Relations between the European Union (EU) and the Islamic Republic of Pakistan are based on a Cooperation Agreement on Partnership and Development, in force since 2004. This accord seeks to enhance two-way trade, support comprehensive and sustainable development, and promote investment and mutually beneficial economic, technical, and cultural links. ft helps build Pakistan's economic capacity to interact more effectively with the EU and the world. The EU and Pakistan are pursuing a strategic relationship that aims to eradicate poverty and extremism by advancing economic and development goals and supporting sustained democratic governance as agreed in a summit in June 2009. Both partners must realize that it would be mutually beneficial to explore new innovative avenues of cooperation and collaboration in different fields to give the existing relationship a firmer footing.
Throughout the history of the political economy of innovation, the patterns of territory, competition/co-operation, knowledge production/distribution, and public action have been constantly re-organised. The trends in Europe, since the post-war period, are a good example of this. The political and economic space created by the EU and pan-European integration process has been modifying the context for innovation throughout these decades. The current paper examines these historical transformations, and provides a critical picture of the context in which innovative European firms operate today. In so doing, the study acknowledges that changes in the 'real world' of politics and economics are accompanied by changes in the 'cognitive framework', both in terms of how innovation is understood and how public action is designed accordingly. Consequently, it is the main claim of this paper that the political economy of innovation is as much the result of the constraints and dynamics imposed by the globalisation/acceleration of the innovation process, as it is the result of an active socio-political construction through the re-alignment of public actions following a new interpretative and institutionally negotiated framework. The conclusions identify open research lines.
In: Empana , J-P , Lerner , I , Valentin , E , Folke , F , Boettiger , B , Gislason , G , Jonsson , M , Ringh , M , Beganton , F , Bougouin , W , Marijon , E , Blom , M , Tan , H & Jouven , X 2022 , ' Incidence of Sudden Cardiac Death in the European Union ' , Journal of the American College of Cardiology , vol. 79 , no. 18 , pp. 1818-1827 . https://doi.org/10.1016/j.jacc.2022.02.041
BACKGROUND Although sudden cardiac death (SCD) is recognized as a high-priority public health topic, reliable estimates of the incidence of SCD or, more broadly, out-of-hospital cardiac arrest (OHCA), in the population are scarce, especially in the European Union. OBJECTIVES The study objective was to determine the incidence of SCD and OHCA in the European Union. METHODS The study examined 4 large (ie, >2 million inhabitants) European population-based prospective registries collecting emergency medical services (EMS)-attended (ie, with attempted resuscitation) OHCA and SCD (OHCA without obvious extracardiac causes) for >5 consecutive years from January 2012 to December 2017 in the Paris region (France), the North Holland region (the Netherlands), the Stockholm region (Sweden), and in all of Denmark. RESULTS The average annual incidence of SCD in the 4 registries ranged from 36.8 per 100,000 (95% CI: 23.5-50.1 per 100,000) to 39.7 per 100,000 (95% CI: 32.6-46.8 per 100,000). When extrapolating to each European country and accounting for age and sex, this yields to 249,538 SCD cases per year (95% CI: 155,377-343,719 SCD cases per year). The average annual incidence of OHCA in the 4 registries ranged from 47.8 per 100,000 (95% CI: 21.2-74.4 per 100,000) to 57.9 per 100,000 (95% CI: 19.6-96.3 per 100,000), corresponding to 343,496 OHCA cases per year (95% CI: 216,472-464,922 OHCA cases per year) in the European Union. Incidence rates of SCD and OHCA increased with age and were systematically higher in men compared with women. CONCLUSIONS By combining data from 4 large, population-based registries with at least 5 years of data collection, this study provided an estimate of the incidence of SCD and OHCA in the European Union. (C) 2022 The Authors. Published by Elsevier on behalf of the American College of Cardiology Foundation.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 385, Issue 1, p. 61-73
L'année 2018 marque le 25e anniversaire du début des relations diplomatiques entre l'Union européenne (UE) et les pays d'Asie centrale. Au cours de cette période, l'UE n'a cessé d'accroître sa présence dans la région. Pour autant, l'UE n'est pas encore devenue un acteur puissant en Asie centrale. En comparaison avec d'autres acteurs, et en particulier la Russie, la Chine et les États-Unis, l'influence politique et économique de l'UE reste limitée. Toutefois, l'avantage relatif de l'UE par rapport aux autres acteurs réside dans l'image positive et bienveillante qui lui est attribuée. L'UE peut tirer parti de son attractivité et de son « soft power », un avantage qui tend à diminuer rapidement depuis peu. Afin de conserver son image positive dans la région, l'UE doit envisager de prendre des mesures appropriées en révisant sa stratégie. Une option consiste à développer des outils de communication basés sur Internet, qui seront adaptés à l'Asie centrale, sans pour autant nécessiter d'importantes ressources de la part de l'UE.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 370, Issue 4, p. 47-84
Plusieurs facteurs ont contribué au commerce, qui se développe rapidement, et aux relations économiques entre l'Union européenne et la Chine dans les quinze dernières années : l'adhésion de la Chine à l'OMC, le changement dans les rapports de force (économiques) mondiaux, la délocalisation des entreprises européennes en Chine avec réexportations de marchandises produites en Europe, ainsi que la crise mondiale et ses conséquences. À partir de statistiques de base, cet article traite des questions institutionnelles, commerciales et des questions liées à la politique commerciale. Un chapitre est consacré à l'analyse d'un domaine encore 'sous-développé', celui de la coopération bilatérale, par l'évolution des flux bilatéraux d'investissements directs, avec un accent particulier sur les motivations des entreprises chinoises à entrer sur le marché de l'Union européenne. La coopération financière a connu une amélioration qualitative, à la fois comme résultat de la crise de l'euro et du niveau croissant sans précédent des réserves chinoises de change. Malgré une interdépendance croissante, les stéréotypes anciens et de plus en plus obsolètes sont encore vivants et doivent être surmontés afin d'ouvrir la voie à une coopération à part entière. Cette dernière ne peut se limiter à des questions bilatérales, car l'UE et la Chine assument ensemble une responsabilité globale pour un large éventail de défis auxquels elles doivent faire face au xxi e siècle. Une intégration plus poussée de l'UE serait utile non seulement pour favoriser l'ancrage autour de l'UE d'un modèle international de croissance et développement plus équilibré et durable, mais aussi pour une meilleure intégration de la Chine dans un ordre mondial multipolaire (et multilatéral).
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Volume 349 - 350, Issue 3, p. 147-157
Résumé Cet article traitera des problèmes clés de la voie à l'adhésion à l'UE depuis 2000. Il se base essentiellement sur des rapports de la Commission sur la Serbie. Le processus de rapprochement de la Serbie avec l'UE, a commencé après la décision de l'UE d'ouvrir des négociations sur un Accord de Stabilisation et Association (ASA) en octobre 2005. Néanmoins, les négociations entre la Serbie et l'UE sur l'ASA ont été stoppées par la Commission en mai 2006 après les mauvais résultats de la coopération serbe avec le Tribunal Pénal Internationale pour l'ex-Yougoslavie. Elles ont repris en juin 2007, un mois après la formation d'un gouvernement de coalition en Serbie, comprenant le Parti démocratique, le Parti démocratique de Serbie et le G17+. Les négociations ont été finalisées en septembre 2007. Cependant, les relations diplomatiques entre Serbie et UE se sont de nouveau dégradées début 2008 après que l'indépendance du Kosovo fut reconnue le 17 février 2008 par la majorité des états membres de l'UE. La Serbie décida de rappeler ses ambassadeurs de tous les pays ayant reconnu cette indépendance. La décision des États membres reconnaissant l'indépendance du Kosovo provoqua une vague d'euroscepticisme ce qui a eu une influence négative sur l'attitude de certaines parties politique en Serbie par rapport à l'Accord de Stabilisation et Association (ASA). De plus, l'UE a hésité à signer l'Accord de Stabilisation et Association avec la Serbie, insistant sur une pleine coopération avec le TPIY, c'est-à-dire l'extradition de tous les suspects de crimes de guerre restants. Cet article rappellera brièvement les éléments les plus importants des relations économiques et politiques de la Serbie et l'UE de 2000 à 2008. Il analysera en autre, les évaluations de la Commission sur les résultats de la mise en place des critères européens durant cette période. Il se concentrera sur la réforme des institutions et du système judiciaire, les droits de l'homme, les réformes économiques et la lutte contre la corruption et le crime organisé en Serbie.
The defence-capabilities gap that divides the Uniter States from its European allies is real, and it matters. The gap can most usefully be viewed as the aggregate of multiple gaps relating to the organisation and conduct of large-scale expeditionary operations. Large transatlantic disparities in the ability to mount such operations became painfully obvious during NATO's Kosovo intervention in March-June 1999 and spurred commitments on both sides of the Atlantic to narrow the gap. However, a close examination of the European Union's post-Kosovo efforts to develop an autonomous military capability reveals the serious obstacles to improving European forces.
"Welchen Einfluss haben Unternehmen auf die europäische Handelspolitik? Durch einen Überblick des Politikfelds analysiert der Artikel Instrumente, mit denen Unternehmen in der EU Lobbyismus betreiben können. Vielen Firmen werden allerdings nicht von sich aus aktiv. Im Gegenteil, die Europäische Kommission bemüht sich aktiv um die Zusammenarbeit der Unternehmen, da sie dadurch ihre Verhandlungsposition vis-à-vis Mitgliedsstaaten und Drittstaaten stärken kann. Dieses umgekehrte Lobbying hat Folgen für die Inhalte der Unternehmensforderungen im Bereich Handelspolitik. Wirtschaftliche Akteure können ein gutes Arbeitsverhältnis mit der Europäischen Kommission aufbauen, wenn sie gesamteuropäische Konzepte verfolgen, sei es Handelsliberalisierung oder EU-weite Regulierung. Nationaler Protektionismus kann europäische Entscheidungsfindung blockieren, so dass merkantilistische Anfragen an die nationalen Regierungen gerichtet werden müssen, die diese dann durch den Rat der Minister voranbringen können. Der Artikel illustriert diese zweigleisige Lobbyingstrategien in der Landwirtschaft, dem Textilhandel, dem Finanzdienstleistungssektor und der Telekommunikation." [Autorenreferat]