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In highway construction projects, labor-oriented work is an integral part of the management process, requiring analysis of factors affecting labor productivity during Covid-19 pandemic. This research identified 53 influential factors affecting construction labor productivity at selected cities and towns in Cagayan Valley Region, Philippines. Due to the pandemic, the construction industries incurred substantial profit losses. More so, the construction workers are too much affected because of the Enhance Community Quarantine (ECQ) imposed by the local government. Results indicated there was laxity on the Covid-19 protocols. No health worker in the project site ranked the highest in the health & safety factor group with an RII of 0.97 and ranked 1st among 53 factors on the different groups. Besides, no safety engineer was assigned to the projects and ranked 2nd with an RII of 0.93. Among the 7 groups of factors, the health and safety group ranked 1st with 0.81, followed by the schedule compression group with an RII of 0.78. Hence, these two groups of factors have a strong relationship, as evidenced by number of workers reduced. It was learned that the contractors' strategy was to increase the number of working days to cope with their schedules. Hypothesis testing supported that there are various significant factors influencing labor productivity loss during the Covid-19 pandemic, as suggested by more than 50% of the respondents.

Résumé Objectif : L'exposition de la population aux rayonnements ionisants est une préoccupation croissante des autorités sanitaires françaises et internationales. L'objectif de ce travail est de réaliser une synthèse des recommandations de bonne prescription des examens irradiants et de prise en charge des patients exposés aux rayonnements ionisants d'origine professionnelle. Méthodes : Synthèse méthodique de la littérature par interrogation des bases CISMeF et PubMed. Sélection des recommandations de pratique clinique, des guides produits par les institutions sanitaires françaises, et des articles concernant les prescriptions d'examens irradiants en soins primaires. Inclusion des documents jugés pertinents ou utiles à la pratique du médecin généraliste. Exclusion des documents traitant de la radiothérapie. Résultats : Sur 386 documents sélectionnés, nous en avons retenu 20 pour l'analyse. Une meilleure utilisation des techniques d'imagerie médicale suppose une justification des actes prescrits, un transfert des techniques d'imagerie vers des examens non irradiants ainsi qu'une reconnaissance des patients à risque. De plus, une coopération accrue entre les médecins prescripteurs et les radiologues semble nécessaire et serait envisageable dans le cadre juridique actuel. La reconnaissance d'une maladie professionnelle liée à une exposition aux rayonnements ionisants peut être facilitée par une sensibilisation des acteurs de santé, accompagnée si besoin d'une collaboration avec le médecin du travail. Conclusion : Les perspectives d'amélioration de la radioprotection médicale française reposent sur la diffusion d'une « culture radiologique » auprès des médecins concernés, ainsi que sur le développement d'une meilleure coordination entre les différents acteurs de santé. Prat Organ Soins. 2010;41(3):231-236