation of the observations, is matched as well as the dynamic of runoff generation. Surface runoff generation on the flat interfluves areas and saturated areas in valley bottoms are modelled satisfactorily as well as the delayed runoff generation under forest stands. The model system simulates erosion sums of 10 to 280 t d-1 for a total of ten days with surface runoff in a range of 0.3 to 24.1 mm d-1 in the entire modelling period of three years. Considering the variable area of 5 to 46 % on which erosion takes place, the values of effective erosion vary between 0.1 and 0.32 t ha-1 for single days and between 0.44 to 0.92 t ha-1 for multi-day snow melts. The simulated sediment load at the catchment outlet range from 6.7 to 365.8 t per day and sums up to 246.2 t for the snow melt 2003. For the year 2004 99.9 t and for 2005 757.9 t are calculated. In comparison to the observations for the calibration year 2004, the sediment load is overestimated by 10 t or 12 %. The deviation for 2003 is -9 %, with the same set of parameters. The result for 2005 is with an error of 33 % not as good as in the two other years. Overall, the days of snow melt with a low amount of erosion cause additional mobilisation of sediment from the channel banks and contrary, high amount of erosion on the slopes result in deposition processes on the forest and pasture areas near in the valley bottom and in the channel itself. Thus, high sediment loads are estimated for the bottom slopes and the small V-shaped first order valleys. The sediment loads for the two sub-catchments differ significantly because of the spatially differentiated processes of runoff generation and soil erosion. For the days with runoff generation in forest areas higher sediment yields are calculated for the Lubazhinkha-subcatchment which is characterised by a higher degree of forested areas. Differences in slope-channel interaction and variations between the two subcatchments illustrated the overall high process relevance of the model results. The model system IWAN estimates for the Schaefertal and the Lubazhinkha catchment the spatial and temporal dynamics of surface runoff generation and the related erosion processes during snow melt episodes with high plausibility. The model approach demonstrates an option between model result aggregation at the catchment outlet and intensive spatial field observation and measurement within a catchment. The satisfactory modelling of processes for the Schaefertal, as well as for the Lubazhinkha catchment, forms the basis for the calculation of climate and land use scenarios. An analysis of the existing long-term dataset from the Schaefertal approves the general trend of warming, especially in the winter half year. Contrary, the instrument error for rainfall measurements disallows an identification of a trend in the present data. A total of 13 years with defined deviation of +2.5 to -2.5 °C and five years with a deviation of +0.5 °C from the average air temperature in winter (Jd 330-90) were selected from the data set. In contrast to the utilisation of weather generators, this selection provides a dataset with a combination of air temperature and rainfall/snow that is in accordance with typical atmospheric situations. The amount of rainfall for the winter period of the scenario years deviates -45 % to +75 % from the long term average of winter. The model results substantiate the role of weather situations such that an increased amount of rainfall does not automatically result in above-average runoff. Snow cover dynamics and soil frost occurrence are the controlling factors. The number of days with snow and the duration of each snow period are significant higher for scenarios with negative temperature deviation compared to the scenarios with positive deviation. Overall the results of the hydrological calculation of the scenarios show that extreme positive and negative deviations lead to increased surface runoff probability. The sums of erosion for single days with surface runoff varies between 4 to 141 t d-1 and are in direct relation to runoff volume due to the unchanged set of parameters. Generally the calculated sums of erosion for situations without soil frost are lower than with soil frost, but both types are in the range of values of the measured and modelled reference events. Also the calculated sediment yields from 0.03 to 13.15 t d-1 for the scenario days are in the range of the measurements. A higher variability could be expected when considering modifications to vegetation period or crop rotations. An interpretation of erosion and sediment yield on the basis of snow melt periods clarifies those scenarios with extreme deviations also tend to higher sediment export from the catchment. Transformation processes in the agricultural sector of Russia trigger fundamental changes in land use. Based on an analysis of the development of the past 15 years for the Lubazhinkha catchment a significant modification of the pasture, arable land and forest areas is probable in the future. This dynamic is reflected in five scenarios with area-specific changes in land use distribution. The variations range from scenarios with a foreign investor who extends the arable land to all suitable soils in the catchment, an expansion of forest areas in the frame of a governmental forest protection program to the development of small family farms with local market structures because of tourism. The calculated total runoff for the scenarios varies between 276.4 and 293.3 mm for the entire simulation period 2003 to 2005. Small positive or negative deviations occur compared to the as-is state in relation to the variable forest area and combined evapotranspiration. Contrary, the surface runoff shows large deviations of more than 20 mm for the three snow melt periods. These differences are pronounced for the scenario with highest portion of forest and pasture area in the years 2003 and 2005 that are characterised by soil frost and high water equivalent in snow. With only few exceptions the scenarios lead to an increase in simulated sediment yield at the catchment outlet. Moreover, the results document that a decrease of erosion on the slopes does not consequently result in a yield reduction. In the case of low sediment input from the slopes additional material from the channel bed and banks may attribute significantly to the sediment loading. An area specific comparison of two scenarios clarifies the importance of localisation of land use changes and the according connectivity of surface runoff areas and erosion areas to the channel. The scenarios document the increasing importance of extreme events that can be expected due to climate change. Additionally, the link of slope and channel processes, as attribute of a catchment, has to be considered in planning of management measures. The results prove for both catchments that the model system IWAN can be applied for estimating future potential sediment sources and sediment yield after successful calibration. Further research is needed in the question of transferability of the monitoring approach to other environments with a different, more complex hydrological catchment reaction and linked sediment sources and transport mechanisms. The model system IWAN can be improved by a dynamic calculation of rill network generation on the slope and a modification of the sediment transport algorithms. The transfer of the model system to other catchments has to be accompanied by a comprehensive sensitivity and uncertainty analysis especially respecting the model chain within IWAN.:Gliederung Gliederung V Liste der Abbildungen VII Liste der Tabellen XII 1 Einleitung und Fragestellung 3 1.1 Bodenerosion und Sedimentfracht in Einzugsgebieten 3 1.1.1 Abflussbildung, Bodenerosion und Sedimentaustrag 3 1.1.2 Winterliche Situationen 5 1.2 Modellierungsansätze 13 1.2.1 Modelle und Modellkopplungen 13 1.2.2 Probleme der Modellanwendung 17 1.3 Wissensdefizite und Zielstellung 23 2 Untersuchungsgebiete und Methoden 25 2.1 Schäfertal 25 2.1.1 Naturraum 25 2.1.2 Methoden 28 2.2 Lubazhinkha 31 2.2.1 Naturraum 31 2.2.2 Methoden 36 2.3 Datenverarbeitung 38 3 Ergebnisse und Diskussion des Monitorings in den Einzugsgebieten 41 3.1 Schäfertal 41 3.1.1 Abflussbildung 41 3.1.2 Stoffausträge bei Hochwasserereignissen 45 3.2 Lubazhinkha 54 3.2.1 Bedeutung der Schneeschmelze für den Stoffaustrag 54 3.2.2 Stoffdynamik während der Schneeschmelze 57 4 Modellentwicklung 69 4.1 Zielstellungen der Modellmodifikation und -entwicklung 69 4.2 WASIM-AGNPS 70 4.2.1 Wasserhaushaltsmodell WASIM 70 4.2.2 Stofftransportmodell AGNPS 72 4.2.3 Schnittstelle WASIM-AGNPS 74 4.3 Modifikation von WASIM für winterliche Abflussbildung 76 4.3.1 Grundlagen 76 4.3.2 Datenerhebung 77 4.3.3 Sensorauswahl 77 4.3.4 Ergebnisse 79 4.3.5 Empirisches Modell 82 4.3.6 Bodentemperaturteilmodul 83 4.3.7 Anpassung mit Daten aus dem Einzugsgebiet Lubazhinkha 85 4.4 Schneeschmelzerosionsmodell (SMEM) 87 4.4.1 Rillenprofil 87 4.4.2 Bodenerosion 90 4.4.3 Technische Umsetzung 96 4.5 Modellsystem IWAN 97 4.5.1 Schnittstelle SMEM-AGNPS 97 4.5.2 Graphische Benutzeroberfläche 99 5 Modellergebnisse und Diskussion 105 5.1 Schäfertal 105 5.1.1 Bodentemperatur 105 5.1.2 Hydrologie 108 5.1.3 Schneeschmelzerosion 113 5.1.4 Sedimentfracht 120 5.2 Lubazhinkha 126 5.2.1 Hydrologie 126 5.2.2 Schneeschmelzerosion 133 5.2.3 Sedimentfracht 137 6 Szenariorechnungen 143 6.1 Klimaszenarien Schäfertal 143 6.1.1 Szenarienauswahl 143 6.1.2 Modellergebnisse und Diskussion 148 6.2 Landnutzungsszenarien Lubazhinkha 158 6.2.1 Szenarienauswahl 158 6.2.2 Modellergebnisse und Diskussion 163 7 Schlussfolgerungen 169 7.1 Einzugsgebiete 169 7.2 Modellsystem IWAN 172 7.3 Szenarien 176 7.4 Forschungsbedarf 178 8 Zusammenfassung 179 9 Summary 189 10 Literatur 199 Appendix 207 Abkürzungen Modellübersicht Quellcode (VBA)