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Photography in contemporary French and Francophone cultures
In: Nottingham French studies volume 53, number 2 (summer 2014)
Portraits of Modernity: Fashioning Selves in Dakarois Popular Photography
In: Politique africaine, Band 100, Heft 4, S. 229-247
ISSN: 2264-5047
Recadrer la modernité Les collections de photographies sont choses communes dans les foyers dakarois aujourd'hui. Liées à la pratique du sañse par lesquelles les femmes sénégalaises forment leur identité sociale, elles constituent une forme importante de capital social. Cet article entend montrer comment le corps et le soi, un temps assujettis par l'imaginaire colonial, ont été à nouveau revendiqués et transformés grâce à des stratégies postcoloniales d'auto-invention. Les photos de personnes bien habillées, plutôt que de refléter une « domination coloniale » ou une « crise postcoloniale », renvoient à des schèmes directement liés aux pratiques de la richesse, du transnationalisme et du charisme.
Smartphone use in dental photography ; Utilisation du smartphone en photographie dentaire
Since the advent of the smartphone, the practice of photography has clearly democratized. Indeed, smartphones have already replaced compact digital cameras which are declining proportionally to the development of our "photophones". Odontology does not escape this democratization, indeed photography has its place in the dental office. In this work we will see how to integrate a smartphone into a daily practice of dental photography. In a first part we will develop the shooting with a smartphone, in the second we will see the different accessories that can adapt to our practice and in the third we will talk about post-production and data transfer. ; Depuis l'avènement du smartphone, la pratique de la photographie s'est clairement démocratisée. En effet, les smartphones ont déjà remplacé les appareils photos numériques compacts qui connaissent un déclin proportionnel au développement de nos « photophones ». L'odontologie n'échappe pas à cette démocratisation, en effet la photographie a complètement sa place au cabinet dentaire. Dans ce travail, nous allons voir comment intégrer un smartphone dans une pratique de la photographie dentaire au quotidien. Dans une première partie nous développerons la prise de vue avec un smartphone, dans la seconde nous verrons les différents accessoires pouvant s'adapter à notre pratique, puis dans la troisième nous parlerons de la post-production et du transfert des données.
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Smartphone use in dental photography ; Utilisation du smartphone en photographie dentaire
Since the advent of the smartphone, the practice of photography has clearly democratized. Indeed, smartphones have already replaced compact digital cameras which are declining proportionally to the development of our "photophones". Odontology does not escape this democratization, indeed photography has its place in the dental office. In this work we will see how to integrate a smartphone into a daily practice of dental photography. In a first part we will develop the shooting with a smartphone, in the second we will see the different accessories that can adapt to our practice and in the third we will talk about post-production and data transfer. ; Depuis l'avènement du smartphone, la pratique de la photographie s'est clairement démocratisée. En effet, les smartphones ont déjà remplacé les appareils photos numériques compacts qui connaissent un déclin proportionnel au développement de nos « photophones ». L'odontologie n'échappe pas à cette démocratisation, en effet la photographie a complètement sa place au cabinet dentaire. Dans ce travail, nous allons voir comment intégrer un smartphone dans une pratique de la photographie dentaire au quotidien. Dans une première partie nous développerons la prise de vue avec un smartphone, dans la seconde nous verrons les différents accessoires pouvant s'adapter à notre pratique, puis dans la troisième nous parlerons de la post-production et du transfert des données.
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The photography document : an art of time ? ; La photographie document : un art du temps ?
A l'origine la sociologie se définit comme une science, pour étayer sa posture elle a mis au point des méthodes structurées, dont la photographie a fait parti. Dans la tradition du XIXe siècle l'image photographique est un outil scientifique abondamment utilisé pour ses qualités objectives et documentaires. Comme on va le voir ce caractère scientifique a été déterminant dans la production des photographies dites sociales, au début du siècle aux Etats-Unis. Mais cette méthodologie, liée très étroitement à des questions politiques, a été mise en échec : aucune photographie ne peut traduire la complexité d'une situation donnée, elle ne le peut encore moins lorsqu'elle s'attache à la figure humaine. Face à cette « incompétence » du médium à traduire pleinement une situation sociale donnée, on peut s'interroger sur le fait qu'aujourd'hui, sur le terrain de l'art contemporain, des artistes s'engagent et travaillent à produire des photographies documents.
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The photography document : an art of time ? ; La photographie document : un art du temps ?
A l'origine la sociologie se définit comme une science, pour étayer sa posture elle a mis au point des méthodes structurées, dont la photographie a fait parti. Dans la tradition du XIXe siècle l'image photographique est un outil scientifique abondamment utilisé pour ses qualités objectives et documentaires. Comme on va le voir ce caractère scientifique a été déterminant dans la production des photographies dites sociales, au début du siècle aux Etats-Unis. Mais cette méthodologie, liée très étroitement à des questions politiques, a été mise en échec : aucune photographie ne peut traduire la complexité d'une situation donnée, elle ne le peut encore moins lorsqu'elle s'attache à la figure humaine. Face à cette « incompétence » du médium à traduire pleinement une situation sociale donnée, on peut s'interroger sur le fait qu'aujourd'hui, sur le terrain de l'art contemporain, des artistes s'engagent et travaillent à produire des photographies documents.
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La photographie diagnostic de la contemporanéité ; Photography as a Diagnostics of Contemporaneity
immigration, Cet article porte sur l'efficacité politique d'une série photographique qui problématise des questions socioculturelles contemporaines telles l'immigration, l'exploitation et l'éthique du travail. L'image photographique devient une ressource dans les mains des acteurs sociaux et fait fonction de diagnostic des tensions du contemporain. La photographie permet de « reconnaître à travers » (c'est-à-dire « diagnostiquer ») et de formuler des jugements. Le potentiel sémantique du diagnostic engendré par cette série et la force illocutoire des jugements qui y sont inscrits fonctionnent comme une sorte d'« argumentation par images ». L'analyse de cette série photographique, réalisée par le photographe et théoricien Allan Sekula, nous a amené à nous interroger sur la relation entre image, corpus, genres d'afférence et statuts (documentaire et artistique).
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The Landscape of American Landscape Photography : 1960 – 1990 ; Le paysage de la photographie américaine de paysage : 1960-1990
During the 1960 – 1990 period, in spite of the psychological and economical fall-outs of the various wars (Cold War, Korea and Vietnam ) undermining L.B. Johnson's hopes and plans for a Great Society and his War on Poverty, the American government used its world supremacy and the derived wealth acquired in the wake of W.W. II (the USA was the only western country whose industrial production was impacted positively) to finance popular housing, adult education (G.I. Bill), and the arts (N.E.A.). During those years photography crashed the doors of academia, museum and art institutions, and entered the art market. Landscape has always been a major genre in the American visual arts, from the paintings of the nineteenth century (the Hudson River School, the Luminists) to photography. An interesting synchronicity can be observed between the birth, growth and coming of age of both the medium and the country. Landscape photography participated in the creation of an American identity. A century later, during what we can now call the Golden Age of American landscape photography from New Topographics in the 1970s to the advent of color photography in the 1980s, photographers turned their lenses back toward the east at the damage done and the state of the landscape left behind. The production of wall-size prints followed, competing for attention with paintings on the walls of museums and galleries that welcome them. Since the Culture Wars of the late 1980s and the 1990s, and the defunding of the arts that ensued, the rest of the world has caught up, influenced by the traveling exhibitions and publications of that generation of American photographers. ; La période 1960 – 1990 a été agitée et féconde aux États-Unis malgré l'échec du projet de Grande Société et de lutte contre la pauvreté du président L.B. Johnson. L'Amérique a profité des retombées de sa domination économique et militaire pour financer l'éducation, le logement (G.I. Bill) ainsi que les arts (N.E.A.). De 1960 à 1990 la photographie est entrée massivement à ...
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The Landscape of American Landscape Photography : 1960 – 1990 ; Le paysage de la photographie américaine de paysage : 1960-1990
During the 1960 – 1990 period, in spite of the psychological and economical fall-outs of the various wars (Cold War, Korea and Vietnam ) undermining L.B. Johnson's hopes and plans for a Great Society and his War on Poverty, the American government used its world supremacy and the derived wealth acquired in the wake of W.W. II (the USA was the only western country whose industrial production was impacted positively) to finance popular housing, adult education (G.I. Bill), and the arts (N.E.A.). During those years photography crashed the doors of academia, museum and art institutions, and entered the art market. Landscape has always been a major genre in the American visual arts, from the paintings of the nineteenth century (the Hudson River School, the Luminists) to photography. An interesting synchronicity can be observed between the birth, growth and coming of age of both the medium and the country. Landscape photography participated in the creation of an American identity. A century later, during what we can now call the Golden Age of American landscape photography from New Topographics in the 1970s to the advent of color photography in the 1980s, photographers turned their lenses back toward the east at the damage done and the state of the landscape left behind. The production of wall-size prints followed, competing for attention with paintings on the walls of museums and galleries that welcome them. Since the Culture Wars of the late 1980s and the 1990s, and the defunding of the arts that ensued, the rest of the world has caught up, influenced by the traveling exhibitions and publications of that generation of American photographers. ; La période 1960 – 1990 a été agitée et féconde aux États-Unis malgré l'échec du projet de Grande Société et de lutte contre la pauvreté du président L.B. Johnson. L'Amérique a profité des retombées de sa domination économique et militaire pour financer l'éducation, le logement (G.I. Bill) ainsi que les arts (N.E.A.). De 1960 à 1990 la photographie est entrée massivement à l'université, dans les musées et dans le marché de l'art. Le paysage a toujours été un genre artistique privilégié aux États-Unis, de la peinture du dix-neuvième siècle à la photographie depuis son invention qui coïncide avec la découvertes de nouveaux territoires qui crée le pays. Le médium a documenté le développement territorial du pays puis s'est affirmé sur la scène de la photographie créative occidentale. Les années considérées vont voir la photographie créative américaine passer d'une période « romantique » tournée vers l'abstraction et le monde intérieur de l'artiste, conséquence des persécutions politiques de l'immédiat après-guerre, vers une réflexion ontologique et expérimentale, pour finalement traiter de problèmes de société tout en restant connectée aux réflexions esthétiques et philosophiques communes aux autres arts. Au sortir des années 1980, la photographie américaine de paysage, celle des grands espaces mais également celle des espaces humanisés, urbanisés, domine la scène internationale inspirant un renouveau du genre en Europe, au Canada, au Japon,…. Lancé par une exposition alors jugée mineure en 1975, le phénomène New Topographics est devenu planétaire et perdure. Ces quinze dernières années, de nombreuses expositions des paysagistes américains de cette période ont circulé à travers le monde, phénomène révélateur de leur rôle dans notre culture occidentalo – planétaire ainsi que pour l'histoire du médium
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The Landscape of American Landscape Photography : 1960 – 1990 ; Le paysage de la photographie américaine de paysage : 1960-1990
During the 1960 – 1990 period, in spite of the psychological and economical fall-outs of the various wars (Cold War, Korea and Vietnam ) undermining L.B. Johnson's hopes and plans for a Great Society and his War on Poverty, the American government used its world supremacy and the derived wealth acquired in the wake of W.W. II (the USA was the only western country whose industrial production was impacted positively) to finance popular housing, adult education (G.I. Bill), and the arts (N.E.A.). During those years photography crashed the doors of academia, museum and art institutions, and entered the art market. Landscape has always been a major genre in the American visual arts, from the paintings of the nineteenth century (the Hudson River School, the Luminists) to photography. An interesting synchronicity can be observed between the birth, growth and coming of age of both the medium and the country. Landscape photography participated in the creation of an American identity. A century later, during what we can now call the Golden Age of American landscape photography from New Topographics in the 1970s to the advent of color photography in the 1980s, photographers turned their lenses back toward the east at the damage done and the state of the landscape left behind. The production of wall-size prints followed, competing for attention with paintings on the walls of museums and galleries that welcome them. Since the Culture Wars of the late 1980s and the 1990s, and the defunding of the arts that ensued, the rest of the world has caught up, influenced by the traveling exhibitions and publications of that generation of American photographers. ; La période 1960 – 1990 a été agitée et féconde aux États-Unis malgré l'échec du projet de Grande Société et de lutte contre la pauvreté du président L.B. Johnson. L'Amérique a profité des retombées de sa domination économique et militaire pour financer l'éducation, le logement (G.I. Bill) ainsi que les arts (N.E.A.). De 1960 à 1990 la photographie est entrée massivement à l'université, dans les musées et dans le marché de l'art. Le paysage a toujours été un genre artistique privilégié aux États-Unis, de la peinture du dix-neuvième siècle à la photographie depuis son invention qui coïncide avec la découvertes de nouveaux territoires qui crée le pays. Le médium a documenté le développement territorial du pays puis s'est affirmé sur la scène de la photographie créative occidentale. Les années considérées vont voir la photographie créative américaine passer d'une période « romantique » tournée vers l'abstraction et le monde intérieur de l'artiste, conséquence des persécutions politiques de l'immédiat après-guerre, vers une réflexion ontologique et expérimentale, pour finalement traiter de problèmes de société tout en restant connectée aux réflexions esthétiques et philosophiques communes aux autres arts. Au sortir des années 1980, la photographie américaine de paysage, celle des grands espaces mais également celle des espaces humanisés, urbanisés, domine la scène internationale inspirant un renouveau du genre en Europe, au Canada, au Japon,…. Lancé par une exposition alors jugée mineure en 1975, le phénomène New Topographics est devenu planétaire et perdure. Ces quinze dernières années, de nombreuses expositions des paysagistes américains de cette période ont circulé à travers le monde, phénomène révélateur de leur rôle dans notre culture occidentalo – planétaire ainsi que pour l'histoire du médium
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The Landscape of American Landscape Photography : 1960 – 1990 ; Le paysage de la photographie américaine de paysage : 1960-1990
During the 1960 – 1990 period, in spite of the psychological and economical fall-outs of the various wars (Cold War, Korea and Vietnam ) undermining L.B. Johnson's hopes and plans for a Great Society and his War on Poverty, the American government used its world supremacy and the derived wealth acquired in the wake of W.W. II (the USA was the only western country whose industrial production was impacted positively) to finance popular housing, adult education (G.I. Bill), and the arts (N.E.A.). During those years photography crashed the doors of academia, museum and art institutions, and entered the art market. Landscape has always been a major genre in the American visual arts, from the paintings of the nineteenth century (the Hudson River School, the Luminists) to photography. An interesting synchronicity can be observed between the birth, growth and coming of age of both the medium and the country. Landscape photography participated in the creation of an American identity. A century later, during what we can now call the Golden Age of American landscape photography from New Topographics in the 1970s to the advent of color photography in the 1980s, photographers turned their lenses back toward the east at the damage done and the state of the landscape left behind. The production of wall-size prints followed, competing for attention with paintings on the walls of museums and galleries that welcome them. Since the Culture Wars of the late 1980s and the 1990s, and the defunding of the arts that ensued, the rest of the world has caught up, influenced by the traveling exhibitions and publications of that generation of American photographers. ; La période 1960 – 1990 a été agitée et féconde aux États-Unis malgré l'échec du projet de Grande Société et de lutte contre la pauvreté du président L.B. Johnson. L'Amérique a profité des retombées de sa domination économique et militaire pour financer l'éducation, le logement (G.I. Bill) ainsi que les arts (N.E.A.). De 1960 à 1990 la photographie est entrée massivement à l'université, dans les musées et dans le marché de l'art. Le paysage a toujours été un genre artistique privilégié aux États-Unis, de la peinture du dix-neuvième siècle à la photographie depuis son invention qui coïncide avec la découvertes de nouveaux territoires qui crée le pays. Le médium a documenté le développement territorial du pays puis s'est affirmé sur la scène de la photographie créative occidentale. Les années considérées vont voir la photographie créative américaine passer d'une période « romantique » tournée vers l'abstraction et le monde intérieur de l'artiste, conséquence des persécutions politiques de l'immédiat après-guerre, vers une réflexion ontologique et expérimentale, pour finalement traiter de problèmes de société tout en restant connectée aux réflexions esthétiques et philosophiques communes aux autres arts. Au sortir des années 1980, la photographie américaine de paysage, celle des grands espaces mais également celle des espaces humanisés, urbanisés, domine la scène internationale inspirant un renouveau du genre en Europe, au Canada, au Japon,…. Lancé par une exposition alors jugée mineure en 1975, le phénomène New Topographics est devenu planétaire et perdure. Ces quinze dernières années, de nombreuses expositions des paysagistes américains de cette période ont circulé à travers le monde, phénomène révélateur de leur rôle dans notre culture occidentalo – planétaire ainsi que pour l'histoire du médium
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