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World Affairs Online
Au bout du Quai: Souvenirs d'un retraite des postes
World Affairs Online
Russia and China: their diplomatic relations to 1728
In: Harvard East Asian series 61
Die Reisediplomatie der Volksrepublik China
In: Mitteilungen des Instituts für Asienkunde Hamburg 17
World Affairs Online
Les Problèmes internationaux et la Guerre ; Paul Otlet ; Tableau des conditions et solutions nouv. de l'économie, du droit et de la politique
In: (Publications de l'Union des associations internationales)
Troisième guerre du Haut-Karabakh : un nouveau front russo-turc
Une nouvelle guerre pour le contrôle d'une zone grise a éclaté dans l'ex-Union soviétiqueen 2020. Après la Tchétchénie, l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud, la Transnistrie, la Crimée etle Donbass, c'est le Haut-Karabakh qui s'est enflammé – pour la troisième fois depuis lafin de l'URSS – dans un conflit ouvert entre Arméniens et Azerbaïdjanais1. Lancée parl'Azerbaïdjan le 27 septembre 2020, la guerre du Haut-Karabakh, province majoritairementarménienne mais rattachée à Bakou en 1921 par Staline, a été remportée par Bakou, soutenupar la Turquie et ses troupes supplétives constituées de mercenaires islamistes. A la faveurd'un « cessez-le-feu total » signé dans la nuit du 9 au 10 novembre par la Russie, l'Arménieet l'Azerbaïdjan, les armes ont cessé de parler, entérinant la victoire militaire de Bakou.Comment expliquer ce regain de violence dans la région ? Cet accord de cessez-le-feuouvre-t-il la voie à un nouvel ordre régional ? Quels enseignements peut-on tirer de cetteféroce déflagration aux enjeux globaux qui a duré quarante-quatre jours ? Commentexpliquer les positions de la Russie et de la Turquie, dont les relations bilatérales sontéquivoques, dans cette guerre à la périphérie de leurs anciens empires respectifs ? Et quepenser du groupe de Minsk, coprésidé par la Russie, la France et les Etats-Unis, chargé parl'OSCE de trouver une solution politique à ce conflit, et pourtant absent du cessez-le-feudu 9 novembre ?
BASE
Troisième guerre du Haut-Karabakh : un nouveau front russo-turc
Une nouvelle guerre pour le contrôle d'une zone grise a éclaté dans l'ex-Union soviétiqueen 2020. Après la Tchétchénie, l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud, la Transnistrie, la Crimée etle Donbass, c'est le Haut-Karabakh qui s'est enflammé – pour la troisième fois depuis lafin de l'URSS – dans un conflit ouvert entre Arméniens et Azerbaïdjanais1. Lancée parl'Azerbaïdjan le 27 septembre 2020, la guerre du Haut-Karabakh, province majoritairementarménienne mais rattachée à Bakou en 1921 par Staline, a été remportée par Bakou, soutenupar la Turquie et ses troupes supplétives constituées de mercenaires islamistes. A la faveurd'un « cessez-le-feu total » signé dans la nuit du 9 au 10 novembre par la Russie, l'Arménieet l'Azerbaïdjan, les armes ont cessé de parler, entérinant la victoire militaire de Bakou.Comment expliquer ce regain de violence dans la région ? Cet accord de cessez-le-feuouvre-t-il la voie à un nouvel ordre régional ? Quels enseignements peut-on tirer de cetteféroce déflagration aux enjeux globaux qui a duré quarante-quatre jours ? Commentexpliquer les positions de la Russie et de la Turquie, dont les relations bilatérales sontéquivoques, dans cette guerre à la périphérie de leurs anciens empires respectifs ? Et quepenser du groupe de Minsk, coprésidé par la Russie, la France et les Etats-Unis, chargé parl'OSCE de trouver une solution politique à ce conflit, et pourtant absent du cessez-le-feudu 9 novembre ?
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Troisième guerre du Haut-Karabakh : un nouveau front russo-turc
Une nouvelle guerre pour le contrôle d'une zone grise a éclaté dans l'ex-Union soviétiqueen 2020. Après la Tchétchénie, l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud, la Transnistrie, la Crimée etle Donbass, c'est le Haut-Karabakh qui s'est enflammé – pour la troisième fois depuis lafin de l'URSS – dans un conflit ouvert entre Arméniens et Azerbaïdjanais1. Lancée parl'Azerbaïdjan le 27 septembre 2020, la guerre du Haut-Karabakh, province majoritairementarménienne mais rattachée à Bakou en 1921 par Staline, a été remportée par Bakou, soutenupar la Turquie et ses troupes supplétives constituées de mercenaires islamistes. A la faveurd'un « cessez-le-feu total » signé dans la nuit du 9 au 10 novembre par la Russie, l'Arménieet l'Azerbaïdjan, les armes ont cessé de parler, entérinant la victoire militaire de Bakou.Comment expliquer ce regain de violence dans la région ? Cet accord de cessez-le-feuouvre-t-il la voie à un nouvel ordre régional ? Quels enseignements peut-on tirer de cetteféroce déflagration aux enjeux globaux qui a duré quarante-quatre jours ? Commentexpliquer les positions de la Russie et de la Turquie, dont les relations bilatérales sontéquivoques, dans cette guerre à la périphérie de leurs anciens empires respectifs ? Et quepenser du groupe de Minsk, coprésidé par la Russie, la France et les Etats-Unis, chargé parl'OSCE de trouver une solution politique à ce conflit, et pourtant absent du cessez-le-feudu 9 novembre ?
BASE
Marine biodiversity negotiations during COVID-19: a new role for digital diplomacy?
In: Global environmental politics, Band 21, Heft 3, S. 169-186
ISSN: 1536-0091
World Affairs Online
B-STA-R: A repository for bilateral science and technology agreements
The B-STA-R dataset provides information on more than 1138 bilateral agreements on cooperation in matters of science and technology, mostly concluded by countries of the G20 and OECD in the period between 1937 and 2020. These science and technology agreements (STA) are intergovernmental treaties in which the participating countries establish a framework for bilateral cooperation in science and technology (S&T). The files associated with the dataset contain information on the concluding countries, dates of signing, and entry into force. Moreover, links to the full texts of the agreements are provided where possible. B-STA-R is meant to inform studies from the social sciences and humanities that deal with the topic of international science policy, science diplomacy, innovation studies, foreign policy analysis, history of S&T, globalization and diffusion studies, etc.
GESIS
The High Representative and directories in European foreign policy: the case of the nuclear negotiations with Iran
In: European security: ES, Band 29, Heft 3, S. 320-336
ISSN: 0966-2839
World Affairs Online
China's role in the Sustainable Development Agenda: Considerations for Norway
China's role as an international development actor is growing, with real and increasing potential to impact Sustainable Development Goals (SDG). On some issues, Chinese initiatives align well with Norwegian interests, but China's approach to development also diverges on some key practices and norms. While Chinese international efforts meet mixed reactions, Norway should stake out its own course for when and how to engage with China over SDGs. ; publishedVersion
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WIN-WIN! with ODA-man: legitimizing development assistance policy in Japan
Official development assistance (ODA) constitutes one of Japan's most important foreign policy instruments as it builds Japan's global network and supports allies in the Southeast Asian region and beyond. In the context of a rising China and an increasingly severe fiscal and demographic situation at home, the Ministry of Foreign Affairs (MOFA) promulgated a domestic-oriented legitimation campaign featuring a popular anime character rebranded as 'ODA-man' to increase public understanding of and support for Japan's ODA. Drawing on interpretivist analysis of performances at a development cooperation promotion festival, anime videos on the MOFA YouTube channel and interviews and examining the use of rhetorical strategies, this article provides an in-depth study of the promotion of one of the central instruments in Japan's foreign policy repertoire. Though he comes off as goofy and benign, ODA-man's messages are serious ones that reproduce dominant economic and security narratives about Japan and the world. Analysis points to both innovation and path dependency in Japan's foreign policy repertoire; while ODA-man may be new the story he is telling, and the way that he is performing it, is very much familiar. The article further illuminates important trends in the public legitimation of foreign policy in Japan. ; publishedVersion
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