European journal of sociology: Archives européennes de sociologie = Europäisches Archiv für Soziologie
ISSN: 1474-0583
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ISSN: 1474-0583
ISSN: 1865-5580
ISSN: 2297-8224
In: Annales d'histoire économique et sociale: revue trimestrielle, Band 4, Heft 13, S. 77-79
ISSN: 2420-0018
Zusammenfassung: Die Soziologie untersucht als kritische Wissenschaft, wie die Gesellschaft funktioniert. Sie analysiert den sozialen Wandel sowie bestehende gesellschaftliche Verhältnisse und Machtgefüge. Dabei interessiert, was zu unterschiedlichen Lebenslagen führt und wie sich die einseitige Verteilung vorhandener Güter auswirkt. Die Soziologie geht von demokratischen Prämissen aus. Sie orientiert sich an der sozialen Teilhabe und Existenzsicherung aller Menschen. Der vorliegende Beitrag konkretisiert, wie die Soziologie aktuelle Prozesse der Individualisierung, Prekarisierung und Flexibilisierung analysiert und wie sie auf die finanzgetriebene Politik reagiert, die sich seit Ende der 1980er-Jahre verbreitet. Als Aufhänger dient das hohe Ausmass depressiver Erkrankungen. Das Ziel besteht darin, mit gründlichen Analysen dazu beizutragen, eine emanzipatorische Sozialisation zu fördern und soziale Lebenslagen von Benachteiligten zu verbessern.Schlüsselworte: Soziologie, Sozialisation, sozialer Wandel, soziale Ungleichheit, Individualisierung, Prekarisierung, Flexibilisierung, Depression, Emanzipation. ; Summary: Sociology as a critical science examines the workings of society. It analyses social change as well as the existing societal relations and power structures. Sociologists are interested in the ways that lead up to different life situations and the results of unequal distribution of available resources. Sociology uses demographic premises as a starting point and then gets its orientation from social shares and participation as well as livelihood security. The present contribution substantiates sociological analyses of the current processes of individualisation, insecurity and flexibility and its reaction to the financial-driven politics that have dominated since the end of the 1980s. The high rate of depressive disorders was used as an indicator. The aim was, with thorough analysis, to contribute to the advancement of emancipatory socialization and so improve the social situation of the disadvantaged.Keywords: sociology, socialization, social change, social inequality, individuality, insecurity, flexibility, mental illness, emancipation. ; Résumé : En tant que science critique, la sociologie étudie le fonctionnement de la société. Elle analyse les dynamiques sociales, les rapports sociaux et les structures de pouvoir, notamment les éléments qui conditionnent les situations de vie et l'impact d'une répartition unilatérale des biens disponibles. La sociologie part de l'hypothèse de la démocratie et se focalise sur la participation sociale et la sauvegarde des conditions d'existence de tous les êtres humains. La présente contribution décrit comment la sociologie analyse les processus actuels d'individualisation, de précarisation et de flexibilisation et comment elle réagit à la politique financiarisée qui prédomine depuis la fin des années 1980. Le point de départ de la réflexion est la forte prévalence des troubles dépressifs.La Fatigue d'être soi est le titre d'une étude remarquable du sociologue français Alain Ehrenberg (1998) qui aborde le phénomène de la dépression, caractéristique à son avis de la société actuelle. Les dépressions sont fortement discutées dans l'espace public depuis la deuxième moitié du XXe siècle. Pour Alain Ehrenberg, le «soi épuisé» est le symptôme de la difficulté d'être soi-même. Un problème qui peut paraître individuel mais qui est à ses yeux clairement déterminé par la société. C'est ce que la présente contribution souhaite mettre en avant, étudiant les modalités et les caractéristiques des dynamiques sociales et le discours de la sociologie à ce sujet.Depuis la fin des années 1980, la Suisse a vu l'essor d'un régime financiarisé qui avalise les inégalités sociales, accentue les gains en capital et renforce encore davantage la concentration du pouvoir économique. Après la seconde guerre mondiale, le compromis politique libéral entre le capital et le travail tendait encore à une médiation sociale de portée certes limitée. La montée du néolibéralisme anglo-saxon s'accompagnera en revanche d'une nouvelle crédulité envers le marché et le capital. C'est dorénavant le marché qui semble déterminer la valeur du travail. Depuis, on observe quatre tendances lourdes, dont premièrement la progression du chômage. Quand les machines remplacent le travail manuel, cela pourrait nous procurer plus de temps libre et d'argent, étant donné aussi l'augmentation de la productivité. Mais la distribution du temps de travail reste inégalitaire. Deuxièmement, une partie des salaires ne suit pas l'augmentation du coût de la vie, malgré une progression salariale nominale. Il s'ensuit un nombre grandissant de salariés pauvres (working poor). Troisièmement, le système surchargé s'oriente en premier lieu au travail salarié. Il ignore les nouvelles situations de vie. Les personnes seules, les familles monoparentales et les familles avec des enfants se retrouvent fréquemment dans des situations précaires. En effet, la part du produit intérieur brut affectée à la sécurité sociale en Suisse est en diminution depuis 2004, malgré l'expansion formidable de la richesse dans ce laps de temps (OFAS 2014). Quatrièmement, le clivage social entre les revenus disponibles et la fortune privée est en progression (Mäder et al. 2010.). Et le correctif politique démocratique n'est pas en mesure d'empêcher la polarisation de la société.Malgré des contradictions sociales fortes, les débats sociologiques autour des questions sociales se détournent des dimensions structurelles pour se pencher sur les seules perspectives individuelles (ceci depuis la deuxième moitié du XXe siècle déjà). Ce qui était jadis considéré comme la contradiction fondamentale entre la production sociale et l'appropriation privée est rarement évoqué à l'époque actuelle. Le plan vertical, avec un sommet et une base, est abandonné au profit d'une perspective horizontale. Les modèles des milieux sociaux mettent l'accent sur les attitudes, les modes de vie et les valeurs. Tout en pointant des différenciations sociales intéressantes, ces modèles négligent l'analyse des oppositions de classes qui devraient pourtant être au cœur des sciences sociales d'orientation critique. Celles-ci devraient fournir des analyses capables de s'inscrire dans une démarche normative de contribution à une socialisation émancipatrice et à l'amélioration de la situation sociale des défavorisés.Mots clefs : Sociologie, socialisation, changement sociétal, inégalités sociales, individualisation, précarité, flexibilisation, dépression, émancipation ; Riassunto: La sociologia esamina in modo critico il funzionamento della società. Essa analizza il mutamento sociale e i rapporti sociali esistenti nonché il relativo equilibrio dei poteri economici interessandosi in particolare a cosa porta a differenti situazioni sociali e alle conseguenze della distribuzione ineguale dei beni disponibili. La sociologia parte da premesse democratiche. Si orienta alla partecipazione sociale e alla garanzia della sussistenza per tutte le persone. Il presente contributo concretizza come la sociologia analizza gli attuali processi di individualizzazione, precarizzazione e flessibilizzazione, e come essa reagisce alla politica in balia della finanza che si sta diffondendo dalla fine degli anni 1980. Il testo è incentrato sull'elevato numero di casi di malattie depressive. L'obiettivo è contribuire, attraverso analisi approfondite, al promovimento di una socializzazione emancipatoria e al miglioramento delle condizioni sociali di persone svantaggiate.Parole chiave: sociologia, socializzazione, mutamento sociale, disuguaglianza sociale, individualizzazione, precarizzazione, flessibilizzazione, depressione, emancipazione.
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In: Working Paper / Universität Bielefeld, Fakultät für Soziologie, Forschungsschwerpunkt Entwicklungssoziologie, Band 357
Im vorliegenden Arbeitspapier wird über ein Forschungsprojekt von Studierenden der Entwicklungssoziologie von Juli bis Oktober 2004 berichtet. Das Ziel der Feldforschung bestand darin, die Prozesse der Transformation vor dem Hintergrund von Demokratisierung und Dezentralisation in Senegal zu untersuchen. Ein besonderer Schwerpunkt wurde dabei auf die lokale Entwicklungspolitik gelegt, wie sie sich in Interaktion zwischen alten Governance-Strukturen und neu entstandenen Räumen und Kräften der Zivilgesellschaft herausgebildet hat. Es wird zunächst ein Überblick über die Politik der Dezentralisierung in Senegal und die deutsch-senegalische Kooperation im Entwicklungsprogramm "Bassin arachidier" gegeben. Anschließend wird die Frage diskutiert, ob von einer ebenbürtigen Dezentralisierung und Demokratisierung des Landes, insbesondere im Bereich der Agrarpolitik gesprochen werden kann. Weitere Themen des Forschungsberichts beziehen sich auf die Rolle der Zivilgesellschaft, die ausgehandelten Entwicklungen im lokalen und landwirtschaftlichen Kontext Senegals sowie auf die Rolle von neuen sozioökonomischen Akteuren und Gruppierungen. (ICI)
In: Verhandlungen des 6. Deutschen Soziologentages vom 17. bis 19. September 1928 in Zürich: Vorträge und Diskussionen in der Hauptversammlung und in den Sitzungen der Untergruppen, S. 292-312
In: Verhandlungen des 9. Deutschen Soziologentages vom 9. bis 12. August 1948 in Worms: Vorträge und Diskussionen in der Hauptversammlung und in den Sitzungen der Untergruppen, S. 11-24
In: Working Paper / Universität Bielefeld, Fakultät für Soziologie, Forschungsschwerpunkt Entwicklungssoziologie, Band 307
Die Autorin gibt eine systematische Übersicht über die Ziele und Merkmale des Gender-Ansatzes im Rahmen der Entwicklungshilfe und Entwicklungspolitik. In ihrer Einleitung beschreibt sie zunächst die Entstehung des theoretischen Konzepts "Geschlecht" in den Bereichen "Frauen und Entwicklung" und "Geschlecht und Entwicklung". Sie erörtert ferner die soziokulturellen Aspekte der Partizipation von Frauen sowie das Problem der Feminisierung der Armut. Im zweiten Teil ihres Arbeitsberichts geht die Autorin auf die aktuelle Debatte zum Gender-Ansatz und die Interaktionen von Frauen auf der mikro-, meso- und makroökonomischen Ebene ein. Die methodologische Annäherung an die Kategorie Geschlecht und die notwendigen Instrumente der Entwicklungsplanung stehen im Vordergrund des dritten Teils. Im letzten Kapitel definiert die Autorin die Politiken und Strategien für die verschiedenen Sektoren der Entwicklungszusammenarbeit, welche die Prinzipien des Gender-Ansatzes bei der Armutsbekämpfung verfolgen. (ICI)
In: Working Paper / Universität Bielefeld, Fakultät für Soziologie, Forschungsschwerpunkt Entwicklungssoziologie, Band 343
Der vorliegende Beitrag bezieht sich auf Feldstudien in Senegal, Kamerun und Mali. Das Konzept der Dezentralisierung wird in Bezug auf die Schnittstelle zwischen Wissenssystemen lokaler Akteure betrachtet. Unter Verwendung einer Geschlechterperspektive kann gezeigt werden, dass Dezentralisierung von den weiblichen Akteuren als Zugang zu den Entwicklungsinformationen begriffen wird, der neu ausgehandelt werden muss. Die Frage der vertikalen Kohärenz wird aufgeworfen, wenn Partizipationskonzepte und lokales Ressourcenmanagement betrachtet werden. Konzepte wie die der sozialen Forstwirtschaft lassen einen fragen, wie und wodurch eine Gemeinschaft zusammengehalten wird, wenn es um Übertragung von Macht geht, wodurch externe Interessen und Patron-Klient-Beziehungen in Richtung höherer Gesellschaftsebenen versteckt und verstärkt werden. Diese Art der Devolution von Planungsmacht könnte zum einen die Nichtregierungsorganisationen in einfache Dienstleister verwandeln und zum anderen die lokalen Gemeinschaften ignorieren. (ICDÜbers)
In: COMCAD Working Papers, Band 66
In: Revue des sciences sociales de la France de l'Est, Band 25, Heft 1, S. 137-142
Die Neuverzauberung der Welt ? Soziologie der Komplixität und Theorie des Chaos
In dem Artikel geht es darum, die bedeutenden Übereinstimmungen zwischen den Theorien des Chaos und der Soziologie der Komplexität hervorzuheben.
Nach der Darstellung der Hauptentdeckungen und epistemologishchen Folgen der Theorie des Chaos soll gezeigt werden, dass der auf Reduktion aufbauende Ansatz, die Negation der Zeit, die Kausalitätstheorie und die Versachlichung - von Seiten der Wissenschaft, wie der Soziologie - nicht mehr haltbar sind.
Postface à la traduction/édition du texte de Robert Michels, "Zur soziologie des parteiwesens", paru en 1925 (2e éd.) ; International audience ; Postface à la traduction/édition du texte de Robert Michels, "Zur soziologie des parteiwesens", paru en 1925 (2e éd.)
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