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Due to the exponential growth of immigration to the developed countries, various speech communities have been
created in those countries. This surge of macro-communities has instigated abundant research on the nature of the
linguistic identity of these communities and its potential influence on the micro-communities. There is a seamless
interaction between language and social identity, and this interaction is multi-faceted and renders myriads of
ramifications. Correspondingly, many researchers or theoreticians have proposed various models for the
mechanism of this interaction. Even though there is a consensus on the strong intercourse between language and
identity, there are still debates on the causal direction of this interaction. Building upon sociocultural and
sociolinguistic theories, the related literature mostly views the causal direction from social to linguistic. However,
this paper argues against any unilateral interpretations and discuss how the notions of language and identity have
bilateral connections. Finally, the elemental stages of the development of linguistic identity from a semiotic
outlook are discussed.

Ce rapport relate le stage de fin de Master de Valorisation des Patrimoines et Politiques Culturelles Territoriales de l'étudiante Alexandra Larralde. Il présente le travail mené lors d'un stage de six mois effectué au sein de l'Archive du patrimoine immatériel de la Navarre, ou Navarchivo, à l'Université Publique de Navarre, à Pampelune. À travers des missions de documentation, de travail de terrain par la collecte, et de diffusion, ce stage consistait en la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel immatériel de la province basque de Basse-Navarre. Ce travail a été inclut dans l'objectif du projet de centre documentaire mis en place par la Chaire du Patrimoine Immatériel de l'Université Publique de Navarre, qui sauvegarde des entretiens, valorise leur contenu par un site internet ainsi que par les publications et manifestations qu'elle organise. Finalement, ce centre documentaire, en mettant à disposition ses témoignages, se veut représentatif de la mémoire collective et de la culture actuelle de la Navarre et de la Basse-Navarre. Le stage effectué dans cette structure a donc été formateur et diversifié, permettant d'aborder divers aspects de la sauvegarde et de la valorisation du patrimoine immatériel.

Ce rapport relate le stage de fin de Master de Valorisation des Patrimoines et Politiques Culturelles Territoriales de l'étudiante Alexandra Larralde. Il présente le travail mené lors d'un stage de six mois effectué au sein de l'Archive du patrimoine immatériel de la Navarre, ou Navarchivo, à l'Université Publique de Navarre, à Pampelune. À travers des missions de documentation, de travail de terrain par la collecte, et de diffusion, ce stage consistait en la sauvegarde et la valorisation du patrimoine culturel immatériel de la province basque de Basse-Navarre. Ce travail a été inclut dans l'objectif du projet de centre documentaire mis en place par la Chaire du Patrimoine Immatériel de l'Université Publique de Navarre, qui sauvegarde des entretiens, valorise leur contenu par un site internet ainsi que par les publications et manifestations qu'elle organise. Finalement, ce centre documentaire, en mettant à disposition ses témoignages, se veut représentatif de la mémoire collective et de la culture actuelle de la Navarre et de la Basse-Navarre. Le stage effectué dans cette structure a donc été formateur et diversifié, permettant d'aborder divers aspects de la sauvegarde et de la valorisation du patrimoine immatériel.

War das Kunstfeld zwar bereits in der Moderne untrennbar mit dem Ästhetischen verknüpft, so lassen sich doch aktuell im Kontext von Diskursen über Kunst und ihre institutionalisierten Vermittlungen folgenreiche Veränderungen spezifischer ästhetischer Formationen ausmachen, die unter dem Stichwort 'Erlebnisorientierung der Museumslandschaft' näher beschrieben werden können.Nachdem in einem ersten Schritt die Veränderungen des Museums- und Ausstellungsdiskurses seit den 1970er Jahren in Richtung 'Öffnung' und 'Selbstbestimmung' dargestellt werden (1), beschreibe ich die Orientierung am Erlebnis als Dispositiv und erlebnisorientierte Ausstellungen als eine spezifische, ereignishafte ästhetische Praxis, die als Materialisierung eben jener zugehörigen Museums- und Ausstellungsdiskurse betrachtet werden kann (2). Darauf aufbauend wird der Fokus in einem dritten Schritt auf Erlebnisorientierung als ästhetische Praxis gelenkt (3) und gefragt, inwiefern von einer wechselseitigen performativen Herstellung von 'Event-Ausstellungen' und Besucherschaft ausgegangen werden kann (4). In einem letzten Schritt soll schließlich gezeigt werden, dass der vermeintlichen Öffnung von Museen sowie der Idee der souveränen Besucherschaft bzw. des selbstbestimmten Museumsbesuchs spezifische sozialstrukturelle Bedingungen der Kulturaneignung sowie ästhetisierte Führungsstrategien und Lenkungsaspekte idealtypisch gegenüberstehen, die unter dem Deckmantel autonomer Individualität und Selbstbestimmung verschleiert werden (5).

International audience ; La Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme de Champagney, petite ville de Haute-Saône dans l'Est de la France, est née dans les années 1970 à la suite de la découverte dans les archives d'un extrait des cahiers de doléances de 1789 rédigé par des habitants de cette commune et demandant l'abolition de l'esclavage. Le qualificatif Négritude provient du parrainage que Léopold Sédar Senghor a voulu accorder à ce lieu, où la mise en valeur de ce « vu de Champagney » s'articule à une muséographie obsolète consacrée à l'histoire de l'esclavage des Noirs à laquelle est juxtaposée une collection d'« art africain ». Sur le fond de ce patrimoine commun, un ensemble de pratiques et de points de vue différenciés se détachent nettement. Comment s'articulent ces expériences diverses? Peut-on parler de patrimoine interculturel? Ou plutôt d'une situation d'interculturalité en ce qu'elle tient de l'approche d'une altérité subsumée sous le thème de la Négritude. Cette altérité s'y trouve à la fois redoublée par la question de l'esclavage et en même temps incluse dans une commune humanité, sur le registre moral des Droits de l'Homme et au nom de l'héritage du Vu de Champagney. Cette appréhension patrimoniale de l'altérité coexiste avec une volonté de traduire l'histoire de l'esclavage des Noirs pour en faire une ressource pour lutter contre les dominations et discriminations à l'uvre dans le monde contemporain, qui rentre elle-même en tension avec une mise en balance de ses propres souffrances sociales lorsque l'on est habitant ordinaire de Champagney au regard de la distance sociale qui peut être ressentie vis-à-vis des promoteurs de la Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme.

International audience ; La Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme de Champagney, petite ville de Haute-Saône dans l'Est de la France, est née dans les années 1970 à la suite de la découverte dans les archives d'un extrait des cahiers de doléances de 1789 rédigé par des habitants de cette commune et demandant l'abolition de l'esclavage. Le qualificatif Négritude provient du parrainage que Léopold Sédar Senghor a voulu accorder à ce lieu, où la mise en valeur de ce « vu de Champagney » s'articule à une muséographie obsolète consacrée à l'histoire de l'esclavage des Noirs à laquelle est juxtaposée une collection d'« art africain ». Sur le fond de ce patrimoine commun, un ensemble de pratiques et de points de vue différenciés se détachent nettement. Comment s'articulent ces expériences diverses? Peut-on parler de patrimoine interculturel? Ou plutôt d'une situation d'interculturalité en ce qu'elle tient de l'approche d'une altérité subsumée sous le thème de la Négritude. Cette altérité s'y trouve à la fois redoublée par la question de l'esclavage et en même temps incluse dans une commune humanité, sur le registre moral des Droits de l'Homme et au nom de l'héritage du Vu de Champagney. Cette appréhension patrimoniale de l'altérité coexiste avec une volonté de traduire l'histoire de l'esclavage des Noirs pour en faire une ressource pour lutter contre les dominations et discriminations à l'uvre dans le monde contemporain, qui rentre elle-même en tension avec une mise en balance de ses propres souffrances sociales lorsque l'on est habitant ordinaire de Champagney au regard de la distance sociale qui peut être ressentie vis-à-vis des promoteurs de la Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme.

International audience ; La Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme de Champagney, petite ville de Haute-Saône dans l'Est de la France, est née dans les années 1970 à la suite de la découverte dans les archives d'un extrait des cahiers de doléances de 1789 rédigé par des habitants de cette commune et demandant l'abolition de l'esclavage. Le qualificatif Négritude provient du parrainage que Léopold Sédar Senghor a voulu accorder à ce lieu, où la mise en valeur de ce « vu de Champagney » s'articule à une muséographie obsolète consacrée à l'histoire de l'esclavage des Noirs à laquelle est juxtaposée une collection d'« art africain ». Sur le fond de ce patrimoine commun, un ensemble de pratiques et de points de vue différenciés se détachent nettement. Comment s'articulent ces expériences diverses? Peut-on parler de patrimoine interculturel? Ou plutôt d'une situation d'interculturalité en ce qu'elle tient de l'approche d'une altérité subsumée sous le thème de la Négritude. Cette altérité s'y trouve à la fois redoublée par la question de l'esclavage et en même temps incluse dans une commune humanité, sur le registre moral des Droits de l'Homme et au nom de l'héritage du Vu de Champagney. Cette appréhension patrimoniale de l'altérité coexiste avec une volonté de traduire l'histoire de l'esclavage des Noirs pour en faire une ressource pour lutter contre les dominations et discriminations à l'uvre dans le monde contemporain, qui rentre elle-même en tension avec une mise en balance de ses propres souffrances sociales lorsque l'on est habitant ordinaire de Champagney au regard de la distance sociale qui peut être ressentie vis-à-vis des promoteurs de la Maison de la Négritude et des Droits de l'Homme.

Love is used in different ways in literature. The treatment of love in the love stories of Janette Oke are nearly similar and all show the roles that love plays in life of people and how deal with it. Her novels are among the finest works in Canadian literature without whom the world of Canadian literature would be dark and empty. Love is the eventual weakness, but philosophy, religion and art during time have portrayed it in its place as a way to a higher level of being beyond the pain and transformation of every day. This paper points out to different kinds of love relationship in Oke's fictions.

As one of the outstanding Iranian playwrights, Akbar Radi (1939-2007) is known to be influenced by Henrik Ibsen and Anton Chekhov. Occasionally by his critics, he was called as "The Persian Chekhov" but they never expounded comprehensively the details of the given epithet which might be derived from similarities, influences and inspirations among Radi and Chekov. By analyzing these similarity cases, this essay attempts to figure out whether this resemblance is resulted from the conscious impressionability. Or otherwise, the similar life conditions of the authors -which caused their parallel worldviews- are displayed in the world of their plays. By analyzing the social, economical and geographical conditions of the authors' lives and also studying the resemblance of the content of their works which consist of different aspects of characterization in their plays and also examining the structure and diction of their plays; this essay is going to give a comprehensive view of the epithet of "The Persian Chekhov".

Doppelrezension zu: 1) Kauppert, Michael; Leser, Irene (Hrsg.): Hillarys Hand: zur politischen Ikonographie der Gegenwart. Bielefeld: transcript 2014. Kulturen der Gesellschaft, Bd. 11. ISBN 978-3-8376-2749-7. 2) Przyborski, Aglaja; Haller, Günther (Hrsg.): Das politische Bild: Situation Room: ein Foto - vier Analysen. Leverkusen: B. Budrich 2014. Sozialwissenschaftliche Ikonologie: qualitiative Bild- und Videointerpretation, Bd. 6. ISBN 978-3-8474-0160-5.

Foreign investment in agricultural land acquisition in sub-Saharan Africa has been viewed primarily as driven by a set of linked 'crises': in financial capital markets, in security of energy and food supply, and in global environmental governance. This paper argues that a focus on the 'buyers' of land risks overlooking the dynamics that operate on the side of the land 'sellers'. Accordingly, the first part of the paper argues that it is important to view the current 'land grab' as the latest stage in a longer historical process of competition for control of land and other natural resources by different 'domestic' economic and political actors within African countries. While such struggles are often characterised as the 'state versus the peasantry', with the state acting on behalf of 'urban elites', the paper argues that processes of accumulation and associated enclosure of natural resources need to be examined more critically in specific contexts if the role and impact of foreign capital investment are to be understood. The second part of the paper seeks to identify the ways in which questions of scale (in the sense of greater capital intensity) can be considered to be constraints to the development of African agriculture. Particularly, it considers the extent to which the production models most frequently mentioned in connection with foreign investment (large-scale mechanised farms and small-scale outgrower contract farming) respond to current productivity constraints. The paper argues that current debates about foreign investment in agricultural land underplay the importance of water resources needed to overcome production risks associated with irregular rainfall. Bringing the water dimension of land deals more clearly into focus is necessary if the scope for positive and negative impacts of new investment on existing land users is to be fully understood. The paper concludes by considering the implications of such challenges in the current context of foreign investment in agriculture in Africa. © 2012 Copyright Taylor and Francis Group, LLC.

Seit langem wird behauptet, dass nationale Grenzen bedeutungslos geworden sind angesichts der zunehmenden Reisemöglichkeiten, der Aktivitäten von multinationalen Unternehmen und der neuen Vernetzungsmöglichkeiten, die Facebook und Co. bieten. Dieser Artikel geht der Frage nach, ob die Kategorisierung Nationalkultur bei der Interaktionsanalyse von Mitgliedern verschiedener Nationalstaaten noch zeitgemäß ist. Um die Frage zu beantworten werden verschiedene soziale Systeme und Institutionen betrachtet, die zur Aufrechterhaltung einer Kultur beitragen. Obwohl Nationalstaaten immer mehr an Bedeutung verloren haben, argumentiert dieser Artikel, dass es immer noch einige grundlegende Gründe gibt, die dafür sprechen, dass die Idee von Kulturen als Nationen resistenter sein wird als viele vermuten.

Improvisation ist für den Jazz und zahlreiche andere Musikgattungen zentral. Derzeit wird improvisatorisches Handeln in der deutschen Musik-, Wissens- und Kultursoziologie auch als allgemeine Handlungsform und als handlungstheoretisches Konzept entdeckt (vgl. Kurt/Näumann 2008; Figueroa-Dreher 2008a, b; Schubert 2006: 223ff.; Stegmaier 2009: 291ff., 399ff.). Damit einher geht unter anderem die Hoffnung auf Weiterentwicklung bestehender Handlungstheorien. Von einem wissenssoziologischen Ausgangsinteresse beginnend, möchte ich mich der mundanphänomenologischen Dimension gemeinsamen Improvisierens im Jazzkontext zuwenden. Ich habe die Aufforderung zur "Anwendung" von Phänomenologie so interpretiert, dass ich mir vornahm, in meinen Erfah-rungs- und Erlebnisschichten zu "kramen" und herauszupräparieren, wie man in ein improvisiertes Jazzsolo hineingeht, das in den Kontext des gemeinsa-men Musizierens eingebunden ist. Es wird auch zu zeigen sein, wie man lebensweltanalytisch wieder heraus kommt.
Des Weiteren interessiert mich eine Frage: Wie kann man rein phänomenologisch analysieren, wenn man doch die Mittel der Sprache verwenden muss, um empirische Phänomene zu beschreiben? Kann man dann die Analyse des Bewusstseins und des Sozialen ganz sauber trennen? In der Tat muss ich von (auto-)ethnographischen Beschreibungen der Improvisationspraxis ausgehen. Wie lautet die hier entwickelte Definition von Improvisieren? Es ist eine den Handelnden und seine Mitwelt überraschende Art zu handeln – ein sich und andere überraschendes soziales Handeln. Es ist weder nur planlos noch nur planvoll; weder nicht noch total strukturiert; weder ganz frei noch ausschließlich stark gebunden; weder völlig offen noch ganz Routine. Es basiert auf Übung, Ausprobieren und Wagnis. Es ist gerade das Spiel mit Gelegenheiten, Freiheitsgraden und Kontingenzen im Rahmen von Bezügen, Habitualisierungen, Wiederholungen sowie sozialen und dinglichen Kontexten.

This paper shows that cross country differences in the generosity and the quality of the welfare state are associated with differences in the trustworthiness of their citizens. We show that generous, transparent and efficient welfare states in Scandinavian countries are based on the civicness of their citizens. In contrast, the generosity but low transparency of the Continental European welfare states survive thanks to the support of a large share of uncivic individuals who consider that it can be justifiable to misbehave with taxes and social benefits. We also explain why countries with an intermediate degree of trustworthiness of their citizens and of transparency of the government, like Anglo-Saxon countries, have small welfare states. Overall, this paper provides a rationale for the observed persistence of both efficient and inefficient welfare states, as a function of the civicness of the citizens.

This paper shows that cross country differences in the generosity and the quality of the welfare state are associated with differences in the trustworthiness of their citizens. We show that generous, transparent and efficient welfare states in Scandinavian countries are based on the civicness of their citizens. In contrast, the generosity but low transparency of the Continental European welfare states survive thanks to the support of a large share of uncivic individuals who consider that it can be justifiable to misbehave with taxes and social benefits. We also explain why countries with an intermediate degree of trustworthiness of their citizens and of transparency of the government, like Anglo-Saxon countries, have small welfare states. Overall, this paper provides a rationale for the observed persistence of both efficient and inefficient welfare states, as a function of the civicness of the citizens.