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This book explores China's place in the 'new international order', from both the international perspective and from the perspective within China. It discusses how far the new international order, as outlined by George Bush in 1991 after the collapse of the Soviet Union and the liberation of Kuwait in the Gulf War, with its notions of 'international order', as viewed by the United States, and with the United States seeing itself as the single dominant power, applies to China. The contributors offer the implications, both positive and negative, of China's growing economic power, and the possibility that China will increase its military power. They also examine the idea that the Chinese leadership is being carried along itself by events in China, which it does not fully control, and that other growing forces within China, such as nationalism, increasing social grievances, structural instability, and rivalry between the centre and the regions potentially work against China's growing strength in the international arena. Considering traditional Chinese notions of 'international' power, where the world is seen as sino-centric, with neighbouring countries subservient to China in varying degrees, the book argues that this represents a fundamentally different view of the international order, one where the equal sovereignty of every state does not apply, where there is an acknowledged hierarchy of power, and where domestic and international issues are highly interdependent

Personne ne contestera que le juge international est autant juge du fait que juge du droit. En revanche, il est sans doute moins évident d'affirmer que le juge construit le fait autant qu'il construit le droit par son interprétation. Partant de cette hypothèse, l'auteur démontre que le pouvoir normatif du juge vient se greffer sur le fait autant que sur le droit. Il s'agit d'apporter un éclairage nouveau sur la fonction juridictionnelle à travers le prisme du fait. Le pouvoir normatif, objet de l'étude, est alors celui qu'exerce le juge, non à l'occasion de l'interprétation du droit, mais au

The 'international community' is omnipresent in international debates. It is a point of reference. Much international action is undertaken in its name. And many a catastrophe – from Aleppo to climate change – is portrayed as a failure of the international community. As is clear from these random references, the functions, meanings and content of the concept of 'international community' are fluid: it is as appealing as it is evasive – and in fact, often it appeals precisely because it is evasive, and because a wide range of diverse, sometimes competing, meanings and expectations are projected onto it. The working paper seeks to unveil some of the functions, meanings and expectations projected upon the notion of 'international community'. While it focuses on debates in one particular field, viz. international law, its themes are of significance to a wider audience.

Europäische Aspekte der modernen Sportgeschichte – European Aspects in Current Sport History -- Ein Blick nach Asien – The View to Asia -- Sport, Gesundheit und Erziehung – Sports, Health and Education -- Theoretische und methodische Perspektiven – Theoretical and Methodological Perspectives.

Etats-Unis d'Amérique et Justice internationale ! S'agirait-il d'un oxymore, une alliance ingénieuse de mots passablement contradictoires ; une sorte de « clair-obscur » juridique ? Si tel était le cas, les dés seraient jetés, la messe serait dite, de façon un peu trop simple, voire simpliste. L'affaire est plus complexe, l'affaire est moins nette car ce qui brouille les cartes, c'est le contexte actuel des relations internationales et la position d'hegemon des États-Unis qui recouvre la moindre de ses actions d'un extraordinaire a priori : celui de l'illégalité. Or, s'il existe des éléments objectifs qui confortent l'a priori en le transformant en donnée positive, il est tout aussi clair que, dans le même temps, d'autres éléments ne sont que la manifestation classique de la mise en œuvre d'une politique juridique extérieure dont Guy de Lacharrière a pu rappeler qu'elle était au cœur de la démarche de chaque État souverain. « Les politiques juridiques des différents États, en dépit de la diversité ou de la contradiction de leurs contenus, ont en commun la volonté des gouvernements concernés de déterminer leurs conduites en fonction de leurs propres objectifs, c'est-à-dire de leurs intérêts nationaux tels qu'ils les apprécient ». Les politologues spécialistes du droit et des relations internationales arrivent bien logiquement à la même constatation 2. Ce paradigme établi, la conduite de la politique étrangère des Etats se caractérise par deux principes cardinaux : 1. influencer positivement (i.e. conformément aux intérêts nationaux tels que définis par l'Etat à un moment donné) le contenu du droit (« préoccupation offensive ») ; 2. préserver in fine sa faculté d'adopter ou de rejeter le droit (« préoccupation défensive »).

Etats-Unis d'Amérique et Justice internationale ! S'agirait-il d'un oxymore, une alliance ingénieuse de mots passablement contradictoires ; une sorte de « clair-obscur » juridique ? Si tel était le cas, les dés seraient jetés, la messe serait dite, de façon un peu trop simple, voire simpliste. L'affaire est plus complexe, l'affaire est moins nette car ce qui brouille les cartes, c'est le contexte actuel des relations internationales et la position d'hegemon des États-Unis qui recouvre la moindre de ses actions d'un extraordinaire a priori : celui de l'illégalité. Or, s'il existe des éléments objectifs qui confortent l'a priori en le transformant en donnée positive, il est tout aussi clair que, dans le même temps, d'autres éléments ne sont que la manifestation classique de la mise en œuvre d'une politique juridique extérieure dont Guy de Lacharrière a pu rappeler qu'elle était au cœur de la démarche de chaque État souverain. « Les politiques juridiques des différents États, en dépit de la diversité ou de la contradiction de leurs contenus, ont en commun la volonté des gouvernements concernés de déterminer leurs conduites en fonction de leurs propres objectifs, c'est-à-dire de leurs intérêts nationaux tels qu'ils les apprécient ». Les politologues spécialistes du droit et des relations internationales arrivent bien logiquement à la même constatation 2. Ce paradigme établi, la conduite de la politique étrangère des Etats se caractérise par deux principes cardinaux : 1. influencer positivement (i.e. conformément aux intérêts nationaux tels que définis par l'Etat à un moment donné) le contenu du droit (« préoccupation offensive ») ; 2. préserver in fine sa faculté d'adopter ou de rejeter le droit (« préoccupation défensive »).

Gegenstand dieses Literaturberichts sind 15 internationale Veröffentlichungen aus den Jahren 1983 bis 1986. Zunächst skizziert die Autorin die Forschungssituation in der BRD und in den USA. Am Beispiel der US-amerikanischen Debatte werden die ungelösten Kernprobleme der Politischen Psychologie der internationalen Beziehungen angesprochen. Im weiteren befaßt sich die Autorin mit Arbeiten, die sich aus polit-psychologischer Sicht mit den Prämissen der Abschreckung befassen. Diese Arbeiten zeigen, daß selbst die Art und Weise wie Politiker entscheiden, ob überhaupt eine Bedrohung vorliegt oder nicht, weniger von der objektiven Lage abhängt, sondern zum einen von einem drängenden Bedürfnis, die Komplexität möglicher Informationen zu reduzieren, sowie zum zweiten von der damit zusammenhängenden Neigung, glaubens-, ideologie- und vorurteilsgestützte Bedrohungsanalysen durchzuführen, die zwangsläufig Fehleinschätzungen der internationalen Lage zur Folge haben. Die adäquate Vereinfachung von Informationen wird zum dritten noch komplizierter, weil das Problem zugleich interaktiv und multilateral ist. Die daraus abgeleitete praktisch-politische Folgerung führt zu der Forderung, kommunikative Politikansätze zu entwickeln. Mit den Arbeiten, die sich mit der daraus folgenden Frage nach der Verständigung unter Rivalen befassen, stehen im Mittelpunkt des folgenden Abschnitts. Kommunikative Politikansätze sind nicht nur Voraussetzung für Wahrnehmungsverbesserungen im Rahmen der Abschreckung, sondern auch Bedingung von Abrüstungsvereinbarungen. Im letzten Teil geht die Autorin auf Ansätze ein, die die internationalen Beziehungen aus einem psycho-historischen Blickwinkel interpretieren. Die Autorin kommt zu dem Schluß: Solche Analysen würden nicht nur der Erfahrung Rechnung tragen, daß Affekte auch in noch so disziplinierten Dialogstrategien nicht einfach dadurch verschwinden, daß man nicht von ihnen spricht, sondern auch der Erfahrung, daß die Fähigkeit zu internationaler Verständigung und Empathie auf der individuellen Ebene der Entscheidungsträger und auf der kollektiven Ebene sowohl kognitive als auch emotionale Voraussetzungen hat. (RW)