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Strengthening and securing economic activity in rural areas figure among the objectives of French policy on the quality and origin of agricultural products. This is particular true for territories known for their harsh terrain. In mountainous Mediterranean hinterland regions, numerous quality schemes have been developed which rely in a more or less explicit manner on pastoralism. This article focuses on the relationship, made of synergies and paradoxes, between quality schemes and pastoralism in France. To do so, we build on an understanding of the dynamics and diversity of farms in 5 areas of the Mediterranean hinterland where 8 official quality labels are subject to certification. An analysis of the specifications of these quality schemes suggests that while they contribute to the recognition of pastoral livestock farming practices, they also tend to constrain them. To better respond to downstream demands, the schemes make choices regarding volumes and the seasonality of production that sometimes are inconsistent with pastoralism. Furthermore, while they undeniably contribute to territorial development, increases in the size and level of equipment of farms engaged in quality schemes are jeopardizing their genuinely pastoral character. ; Parmi les objectifs des politiques françaises en matière de qualité et d'origine des produits agricoles figurent le renforcement et la fixation d'une activité économique dans les territoires, qui font particulièrement sens dans les régions dites difficiles. Dans les régions de montagne de l'arrière-pays méditerranéen, de nombreuses démarches qualité ont ainsi vu le jour et s'appuient de manière plus ou moins explicite sur le pastoralisme. La question générale de cet article est celle de la relation, faite de synergies et de paradoxes, entre démarches qualité et pastoralisme en France. Nous nous appuyons pour cela sur la compréhension de la dynamique et de la diversité des exploitations d'élevage dans 5 zones de l'arrière-pays méditerranéen, dans lesquelles 8 signes officiels de ...

Résumé La gestion de la qualité désigne généralement l'ensemble des activités qui visent à produire le niveau de qualité souhaité. Afin d'améliorer la qualité des produits ou des services dans les secteurs privé et public, on utilise depuis longtemps la gestion de la qualité et différentes organisations l'appliquent d'une manière générale. Sa popularité semble cependant en baisse face à la multiplication des nouveaux mots à la mode dans les secteurs privé et public. Est-ce la fin de la gestion de la qualité ? Pas vraiment. La qualité est un élément fondamental dans l'innovation, dont on ne peut par conséquent pas ne pas tenir compte, même si sa popularité peut fluctuer. Dans la présente étude, nous examinons la situation de la gestion de la qualité en Corée du Sud en analysant son état et les évolutions conceptuelles d'un point de vue historique et comparatif. Historiquement, la gestion de la qualité dans la Corée moderne a été influencée par les pratiques japonaises et américaines. D'un point de vue comparatif, cependant, l'influence européenne sur la gestion de la qualité n'est pas importante en Corée. Remarques à l'intention des praticiens Les entrepreneurs et les consultants en affaires auront beau inventer de nouveaux mots à la mode et autres engouements, la gestion de la qualité ne va pas s'évanouir pour autant. L'amélioration continue est une pratique dont on ne voit pas la fin, à l'instar de la gestion de la qualité. On peut dire que les réformes et l'innovation gouvernementales ne disparaîtront jamais. L'importance de la gestion de la qualité sera donc une réalité persistante à l'avenir, dont le discours va peut-être évoluer ou qui va surfer sur une vague irrésistible de réformes en vue d'être adaptée. La qualité se retrouve dans l'innovation, et inversement.

National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.

National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.

National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.