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Motivated by recent time use studies in criminology, this study examined whether time diaries are suitable for measuring short and rare activities such as offending. The study compared time diary data collected among 843 adolescents from the conurbation of The Hague (the Netherlands) with stylized questionnaire data from the same respondents, and with stylized questionnaire data from another sample that is representative for Dutch adolescents (N = 1849). Based on the reported offenses in the diaries (N = 101), findings indicate that time diaries may underestimate population offense rates and may not capture offenses committed by low-frequent offenders. On the other hand, time diaries seem able to measure changes in individuals' involvement in offending over time and to capture most of the situational conditions under which offenses occur. The study concludes with suggestions for dealing with the problems associated with measuring short and rare activities.

The article summarizes 18 yrs of activities of UNESCO meant to develop U teaching & fundamental res in the soc sci field. Starting with a recapitulation of clearly internat'l efforts consisting in surveys of existing facilities by disciplines, regions & countries in diff cultural settings, as well as the publication of bibliographies & other documentary material, a bird's eye view is given of brief or long-term missions of soc sci'st's to diff parts of the world, & an assessment of 5 regional training & res centers founded by or under the auspices of UNESCO. An outline is presented of the main obstacles encountered in such endeavors for implanting diff soc sci disciplines in the academic circles of the developing countries. AA.

Contributor(s): Professor Laura Bear, Nikita Simpson, Professor Joan Roses, Dr Adam Oliver, Dr Clare Wenham, Professor Patrick Wallis | In this month's episode of the LSE IQ podcast we ask, 'What's the point of social science in a pandemic?'.

On the 23rd March 2020 Prime Minister Boris Johnson announced the country's first national lockdown. In the months since, there has been a seismic shift in all our lives. As we embark on 2021 and, hopefully, the latter stages of the pandemic, now is an apt moment to reflect on how we've got to where we are. While the scientific community has taken centre stage in the fight to overcome the virus, how have social scientists helped us navigate – and evaluate –the UK's response?

In this episode we talk to anthropologists Professor Laura Bear and Nikita Simpson, Economic historians Professor Patrick Wallis and Professor Joan Roses, Assistant Professor of Global Health Policy Dr Clare Wenham and behavioural economist Dr Adam Oliver.

Research

'A good death' during the Covid-19 pandemic in the UK: a report on key findings and recommendations, by the COVID and Care Research Group
A Right to Care: The Social Foundations of Recovery from COVID-19, by the COVID and Care Research Group
The Redistributive Effects of Pandemics: Evidence of the Spanish Flu. By Sergi Basco, Jordi Domenech, and Johanne Rohses
Separating behavioural science from the herd by Adam Oliver
Reciprocity and the art of behavioural public policy by Adam Oliver
What is the future of UK leadership in global health security post Covid-19? By Clare Wenham
A Dreadful Heritage: Interpreting Epidemic Disease at Eyam, 1666-2000, by Patrick Wallis
Eyam revisited: lessons from a plague village, by Patrick Wallis

Contributors

Professor Laura Bear
Nikita Simpson
Professor Joan Roses
Dr Adam Oliver
Dr Clare Wenham
Professor Patrick Wallis

Describes assessment activities by the College of Social and Behavioral Sciences by department for the academic year 2011-2012 ; The College of Social and Behavioral Sciences summary of assessment report for the Office of Academic Assessment. Assessment activities in the College of Social and Behavioral Sciences are conducted at the department level, facilitated by the College Assessment Coordinator. The college standard is that all departments are actively applying assessment data to improve their program???s learning outcomes. Eight out of the College's nine departments are doing so. The remaining department was directed to redesign their assessment program to be able to acquire meaningful data by Spring 2013. Departmental activities outlined include those of Anthropology, Geography, History, Pan African Studies, Political Science, Psychology, Social Work, Sociology, and Urban Studies and Planning.

This paper outlines the UK publishing landscape for the social and political sciences, with particular reference to academic journals. The changes and challenges being brought to this environment by open access (OA) are described and the response of UK publishers examined. While some of the initial caution among publishers towards OA in the social and political sciences is beginning to recede, the pressures of funding, perception and engagement remain considerable. Despite scepticism from some quarters about the future role of so-called 'legacy' publishers, it is argued that their skills, knowledge and innovation will make them a valuable part of the evolving, and ever more varied, scholarly communications arena.

International audience ; Entre ouverture des établissements à de nouveaux acteurs et création de nouvelles structures d'enfermement, entre humanisation des conditions de vie et sécurisation des lieux fermés, entre protection des droits des usagers et neutralisation des patients / détenus / retenus jugés dangereux, les lieux de privation de liberté résistent à l'application d'une seule grille de lecture par les sciences sociales. La dialectique ouverture/fermeture apparaît toutefois structurante dans la manière dont les institutions fermées ont été pensées, mises en œuvre, aménagées, justifiées et critiquées, quel que soit le contexte politique et historique dans lequel elles s'inscrivent. À partir de contributions traitant de divers lieux d'enfermement (institutions psychiatriques, bagne, établissements pénitentiaires, centres de rétention) sous des régimes politiques contrastés (Empires français et allemand au XIXe siècle, IIIe République française et régime colonial, dictature communiste en RDA ou démocraties contemporaines), ce numéro vise à nourrir le dialogue entre différentes disciplines des sciences sociales pour penser l'enfermement et ses murs. L'analyse des effets paradoxaux produits, sur les pratiques des acteurs, par les politiques d'ouverture et de fermeture (successives ou concomitantes, réelles ou mises en scène) dessine ainsi une cartographie complexe de la gestion des illégalismes par l'enfermement.

International audience ; Entre ouverture des établissements à de nouveaux acteurs et création de nouvelles structures d'enfermement, entre humanisation des conditions de vie et sécurisation des lieux fermés, entre protection des droits des usagers et neutralisation des patients / détenus / retenus jugés dangereux, les lieux de privation de liberté résistent à l'application d'une seule grille de lecture par les sciences sociales. La dialectique ouverture/fermeture apparaît toutefois structurante dans la manière dont les institutions fermées ont été pensées, mises en œuvre, aménagées, justifiées et critiquées, quel que soit le contexte politique et historique dans lequel elles s'inscrivent. À partir de contributions traitant de divers lieux d'enfermement (institutions psychiatriques, bagne, établissements pénitentiaires, centres de rétention) sous des régimes politiques contrastés (Empires français et allemand au XIXe siècle, IIIe République française et régime colonial, dictature communiste en RDA ou démocraties contemporaines), ce numéro vise à nourrir le dialogue entre différentes disciplines des sciences sociales pour penser l'enfermement et ses murs. L'analyse des effets paradoxaux produits, sur les pratiques des acteurs, par les politiques d'ouverture et de fermeture (successives ou concomitantes, réelles ou mises en scène) dessine ainsi une cartographie complexe de la gestion des illégalismes par l'enfermement.

International audience ; Entre ouverture des établissements à de nouveaux acteurs et création de nouvelles structures d'enfermement, entre humanisation des conditions de vie et sécurisation des lieux fermés, entre protection des droits des usagers et neutralisation des patients / détenus / retenus jugés dangereux, les lieux de privation de liberté résistent à l'application d'une seule grille de lecture par les sciences sociales. La dialectique ouverture/fermeture apparaît toutefois structurante dans la manière dont les institutions fermées ont été pensées, mises en œuvre, aménagées, justifiées et critiquées, quel que soit le contexte politique et historique dans lequel elles s'inscrivent. À partir de contributions traitant de divers lieux d'enfermement (institutions psychiatriques, bagne, établissements pénitentiaires, centres de rétention) sous des régimes politiques contrastés (Empires français et allemand au XIXe siècle, IIIe République française et régime colonial, dictature communiste en RDA ou démocraties contemporaines), ce numéro vise à nourrir le dialogue entre différentes disciplines des sciences sociales pour penser l'enfermement et ses murs. L'analyse des effets paradoxaux produits, sur les pratiques des acteurs, par les politiques d'ouverture et de fermeture (successives ou concomitantes, réelles ou mises en scène) dessine ainsi une cartographie complexe de la gestion des illégalismes par l'enfermement.

International audience ; Entre ouverture des établissements à de nouveaux acteurs et création de nouvelles structures d'enfermement, entre humanisation des conditions de vie et sécurisation des lieux fermés, entre protection des droits des usagers et neutralisation des patients / détenus / retenus jugés dangereux, les lieux de privation de liberté résistent à l'application d'une seule grille de lecture par les sciences sociales. La dialectique ouverture/fermeture apparaît toutefois structurante dans la manière dont les institutions fermées ont été pensées, mises en œuvre, aménagées, justifiées et critiquées, quel que soit le contexte politique et historique dans lequel elles s'inscrivent. À partir de contributions traitant de divers lieux d'enfermement (institutions psychiatriques, bagne, établissements pénitentiaires, centres de rétention) sous des régimes politiques contrastés (Empires français et allemand au XIXe siècle, IIIe République française et régime colonial, dictature communiste en RDA ou démocraties contemporaines), ce numéro vise à nourrir le dialogue entre différentes disciplines des sciences sociales pour penser l'enfermement et ses murs. L'analyse des effets paradoxaux produits, sur les pratiques des acteurs, par les politiques d'ouverture et de fermeture (successives ou concomitantes, réelles ou mises en scène) dessine ainsi une cartographie complexe de la gestion des illégalismes par l'enfermement.

International audience ; Entre ouverture des établissements à de nouveaux acteurs et création de nouvelles structures d'enfermement, entre humanisation des conditions de vie et sécurisation des lieux fermés, entre protection des droits des usagers et neutralisation des patients / détenus / retenus jugés dangereux, les lieux de privation de liberté résistent à l'application d'une seule grille de lecture par les sciences sociales. La dialectique ouverture/fermeture apparaît toutefois structurante dans la manière dont les institutions fermées ont été pensées, mises en œuvre, aménagées, justifiées et critiquées, quel que soit le contexte politique et historique dans lequel elles s'inscrivent. À partir de contributions traitant de divers lieux d'enfermement (institutions psychiatriques, bagne, établissements pénitentiaires, centres de rétention) sous des régimes politiques contrastés (Empires français et allemand au XIXe siècle, IIIe République française et régime colonial, dictature communiste en RDA ou démocraties contemporaines), ce numéro vise à nourrir le dialogue entre différentes disciplines des sciences sociales pour penser l'enfermement et ses murs. L'analyse des effets paradoxaux produits, sur les pratiques des acteurs, par les politiques d'ouverture et de fermeture (successives ou concomitantes, réelles ou mises en scène) dessine ainsi une cartographie complexe de la gestion des illégalismes par l'enfermement.