Feyerabend, Rorty, Mouffe and Keane: On Realising Democracy
In: Critical review of international social and political philosophy: CRISPP, Band 2, Heft 3, S. 81-118
ISSN: 1369-8230
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In: Critical review of international social and political philosophy: CRISPP, Band 2, Heft 3, S. 81-118
ISSN: 1369-8230
In: Renewal: politics, movements, ideas ; a journal of social democracy, Band 2, Heft 4, S. 77-79
ISSN: 0968-252X
In: Iconos: revista de ciencias sociales, Band 0, Heft 48, S. 157
ISSN: 2224-6983
In: Politische Vierteljahresschrift: PVS : German political science quarterly, Band 56, Heft 1, S. 27-43
ISSN: 1862-2860
In: Politische Vierteljahresschrift: PVS ; Zeitschrift der Deutschen Vereinigung für Politische Wissenschaft. Sonderheft, Band 56, Heft 1, S. 27-43
ISSN: 0720-4809
In: Zeitschrift für politische Theorie: ZPTh, Band 5, Heft 2, S. 1
ISSN: 1869-3016
In: Zeitschrift für Politikwissenschaft, Band 25, Heft 4, S. 439-468
In: Zeitschrift für Politikwissenschaft: ZPol = Journal of political science, Band 25, Heft 4, S. 439-468
ISSN: 1430-6387
Wenige politische Denker haben den internationalen politik- und sozialwissenschaftlichen Theoriediskurs der vergangenen Jahre so beeinflusst wie Chantal Mouffe und Ernesto Laclau - über Paradigmengrenzen hinweg. Beide verknüpfen neo-gramscianische, (post-)strukturalistische und psychoanalytische Theorieelemente und ermöglichen damit einerseits eine Erklärung von Ereignissen des politisch-diskursiven Geschehens, insbesondere der Ausbildung von Hegemonien, und andererseits eine normative Theorie der agonalen Demokratie. Die Beiträge dieses Bandes geben einen Überblick über wesentliche Denkfiguren von Laclau und Mouffe, setzen sich mit diesen kritisch auseinander und zeigen methodische und empirische Anschlussmöglichkeiten auf. Dieser Band enthält u.a. Originaltexte von Ernesto Laclau und Chantal Mouffe.
Trabajo de investigación ; El presente trabajo propone una mirada de ciudadanía desde el enfoque de la democracia radical de Chantal Mouffe; para ello reconoce la crisis de la democracia representativa, y los modelos alternativos de deliberación y participación, posteriormente se analizan las dimensiones de la democracia radical; entre ellas está el paso del antagonismo al agonismo, la vivencia radical ético/política de la libertad y la igualdad en la ciudadanía; la construcción de identidad desde el nosotros/ellos; el valor del disenso y las limitaciones del consenso, pasando por un genuino pluralismo, identificando la forma de asociación más pertinente desde este enfoque: el soecitas; todos estos conceptos nos permitirán llegar a una aproximación del ciudadano desde el enfoque radical. ; Introducción Capítulo I - De la crisis del modelo de democracia representativa, a los modelos participativos y deliberativos. Un análisis introductorio Capítulo II - Chantal Mouffe: Dimensiones de la Democracia Radical Capítulo III - Ciudadanía Democrática desde la mirada de la Democracia Radical Conclusiones Bibliografía ; Maestría ; Magister en Ciencia Política
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In: Edition Moderne Postmoderne
Wenige politische Denker haben den internationalen politik- und sozialwissenschaftlichen Theoriediskurs der vergangenen Jahre so beeinflusst wie Chantal Mouffe und Ernesto Laclau - über Paradigmengrenzen hinweg. Beide verknüpfen neo-gramscianische, (post-)strukturalistische und psychoanalytische Theorieelemente und ermöglichen damit einerseits eine Erklärung von Ereignissen des politisch-diskursiven Geschehens, insbesondere der Ausbildung von Hegemonien, und andererseits eine normative Theorie der agonalen Demokratie. Die Beiträge dieses Bandes geben einen Überblick über wesentliche Denkfiguren von Laclau und Mouffe, setzen sich mit diesen kritisch auseinander und zeigen methodische und empirische Anschlussmöglichkeiten auf. Dieser Band enthält u.a. Originaltexte von Ernesto Laclau und Chantal Mouffe.
This article seeks to deal with the idea of identity in current democratic societies starting with the interpretation of Chantal Mouffe and her conceptions of citizenship, understood as a form of collective identity constructed for the means of identification of essential ethic-political values of liberal democracy, in other words, liberty and equality. In this way, starting from the "paradox" that, according to the author, defines the current political system -a paradox that results from the tension between liberal logic and democratic logic-, it will be advocated the defence of a radical plural democracy in which, once we have recognized the inevitability of antagonism and conflict, the political activity would be orientated towards the creation of political identities that, under a common preoccupation and the same Word play, recognize the other as a legitimate adversary and with this a plurality of loyalties as much as a defense of the individual liberty. ; El presente artículo tratará de abordar la cuestión de la identidad en las sociedades democráticas actuales a partir de la interpretación de Chantal Mouffe y de su concepción acerca de la ciudadanía, entendida ésta como forma de identidad colectiva construida por medio de la identificación con los valores ético-políticos esenciales de la democracia liberal, a saber, libertad e igualdad. De este modo, y partiendo de la "paradoja" que según la autora define al sistema político actual -paradoja resultado de la tensión entre la lógica liberal y la lógica democrática-, se abogará por la defensa de una democracia radical plural en la que, reconocida la inevitabilidad del conflicto y antagonismo, la actividad política quede orientada a la creación de identidades políticas que, bajo una preocupación común y un mismo juego de lenguaje, reconozcan a lo "otro" como adversario legítimo y con ello tanto una pluralidad de lealtades como la defensa de la libertad individual.
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La reprise de l'ampleur du terme « tyran » dans quelques contextes politiques exige une considération plus approfondie de sa spécificité en tant que position de sujet. Dans ce travail, nous proposons de penser ce tyran à partir des réflexions d'Ernesto Laclau et Chantal Mouffe. Nous commencerons plus généralement avec le sujet politique en esquissant la longue histoire de la recherche du sujet de l'émancipation. Une telle recherche a dû faire face à plusieurs échecs en n'arrivant pas à penser le sujet à la lumière de l'ouverture radicale du social. Ce social, traversé par l'antagonisme, est le champ discursif où se déroule le jeu hégémonique, au sein duquel nous trouverons comme participants non seulement le sujet de l'émancipation mais aussi le sujet de l'oppression posé comme son ennemi dans une relation antagonique. Au cours d'un tel jeu, « tyran » ne pourrait qu'être un nom accordé par un sujet visant l'émancipation à un tel ennemi. En rejetant toute tentation de doter le tyran une essence, nous nous rendrons compte de la précarité même de ce terme, qui n'est en fin de compte qu'un signifiant vide chargé de représenter un universel à la fois impossible et nécessaire – dans ce cas le crime total. Ainsi, le terme tyran n'a de pertinence pour désigner une position de sujet que dans la mesure où, comme signifiant vide, il fait l'objet d'une articulation hégémonique. C'est par la nomination même du tyran que le tyran est constitué, annonçant par cette même occasion le départ de tout un jeu hégémonique qu'est la politique tout court. ; Master [120] en philosophie, Université catholique de Louvain, 2018
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La reprise de l'ampleur du terme « tyran » dans quelques contextes politiques exige une considération plus approfondie de sa spécificité en tant que position de sujet. Dans ce travail, nous proposons de penser ce tyran à partir des réflexions d'Ernesto Laclau et Chantal Mouffe. Nous commencerons plus généralement avec le sujet politique en esquissant la longue histoire de la recherche du sujet de l'émancipation. Une telle recherche a dû faire face à plusieurs échecs en n'arrivant pas à penser le sujet à la lumière de l'ouverture radicale du social. Ce social, traversé par l'antagonisme, est le champ discursif où se déroule le jeu hégémonique, au sein duquel nous trouverons comme participants non seulement le sujet de l'émancipation mais aussi le sujet de l'oppression posé comme son ennemi dans une relation antagonique. Au cours d'un tel jeu, « tyran » ne pourrait qu'être un nom accordé par un sujet visant l'émancipation à un tel ennemi. En rejetant toute tentation de doter le tyran une essence, nous nous rendrons compte de la précarité même de ce terme, qui n'est en fin de compte qu'un signifiant vide chargé de représenter un universel à la fois impossible et nécessaire – dans ce cas le crime total. Ainsi, le terme tyran n'a de pertinence pour désigner une position de sujet que dans la mesure où, comme signifiant vide, il fait l'objet d'une articulation hégémonique. C'est par la nomination même du tyran que le tyran est constitué, annonçant par cette même occasion le départ de tout un jeu hégémonique qu'est la politique tout court. ; Master [120] en philosophie, Université catholique de Louvain, 2018
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In: Studies in political economy: SPE, Band 49, Heft 1, S. 131-148
ISSN: 1918-7033