Zusammenfassung: Weltweit ist eine vermehrte Sichtbarkeit handlungsorientierter und realitätsverändernder Ansprüche künstlerischer Praxen erkennbar, die zunehmend in unterschiedlichsten gesellschaftlichen und wissenschaftlichen Zusammenhängen wirken. Der Text gibt konkrete Beispiele und stellt diese in den Zusammenhang mit globalen Transformationsprozessen und sich verändernden Kunstverständnissen. Die paradigmatische Qualität dieser Veränderungen wirken zudem auf die Referenzsysteme unserer Wissensproduktion. Dies befördert Praxis basierte und geleitete Forschung sowie cross-, transkulturelle und –soziale Kollaborationen, so etwa bei der FOA-FLUX (foa-flux.net) Forschung zu Kunst in globalen Kontexten.Schlüsselwörter: Bildende Kunst, Kunstpraxis, Kollaboration, Netzwerke, selbstverantwortliches Tun, Globalisierung, Meta-Wandel, Kunstforschung, Praxis-basierte und -geleitete Forschung. ; Summary: Worldwide there is an increased visibility of artistic practices making activity-orientated and reality-changing demands that increasingly impact on in the most diverse societal and scientific interrelationships. This text provides concrete examples and relates these to global transformation processes and a changing understanding of art. In addition, the paradigm quality of these changes, impact as a reference system for our knowledge production. This encourages practice-based and practice-guided research as well as cross-cultural, trans-cultural and social collaboration as is the case with the FOA-FLUX (foa-flux.net) research into art in global contexts.Keywords: visual arts, art, art practice, collaboration, networks, personally accountable action, globalization, meta-change, research into art, practice-based and led research, activity-orientated, reality-changing. ; Normalisation ou diversité? Adaptation normalisée ou actions relevant de sa propre initiative? Des exemples récents issus de la théorie, de la pratique et de la formation artistique viennent illustrer ces quatre termes de référence. En tant qu'artiste, enseignante et chercheuse à l'École Supérieure des Arts de Zurich, mais aussi co-fondatrice et directrice de la société de recherche indépendante FOA-FLUX qui étudie l'art dans des contextes mondialisés, je m'intéresse aux potentiels actuels et futurs des méthodes de travail artistique. Citons notamment, à ce sujet, la visibilité croissante au plan international des revendications d'action et de modification de la réalité des pratiques artistiques. Les artistes interviennent de plus en plus dans des contextes sociaux et scientifiques divers – phénomène que j'ai déjà désigné ailleurs par "artists working reality" (Lämmli 2014). Certaines de ces activités sont visibles sur la scène artistique internationale et dans les expositions, beaucoup se déroulent localement et à travers les réseaux internationaux de pairs. Cette évolution se distingue notamment dans le contexte actuel de transition forcée vers la compréhension de l'art et le discours artistique. Il s'agit d'un effet produit par les processus de transformation mondiale qui va aboutir à un repositionnement de contenu du discours artistique dans un proche avenir. Ces évolutions acquièrent, par ailleurs, une qualité de paradigme et agissent aussi directement sur les systèmes de référence de notre production de savoir.Le texte « Make people think! » dépeint ce contexte et peut, à ce titre, être considéré comme une brève introduction à ces processus dynamiques actuels dans le domaine des arts visuels.Il débute en faisant référence à des exemples concrets de pratiques artistiques. Puis il cite des processus de transformation, intégrés à la compréhension de l'art, et les explique en partant de l'art contemporain. Cette catégorie n'est, certes, pas nouvelle, mais son contenu a fondamentalement évolué. Il démontre aussi la façon dont les effets épistémologiques de ces tendances peuvent être intégrés dans la production de savoir en rapport avec l'art dans un contexte global sur la base des recherches de FOA-FLUX.Voici quelques-unes des pratiques artistiques évoquées: Kër Thiossane, atelier de création et de production artistique à Dakar, Sénégal; Bee Collective, équipe néerlandaise et interdisciplinaire qui a élaboré une ruche solaire pour milieux urbains; Atelier des réfugiés de Zurich, où les personnes issues de divers pays et vivant en exil en Suisse – pour des raisons politiques – traitent des réalités quotidiennes, de leurs expériences traumatiques et des postures politiques; Hackteria, organisation internationale et plateforme Internet qui donne accès à des informations et propose des travaux collaboratifs par le biais de « Nomadic Science » et les « Democratized Labs »; « My Stealthy Freedom » et « Blank Noise » qui abordent sur des réseaux en ligne et par des performances les violences faites aux femmes dans les espaces publics iranien et indien; Hong Kong House of Stories, centre communautaire qui favorise la transmission horizontale de savoirs en poursuivant une stratégie artistique.Ces initiatives et d'autres réseaux d'artistes ont été présentés lors de l'exposition, inspirée de la recherche, « Art in Action » (2014, Museum Bärengasse Zurich et Connecting Space Hong Kong). Certains de ces réseaux ne font même pas apparaitre le terme d'art. Lors du congrès « Art • Life • Technology » qui a rassemblé des groupes d'artistes d'inde, de Hong Kong, d'Indonésie, de Norvège, de Grande-Bretagne et de Suisse à Bangalore, en Inde, certains participants ont indiqué ne pas utiliser sciemment la notion d'art quand ils communiquent sur des projets en lien avec des actions sociales. La raison invoquée est que le terme d'art véhicule des préjugés laissant penser que l'action est élitiste, éloignée des réalités et à ne pas prendre au sérieux.Les recherches de la société FOA-FLUX sur l'art pratiqué dans un contexte mondial s'intéressent à ces évolutions actuelles en partant de la réalité et en les intégrant aux discussions théoriques et méta-théoriques. Partir de la réalité signifie prendre en compte les différentes interprétations des arts, les nouvelles évolutions et les propres interprétations des artistes dans divers contextes et ainsi créer des discussions et lancer des actions multidimensionnelles.L'entreprise de recherche indépendante travaille donc dans des communautés transculturelles et plurisociales où les intervenants artistiques peuvent échanger leurs savoirs, se questionner mutuellement et produire en collaboration. La recherche est d'une part, basée sur la pratique (practice-based) – les travaux artistiques constituent la base de l'apport de savoir – et d'autre part, dirigée par la pratique (practice-led) – elle mène à de nouvelles interprétations de la pratique artistique. Les connaissances acquises dans le cadre des recherches pratiques sont transposées au plan (méta-)théorique puis sont comparées afin de redéfinir des catégories et de déterminer ce qui correspond à la recherche informée, basée sur la réalité (informed research approach).Le texte s'achève par la référence à un avis communiqué par un participant indien au congrès « Art • Life • Technology ». Il a été impressionné de voir que les projets de jeunes participants en particulier s'élaborent à partir d'un dialogue et d'interactions, mettent l'accent sur le partage de savoirs et les possibilités de production et tendent vers des conditions de vie plus humaines et durables. Il a résumé son idée par les termes « humble and human ».Mots clés: arts (visuels), pratique artistique, collaboration, réseaux, action responsable, mondialisation, méta-mutation, recherche sur les arts, recherche basée sur l'art et dirigé par l'art, axé sur l'action, modifiant la réalité ; Riassunto: A livello mondiale si assiste a una maggiore visibilità per le rivendicazioni di prassi artistiche orientate all'azione e che influenzano la realtà. Queste agiscono in modo crescente in diversi contesti sociali e scientifici. Il testo fornisce esempi concreti e li mette in relazione con processi di trasformazione globale e una comprensione dell'arte che sta mutando. La qualità paradigmatica di questi mutamenti si ripercuote inoltre sui sistemi di riferimento della nostra produzione del sapere. Questo promuove la ricerca orientata alla pratica e la ricerca guidata nonché collaborazioni trasversali, transculturali e sociali come ad esempio la ricerca FOA-FLUX (foa-flux.net) relativa all'arte in contesti globali.Parole chiave: arte: (visiva), prassi artistica, collaborazione, reti, comportamento autoresponsabile, globalizzazione, meta trasformazione, ricerca artistica, ricerca orientata alla pratica e ricerca guidata, orientato all'azione, che influenza la realtà.
Inhaltsangabe:Einleitung: Problemstellung und Zielsetzung: Mit der zunehmenden Internationalisierung des Wirtschaftslebens ist die Zahl der deutsch-russischen Geschäftskontakte rasch gestiegen. Doch mit der steigenden Effizienz stieg auch das Konfliktpotenzial, das mögliche Wettbewerbsvorteile vernichtet. Nach der Auflösung des Ostblocks und bei dem Versuch der Ost-West-Annäherung wurde die Basis des Ost-West-Gegensatzes nicht mehr wie vorher im Politisch-Wirtschaftlichen gesehen, sondern zunehmend im Kulturellen. Der Eiserne Vorhang und der Kalte Krieg wurden durch eine neue Grenze ersetzt, die den Namen Mauer in den Köpfen bekam. Das brachte die Herausforderung mit sich, die Reibungsverluste in den interkulturellen Verhandlungssituationen zu minimieren. Somit gewann auch das Thema Interkulturelles Lernen stark an Bedeutung. Im Mittelpunkt dieser Arbeit stehen die Missverständnisse, die im Rahmen deutsch-russischer Zusammenarbeit entstanden sind bzw. entstehen können. Beim Entwerfen des theoretischen Rahmens sowie bei der Analyse erhobener Daten wird von der Annahme ausgegangen, dass die Unterschiede in den Werteorientierungen der Interaktionspartner ein hohes Potential für Missverständnisse bergen. Dabei sind die Ursachen für die Missverständnisse nicht die kulturellen Unterschiede an sich, sondern vielmehr die Annahme, dass es diese nicht gibt. Die Forschungsproblematik beinhaltet somit zwei Ebenen: die Ebene der kulturellen Unterschiede, die für die Geschäftsbeziehungen zwischen Deutschen und Russen relevant sind, und die Ebene der daraus resultierenden Missverständnisse. Von daher werden für die theoretische Untermauerung des Forschungsproblems zwei theoretische Gebilde miteinander verknüpft. Das innere Theoriegebilde besteht aus den Theorien über die Werteorientierungen von G. Hofstede, E. T. Hall sowie F. Trompenaars. Den äußeren theoretischen Rahmen bildet die 'Mindful Identity Negotiation' - Theorie von Ting-Toomey. Der Ansatz von Ting-Toomey ermöglicht, die vielfältigen Aspekte der interkulturellen Problematik systematisch zu betrachten, und bildet eine Brücke zwischen den Kulturunterschieden und den daraus resultierenden Missverständnissen. Das gesamte Theoriegebilde dient als Basis für die Entwicklung des hier vorgestellten 'Mindful Identity Negotiation for Business' - Modells, anhand dessen die Analyse der Missverständnisse in den deutsch-russischen Geschäftsbeziehungen vorgenommen werden soll. Untersucht wird lediglich jener Teilaspekt der zugrunde liegenden Theorie, der sich auf die Werteorientierungen bezieht. Anschließend dienen die Untersuchungsergebnisse der Konstruktion zweier Fallstudien, die ein Bestandteil des vorgeschlagenen bikulturellen Trainingskonzepts sind. Struktur dieser Arbeit: Den konzeptionellen Überlegungen von oben folgend, besteht diese Arbeit aus drei Teilen: dem Theorieteil, dem Untersuchungsteil und dem Anwendungsteil. Im Teil I werden zunächst die Schlüsselbegriffe erläutert. Der Abschnitt 3 stellt den theoretischen Rahmen dieser Diplomarbeit vor. Da die Bildung eines kulturspezifischen Kategorienrahmens für die Analyse der Missverständnisse in den deutsch-russischen Geschäftsbeziehungen auf der 'Mindful Identity Negotiation' - Theorie von Ting-Toomey basiert, wird diese zuerst vorgestellt. Im Hinblick auf den Schwerpunkt der Untersuchung werden die Theorien zu den Werteorientierungen detailliert behandelt. Die kulturhistorische Verankerung der forschungsrelevanten Aspekte wird ebenfalls aufgezeigt. Im darauf folgenden Abschnitt wird die 'Mindful Identity Negotiation' - Theorie als neuer Kategorisierungsrahmen für die Analyse der Missverständnisse in den deutsch-russischen Geschäftsinteraktionen vorgestellt. Teil II dieser Arbeit widmet sich der eigentlichen Untersuchung. Im Abschnitt 4 wird das Forschungsdesign vorgestellt. Anschließend werden in den Abschnitten 5 und 6 die Ergebnisse präsentiert und die Untersuchungsmethode kritisch gewürdigt. Die Interpretation der Untersuchungsergebnisse mit abschließender Diskussion befindet sich im Teilabschnitt 7. Der letzte Teil dieser Arbeit besteht aus einem theoretischen und einem praktischen Abschnitt. Der Theorieteil widmet sich der Konzeption des bikulturellen Trainings. Die im Rahmen der Konstruktion des Trainingsinstruments vorgenommene Validierung ergänzt den praktischen Teil dieser Arbeit. Am Schluss wird das Trainingskonzept (Ablauf) vorgestellt und gewürdigt. Im Schlusswort werden die zentralen Ergebnisse dieser Arbeit zusammengefasst und die Implikationen für die weitere Forschung aufgezeigt.Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: TabellenverzeichnisI AbbildungsverzeichnisII AnhangsverzeichnisIII AbkürzungsverzeichnisIV 1.Einleitung1 1.1Problemstellung und Zielsetzung1 1.2Struktur dieser Arbeit2 Teil I: Theoretischer Rahmen3 2.Begriffsbestimmung3 2.1Kultur und Interkultur3 2.2Geschäftsbeziehungen als besondere Art der Interaktion5 2.3Interkulturelle Kommunikation und Missverständnisse5 3.Theorien zur interkulturellen Forschung und die relevante Teile der Kulturgeschichte8 3.1'Mindful Identity Negotiation' - Theorie8 3.1.1Begründung der Theorieauswahl und die 'Identity Negotiation' - Perspektive8 3.1.2Modell der interkulturellen Kommunikation nach Ting-Toomey9 3.1.3Theorien zu den Werteorientierungen13 3.1.3.1Dimensionen nach G. Hofstede14 3.1.3.2Zeitorientierung nach E. T. Hall16 3.1.3.3Dimensionierung der Arbeitskulturen nach F. Trompenaars17 3.1.3.4Kritische Würdigung der Dimensionierungskonzepte18 3.2Historische Hintergründe20 3.2.1Kulturerbe Russlands20 3.2.2Kulturerbe Deutschlands22 3.3'Mindful Identity Negotiation for Business' - Modell23 3.3.1Flexibilität vs. Terminierung26 3.3.2Das geschäftsbezogene Rollenverständnis27 Teil II: Untersuchung31 4.Untersuchungsdesign31 4.1Überlegungen zur Auswahl der Forschungsmethode31 4.2Untersuchungsschritte32 4.2.1Auswahl der Stichprobe33 4.2.2Kategoriensystem und Kodierschema 134 4.2.2.1Analyseeinheiten34 4.2.2.2Einschätzungsdimension34 4.2.3Kodierschema 2: Sonderkategorie36 4.2.4Interviewleitfaden37 4.2.5Die Datenerhebung und -erfassung38 4.2.6Datenaufbereitung und Auswertungsschritte39 5.Ergebnisse der Untersuchung40 6.Kritische Würdigung der Untersuchungsmethode42 7.Interpretation und Diskussion der Ergebnisse44 7.1Potenzial für Missverständnisse aufgrund der Unterschiede in den Terminierungs- und Flexibilitätspräferenzen45 7.2Unterschiede im geschäftsbezogenen Rollenverständnis als Quelle der Missverständnisse46 7.3Sonstige Ursachen für die Missverständnisse in den deutsch-russischen Geschäftsbeziehungen: Versuch einer Strukturierung51 7.4Zusammenfassung der Ergebnisse und Zwischenfazit53 Teil III: Interkulturelles Training54 8.Theoretische Vorüberlegungen zu interkulturellen Trainings54 8.1Trainingsziele55 8.2Cultur Assimilator und Critical Incidents56 8.2.1Möglichkeiten und Grenzen der Trainingsmethode56 8.2.2Fallkonstruktion: Methodische Vorgehensweise57 9.Validierungsverfahren58 9.1Vorgehensweise bei der Validierung58 9.2Validierungsergebnisse59 10.Trainingsablauf60 11.Kritische Würdigung des Trainingskonzepts61 12.Schlusswort und Ausblick62 Literaturverzeichnis64 Anhang74Textprobe:Textprobe: Kapitel 3.2, Historische Hintergründe: Die Erklärung der Tiefenstruktur einer Kultur bedarf einer historischen Fundierung. Anhand der historischen Eckdaten und Prozesse wird im Folgenden versucht, die Wurzeln der Werteorientierungen beider Kulturen abzuleiten. Kulturerbe Russlands: Bei der Ausformung der russischen Arbeitskultur haben neben den klimatisch-geografischen Bedingungen das Zarentum, die Ostkirche, das kommunistisch-sozialistische Ideologie- und Wirtschaftssystem sowie der momentan andauernde Transformationsprozess eine entscheidende Rolle gespielt. Seit dem 10. Jahrhundert (mit der Christianisierung) wurde Russland patriarchalisch und absolutistisch regiert. Zuerst der Großfürst und später der Zar verfolgten als Ziel die Unterordnung der Kirche und die Integration aller ethnischen Gruppierungen, um das Regieren des riesigen Landes zu erleichtern. Durch die osmanische Fremdherrschaft (1236-1480) war Russlands Entwicklung von der Europas abgespalten und somit blieb auch der durch das Bürgertum angetriebene gesellschaftliche Progress aus. Das Fehlen von Privateigentum und Bourgeoisie sind dabei die gravierendsten Folgen. Die Orthodoxe Kirche beeinflusste zusätzlich das (ökonomische) Denken und Handeln der Russen. Sie trägt nach Lyskow-Strewe Schroll-Machl folgende Züge: (1) Sie prägte ein Gott-Königtum und steht nie in Rivalität zum Staat; (2) Sie sieht das Leiden als natürlichen und zu akzeptierenden Bestandteil des Lebens an (was im Zusammenhang mit einer ausgeprägten Mystik eine demütige Akzeptanz der Welt, einen Fatalismus, eine unendliche Geduld und Opferbereitschaft zur Folge hat); (3) Sie lehnt das Recht als Bestandteil der religiösen Ethik völlig ab und 'ersetzt' es durch die Brüderlichkeit als wichtige Basis für das Zusammenleben. Die Fähigkeit zum Mitgefühl und zur Solidarität wird ebenfalls stark betont. 'Die Zaristische Autokratie ging nahtlos in die bolschewistische Diktatur über'. Der Totalitarismus, die Einparteienregierung sowie die Zentralverwaltungswirtschaft haben die russische Mentalität weitere 70 Jahre geprägt. Die Kommunistische Ära hat die kollektiven Organisationsmuster im russischen Alltag und das Massenbewusstsein in den Menschen tief verankert: Defizitäre Zustände und eine starke Bürokratisierung haben dazu geführt, dass die informellen Netzwerke, die immer schon schwer durchschaubar waren, noch mehr an Bedeutung zunahmen. Die Misstrauenshaltung, die sich in der Zeit der Massenrepressionen entwickelte, ist in vielen Bereichen des Geschäftslebens heute immer noch präsent. Die allgegenwärtige Kontrolle, die Willkür der Entscheidungen und Sanktionen bewirken eine Scheu vor möglicher Verantwortungsübernahme. Der Verzicht auf freie Meinungsäußerung und Kritik war zu dieser Zeit auch überlebenswichtig. Anstelle eigenverantwortlicher Entscheidungen und persönlicher Initiative war Konformität, das Warten auf die Anweisung 'von oben' oder die Hoffnung auf ein Wunder angesagt. Die absolute Isolation Russlands von den westlichen Kulturen während des Kalten Krieges führte zu einem Bild des Westeuropäers, das auf wenigen und eher ideologisch verzerrten Stereotypen aufbaute. Der Transformationsprozess in Russland ist aber außer durch wirtschaftliche auch durch zahlreiche mentale Barrieren behindert. Dem globalen Trend zufolge wird heutzutage auch Russlands Gesellschaft mehr und mehr individualistisch. Somit zeichnet sie sich heutzutage durch das Spannungsverhältnis zwischen pro- und contrawestlichen Wertemustern aus. Die sozialen und politischen Strukturen sind immer noch stark hierarchisch. Die während des Sozialismus eingepaukten Tugenden, 'bescheiden zu sein' und 'nicht auffallen zu wollen', hemmen auch heute noch die Entfaltungs- und Innovationskraft der russischen Arbeitskräfte und sorgen dafür, dass sie daher auf dem globalen Markt nicht konkurrenzfähig sind. Das an Personen gebundene Vertrauen äußert sich in der Tatsache, dass trotzt der geringen Identifikation mit dem Staat das Vertrauen in die 'Starke Hand' sehr hoch ist. Im Geschäftskontext stellt die Bürokratie einen Hauptrisikofaktor dar. Als Folge des Erodierens des Kontroll- und Sanktionsapparats verbreitete sich die Korruption. Unter diesen Umständen sind der Aufbau und die Pflege von informellen Kontaktnetzen zum Erfolgsfaktor Nummer 1 für das heutige Geschäftsleben geworden. Diese Mechanismen des informellen Tausches von Privilegien mit dem Ziel der Unsicherheits- und Konkurrenzreduktion tragen den Namen 'Blat'. Die heutige Entscheidungssituation ist durch Intransparenz, Ineffizienz, Instabilität und Unzuverlässigkeit der wichtigsten gesellschaftlichen Institutionen gekennzeichnet und erschwert somit die langfristige Planung und macht sie somit schlichtweg unmöglich. Stattdessen sind Flexibilität, Erfindungsgeist und Kreativität gefragt. Kulturerbe Deutschlands: Nach Schroll-Machl haben insbesondere 'das lange Verharren in der Kleinräumigkeit der Territorialstaaten", 'die Lehren des Protestantismus" sowie 'mehrfache existenzielle Erschütterungen" die deutsche Arbeitskultur nachhaltig geprägt. Durch die Kleinstaatlichkeit war es leicht, die Pflichten der Bürger zu kontrollieren. Die Kontrolle ging dabei nicht nur von der Obrigkeit aus, sondern auch unmittelbar von den Nachbarn. Nur im Privaten entfiel sie. Die beruflichen und privaten Bereiche wurden dadurch streng getrennt. Das unter diesen Umständen entstandene enorme Pfichtbewusstsein wurde im Lauf der Zeit verinnerlicht. Bedingt durch die Enge des Staatswesens sowie eine absolute Isolation nach Außen entwickelte sich die Liebe zu Ordnung und Detail. Mit der zunehmenden Industrialisierung und Automation setzte sich eine strikte (monochrone) Zeitreglementierung durch. Im Gegensatz zu der von der Mystik durchdränkten Orthodoxie wurde beim Protestantismus sehr viel Wert auf Sachlichkeit und Rationalität gelegt. Der Stellenwert des Berufs war beim Protestantismus ebenfalls sehr hoch. Nach Luthers Aussage: 'Hilf dir selbst, dann hilft dir Gott" waren die Menschen für ihre Lebensgestaltung selbst verantwortlich. Damit hat die protestantische Arbeitsethik von den Menschen vor allem Eigeninitiative, Disziplin und Entscheidungsfähigkeit erwartet. Im 20. Jahrhundert wurden die Verhaltensstandards in ganz Europa (und somit auch in Deutschland) gravierend verändert. Unter anderem haben sich die Machtgefälle zwischen (1) Männern und Frauen, (2) den älteren und jüngeren Generationen, (3) den europäischen Gesellschaften gegenüber dem Rest der Welt und insbesondere zu ihren ehemaligen Kolonien und (teilweise) (4) zwischen den Regierenden und den Regierten verringert. Nach dem Zusammenbruch 1945 bemühte man sich verstärkt um sachorientierte Arbeitsweisen und vermied es weitgehend, den Stellenwert der einzelnen Person zu unterstreichen. Überlebenswichtig erschien in der Aufbauzeit auch die Konzentration auf eine pflichtbewusste Rollenübernahme. Die kritische Grundhaltung der Deutschen zu ihrer Vergangenheit hat zur Revitalisierung und Demokratisierung der Nachkriegsgesellschaft entscheidend beigetragen. Zwischenfazit: Die kulturellen Unterschiede resultieren in unterschiedlichen Vorstellungen vom Wünschenswerten und beinhalten grundsätzlich ein vorhandenes Potenzial für Missverständnisse. Inwieweit diese Missverständnisse im Einzelfall lediglich zu Irritationen führen oder im Sonderfall sogar zu Konflikten eskalieren, hängt in starkem Maße ab von ihrer Wahrnehmung, die ihrerseits stark von den Vorkenntnissen über den anderen Kulturkreis sowie von der individuellen Anpassungsfähigkeit und -bereitschaft abhängt.
Der Anbau von Gemüse in urbanen Gebieten stellt eine nachhaltige Strategie zur Nahrungsmittelsicherheit dar. Obwohl Gemüseanbau oft als Überlebensstrategie armer Bevölkerungsgruppen betrachtet wird, praktizieren ihn städtische Bewohner aller Einkommensschichten. Angesichts wachsender Bevölkerungszahlen in den Städten und steigender Armut wird der Anbau von Nahrungsmitteln zu einem entscheidenden Faktor der Existenzgrundlage, auch wenn er in vielen Entwicklungsländern – so auch in Ghana – offiziell untersagt ist. Im städtischen Großraum Tamale, im Norden Ghanas, wird Gemüseanbau durch Landknappheit, unklare Besitzverhältnisse und Wassermangel beeinträchtigt. Farmer weichen deshalb auf Flächen entlang temporärer Bachläufe, Abwasserkanäle, Erdlöcher, Brunnen, kaputter Abflussrohre und Rückhaltebecken aus. Urbanisierung und steigende Marktwerte für Land sowie unregulierte Grundstücksmärkte haben zu einem Anstieg an Landverkäufen in urbanen und peri-urbanen Gebieten geführt. Dabei konkurriert urbane Landwirtschaft mit anderen – ökonomisch gewinnträchtigeren – Formen der Landnutzung, wie beispielsweise der Industrie und des Wohnungsbaus. Für die Farmer besteht das größte Problem des rasanten urbanen Wachstums in den sich verändernden Landnutzungsmustern. Diese haben nicht nur zu einer Verringerung primärer Ackerflächen geführt, sondern auch zu geringerer landwirtschaftlicher Produktivität, einem niedrigen Lebensstandard und Nahrungsmittelunsicherheit. Die Situation im städtischen Großraum Tamale und den umliegenden Gebieten bildet diese Veränderungen besonders eindrücklich ab. Die vorliegende Arbeit analysiert die sozio-politische Konfiguration, die Ressourcenflüsse in Aktivitäten der urbanen Landwirtschaft, verstanden als Produktion und Vermarktung landwirtschaftlicher und gartenbaulicher Produkte, kanalisiert. Sie untersucht, wie die Farmer diesen Prozess durch verschiedene Governance-Systeme in ihren jeweiligen sozio-ökonomischen Umgebungen bewältigen und es notwendig machen, verschiedene Technologien in unterschiedlichem Maße zu bewerten und einzusetzen. Nach einer allgemeinen Stichprobenumfrage in Kombination mit einem Participatory-Appraisal-Ansatz zur Feststellung der spezifischen Eigenschaften des urbanen und peri-urbanen landwirtschaftlichen Systems, habe ich ein Mixed-Method-Design für meine Studie angewandt. Mit Hilfe des Global Positioning Systems (GPS) erfasste ich quantitative räumliche Daten aller freistehenden Anbauflächen. Mit einer unbemannten Drohne wurde eine Luftbildvermessung durchgeführt und mit der ArcGIS Software kartiert. Zusätzlich habe ich Google Earth-Aufnahmen mit Erinnerungen von Farmern trianguliert. Qualitative Daten erhob ich durch Gruppendiskussionen, mit Hilfe teilnehmender Fotografie, in Interviews und durch teilnehmende Beobachtung. Die Forschung fand zwischen Oktober 2013 und Februar 2015 statt. Die Ergebnisse zeigen, dass sich die landwirtschaftlich genutzte Fläche in Tamale und Umgebung zwischen 2008 und 2014 trotz gleichzeitiger Entstehung neuer Gemüsefelder an den Stadträndern um 8,3 % verringerte. Obwohl die landwirtschaftlichen Flächen weniger werden, ist Gemüseanbau kein temporäres Phänomen. Der Gemüseanbau hat eine außergewöhnliche Resistenz gegen verschiedene Widerstände bewiesen und ohne externe Initiative oder Unterstützung eine Nische eingenommen. Er profitiert dabei von seiner Nähe zum Markt, der hohen Nachfrage nach schnell verderblichen Produkten und den fehlenden Möglichkeiten, Waren gekühlt zu transportieren. Obwohl Farmer immer wieder ihren Standort wechseln, sind andere Freiflächen – oftmals diejenigen, die als Bauland ungeeignet sind – das gesamte letzte Jahrhundert hindurch landwirtschaftlich genutzt worden. Die Studie zeigt, dass Konflikte zwischen traditionellen- und Regierungsinstitutionen um Landbesitz und -management die Nahrungsmittelsicherheit nicht nur gefährden, sondern gleichzeitig auch zu innovativen städtischen Versorgungsstrukturen führen. Im Zusammenspiel aus freundschaftlichen Beziehungen und Netzwerken zwischen Farmern und anderen Akteuren sind innovative Strategien hervorgegangen. Beispielsweise werden Überflutungsgebiete oder öffentliche Grünanlagen kultiviert, die weder von Chiefs verkauft noch von der Regierung bebaut werden können. Auch erschließen sich die Akteure den Kontakt zu Nichtregierungsorganisationen, die in der urbanen Landwirtschaft eine Überlebensstrategie und eine zukunftsfähige Alternative zur Herstellung von Nahrungsmittelsicherheit sehen und die Gemüsegärtner folglich unterstützen. Komplexe sozio-politische Realitäten wie der Mangel an verlässlichen legalen Rahmenbedingungen für städtischen Anbau führen durch unterschiedliche Landmanagementsysteme zu Konflikten zwischen "traditionellen" und staatlichen Institutionen. Akteure in diesen Konflikten sind Chieftaincy-Institutionen, die Landkommission, das Administrative Office of Stool Lands, sowie die Stadt- und Landschaftsplanungsbehörde. In ihrem Zusammenspiel kreieren diese Institutionen Räume, in denen Ressourcenzugang und –kontrolle in Form historischer Zugänge, öffentlicher Diskurse und Technologien immer wieder neu geformt werden. Zum Beispiel instrumentalisieren Farmer historische Erzählungen oder eignen sich Entwicklungsdiskurse an, um Landzugang einzufordern. Chiefs hingegen schöpfen ihre Autorität aus öffentlichen Diskursen, die sie als gewohnheitsmäßige Landeigentümer legitimieren. Sie beziehen sich darüber hinaus auf die Verfassung aus dem Jahr 1992, die Chiefs mit Machtressourcen ausstattet, indem sie ihnen erlaubt, Landfragen direkt zu klären sowie enteignetes Land an die Besitzer zurückzugeben, sofern die Regierung es nicht mehr benötigt. Um ihre Ansprüche auf Land geltend zu machen, errichten Farmer hingegen Umzäunungen, entfernen territoriale Markierungspfosten und zapfen Wasserleitungen an. Nichtregierungsorganisationen unterstützen die Farmer, indem sie ihnen Zugang zu Technologien wie solarbetriebene Bewässerung, Treibhäuser und verbessertes Saatgut ermöglichen. Der Zugang von Frauen zu landwirtschaftlich nutzbarem Land in einer mehrheitlich männlichen dominierten Produktionsweise wird erschwert durch eine permanente Rekonstruktion von Tradition, die eine männliche Herrschaft in Landangelegenheiten reklamiert. Dennoch verfügen Frauen über eine Vielzahl flexibler Strategien, um sich trotz Knappheit Zugang zu Land zu verschaffen und ihrer Rolle in der Versorgung des Haushalts nachzukommen. An Bewässerungsstandorten, die von Regierungsbehörden kontrolliert und verwaltet werden, wurden Bewirtschaftungspraktiken zur Unterstützung von Frauen eingeführt, die es den Frauen ermöglichen, direkten Landzugang zu erhalten, anstatt wie gewohnheitsrechtlich Zugang zu Land ausschließlich über ihre Ehemänner zu erhalten. Hierdurch ergaben sich Veränderungen in den Besitzverhältnissen der Frauen gegenüber Land. Landbesitz von Frauen in der Umgebung von Bewässerungsstandorten stellt ein bislang ungeschildertes Phänomen in der Literatur über Gender und Ressourcenzugang in Ghana und in Afrika im Allgemeinen dar. Die theoretischen Implikationen der Studie beziehen sich auf die Erkenntnis, dass Farmer Akteure sind, die überlegte Entscheidungen zwischen unterschiedlichen ihnen zur Verfügung stehenden Governance-Systemen treffen, um ihre Interessen bestmöglich durchzusetzen. Indem sie beispielsweise innerhalb ihres Netzwerks aus diversen Unterstützern wie Nichtregierungsorganisationen, Chiefs und Regierungsbehören manövrieren, verhandeln sie effektiv den Zugang zu und die Kontrolle über Ressourcen. Auch nutzen Farmer diverse Foren wie zum Beispiel Versammlungen und Gerichtsverhandlungen, um ihre Ansprüche durchzusetzen und zu rechtfertigen und um bestehende Governance-Stukturen zu hinterfragen. Sie ignorieren administrative Vorgaben oder umgehen sie, um wiederum diejenigen Governance-Systeme zu stabilisieren, mit denen sie sich verbündet haben. Im Prozess des Entscheidens für ein bestimmtes Governance-System und damit gegen ein anderes, entsteht ein neues Governance-System. In einigen Fällen werden mehrere Governance-Systeme miteinander verknüpft, so dass neue, an die Interessen des jeweiligen Akteurs angepasste hybride Systeme entstehen. Zusammenfassend lässt sich feststellen, dass Interaktionen zwischen Akteuren nicht nur Szenarien von Kooperation und Konflikt darstellen, sondern darüber hinaus auch Prozesse der gegenseitigen Gestaltung und der Ko-Konstruktion von Governance-Systemen sind. Diese spielen eine entscheidende Rolle dafür, wie Gender, Landknappheit und Nahrungsmittelsicherheit mit dem Zugang zu und der Kontrolle von Ressourcen in urbanen und peri-urbanen Gebieten interagieren. Die auf Grundlage dieser Ergebnisse formulierte Empfehlung lautet, dass Stadtplanungspolitiken das Phänomen der urbanen Landwirtschaft integrieren müssen, wenn städtische Armut verringert und Nahrungsmittelsicherheit gewährleistet werden soll. Überflutungsgebiete oder Grünflächen sollten Farmern legal und transparent im Hinblick auf die Zuteilungsmechanismen zur Verfügung gestellt werden. Neue Formen von städtischer Landwirtschaft wie Gemüseanbau in Säcken oder andere innovative Methoden, die der sozialen Realität der Stadtbewohner angepasst sind, sollten eingeführt und die Kapazitäten der Farmer gestärkt werden, sich diese anzueignen. Schlagwörter: Gemüseproduktion, Technologie, Ressourcen, Beziehungen, Legitimität, Zugang, Governance ; Vegetable farming in Ghana`s urban areas is mostly a sustainable livelihood strategy. Alt-hough it is considered a means of survival for the poor, vegetable farming is practiced by urban dwellers across the income spectrum. As poverty and urban population increase, so is the need to supplement income with privately cultivated foodstuff. In Ghana's Northern Regional capital of Tamale, vegetable farming is constrained by a number of factors including land availability, land tenure security, and access to water. As a result, many vegetable farmers have resorted to cultivating lands along streams and canals, dugouts, wells, broken sewers, and reservoirs. The scarcity of land for vegetable farming in the urban and peri-urban areas of Ghana is as the result of competition. Farming competes with other land use forms such as industry and housing, both of which attract higher economic rents. The most serious threat to farmers posed by urbanization is the changing land use pattern. Changes in land use have resulted in less availability of prime agricultural land for farming which has lowered agricultural production, food security, and standard of living. Such is the situation in the Tamale metropolitan area and its surroundings in Ghana's Northern Region. This study analyzes the socio-political process by which resource flows are directed towards the production and selling of vegetables in Ghana`s urban areas. It examines how this process is managed by farmers through different governance systems in diverse socio-economic environments which prompt them to value the different technologies differently. I employed a mixed-method approach for this study after a general random sampled survey, and a participatory appraisal was conducted to characterize the urban and peri-urban agricultural system. I collected quantitative spatial data by measuring all open space cultivated areas with a Global Positioning Systems (GPS). Aerial maps were obtained with an Un-manned Aerial Vehicle (UAV) and mapped with ArcGIS software. Images from Google Earth maps triangulated farmers' recollection. Qualitative data were collected using focus group discussions, participatory photography, interviews and participant observation. This study was carried out between October 2013 and February 2015. Results reveal that the area of cultivated farmlands has decreased by 8.3% between 2008 and 2014, even as new vegetable sites emerged in the peri-urban fringes. Even though these farming areas are reducing, vegetable farming is not a temporary phenomenon. It has shown a remarkable resistance against various constraints and maintains a niche without external initiative or support as it takes advantage of market proximity, the high demand for perishable cash crops and the typical lack of refrigerated transport. Although farmers change their location over time, other open areas - usually those unsuited for construction - have been under continuous cropping for the past century. This study found that conflict between traditional and government institutions over land ownership and management has inadvertently led to innovative provisioning in vegetable production in the city, even though it has simultaneously threatened its contribution to food and nutritional security. Innovative strategies for continual vegetable production have emerged as a result of cordial relationships and networks that have developed between farmers and other actors. For example, farmers cultivate public green zones and floodplains which cannot legally be sold by chiefs nor used to construct government buildings. Farmers are also building alliances with Non-Governmental Organizations (NGO) that see urban agriculture as a viable activity and survival strategy for urban and peri-urban dwellers to maintain agricultural activity. Furthermore, the lack of a legal framework for urban farming in the Tamale area has led to conflicts between traditional and state institutions with implications for land tenure management systems. The conflict is often between the various chieftaincy institutions, the Lands Commission, the Administrative Office of Stool Lands, and the Town and Country Planning Department. Claim to land and other resources is made through historical recollections, public discourses, and technology. For example, farmers use stories from past events to legitimise their claims over land or restructure development discourses while chiefs rely on public discussions and discourses which support their rights as customary landowners to lay claim to lands. Chiefs also make use of the statutory laws and the 1992 Constitution which empowers the chieftaincy institution and puts within its jurisdiction lands not claimed by the government. To circumvent boundaries created by chiefs and others, farmers employ technologies such as fencing and pipe-borne water connections systems. Their efforts are supplemented by non-governmental organizations who furnish them with equipment such as solar-powered irrigation facilities, greenhouses, and improved seeds in order to boost their production. Moreover, women's access to farmland has always been hampered by the reconstruction of traditions that support male dominance in land affairs. However, some recent policy developments have renegotiated the condition of access to farmlands in favour of women. For instance, the introduction of gender-sensitive agricultural practices on government irrigation sites has resulted in the allocation of plots of land directly to women as opposed to through their male relatives as it was previously done. This has revolutionised the traditional gender roles in agriculture and has empowered women through primary land ownership. Women's ownership of land on irrigation sites is a novel finding that contributes to the broader literature on gender and resource access in Ghana and Africa. The theoretical implication of this study is that farmers' choice of, or relationship to, various local, national, and international actors is not foreordained but is instead based, to a large extent, on pragmatism. For example, by shifting alliances between non-governmental organisations and the government or supreme chiefs, they facilitate cooperation and possible negotiation for access and control over resources in their interests. Farmers also use multiple forums like meetings and courts to be able to gain legitimacy and challenge existing governance systems. Actors sometimes ignore or employ distinct strands of governance or undermine them to achieve their aims. These challenges are often used to gain legitimacy for the governance systems they are allied with. In the process of choosing one governance system over another, a new governance system comes into being. In other cases, combinations of different governance systems are forced to construct new hybrid systems tailored to an actor's interest. To conclude, the interplay between the various actors (farmers, traditional chiefs, government and non-governmental agencies) is not always a simple case of cooperation or conflict. Instead, it is a malleable process of mutual reshaping and co-construction of the governance systems which reconfigure gender roles, improve access to scarce lands, and increase food security. It is my strong recommendation that urban planning policy makers integrate agriculture into the larger discourse about poverty reduction and the alleviation of food insecurity. Green zones and flood-prone government lands in the urban areas which are currently been wasted should be allocated to farmers for food cultivation. This, however, must come with clearly defined mandates and guidelines that err on the side of transparency in land allocation and ownership. Innovative methods such as the farming of vegetables in sacks and other locally suitable means of maximizing production should be introduced alongside the strengthening of farmers' capacity to adopt those means.
Córdoba es la segunda ciudad más poblada de la Argentina, y posee el ejido municipal más extenso del país, siendo un importante centro industrial y de servicios del centro del país. Es además la cabecera de la segunda región metropolitana argentina, el Área Metropolitana de Córdoba (AMCBA). Si bien el desarrollo de sus áreas centrales y periurbanas es un tema bastante desarrollado académicamente, actualmente hay un vacío de conocimiento en la situación actual de las áreas pericentrales e intermedias de esta ciudad -aun cuando ocupan más del 30% del área urbanizada y donde habita la mayor parte de su población-. Es en estas áreas donde se ubica el objeto de estudio de esta tesis: los barrios pericentrales que forman un anillo alrededor del área central. Originados como extensiones suburbanas alrededor de 1940, y consolidados como barrios residenciales de clase media y media alta de baja densidad antes de 1970, ocupan lo que son hoy algunas de las áreas con mejor calidad ambiental y urbana de la ciudad. Los barrios pericentrales son considerados generalmente consolidados y estables; sin embargo, analizados en detalle, muestran complejas transformaciones: un vaciamiento poblacional constante, a pesar del crecimiento demográfico en general de Córdoba y el AMCBA; aumento de inmuebles abandonados; y a diferencia de sectores en una similar posición, no son objeto de grandes inversiones inmobiliarias de renovación urbana. Esta situación es invisibilizada, en parte por ser resultado de procesos con poco impacto relativo en la ciudad, y en parte porque estos procesos no están contemplados por los modelos urbanos locales vigentes –basados en la teoría racionalista y determinista de principios del siglo XX-, que conceptualizan a los barrios pericentrales como una "panacea urbana". Esta tesis puso en disputa estos modelos, partiendo de la discusión sobre un fenómeno informal detectado indefectiblemente (aunque no exclusivamente) en estos barrios pericentrales: la microdensificación emergente. La imposibilidad de colocar los inmuebles existentes en el mercado hace que los propietarios busquen nuevas formas de valorizar sus propiedades, de facilitar el acceso a la vivienda a sus hijos o de invertir sus ahorros de forma segura, obteniendo una fuente adicional de ingresos: en cada parcela edificada se aumenta la cantidad de unidades funcionales, aprovechando la superficie construible vacante o refuncionalizando las construcciones obsoletas, aunque manteniendo el grano y la escala de intervención respecto al tejido existente. La oferta de hábitat en estos barrios se diversifica, y no sólo evita la expulsión de población, sino que también atrae a nuevos habitantes. Además, en un tejido originalmente sólo residencial, incorpora actividades de comercio y servicios que enriquecen el tejido funcional. El proceso se realiza sin planificación general (y por supuesto fuera del marco legal): es la suma de acciones individuales que se reconstruyen como una "tendencia" o "patrón emergente", revitalizando el tejido urbano de forma sutil pero definitiva. Se planteó como hipótesis que la microdensificación emergente es un proceso de revitalización que aprovecha el potencial del tejido de estos barrios de forma más sostenible y eficiente que el modelo impuesto formalmente. 10 La tesis se encuadró bajo el enfoque sistémico de la complejidad. Este enfoque entiende a la ciudad como un sistema complejo y dinámico, en desarrollo constante; determinado más por las interrelaciones entre sus componentes y entre esos componentes y el contexto, que por las condiciones de cada elemento individualmente. La calidad y cantidad de estas interacciones es primordial, al punto de definir la condición urbana de una aglomeración. Según estas premisas, un sistema urbano sostenible y eficiente será aquel que, maximizando recursos materiales y humanos (y de acuerdo a la capacidad de carga del sistema) desarrolle de redes de intercambio múltiples, diversas y descentralizadas, que generen procesos de sinergia y desarrollo inclusivos. La investigación se estructuró entonces de forma tal de responder las siguientes preguntas: • En primer lugar, ¿cuáles son las condiciones específicas que catalizan la microdensificación en los barrios pericentrales de Córdoba? • Siendo la microdensificación una respuesta a una situación particular dentro del sistema urbano, ¿Cuál es el grado de sostenibilidad y eficiencia que aporta a los barrios pericentrales (en particular) y a Córdoba (en general)? • Y tras haber identificado su impacto en la estructura urbana, su potencial transformador y organizativo, ¿puede el estudio de los procesos emergentes hacer un aporte conceptual e instrumental a los modelos locales de planeamiento urbano? Primeramente, un análisis documental reconstruyó la condición específica de los barrios pericentrales, y el escenario actual de Córdoba con respecto a la producción y acceso al hábitat urbano. Luego se infirió un escenario tendencial a corto y mediano plazo, que sirvió para definir distintos patrones de territorialización, incluyendo el patrón "formal" de los barrios pericentrales. Se continuó con el análisis específico de la microdensificación, proponiendo un escenario posible a mediano plazo donde el patrón de microdensificación ha sido plenamente desarrollado, transformando cuali y cuantitativamente el tejido espacio-funcional y socioeconómico. A partir de estos resultados, se realizó un análisis comparativo de los distintos patrones de desarrollo urbano de Córdoba en cuanto a su sostenibilidad y eficiencia. Se demostró que el patrón de microdensificación en los barrios pericentrales es mucho más sostenible y eficiente que los patrones formales existentes, y se abrió la discusión que se desarrolla en la última parte de esta tesis: El argumento desarrollado en esta investigación y los resultados que de él se desprenden tienen un carácter analítico y explicativo útil para el análisis de otros escenarios en el contexto urbano argentino y latinoamericano. En primer lugar, sobre preferir la revitalización progresiva frente a la renovación total o la creación de nuevo suelo urbano en la periferia; promover una ciudad compacta, diversa e inclusiva tanto social como funcionalmente; basada en la multiplicación y diversificación de los agentes productores de ciudad; que considera estos procesos, así como los mecanismos de empoderamiento, participación y gobernanza como instrumentos para lograr mayor sostenibilidad y eficiencia en el desarrollo urbano. Por otro lado, esta tesis puso en relevancia el rol de los procesos emergentes en un sistema urbano como mecanismo vital para generar esta revitalización. Finalmente, se discute el aporte del enfoque sistémico para comprender, explicar y proponer intervenciones a la disciplina. ; Córdoba ist die Hauptstadt der gleichnamigen Provinz im Nordosten Argentiniens. Sie ist der Mittelpunkt der zweitgrößten Metropolregion des Landes (bekannt unter der spanischen Abkürzung AMCBA) und ein wichtiges kulturelles und wirtschaftliches Zentrum des Landes. Derzeit scheint die Stadt durch zwei gegensätzlichen Prozesse geprägt, die zeitgleich von statten gehen: Einerseits die Erneuerung des Zentralbereichs und der Umgebung durch Hyperverdichtung, mit dem damit verbundenen Verlust des sozialen und architektonischen Erbes und dem Zusammenbruch der vorhandenen Infrastruktur-Netzwerke. Anderseits die Expansion der gebauten Stadt auf ländliche und industrielle Gebiete der städtischen Peripherie, was aufgrund einer abnehmenden Belegungsdichte immer mehr zu einer Verdünnung der Stadtstruktur führt. Darüber hinaus konzentriert sich der Wohnungsbau auf immer kleinere Gruppen und dies obwohl sich sowohl der Wohnungsbau beschleunigt als auch das Angebot an urbanen Wohnräumen erhöht: Während private Immobilienprojekte fast ausschließlich auf Bevölkerungsgruppen mit hohem Einkommen und Investoren, die nicht in der Stadt wohnen, ausgerichtet sind, sind die staatlichen Investitionen im sozialen Wohnungsbau ausschließlich für die Bevölkerungsgruppen mit den niedrigsten Einkommen bestimmt. Dadurch entsteht ein Defizit an Wohnangeboten für die Mittelschicht Córdobas, die fast 45% der Stadtbevölkerung ausmacht. Diese Schwerpunktsetzung ist auch bei lokalen Stadtforschern und Stadtplanern zu erkennen. Die aktuelle Situation der perizentralen Gebiete und Zwischenbereiche der Stadt sind weniger präsent, obgleich diese mehr als 30 % der urbanisierten Stadtfläche einnehmen und von der Mehrheit der Stadtbevölkerung bewohnt werden. Um diese Wissenslücke zu schließen, stehen die perizentralen Stadtviertel, die das Stadtzentrum umschließen, im Mittelpunkt dieser Arbeit. Sie sind ab 1940 als Erweiterungen der Vorstadt entstanden und etablierten sich im Laufe der 1960er Jahre als Wohngebiete mit einer geringen Bevölkerungsdichte, die heute von der Mittelschicht bewohnt werden und die höchste Umweltqualität und urbane Qualität der Stadt aufweisen. Die Gesetzgebung begrenzt dabei die Bebauung der Grundstücke auf Einfamilienhäusern, um die gewünschte geringe Bevölkerungsdichte beizubehalten. Man könnte die Untersuchung von bereits konsolidierten und stabilen urbanen Sektoren als sinnlos betrachten. Doch, wenn sie im Detail analysiert werden, zeigen sich komplexe demografische, räumliche und funktionale Transformationen, die von Interesse sind. Obwohl sich über die Jahre hinweg in diesen Stadtvierteln das bis zu diesem Moment angeblich "perfekteste" Wohnmodell materialisiert hat, nämlich ein Modell, welches "alle möglichen städtischen Wohnbedürfnisse erfüllt", leidet das soziale Gefüge und die bebaute Umwelt darunter. Das aktuelle Szenario zeigt, trotz des demografischen Wachstums von Cordoba und der Metropolregion AMCBA, einen konstanten Bevölkerungsrückgang in diesen Stadtvierteln: Junge Leute verlassen die Wohngegenden, während die zurückbleibende Bevölkerung altert und die Anzahl an verlassenen Gebäude stetig steigt. Für die auf dem Immobilienmarkt angebotenen Gebäude ist es schwierig, den Immobilienwert zu halten geschweige denn Käufer zu finden. Im Gegensatz zu anderen Bereichen der Stadt, die sich in einer ähnlichen Position befinden, sind diese Stadtviertel nicht im Fokus großer Immobilienaktivitäten. Dies widerspricht ihrer privilegierten Lage innerhalb der Stadtstruktur. 2 Diese Entwicklungen wurden lange Zeit übersehen. Zum einen da sie das Ergebnis von Prozessen sind, die wenig Auswirkungen auf die Stadt haben und zum anderen weil diese Prozesse in den heutigen lokalen städtischen Wohnmodellen nicht berücksichtigt werden, welche auf rationalistischen und deterministischen Theorien aus dem Anfang des 20. Jahrhunderts basieren und diese perizentralen Stadtviertel als städtisches Allheilmittel betrachten. Es ist unmöglich eine Hypothese abzuleiten, die aktuelle oder zukünftige Szenarios der perizentralen Stadtviertel in Córdoba unter diesen Rahmenbedingungen erklärt. Daher stellt diese Arbeit solche Modelle und ihre Fähigkeit, die Entwicklung der Stadt zu erklären oder in ihr effektiv zu arbeiten, in Frage und schlägt einen theoretischen Rahmen vor, der zum Verständnis, zur Erklärung und zur effektiven Umsetzung in der Stadt beitragen soll. Dies erfolgt auf Grundlage der Auseinandersetzung mit einem informellen Phänomen, welches deutlich (aber nicht ausschließlich) in diesen perizentralen Stadtvierteln erkennbar ist: die aufkommende Mikroverdichtung. Aufgrund der bereits genannten Unmöglichkeit, existierende Immobilien gewinnbringend auf den Markt zu bringen, suchen Eigentümer neue Wege, um ihr Wohneigentum aufzuwerten, ihren Kindern den Zugang zu einer Wohnung zu erleichtern oder ihre Ersparnisse sicher zu investieren und sich dadurch eine zusätzliche Einnahmequelle außerhalb des traditionellen Immobilienmarktes zu sichern. Aus diesem Grund erhöhen die Eigentümer die Anzahl der funktionalen Einheiten auf ihrem Grundstück, indem sie freie Fläche bebauen oder veraltete Konstruktionen renovieren. Das Stadtgefüge wird dabei durch diese Eingriffe nicht tiefgreifend verändert. Des Weiteren wird das Wohnraumangebot in diesen Stadtvierteln umfangreicher und verhindert nicht nur die Verdrängung der alten Bewohner, sondern zieht auch neue an. Auch werden dem ursprünglichen Wohngebiet zusätzliche nicht-residentielle Nutzungen hinzugefügt, die das Stadtgefüge bereichern. Letztendlich hat die Mikroverdichtung der perizentralen Nachbarschaften eine spezielle Eigenschaft, und zwar seinen emergenten / aufkommenden Zustand: Der Prozess erfolgt ohne allgemeine Planung (und auch außerhalb des rechtlichen Rahmens). Hauptakteure dieses Wandels sind die Eigentümer selbst, die ohne jegliche vorherige Absprachen agieren. Ob aus Notwendigkeit oder aus Opportunismus heraus, es handelt sich dabei um einen fragmentierten Prozess. Es beinhaltet eine Vielzahl individueller Aktionen, die als ein "Trend" oder "neu aufkommendes Muster" innerhalb der allgemeinen Organisation der perizentralen Stadtviertel zu begreifen sind und das Stadtgefüge auf subtile aber endgültige Art und Weise erneuern. Die vorliegende Arbeit stellt die Hypothese auf, dass die aufkommende Mikroverdichtung in diesen Stadtvierteln von Córdoba ein Revitalisierungsprozess ist, der das Potenzial des Stadtgefüges nachhaltiger und effizienter nutzt als das formell auferlegte Stadtentwicklungsmodell. Aufgrund des offenkundigen Gegensatzes zwischen dieser Hypothese und den aktuellen Rahmenbedingungen der lokalen Stadtentwicklung, ist es notwendig, einen theoretischen Rahmen zu schaffen, der die offensichtlichen Widersprüche auflöst und die Arbeitshypothese einrahmt. Diese These ordnet sich dem systemischen Ansatz der Komplexität zu, der analytischen Erforschung von komplexen Systemen. Dieser theoretische Rahmen ermöglicht, die aufkommenden Prozesse als integraler Bestandteil einer Stadt (ein "urbanes System"), seine Entwicklung im Laufe der Zeit, seine Komplexität und die Faktoren, von denen die urbane Nachhaltigkeit und Effizienz abhängen, zu erklären. Der systemische Ansatz begreift die Stadt als ein komplexes und dynamisches System in ständiger Entwicklung; ein System, das eher durch die Wechselbeziehungen zwischen seinen Komponenten und zwischen diesen und dem Kontext bestimmt wird, als durch den einzelnen Zustand jedes Elements. Die Qualität und Quantität dieser Interaktionen steht dabei an erster Stelle und definiert sogar den urbanen Zustand eines Ballungsgebietes. Urbanität ist nicht allein durch ihre Größe oder ihre Dichte gegeben, sondern ist gemäß der Synergie definiert, die durch eine Vielzahl an verschiedenen Interaktionen und Wech3 selwirkungen zwischen unterschiedlichen Akteuren produziert wird. Dieser Prozess heißt Synoikismos. Die Entfaltung der technologischen, sozialen und politischen Entwicklungen und Innovationen, die den städtischen Zustand charakterisieren, ist das inhärente Ergebnis dieser Interaktionen und eine direkte Funktion ihrer Intensität, Vielfalt und Redundanz, sowohl räumlich als auch zeitlich. Laut diesen Voraussetzungen ist ein nachhaltiges und effizientes Städtesystem eines, das durch die Maximierung der menschlichen und materiellen Ressourcen (und der Systembelastbarkeit entsprechend) mehrere unterschiedliche und dezentrale Austauschnetzwerke entwickelt, die inklusive Synergie- und Entwicklungsprozesse erzeugen. Dies bedeutet zum einen eine energieeffiziente Stadt, auch effizient im Konsum jeglicher Ressourcen und zum anderen eine kompakte Stadt, welche mehrere Begegnungen zwischen verschiedenen Akteuren ermöglicht, die Beteiligung an politischen Mechanismen und die intensive Nutzung des öffentlichen Raums, die Fußgängermobilität und eine funktionale und soziale Vielfalt in der Stadt fördert. Dies schließt auch Flexibilität und Anpassungsfähigkeit an Veränderungen durch Widerstands- oder Transformationsprozesse ein. Laut den lokalen Stadtentwicklungsmodellen, sind aufkommende und informelle Prozesse, wie die Mikroverdichtung, ein Zeichen der Krise im städtischen System: Anomalien, die durch die Entwicklung von schädlichen Prozessen im Konflikt mit dem Rest der Stadtstruktur entstanden sind. Konflikte, die sogar zum Zusammenbruch führen können. Laut dem theoretischen Ansatz dieser Arbeit jedoch, können diese Prozesse auch als Versuch des Systems verstanden werden, sich selbst zu regulieren und sich an neue Situationen anzupassen: Als Antwort auf ein ungelöstes Spannungsszenario; eine Art und Weise, in der das System sich selbst organisiert, um auf diese Spannung zu reagieren, indem ein neues Gleichgewicht gesucht wird. Die Arbeit strukturiert sich anhand von diesem theoretischen Rahmen, um die folgenden Fragen beantworten zu können: • Erstens, welche besonderen Rahmenbedingungen führen zu der aufkommenden Mikroverdichtung in den perizentralen Stadtvierteln in Córdoba? • Begreift man die Mikroverdichtung als Antwort auf eine bestimmte Situation innerhalb des städtischen Systems, stellt sich folgende zweite Frage: Welches Ausmaß an Nachhaltigkeit und Effizienz ermöglichen die Prozesse der Mikroverdichtung in den perizentralen Stadtvierteln im Speziellen und in Córdoba im Allgemeinen? • Nach der Identifizierung der Auswirkungen dieser Prozesse auf die Stadtstruktur, sowie des damit einhergehenden transformativen und organisatorischen Potenzials steht die dritte Frage im Raum: Kann die Erforschung von aufkommenden Prozessen dieser Art einen konzeptionellen und instrumentellen Beitrag zur lokalen Stadtplanung leisten? Um diesen Fragen nachzugehen wurde im weiteren Verlauf der Forschung eine Dokumentenanalyse durchgeführt, um den spezifischen Zustand der perizentralen Stadtviertel, der das Phänomen der aufkommenden Mikroverdichtung ermöglicht, zu rekonstruieren. Diese Analyse vollzog sich in zwei Schritten: Als Erstes wurden die perizentralen Stadtviertel und der Grund für ihr besonderes Urbanisierungsmuster historisch rekonstruiert und dadurch als (nahezu) monofunktionelle Wohnviertel mit einer geringen Bevölkerungsdichte identifiziert. Als Zweites wurde das aktuelle urbane Szenario Córdobas hinsichtlich der Produktion von und dem Zugang zu städtischem Habitat analysiert, um urbane, regionale und globale Variablen zu entwickeln, die die Entwicklungstrends der Stadt bestimmen. Dieses Vorgehen ermöglichte die Formulierung eines umfassendes Arguments, das alle Prozesse erklärt, die bisher als "gleichzeitig aber widersprüchlich" erfasst wurden. Darüber hinaus erklärt und prognostiziert dieses Argument die "undenkbare" Situation von perizentralen Stadtvierteln. Nach der Rekonstruktion des aktuellen Szenarios wurde ein kurzes und mittelfristiges (10 Jahren) Trendszenario des Phänomens abgeleitet. Dies diente dazu, die unterschiedlichen 4 Entwicklungsmuster in Córdoba zu vergleichen und deren Auswirkungen auf die Stadtstruktur zu bewerten. Im weiteren Verlauf der Arbeit wurde die Analyse der Mikroverdichtung hinsichtlich der Veränderungen im sozialen, funktionalen und räumlichen Stadtgefüge fortgeführt. Als Ergebnis wurde ein mögliches Zukunftsszenario vorgeschlagen, bei dem das Muster der Mikroverdichtung formalisiert und somit das räumlich-funktionale und sozioökonomische Gefüge der Stadtviertel transformiert wurde. Anschließend wurden das Potenzial und die Stärken (und Schwächen) gegenüber dem mittelfristigen Trendszenario von Córdoba und den perizentralen Stadtvierteln spezifiziert. Basierend auf diesen Ergebnissen wurden verschiedene Stadtentwicklungsmuster von Córdoba mithilfe der Variablen analysiert, die als strukturelle Bedingungen für Nachhaltigkeit und Effizienz definiert waren. Mit dem Ergebnis, dass die Nachhaltigkeit und die Effizienz der Mikroverdichtungsszenarien deutlich größer war als in den aktuellen Trendszenarien. Die vorliegende Analyse konnte somit die Hypothese dieser Arbeit belegen. Im letzten Abschnitt der Arbeit wurde der Diskussionsteil eröffnet. Die erste Diskussion befasste sich mit der Entwicklung, die eine progressive Revitalisierung fördert anstatt einer vollständigen Erneuerung des Stadtgefüges oder der Schaffung von neuem städtischem Land in der ruralen Peripherie der Stadt. Zudem fördert sie sowohl auf soziale, räumliche als auch funktionale Art und Weise eine kompakte, vielfältige und integrative Stadt. Diese Entwicklung beruht auf der Multiplikation und Diversifizierung der Akteure, die im Städtebau involviert sind, und betrachtet diese Prozesse, sowie die Ermächtigungs-, Beteiligungs- und Staatsführungsmechanismen als Instrumente zur Erlangung einer größeren Nachhaltigkeit und Effizienz in der Stadtentwicklung. Das bedeutet, eine Stadt, die in der Lage ist, kreativere Synergien zu schaffen und so zu sozialen, technologischen und wirtschaftlichen Vorteilen kommt. Des Weiteren betonte diese Arbeit die Rolle der aufkommenden Prozesse in einem städtischen System. Die aufkommende Mikroverdichtung hat wenig Einfluss auf die städtische Struktur von Córdoba. Jedoch ist es ein wichtiger Mechanismus, um die Verarmung und den Verlust von Ressourcen in perizentralen Bereichen und Zwischengebieten zu verhindern, d.h. um den partiellen Zusammenbruch der städtischen Struktur zu vermeiden und gleichzeitig Urbanität in Gebieten zu schaffen, die als bloße Wohnungsviertel charakterisiert sind. In der Stadtplanung ist es wichtig, auf aufkommende Prozesse in der Stadtentwicklung und auf die Erzeugung von Synergien Wert zu legen. Ihre Einbeziehung in die kritische Analyse beinhaltet die Entwicklung von Planungsinstrumenten, die nicht nur die Notwendigkeit der Dezentralisierung der Stadtentwicklung und der Entscheidungsfindung erkennen können, sondern die auch in der Lage sind, die Ungewissheit als Variable zu integrieren. Darüber hinaus müssen sie flexibel genug sein, um Veränderungen und die Notwendigkeit für Korrekturen und Anpassungen im Laufe der Zeit zu erkennen. Das Argument dieser Arbeit hat einen analytischen und erklärenden Charakter, der für die Analyse von anderen urbanen Szenarien in Argentinien und Lateinamerika nützlich ist. Dies ermöglicht die Verallgemeinerung sowohl der Ergebnisse als auch der theoretischen Annäherung an städtische Phänomene, basierend auf dem Stadt-Verständnis als komplexes, für ihre Umgebung offenes System, welches weit entfernt vom Gleichgewicht ist. Der größte Beitrag dieser Arbeit zur Urbanistik ist das Verständnis der Rolle der aufkommenden Phänomene und die Analyse der Widersprüche und Spannungen innerhalb der traditionellen lokalen Stadtmodelle, die auch Ausgrenzungen und Ungerechtigkeit im Zugang zu Stadt hervorhebt. Die Rolle des Staates und des Immobilienmarktes in der Stadtentwicklung von Cordoba wurde denaturiert und eine dialektische Artikulation der Logik des territorialen Lebensraumes in der Stadt, die sowohl Produktions- und Zugangsstrategien als auch die scheinbaren Widersprüche in der Stadtentwicklung der lateinamerikanischen mittelgroßen Städten erklärt, wurde vorgeschlagen. ; Córdoba is the capital of the province of Córdoba, in Argentina. It is also the principal city of the second-most populous metropolitan area of the country, the Greater Córdoba Metropolitan Area (AMCBA according to its acronym in Spanish), with strengths in business, automotive industry, culture, education, and research. Currently, the city seems to develop in two simultaneous and opposing processes: On the one hand, renovation by densification of the central area and its extensions, with losses of social and built heritage, and the collapse of infrastructure networks that this entails. On the other hand, extension of the urbanized area over rural and industrial periphery, with dwindling occupancy densities that dilute the urban structure more and more in the territory. Besides that, although housing production accelerates -increasing its supply-, it is concentrated in ever smaller groups: while real estate projects are targeted almost exclusively at high-income sectors and investors who do not live in the city, State investment in social housing is allocated exclusively to lower income sectors. This situation produces a deficit in proposals aimed at the so-called "middle class", even though it makes up of almost 45% of the city´s population. In addition, these processes concentrate the interest of the greater part of both local academics and urban planners. This situation produces a knowledge gap in the current situation of Córdoba´s pericentral and intermediate areas, which occupy more than 30% of the city´s urbanized land (and where the majority of this city´s inhabitants reside). It is there where this thesis´ case study is located: the pericentral districts that surround the central area. They originated as suburban extensions around 1940, and consolidated as middle-class/low-density residential neighborhoods before 1970. Today, they occupy some of the best environmental and urban quality areas of the city. Even land-use regulation specifically limits occupancy to single-family dwellings on individual plots to maintain the desired low-density residential neighborhood pattern. We can discuss the futility of studying urban sectors considered already consolidated and stable; however, when analyzed in detail, pericentral areas show complex demographic, spatial, and functional transformations that contradict this characterization: Despite the fact that these neighborhoods materializes the supposedly "most perfect" residential model known until now, a model "that solves each and every one of the urban-life needs", its social and built fabric resents. The current scenario shows a constant population-shrinking process, in spite of the demographic growth of both Córdoba and the AMCBA. Young people leaves these neighborhoods, while the remaining population ages. Abandoned buildings constantly increase; the ones offered in the real estate market have difficulties to find buyers, or even to maintain their price, which contradicts its privileged status within the city. At the same time -and unlike areas in a similar position- these neighborhoods are not the object of major real estate investments. Local academics and urban planners overlook this situation, in part because it is the result of processes with relative less impact in the city, and in part because these processes are not covered by current local urban models -based on the rationalist and deterministic urban theory of early 20th century-, which conceptualize suburban neigh6 borhoods as an urban panacea. It is impossible to deduce a hypothesis that explains the current nor the trend scenario of pericentral neighborhoods of Córdoba in terms of that framework. Therefore, this thesis discussed those theoretical models, and its capacity to explain Córdoba´s development. It proposed a theoretical framework that allowed understanding, explaining, and operating effectively in the city. It did so based on the discussion of an informal phenomenon unfailingly (but not exclusively) detected in pericentral neighborhoods: the emergent micro-densification. Given the impossibility of advantageously placing their properties in the housing market -due to factors such as land-use restrictions, and specific conditions of the local real estate market-, the landowners seek new ways to valorize their properties, facilitate access to housing for their children, or profitably invest their savings, obtaining an additional income outside the "traditional" real estate market. They increase the number of functional units in their plots, occupying the vacant building area or refurbishing obsolete constructions, while maintaining the intervention scale in relation to the existing urban fabric. These neighborhoods´ housing supply diversifies; and it not only prevents the expulsion of population, but it also attracts new inhabitants. In addition, in an originally residential fabric, it incorporates non-residential activities that enrich the urban fabric. Finally, micro-densification in pericentral neighborhoods presents a differential quality: its "emergent" condition. The process carries out without general planning (and of course outside the legal framework); inhabitants/landowners decide to do so, without any prior agreement. It is an atomized and fragmented process, result of necessity or opportunism. It is the sum of individual actions reconstructed as a "trend", or an "emerging pattern" within the general organization of pericentral neighborhoods, revitalizing the urban fabric in a subtle but definitive way. This research hypothesized that emergent micro-densification in these neighborhoods is a process of revitalization that harnesses the potential of their urban fabric; it does so in a more sustainable and efficient way than the current urban development patterns. Faced with the manifest opposition between this hypothesis and the current local urFaced with the manifest opposition between this hypothesis and the current local urban development framework, it was necessary to construct a theoretical framework able to solve the apparent contradictions detected -that the latter cannot explain-, and frame the working hypothesis. Therefore, this thesis is framed under the systemic complexity approach, that is, the analytical study of complex systems. This theoretical framework has the capacity to explain emergent processes as integral part of a city, its development over time, its complexity, and the factors on which urban sustainability and efficiency depend. The systemic approach understands the city as a complex and dynamic system, in constant development; a system determined more by interrelationships between its components, and between those components and the context, than by the individual conditions of each component. The quality and quantity of these interactions is paramount, to the point of defining the urban condition of a human agglomeration in the territory: urbanity is not given merely by the size or density of a human agglomeration; it is defined in terms of the synergy produced by a large number of different interactions between different agents; a process called synekism. The generation of innovation, and technological/social/political development that characterize the urban condition is an inherent result of these interactions, and a direct function of the intensity, diversity, and redundancy of them in the territory, over time. 7 A sustainable and efficient urban system will be one that, by maximizing material and human resources (and according to the system´s load capacity), develops decentralized, multi-exchange networks; one capable of generating synergy and inclusive development. This implies an energy efficient city, but also efficient in the consumption of any type of resources; a compact city, which prioritizes participatory political mechanisms and intensive use of public spaces, but also pedestrian mobility, and functional and social diversity. It also implies flexibility and adaptability in the face of changes, through processes of resilience or transformation. According to local urban development models, emergent and informal processes such as micro-densification are a sign of crisis within the urban system: anomalies due to the development of harmful processes, in conflict with the rest of the urban structure; conflicts that may even lead to the city´s collapse. But according to the theoretical approach proposed in this thesis, these processes can also be identified as an attempt by the system to self-regulate and adapt to new situations: as a response to a scenario of tension; a way in which the system self-organizes, and responds to that tension seeking a new equilibrium. The research is then structured in order to answer the following questions: • First, what are the specific conditions that catalyze micro-densification in the pericentral neighborhoods of Córdoba? • Second, since micro-densification is a response to a particular situation within the urban system, what is the degree of sustainability and efficiency that transformations through micro-densification provides to pericentral neighborhoods (in particular) and to Córdoba (in general)? • Finally, having identified the impact of such processes on the urban structure, and its transformative and organizational potential, can the study of emergent processes make a conceptual or instrumental contribution to local urban planning? The research continued with a document analysis that reconstructs the specific condition of pericentral neighborhoods of Córdoba -which catalyzes the phenomenon of emergent micro-densification-. This stage developed in two parts: In the first place, we historically reconstruct pericentral neighborhoods of Córdoba, and the reasons for their urbanization pattern, which consolidates them as residential, (virtually) mono-functional, low-density, middle-class neighborhoods. Secondly, we analyzed Córdoba´s current scenario -with respect to the production and access to urban habitat- establishing urban, regional, and global variables that determine the city´s current development trends. This analysis allowed us to develop a comprehensive argument that explains all the processes that until now were conceptualized as "simultaneous but contradictory". It also explains and predicts the "unthinkable" situation of pericentral neighborhoods. After reconstructing the current scenario and defining different development patterns in Córdoba (including the "formal" pericentral neighborhoods´ pattern), we inferred a trend scenario in the short and medium term (10 years). We continued analyzing the micro-densification phenomenon, in terms of its social, functional, and spatial urban fabric transformations. As a result, a possible future scenario was proposed in which the micro-densification pattern has been formalized, transforming qualitatively and quantitatively the spatial-functional and socio-economic fabric. We specified their potential and strengths (as well as their weaknesses), against the future trend scenario of Córdoba and the pericentral neighborhoods. 8 Based on these results, we analyzed the different urban development patterns in Córdoba according to the variables defined as structural conditions of sustainability and efficiency: The sustainability and efficiency of the micro-densification scenario are much greater than those of the current trends scenario. Therefore, we verified the working hypothesis, and opened the discussion of this thesis. A first line of discussion dealt with development that fosters progressive revitalization, instead of complete renewal of urban fabric, or creation of new urban land on city´s rural periphery. Development that promotes a compact, diverse, and inclusive city, both socially, spatially and functionally; based on the multiplication and diversification of city-building agents. Development that considers these processes, as well as the mechanisms of empowerment, participation, and governance as instruments to achieve greater sustainability and efficiency in urban development. A city capable of generating more creative synergy, which translates into social, technological, and economic benefits. We denatured both the role of the State and the real estate market in the urban development of Córdoba; we proposed a dialectical articulation of different logics of urban development, explaining both the production and access strategies to habitat, and the apparent contradictions in urban development of Latin American middle cities. This thesis´ argument has an analytical and explanatory character, useful for analyzing other urban systems in Argentina and Latin America. It allows the generalization of both the results and the theoretical approach to urban phenomena, understanding the city as a complex system open to its surroundings and far from equilibrium. On the other hand, this thesis emphasized the role of emergent processes in an urban system. So far, emergent micro-densification has little impact on Córdoba´s urban structure. However, it is a vital mechanism to prevent pauperization and loss of resources in pericentral and intermediate urban areas -that is to say, to avoid the partial collapse of the urban structure-, while generating urbanity in areas characterized as mere residential fragments. It is essential to give importance in urban development and in generation of synergy to emergent processes. Incorporating them into critical analysis and diagnosis involves developing planning tools capable not only of recognizing the need to decentralize urban development and sharing decision-making, but also capable of incorporating uncertainty as a variable. In addition, they must be flexible enough to detect changes and the need for adjustment and adaptation over time. This thesis makes its greatest contribution to urban studies by helping to understand the role of emergent phenomena, highlighting contradictions and tensions within the traditional local urban models, and exclusions and inequities driven by those models.
Córdoba es la segunda ciudad más poblada de la Argentina, y posee el ejido municipal más extenso del país, siendo un importante centro industrial y de servicios del centro del país. Es además la cabecera de la segunda región metropolitana argentina, el Área Metropolitana de Córdoba (AMCBA). Si bien el desarrollo de sus áreas centrales y periurbanas es un tema bastante desarrollado académicamente, actualmente hay un vacío de conocimiento en la situación actual de las áreas pericentrales e intermedias de esta ciudad -aun cuando ocupan más del 30% del área urbanizada y donde habita la mayor parte de su población-. Es en estas áreas donde se ubica el objeto de estudio de esta tesis: los barrios pericentrales que forman un anillo alrededor del área central. Originados como extensiones suburbanas alrededor de 1940, y consolidados como barrios residenciales de clase media y media alta de baja densidad antes de 1970, ocupan lo que son hoy algunas de las áreas con mejor calidad ambiental y urbana de la ciudad. Los barrios pericentrales son considerados generalmente consolidados y estables; sin embargo, analizados en detalle, muestran complejas transformaciones: un vaciamiento poblacional constante, a pesar del crecimiento demográfico en general de Córdoba y el AMCBA; aumento de inmuebles abandonados; y a diferencia de sectores en una similar posición, no son objeto de grandes inversiones inmobiliarias de renovación urbana. Esta situación es invisibilizada, en parte por ser resultado de procesos con poco impacto relativo en la ciudad, y en parte porque estos procesos no están contemplados por los modelos urbanos locales vigentes –basados en la teoría racionalista y determinista de principios del siglo XX-, que conceptualizan a los barrios pericentrales como una "panacea urbana". Esta tesis puso en disputa estos modelos, partiendo de la discusión sobre un fenómeno informal detectado indefectiblemente (aunque no exclusivamente) en estos barrios pericentrales: la microdensificación emergente. La imposibilidad de colocar los inmuebles existentes en el mercado hace que los propietarios busquen nuevas formas de valorizar sus propiedades, de facilitar el acceso a la vivienda a sus hijos o de invertir sus ahorros de forma segura, obteniendo una fuente adicional de ingresos: en cada parcela edificada se aumenta la cantidad de unidades funcionales, aprovechando la superficie construible vacante o refuncionalizando las construcciones obsoletas, aunque manteniendo el grano y la escala de intervención respecto al tejido existente. La oferta de hábitat en estos barrios se diversifica, y no sólo evita la expulsión de población, sino que también atrae a nuevos habitantes. Además, en un tejido originalmente sólo residencial, incorpora actividades de comercio y servicios que enriquecen el tejido funcional. El proceso se realiza sin planificación general (y por supuesto fuera del marco legal): es la suma de acciones individuales que se reconstruyen como una "tendencia" o "patrón emergente", revitalizando el tejido urbano de forma sutil pero definitiva. Se planteó como hipótesis que la microdensificación emergente es un proceso de revitalización que aprovecha el potencial del tejido de estos barrios de forma más sostenible y eficiente que el modelo impuesto formalmente. 10 La tesis se encuadró bajo el enfoque sistémico de la complejidad. Este enfoque entiende a la ciudad como un sistema complejo y dinámico, en desarrollo constante; determinado más por las interrelaciones entre sus componentes y entre esos componentes y el contexto, que por las condiciones de cada elemento individualmente. La calidad y cantidad de estas interacciones es primordial, al punto de definir la condición urbana de una aglomeración. Según estas premisas, un sistema urbano sostenible y eficiente será aquel que, maximizando recursos materiales y humanos (y de acuerdo a la capacidad de carga del sistema) desarrolle de redes de intercambio múltiples, diversas y descentralizadas, que generen procesos de sinergia y desarrollo inclusivos. La investigación se estructuró entonces de forma tal de responder las siguientes preguntas: • En primer lugar, ¿cuáles son las condiciones específicas que catalizan la microdensificación en los barrios pericentrales de Córdoba? • Siendo la microdensificación una respuesta a una situación particular dentro del sistema urbano, ¿Cuál es el grado de sostenibilidad y eficiencia que aporta a los barrios pericentrales (en particular) y a Córdoba (en general)? • Y tras haber identificado su impacto en la estructura urbana, su potencial transformador y organizativo, ¿puede el estudio de los procesos emergentes hacer un aporte conceptual e instrumental a los modelos locales de planeamiento urbano? Primeramente, un análisis documental reconstruyó la condición específica de los barrios pericentrales, y el escenario actual de Córdoba con respecto a la producción y acceso al hábitat urbano. Luego se infirió un escenario tendencial a corto y mediano plazo, que sirvió para definir distintos patrones de territorialización, incluyendo el patrón "formal" de los barrios pericentrales. Se continuó con el análisis específico de la microdensificación, proponiendo un escenario posible a mediano plazo donde el patrón de microdensificación ha sido plenamente desarrollado, transformando cuali y cuantitativamente el tejido espacio-funcional y socioeconómico. A partir de estos resultados, se realizó un análisis comparativo de los distintos patrones de desarrollo urbano de Córdoba en cuanto a su sostenibilidad y eficiencia. Se demostró que el patrón de microdensificación en los barrios pericentrales es mucho más sostenible y eficiente que los patrones formales existentes, y se abrió la discusión que se desarrolla en la última parte de esta tesis: El argumento desarrollado en esta investigación y los resultados que de él se desprenden tienen un carácter analítico y explicativo útil para el análisis de otros escenarios en el contexto urbano argentino y latinoamericano. En primer lugar, sobre preferir la revitalización progresiva frente a la renovación total o la creación de nuevo suelo urbano en la periferia; promover una ciudad compacta, diversa e inclusiva tanto social como funcionalmente; basada en la multiplicación y diversificación de los agentes productores de ciudad; que considera estos procesos, así como los mecanismos de empoderamiento, participación y gobernanza como instrumentos para lograr mayor sostenibilidad y eficiencia en el desarrollo urbano. Por otro lado, esta tesis puso en relevancia el rol de los procesos emergentes en un sistema urbano como mecanismo vital para generar esta revitalización. Finalmente, se discute el aporte del enfoque sistémico para comprender, explicar y proponer intervenciones a la disciplina. ; Córdoba ist die Hauptstadt der gleichnamigen Provinz im Nordosten Argentiniens. Sie ist der Mittelpunkt der zweitgrößten Metropolregion des Landes (bekannt unter der spanischen Abkürzung AMCBA) und ein wichtiges kulturelles und wirtschaftliches Zentrum des Landes. Derzeit scheint die Stadt durch zwei gegensätzlichen Prozesse geprägt, die zeitgleich von statten gehen: Einerseits die Erneuerung des Zentralbereichs und der Umgebung durch Hyperverdichtung, mit dem damit verbundenen Verlust des sozialen und architektonischen Erbes und dem Zusammenbruch der vorhandenen Infrastruktur-Netzwerke. Anderseits die Expansion der gebauten Stadt auf ländliche und industrielle Gebiete der städtischen Peripherie, was aufgrund einer abnehmenden Belegungsdichte immer mehr zu einer Verdünnung der Stadtstruktur führt. Darüber hinaus konzentriert sich der Wohnungsbau auf immer kleinere Gruppen und dies obwohl sich sowohl der Wohnungsbau beschleunigt als auch das Angebot an urbanen Wohnräumen erhöht: Während private Immobilienprojekte fast ausschließlich auf Bevölkerungsgruppen mit hohem Einkommen und Investoren, die nicht in der Stadt wohnen, ausgerichtet sind, sind die staatlichen Investitionen im sozialen Wohnungsbau ausschließlich für die Bevölkerungsgruppen mit den niedrigsten Einkommen bestimmt. Dadurch entsteht ein Defizit an Wohnangeboten für die Mittelschicht Córdobas, die fast 45% der Stadtbevölkerung ausmacht. Diese Schwerpunktsetzung ist auch bei lokalen Stadtforschern und Stadtplanern zu erkennen. Die aktuelle Situation der perizentralen Gebiete und Zwischenbereiche der Stadt sind weniger präsent, obgleich diese mehr als 30 % der urbanisierten Stadtfläche einnehmen und von der Mehrheit der Stadtbevölkerung bewohnt werden. Um diese Wissenslücke zu schließen, stehen die perizentralen Stadtviertel, die das Stadtzentrum umschließen, im Mittelpunkt dieser Arbeit. Sie sind ab 1940 als Erweiterungen der Vorstadt entstanden und etablierten sich im Laufe der 1960er Jahre als Wohngebiete mit einer geringen Bevölkerungsdichte, die heute von der Mittelschicht bewohnt werden und die höchste Umweltqualität und urbane Qualität der Stadt aufweisen. Die Gesetzgebung begrenzt dabei die Bebauung der Grundstücke auf Einfamilienhäusern, um die gewünschte geringe Bevölkerungsdichte beizubehalten. Man könnte die Untersuchung von bereits konsolidierten und stabilen urbanen Sektoren als sinnlos betrachten. Doch, wenn sie im Detail analysiert werden, zeigen sich komplexe demografische, räumliche und funktionale Transformationen, die von Interesse sind. Obwohl sich über die Jahre hinweg in diesen Stadtvierteln das bis zu diesem Moment angeblich "perfekteste" Wohnmodell materialisiert hat, nämlich ein Modell, welches "alle möglichen städtischen Wohnbedürfnisse erfüllt", leidet das soziale Gefüge und die bebaute Umwelt darunter. Das aktuelle Szenario zeigt, trotz des demografischen Wachstums von Cordoba und der Metropolregion AMCBA, einen konstanten Bevölkerungsrückgang in diesen Stadtvierteln: Junge Leute verlassen die Wohngegenden, während die zurückbleibende Bevölkerung altert und die Anzahl an verlassenen Gebäude stetig steigt. Für die auf dem Immobilienmarkt angebotenen Gebäude ist es schwierig, den Immobilienwert zu halten geschweige denn Käufer zu finden. Im Gegensatz zu anderen Bereichen der Stadt, die sich in einer ähnlichen Position befinden, sind diese Stadtviertel nicht im Fokus großer Immobilienaktivitäten. Dies widerspricht ihrer privilegierten Lage innerhalb der Stadtstruktur. 2 Diese Entwicklungen wurden lange Zeit übersehen. Zum einen da sie das Ergebnis von Prozessen sind, die wenig Auswirkungen auf die Stadt haben und zum anderen weil diese Prozesse in den heutigen lokalen städtischen Wohnmodellen nicht berücksichtigt werden, welche auf rationalistischen und deterministischen Theorien aus dem Anfang des 20. Jahrhunderts basieren und diese perizentralen Stadtviertel als städtisches Allheilmittel betrachten. Es ist unmöglich eine Hypothese abzuleiten, die aktuelle oder zukünftige Szenarios der perizentralen Stadtviertel in Córdoba unter diesen Rahmenbedingungen erklärt. Daher stellt diese Arbeit solche Modelle und ihre Fähigkeit, die Entwicklung der Stadt zu erklären oder in ihr effektiv zu arbeiten, in Frage und schlägt einen theoretischen Rahmen vor, der zum Verständnis, zur Erklärung und zur effektiven Umsetzung in der Stadt beitragen soll. Dies erfolgt auf Grundlage der Auseinandersetzung mit einem informellen Phänomen, welches deutlich (aber nicht ausschließlich) in diesen perizentralen Stadtvierteln erkennbar ist: die aufkommende Mikroverdichtung. Aufgrund der bereits genannten Unmöglichkeit, existierende Immobilien gewinnbringend auf den Markt zu bringen, suchen Eigentümer neue Wege, um ihr Wohneigentum aufzuwerten, ihren Kindern den Zugang zu einer Wohnung zu erleichtern oder ihre Ersparnisse sicher zu investieren und sich dadurch eine zusätzliche Einnahmequelle außerhalb des traditionellen Immobilienmarktes zu sichern. Aus diesem Grund erhöhen die Eigentümer die Anzahl der funktionalen Einheiten auf ihrem Grundstück, indem sie freie Fläche bebauen oder veraltete Konstruktionen renovieren. Das Stadtgefüge wird dabei durch diese Eingriffe nicht tiefgreifend verändert. Des Weiteren wird das Wohnraumangebot in diesen Stadtvierteln umfangreicher und verhindert nicht nur die Verdrängung der alten Bewohner, sondern zieht auch neue an. Auch werden dem ursprünglichen Wohngebiet zusätzliche nicht-residentielle Nutzungen hinzugefügt, die das Stadtgefüge bereichern. Letztendlich hat die Mikroverdichtung der perizentralen Nachbarschaften eine spezielle Eigenschaft, und zwar seinen emergenten / aufkommenden Zustand: Der Prozess erfolgt ohne allgemeine Planung (und auch außerhalb des rechtlichen Rahmens). Hauptakteure dieses Wandels sind die Eigentümer selbst, die ohne jegliche vorherige Absprachen agieren. Ob aus Notwendigkeit oder aus Opportunismus heraus, es handelt sich dabei um einen fragmentierten Prozess. Es beinhaltet eine Vielzahl individueller Aktionen, die als ein "Trend" oder "neu aufkommendes Muster" innerhalb der allgemeinen Organisation der perizentralen Stadtviertel zu begreifen sind und das Stadtgefüge auf subtile aber endgültige Art und Weise erneuern. Die vorliegende Arbeit stellt die Hypothese auf, dass die aufkommende Mikroverdichtung in diesen Stadtvierteln von Córdoba ein Revitalisierungsprozess ist, der das Potenzial des Stadtgefüges nachhaltiger und effizienter nutzt als das formell auferlegte Stadtentwicklungsmodell. Aufgrund des offenkundigen Gegensatzes zwischen dieser Hypothese und den aktuellen Rahmenbedingungen der lokalen Stadtentwicklung, ist es notwendig, einen theoretischen Rahmen zu schaffen, der die offensichtlichen Widersprüche auflöst und die Arbeitshypothese einrahmt. Diese These ordnet sich dem systemischen Ansatz der Komplexität zu, der analytischen Erforschung von komplexen Systemen. Dieser theoretische Rahmen ermöglicht, die aufkommenden Prozesse als integraler Bestandteil einer Stadt (ein "urbanes System"), seine Entwicklung im Laufe der Zeit, seine Komplexität und die Faktoren, von denen die urbane Nachhaltigkeit und Effizienz abhängen, zu erklären. Der systemische Ansatz begreift die Stadt als ein komplexes und dynamisches System in ständiger Entwicklung; ein System, das eher durch die Wechselbeziehungen zwischen seinen Komponenten und zwischen diesen und dem Kontext bestimmt wird, als durch den einzelnen Zustand jedes Elements. Die Qualität und Quantität dieser Interaktionen steht dabei an erster Stelle und definiert sogar den urbanen Zustand eines Ballungsgebietes. Urbanität ist nicht allein durch ihre Größe oder ihre Dichte gegeben, sondern ist gemäß der Synergie definiert, die durch eine Vielzahl an verschiedenen Interaktionen und Wech3 selwirkungen zwischen unterschiedlichen Akteuren produziert wird. Dieser Prozess heißt Synoikismos. Die Entfaltung der technologischen, sozialen und politischen Entwicklungen und Innovationen, die den städtischen Zustand charakterisieren, ist das inhärente Ergebnis dieser Interaktionen und eine direkte Funktion ihrer Intensität, Vielfalt und Redundanz, sowohl räumlich als auch zeitlich. Laut diesen Voraussetzungen ist ein nachhaltiges und effizientes Städtesystem eines, das durch die Maximierung der menschlichen und materiellen Ressourcen (und der Systembelastbarkeit entsprechend) mehrere unterschiedliche und dezentrale Austauschnetzwerke entwickelt, die inklusive Synergie- und Entwicklungsprozesse erzeugen. Dies bedeutet zum einen eine energieeffiziente Stadt, auch effizient im Konsum jeglicher Ressourcen und zum anderen eine kompakte Stadt, welche mehrere Begegnungen zwischen verschiedenen Akteuren ermöglicht, die Beteiligung an politischen Mechanismen und die intensive Nutzung des öffentlichen Raums, die Fußgängermobilität und eine funktionale und soziale Vielfalt in der Stadt fördert. Dies schließt auch Flexibilität und Anpassungsfähigkeit an Veränderungen durch Widerstands- oder Transformationsprozesse ein. Laut den lokalen Stadtentwicklungsmodellen, sind aufkommende und informelle Prozesse, wie die Mikroverdichtung, ein Zeichen der Krise im städtischen System: Anomalien, die durch die Entwicklung von schädlichen Prozessen im Konflikt mit dem Rest der Stadtstruktur entstanden sind. Konflikte, die sogar zum Zusammenbruch führen können. Laut dem theoretischen Ansatz dieser Arbeit jedoch, können diese Prozesse auch als Versuch des Systems verstanden werden, sich selbst zu regulieren und sich an neue Situationen anzupassen: Als Antwort auf ein ungelöstes Spannungsszenario; eine Art und Weise, in der das System sich selbst organisiert, um auf diese Spannung zu reagieren, indem ein neues Gleichgewicht gesucht wird. Die Arbeit strukturiert sich anhand von diesem theoretischen Rahmen, um die folgenden Fragen beantworten zu können: • Erstens, welche besonderen Rahmenbedingungen führen zu der aufkommenden Mikroverdichtung in den perizentralen Stadtvierteln in Córdoba? • Begreift man die Mikroverdichtung als Antwort auf eine bestimmte Situation innerhalb des städtischen Systems, stellt sich folgende zweite Frage: Welches Ausmaß an Nachhaltigkeit und Effizienz ermöglichen die Prozesse der Mikroverdichtung in den perizentralen Stadtvierteln im Speziellen und in Córdoba im Allgemeinen? • Nach der Identifizierung der Auswirkungen dieser Prozesse auf die Stadtstruktur, sowie des damit einhergehenden transformativen und organisatorischen Potenzials steht die dritte Frage im Raum: Kann die Erforschung von aufkommenden Prozessen dieser Art einen konzeptionellen und instrumentellen Beitrag zur lokalen Stadtplanung leisten? Um diesen Fragen nachzugehen wurde im weiteren Verlauf der Forschung eine Dokumentenanalyse durchgeführt, um den spezifischen Zustand der perizentralen Stadtviertel, der das Phänomen der aufkommenden Mikroverdichtung ermöglicht, zu rekonstruieren. Diese Analyse vollzog sich in zwei Schritten: Als Erstes wurden die perizentralen Stadtviertel und der Grund für ihr besonderes Urbanisierungsmuster historisch rekonstruiert und dadurch als (nahezu) monofunktionelle Wohnviertel mit einer geringen Bevölkerungsdichte identifiziert. Als Zweites wurde das aktuelle urbane Szenario Córdobas hinsichtlich der Produktion von und dem Zugang zu städtischem Habitat analysiert, um urbane, regionale und globale Variablen zu entwickeln, die die Entwicklungstrends der Stadt bestimmen. Dieses Vorgehen ermöglichte die Formulierung eines umfassendes Arguments, das alle Prozesse erklärt, die bisher als "gleichzeitig aber widersprüchlich" erfasst wurden. Darüber hinaus erklärt und prognostiziert dieses Argument die "undenkbare" Situation von perizentralen Stadtvierteln. Nach der Rekonstruktion des aktuellen Szenarios wurde ein kurzes und mittelfristiges (10 Jahren) Trendszenario des Phänomens abgeleitet. Dies diente dazu, die unterschiedlichen 4 Entwicklungsmuster in Córdoba zu vergleichen und deren Auswirkungen auf die Stadtstruktur zu bewerten. Im weiteren Verlauf der Arbeit wurde die Analyse der Mikroverdichtung hinsichtlich der Veränderungen im sozialen, funktionalen und räumlichen Stadtgefüge fortgeführt. Als Ergebnis wurde ein mögliches Zukunftsszenario vorgeschlagen, bei dem das Muster der Mikroverdichtung formalisiert und somit das räumlich-funktionale und sozioökonomische Gefüge der Stadtviertel transformiert wurde. Anschließend wurden das Potenzial und die Stärken (und Schwächen) gegenüber dem mittelfristigen Trendszenario von Córdoba und den perizentralen Stadtvierteln spezifiziert. Basierend auf diesen Ergebnissen wurden verschiedene Stadtentwicklungsmuster von Córdoba mithilfe der Variablen analysiert, die als strukturelle Bedingungen für Nachhaltigkeit und Effizienz definiert waren. Mit dem Ergebnis, dass die Nachhaltigkeit und die Effizienz der Mikroverdichtungsszenarien deutlich größer war als in den aktuellen Trendszenarien. Die vorliegende Analyse konnte somit die Hypothese dieser Arbeit belegen. Im letzten Abschnitt der Arbeit wurde der Diskussionsteil eröffnet. Die erste Diskussion befasste sich mit der Entwicklung, die eine progressive Revitalisierung fördert anstatt einer vollständigen Erneuerung des Stadtgefüges oder der Schaffung von neuem städtischem Land in der ruralen Peripherie der Stadt. Zudem fördert sie sowohl auf soziale, räumliche als auch funktionale Art und Weise eine kompakte, vielfältige und integrative Stadt. Diese Entwicklung beruht auf der Multiplikation und Diversifizierung der Akteure, die im Städtebau involviert sind, und betrachtet diese Prozesse, sowie die Ermächtigungs-, Beteiligungs- und Staatsführungsmechanismen als Instrumente zur Erlangung einer größeren Nachhaltigkeit und Effizienz in der Stadtentwicklung. Das bedeutet, eine Stadt, die in der Lage ist, kreativere Synergien zu schaffen und so zu sozialen, technologischen und wirtschaftlichen Vorteilen kommt. Des Weiteren betonte diese Arbeit die Rolle der aufkommenden Prozesse in einem städtischen System. Die aufkommende Mikroverdichtung hat wenig Einfluss auf die städtische Struktur von Córdoba. Jedoch ist es ein wichtiger Mechanismus, um die Verarmung und den Verlust von Ressourcen in perizentralen Bereichen und Zwischengebieten zu verhindern, d.h. um den partiellen Zusammenbruch der städtischen Struktur zu vermeiden und gleichzeitig Urbanität in Gebieten zu schaffen, die als bloße Wohnungsviertel charakterisiert sind. In der Stadtplanung ist es wichtig, auf aufkommende Prozesse in der Stadtentwicklung und auf die Erzeugung von Synergien Wert zu legen. Ihre Einbeziehung in die kritische Analyse beinhaltet die Entwicklung von Planungsinstrumenten, die nicht nur die Notwendigkeit der Dezentralisierung der Stadtentwicklung und der Entscheidungsfindung erkennen können, sondern die auch in der Lage sind, die Ungewissheit als Variable zu integrieren. Darüber hinaus müssen sie flexibel genug sein, um Veränderungen und die Notwendigkeit für Korrekturen und Anpassungen im Laufe der Zeit zu erkennen. Das Argument dieser Arbeit hat einen analytischen und erklärenden Charakter, der für die Analyse von anderen urbanen Szenarien in Argentinien und Lateinamerika nützlich ist. Dies ermöglicht die Verallgemeinerung sowohl der Ergebnisse als auch der theoretischen Annäherung an städtische Phänomene, basierend auf dem Stadt-Verständnis als komplexes, für ihre Umgebung offenes System, welches weit entfernt vom Gleichgewicht ist. Der größte Beitrag dieser Arbeit zur Urbanistik ist das Verständnis der Rolle der aufkommenden Phänomene und die Analyse der Widersprüche und Spannungen innerhalb der traditionellen lokalen Stadtmodelle, die auch Ausgrenzungen und Ungerechtigkeit im Zugang zu Stadt hervorhebt. Die Rolle des Staates und des Immobilienmarktes in der Stadtentwicklung von Cordoba wurde denaturiert und eine dialektische Artikulation der Logik des territorialen Lebensraumes in der Stadt, die sowohl Produktions- und Zugangsstrategien als auch die scheinbaren Widersprüche in der Stadtentwicklung der lateinamerikanischen mittelgroßen Städten erklärt, wurde vorgeschlagen. ; Córdoba is the capital of the province of Córdoba, in Argentina. It is also the principal city of the second-most populous metropolitan area of the country, the Greater Córdoba Metropolitan Area (AMCBA according to its acronym in Spanish), with strengths in business, automotive industry, culture, education, and research. Currently, the city seems to develop in two simultaneous and opposing processes: On the one hand, renovation by densification of the central area and its extensions, with losses of social and built heritage, and the collapse of infrastructure networks that this entails. On the other hand, extension of the urbanized area over rural and industrial periphery, with dwindling occupancy densities that dilute the urban structure more and more in the territory. Besides that, although housing production accelerates -increasing its supply-, it is concentrated in ever smaller groups: while real estate projects are targeted almost exclusively at high-income sectors and investors who do not live in the city, State investment in social housing is allocated exclusively to lower income sectors. This situation produces a deficit in proposals aimed at the so-called "middle class", even though it makes up of almost 45% of the city´s population. In addition, these processes concentrate the interest of the greater part of both local academics and urban planners. This situation produces a knowledge gap in the current situation of Córdoba´s pericentral and intermediate areas, which occupy more than 30% of the city´s urbanized land (and where the majority of this city´s inhabitants reside). It is there where this thesis´ case study is located: the pericentral districts that surround the central area. They originated as suburban extensions around 1940, and consolidated as middle-class/low-density residential neighborhoods before 1970. Today, they occupy some of the best environmental and urban quality areas of the city. Even land-use regulation specifically limits occupancy to single-family dwellings on individual plots to maintain the desired low-density residential neighborhood pattern. We can discuss the futility of studying urban sectors considered already consolidated and stable; however, when analyzed in detail, pericentral areas show complex demographic, spatial, and functional transformations that contradict this characterization: Despite the fact that these neighborhoods materializes the supposedly "most perfect" residential model known until now, a model "that solves each and every one of the urban-life needs", its social and built fabric resents. The current scenario shows a constant population-shrinking process, in spite of the demographic growth of both Córdoba and the AMCBA. Young people leaves these neighborhoods, while the remaining population ages. Abandoned buildings constantly increase; the ones offered in the real estate market have difficulties to find buyers, or even to maintain their price, which contradicts its privileged status within the city. At the same time -and unlike areas in a similar position- these neighborhoods are not the object of major real estate investments. Local academics and urban planners overlook this situation, in part because it is the result of processes with relative less impact in the city, and in part because these processes are not covered by current local urban models -based on the rationalist and deterministic urban theory of early 20th century-, which conceptualize suburban neigh6 borhoods as an urban panacea. It is impossible to deduce a hypothesis that explains the current nor the trend scenario of pericentral neighborhoods of Córdoba in terms of that framework. Therefore, this thesis discussed those theoretical models, and its capacity to explain Córdoba´s development. It proposed a theoretical framework that allowed understanding, explaining, and operating effectively in the city. It did so based on the discussion of an informal phenomenon unfailingly (but not exclusively) detected in pericentral neighborhoods: the emergent micro-densification. Given the impossibility of advantageously placing their properties in the housing market -due to factors such as land-use restrictions, and specific conditions of the local real estate market-, the landowners seek new ways to valorize their properties, facilitate access to housing for their children, or profitably invest their savings, obtaining an additional income outside the "traditional" real estate market. They increase the number of functional units in their plots, occupying the vacant building area or refurbishing obsolete constructions, while maintaining the intervention scale in relation to the existing urban fabric. These neighborhoods´ housing supply diversifies; and it not only prevents the expulsion of population, but it also attracts new inhabitants. In addition, in an originally residential fabric, it incorporates non-residential activities that enrich the urban fabric. Finally, micro-densification in pericentral neighborhoods presents a differential quality: its "emergent" condition. The process carries out without general planning (and of course outside the legal framework); inhabitants/landowners decide to do so, without any prior agreement. It is an atomized and fragmented process, result of necessity or opportunism. It is the sum of individual actions reconstructed as a "trend", or an "emerging pattern" within the general organization of pericentral neighborhoods, revitalizing the urban fabric in a subtle but definitive way. This research hypothesized that emergent micro-densification in these neighborhoods is a process of revitalization that harnesses the potential of their urban fabric; it does so in a more sustainable and efficient way than the current urban development patterns. Faced with the manifest opposition between this hypothesis and the current local urFaced with the manifest opposition between this hypothesis and the current local urban development framework, it was necessary to construct a theoretical framework able to solve the apparent contradictions detected -that the latter cannot explain-, and frame the working hypothesis. Therefore, this thesis is framed under the systemic complexity approach, that is, the analytical study of complex systems. This theoretical framework has the capacity to explain emergent processes as integral part of a city, its development over time, its complexity, and the factors on which urban sustainability and efficiency depend. The systemic approach understands the city as a complex and dynamic system, in constant development; a system determined more by interrelationships between its components, and between those components and the context, than by the individual conditions of each component. The quality and quantity of these interactions is paramount, to the point of defining the urban condition of a human agglomeration in the territory: urbanity is not given merely by the size or density of a human agglomeration; it is defined in terms of the synergy produced by a large number of different interactions between different agents; a process called synekism. The generation of innovation, and technological/social/political development that characterize the urban condition is an inherent result of these interactions, and a direct function of the intensity, diversity, and redundancy of them in the territory, over time. 7 A sustainable and efficient urban system will be one that, by maximizing material and human resources (and according to the system´s load capacity), develops decentralized, multi-exchange networks; one capable of generating synergy and inclusive development. This implies an energy efficient city, but also efficient in the consumption of any type of resources; a compact city, which prioritizes participatory political mechanisms and intensive use of public spaces, but also pedestrian mobility, and functional and social diversity. It also implies flexibility and adaptability in the face of changes, through processes of resilience or transformation. According to local urban development models, emergent and informal processes such as micro-densification are a sign of crisis within the urban system: anomalies due to the development of harmful processes, in conflict with the rest of the urban structure; conflicts that may even lead to the city´s collapse. But according to the theoretical approach proposed in this thesis, these processes can also be identified as an attempt by the system to self-regulate and adapt to new situations: as a response to a scenario of tension; a way in which the system self-organizes, and responds to that tension seeking a new equilibrium. The research is then structured in order to answer the following questions: • First, what are the specific conditions that catalyze micro-densification in the pericentral neighborhoods of Córdoba? • Second, since micro-densification is a response to a particular situation within the urban system, what is the degree of sustainability and efficiency that transformations through micro-densification provides to pericentral neighborhoods (in particular) and to Córdoba (in general)? • Finally, having identified the impact of such processes on the urban structure, and its transformative and organizational potential, can the study of emergent processes make a conceptual or instrumental contribution to local urban planning? The research continued with a document analysis that reconstructs the specific condition of pericentral neighborhoods of Córdoba -which catalyzes the phenomenon of emergent micro-densification-. This stage developed in two parts: In the first place, we historically reconstruct pericentral neighborhoods of Córdoba, and the reasons for their urbanization pattern, which consolidates them as residential, (virtually) mono-functional, low-density, middle-class neighborhoods. Secondly, we analyzed Córdoba´s current scenario -with respect to the production and access to urban habitat- establishing urban, regional, and global variables that determine the city´s current development trends. This analysis allowed us to develop a comprehensive argument that explains all the processes that until now were conceptualized as "simultaneous but contradictory". It also explains and predicts the "unthinkable" situation of pericentral neighborhoods. After reconstructing the current scenario and defining different development patterns in Córdoba (including the "formal" pericentral neighborhoods´ pattern), we inferred a trend scenario in the short and medium term (10 years). We continued analyzing the micro-densification phenomenon, in terms of its social, functional, and spatial urban fabric transformations. As a result, a possible future scenario was proposed in which the micro-densification pattern has been formalized, transforming qualitatively and quantitatively the spatial-functional and socio-economic fabric. We specified their potential and strengths (as well as their weaknesses), against the future trend scenario of Córdoba and the pericentral neighborhoods. 8 Based on these results, we analyzed the different urban development patterns in Córdoba according to the variables defined as structural conditions of sustainability and efficiency: The sustainability and efficiency of the micro-densification scenario are much greater than those of the current trends scenario. Therefore, we verified the working hypothesis, and opened the discussion of this thesis. A first line of discussion dealt with development that fosters progressive revitalization, instead of complete renewal of urban fabric, or creation of new urban land on city´s rural periphery. Development that promotes a compact, diverse, and inclusive city, both socially, spatially and functionally; based on the multiplication and diversification of city-building agents. Development that considers these processes, as well as the mechanisms of empowerment, participation, and governance as instruments to achieve greater sustainability and efficiency in urban development. A city capable of generating more creative synergy, which translates into social, technological, and economic benefits. We denatured both the role of the State and the real estate market in the urban development of Córdoba; we proposed a dialectical articulation of different logics of urban development, explaining both the production and access strategies to habitat, and the apparent contradictions in urban development of Latin American middle cities. This thesis´ argument has an analytical and explanatory character, useful for analyzing other urban systems in Argentina and Latin America. It allows the generalization of both the results and the theoretical approach to urban phenomena, understanding the city as a complex system open to its surroundings and far from equilibrium. On the other hand, this thesis emphasized the role of emergent processes in an urban system. So far, emergent micro-densification has little impact on Córdoba´s urban structure. However, it is a vital mechanism to prevent pauperization and loss of resources in pericentral and intermediate urban areas -that is to say, to avoid the partial collapse of the urban structure-, while generating urbanity in areas characterized as mere residential fragments. It is essential to give importance in urban development and in generation of synergy to emergent processes. Incorporating them into critical analysis and diagnosis involves developing planning tools capable not only of recognizing the need to decentralize urban development and sharing decision-making, but also capable of incorporating uncertainty as a variable. In addition, they must be flexible enough to detect changes and the need for adjustment and adaptation over time. This thesis makes its greatest contribution to urban studies by helping to understand the role of emergent phenomena, highlighting contradictions and tensions within the traditional local urban models, and exclusions and inequities driven by those models.