Cuvari Jugoslavije: Suradnici UDBE u Bosni i Hercegovini
Knj. 1-2: Hrvati. - 1379 S.; Knj. 3: Muslimani. 614 S.; Knj. 4: Srbi. - 566 S
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Knj. 1-2: Hrvati. - 1379 S.; Knj. 3: Muslimani. 614 S.; Knj. 4: Srbi. - 566 S
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Während der Prophet des Islam, Muhammad, im Christentum ein negatives Zerrbild darstellt, ist die Gestalt Jesu als Vorläufer Muhammads in der islamischen Mystik ein Vorbild von Askese und Gottesliebe und die Jungfrau Maria gilt als Heilige. An zahlreichen Beispielen aus der Poesie und Überlieferung stellt die renommierte Islamwissenschaftlerin Schimmel die durchweg positive, ja verklärte Rolle beider Gestalten für die islamische Mystik dar und geht dabei auch auf grundlegende dogmatische Unterschiede im Verständnis, die Ablehnung seiner Gottessohnschaft und seiner Auferstehung, ein. Maria und Jesus können nach ihrer Auffassung einen Ansatzpunkt für einen fruchtbaren christlich-islamischen Dialog bilden. Für religionswissenschaftlich und literarisch interessierte Leser auch ohne Vorkenntnisse geeignet. (3) (Daniela Neuenfeld-Zvolsky)
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In: Africa Spectrum, Band 52, Heft 1, S. 118-121
ISSN: 1868-6869
In: Kultur und soziale Praxis
Kann es eine Islamfeindlichkeit ohne die Religion des Islam geben? Naime Cakir zeigt, dass nicht allein die Terroranschläge des 11. September 2001 für die zunehmenden antiislamischen Vorurteile und Feindbilder in Deutschland verantwortlich sind, sondern auch die Erkenntnis, dass die ehemaligen Gastarbeiter ihren Lebensmittelpunkt auf Dauer in die Bundesrepublik verlegt haben und nun für sich beanspruchen, Objekt von Verantwortung zu sein. Damit waren für die Residenzgesellschaft und für die Einwanderer die etablierten Rollen des Gastgebers und des Gastes irritiert. Die Studie zeichnet nach, wie der Islam zum Gegenstand öffentlicher Anerkennungskonflikte gemacht worden ist, da es einer Neujustierung der Rollen innerhalb des Gesellschaftsgefüges bedurfte, die die Marginalisierung der mittlerweile etablierten Einwanderer weiterhin zu gewährleisten hatte
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In: Mirovaja ėkonomika i meždunarodnye otnošenija: MĖMO = World economy and international relations, Heft 9, S. 72-80
ISSN: 0131-2227, 0026-5829
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In: Política exterior: revista bimestral, Band 22, Heft 124, S. 67-81
ISSN: 0213-6856
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Ce chapitre traite de ce que le sens commun appelle généralement l'« islam politique » ou l'« islamisme », c'est-à-dire de l'utilisation en politique, dans les enceintes nationales arabes ou dans l'arène Nord/Sud, des ressources mobilisatrices de la religion et de la culture musulmane. Il propose d'abord une série d'hypothèses sur la matrice identitaire de ces ressources et les perceptions réciproques de ceux qui les emploient et de leurs interlocuteurs « laïques » (1) puis une chronologie raisonnée de la mobilisation islamiste (2). Il évoque ensuite l'assise sociale de la mobilisation les modes d'action de ses acteurs ou de leurs relations avec les dynamiques de libéralisation politique et de modernisation sociale (4) . Tout au long de ce chapitre, nous proposons de distinguer de façon aussi systématique que possible deux processus et donc deux niveaux d'analyse : d'une part, les raisons pour lesquelles des acteurs politiques ont recours à un lexique ou un vocabulaire empruntés de façon privilégiée voire exclusive et ostentatoire à la culture musulmane; d'autre part, les usages extrêmement diversifiés que ces mêmes acteurs font de ce lexique sur la scène internationale ou dans les enceintes nationales, et les variables qui contribuent à affecter leurs choix. Pour répondre au premier de nos deux questionnements, nous faisons primer la variable identitaire au service d'une matrice explicative unique : le retour du « parler musulman » serait le produit d'une affirmation réactive de sociétés ayant subi des formes d'acculturation liées à l'expansion coloniale occidentale. En réponse à la question de l'impact que produit l'usage du référentiel islamique sur ses adeptes, nous nous attachons en revanche à souligner que la plasticité du « parler » musulman autorise en réalité une grande variété d'« agir » et donc une multitude d'attitudes ou de comportements politiques. L'hypothèse que nous défendons ainsi est que la mobilisation islamiste procède moins de l'émergence, socialement territorialisée - d'une idéologie ...
BASE
Ce chapitre traite de ce que le sens commun appelle généralement l'« islam politique » ou l'« islamisme », c'est-à-dire de l'utilisation en politique, dans les enceintes nationales arabes ou dans l'arène Nord/Sud, des ressources mobilisatrices de la religion et de la culture musulmane. Il propose d'abord une série d'hypothèses sur la matrice identitaire de ces ressources et les perceptions réciproques de ceux qui les emploient et de leurs interlocuteurs « laïques » (1) puis une chronologie raisonnée de la mobilisation islamiste (2). Il évoque ensuite l'assise sociale de la mobilisation les modes d'action de ses acteurs ou de leurs relations avec les dynamiques de libéralisation politique et de modernisation sociale (4) . Tout au long de ce chapitre, nous proposons de distinguer de façon aussi systématique que possible deux processus et donc deux niveaux d'analyse : d'une part, les raisons pour lesquelles des acteurs politiques ont recours à un lexique ou un vocabulaire empruntés de façon privilégiée voire exclusive et ostentatoire à la culture musulmane; d'autre part, les usages extrêmement diversifiés que ces mêmes acteurs font de ce lexique sur la scène internationale ou dans les enceintes nationales, et les variables qui contribuent à affecter leurs choix. Pour répondre au premier de nos deux questionnements, nous faisons primer la variable identitaire au service d'une matrice explicative unique : le retour du « parler musulman » serait le produit d'une affirmation réactive de sociétés ayant subi des formes d'acculturation liées à l'expansion coloniale occidentale. En réponse à la question de l'impact que produit l'usage du référentiel islamique sur ses adeptes, nous nous attachons en revanche à souligner que la plasticité du « parler » musulman autorise en réalité une grande variété d'« agir » et donc une multitude d'attitudes ou de comportements politiques. L'hypothèse que nous défendons ainsi est que la mobilisation islamiste procède moins de l'émergence, socialement territorialisée - d'une idéologie ...
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Ce chapitre traite de ce que le sens commun appelle généralement l'« islam politique » ou l'« islamisme », c'est-à-dire de l'utilisation en politique, dans les enceintes nationales arabes ou dans l'arène Nord/Sud, des ressources mobilisatrices de la religion et de la culture musulmane. Il propose d'abord une série d'hypothèses sur la matrice identitaire de ces ressources et les perceptions réciproques de ceux qui les emploient et de leurs interlocuteurs « laïques » (1) puis une chronologie raisonnée de la mobilisation islamiste (2). Il évoque ensuite l'assise sociale de la mobilisation les modes d'action de ses acteurs ou de leurs relations avec les dynamiques de libéralisation politique et de modernisation sociale (4) . Tout au long de ce chapitre, nous proposons de distinguer de façon aussi systématique que possible deux processus et donc deux niveaux d'analyse : d'une part, les raisons pour lesquelles des acteurs politiques ont recours à un lexique ou un vocabulaire empruntés de façon privilégiée voire exclusive et ostentatoire à la culture musulmane; d'autre part, les usages extrêmement diversifiés que ces mêmes acteurs font de ce lexique sur la scène internationale ou dans les enceintes nationales, et les variables qui contribuent à affecter leurs choix. Pour répondre au premier de nos deux questionnements, nous faisons primer la variable identitaire au service d'une matrice explicative unique : le retour du « parler musulman » serait le produit d'une affirmation réactive de sociétés ayant subi des formes d'acculturation liées à l'expansion coloniale occidentale. En réponse à la question de l'impact que produit l'usage du référentiel islamique sur ses adeptes, nous nous attachons en revanche à souligner que la plasticité du « parler » musulman autorise en réalité une grande variété d'« agir » et donc une multitude d'attitudes ou de comportements politiques. L'hypothèse que nous défendons ainsi est que la mobilisation islamiste procède moins de l'émergence, socialement territorialisée - d'une idéologie ...
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Ce chapitre traite de ce que le sens commun appelle généralement l'« islam politique » ou l'« islamisme », c'est-à-dire de l'utilisation en politique, dans les enceintes nationales arabes ou dans l'arène Nord/Sud, des ressources mobilisatrices de la religion et de la culture musulmane. Il propose d'abord une série d'hypothèses sur la matrice identitaire de ces ressources et les perceptions réciproques de ceux qui les emploient et de leurs interlocuteurs « laïques » (1) puis une chronologie raisonnée de la mobilisation islamiste (2). Il évoque ensuite l'assise sociale de la mobilisation les modes d'action de ses acteurs ou de leurs relations avec les dynamiques de libéralisation politique et de modernisation sociale (4) . Tout au long de ce chapitre, nous proposons de distinguer de façon aussi systématique que possible deux processus et donc deux niveaux d'analyse : d'une part, les raisons pour lesquelles des acteurs politiques ont recours à un lexique ou un vocabulaire empruntés de façon privilégiée voire exclusive et ostentatoire à la culture musulmane; d'autre part, les usages extrêmement diversifiés que ces mêmes acteurs font de ce lexique sur la scène internationale ou dans les enceintes nationales, et les variables qui contribuent à affecter leurs choix. Pour répondre au premier de nos deux questionnements, nous faisons primer la variable identitaire au service d'une matrice explicative unique : le retour du « parler musulman » serait le produit d'une affirmation réactive de sociétés ayant subi des formes d'acculturation liées à l'expansion coloniale occidentale. En réponse à la question de l'impact que produit l'usage du référentiel islamique sur ses adeptes, nous nous attachons en revanche à souligner que la plasticité du « parler » musulman autorise en réalité une grande variété d'« agir » et donc une multitude d'attitudes ou de comportements politiques. L'hypothèse que nous défendons ainsi est que la mobilisation islamiste procède moins de l'émergence, socialement territorialisée - d'une idéologie ...
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In: Časopis za suvremenu povijest: Journal of contemporary history, Band 32, Heft 2, S. 367-377
ISSN: 0590-9597
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In: Tell: the weekly newsmagazine, Heft 5, S. 8-14
ISSN: 1115-7615
Collection of an article and an interview on Nigeria's membership in the OIC (Organisation of Islamic Conference) and in the so-called D8 (together with Turkey, Bangladesh, Pakistan, Indonesia, Malaysia, Iran and Egypt). In the article J. Okafor writes how Nigeria was stealthily admitted to the OIC back in 1986; the controversy in Nigeria about this membership; the Turkish Prime Minister Erbakan's visit to Nigeria in October 1996. Lateef Adegbite, Secretary-General of the Nigerian Supreme Council for Islamic Affairs (NSCIA) on Nigeria's membership in D8, NSCIA's attitudes in respect of Nigeria as a secular state etc. (DÜI-Sen)
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In: RFE RL research report: weekly analyses from the RFERL Research Institute, Band 3, Heft 9, S. 33-36
ISSN: 0941-505X
Nach Ansicht vieler Beobachter hat 1994 ein neues Stadium des Bosnien-Konflikts begonnen. Ein wesentliches Element ist hierbei eine Kräfteverschiebung bei den Bodenstreitkräften zugunsten der Moslems und zuungunsten der Serben sowie vor allem der Kroaten. Eine bedeutende Rolle spielt zudem die nach der Granatattacke auf einen Marktplatz in Sarajewo zunehmende Entschlossenheit der internationalen Völkergemeinschaft, der Aggression in Bosnien ein Ende zu setzen. Neuere Entwicklungen deuten auf die Möglichkeit einer Wiederannäherung der kroatischen Seite an die Moslems hin. Ein rasches Ende der Kämpfe, die vor allem auf die Einschüchterung und Vertreibung der Zivilbevölkerung abzielen, ist jedoch nicht in Sicht. (BIOst-Wpt)
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