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Constitutions et luttes de classe de 1789 à nos jours
In: Collection Université et sociéte
L'État du droit. Introduction à une critique du droit constitutionnel
In: Critique du droit 2
La République et les minorités : statuts de marginalité et justifications idéologiques
In: Après-demain: journal trimestriel de documentation politique : organe de la Fondation Seligmann, Band N ° 52, NF, Heft 4, S. 17-18
L'état du droit à la mobilité
In: Migrations société: revue trimestrielle, Band 121, Heft 1, S. 89-104
ISSN: 2551-9808
Les prédispositions à l'esprit de corps : les candidats au concours de la magistrature
In: L'esprit de corps, démocratie et espace public, S. 227-227
La citoyenneté en Europe du Sud : variations et défis
In: Pôle sud: revue de science politique, Band 5, Heft 1, S. 26-41
ISSN: 1960-6656
Un statut de citoyen, parade contre l'exclusion des jeunes ?
In: Hommes & migrations, Band 1196, Heft 1, S. 30-36
La désaffection des jeunes à l'égard de l'exercice des droits de citoyenneté est un phénomène inquiétant qui conduit à s'interroger sur la nature même du statut de citoyen : pour essayer de comprendre en quoi il peut consister pour les jeunes, il faut commencer par expliquer comment le modèle traditionnel de citoyenneté se trouve en défaut et est donc réfuté par la nouvelle génération.
Pourtant, une autre citoyenneté peut être envisagée, en revenant aux sources mêmes du statut de citoyen, mais sans verser dans la tentation actuelle d'un retour aux formes «communautaristes» de la vie sociale.
L'État de Droit : technologie et/ou idéal ?
In: Naqd: revue d'études et de critique sociale, Band 3, Heft 2, S. 16-22
Le discours sur l'État de Droit balance toujours entre deux pôles : le pôle positiviste et technique (les modes de construction et les effets de l'État de Droit) et le pôle politique ou idéologique (l'État de Droit comme niveau supérieur et souhaitable de la construction et du fonctionnement de l'État). Les juristes traitent de l'État de Droit comme d'un État particulier, celui qui est défini par le Droit et aussi soumis au Droit. Pour la plupart d'entre eux, cette présentation concerne une partie seulement des États actuels, mais malgré cette situation minoritaire, représente le stade suprême du développement de l'État libéral, c'est-à-dire d'un État limité par le Droit. Le consensus le plus large semble se réaliser aujourd'hui autour du thème de l'État de Droit au point que l'expression est désormais équivalente à celle d'État démocratique. Pourtant, si actuellement tout État démocratique est aussi un État de Droit, en revanche, tout État de Droit n'a pas été ou n'est pas automatiquement un État démocratique.
La critique du droit
In: Droit et société: revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, Band 20, Heft 1, S. 73-87
ISSN: 0769-3362
A Critique of the Law.
Undertaking a critical study of the law is a complex task which first requires that its foundations be explored. If a materialistic approach is adopted, it must allow us to conduct an analysis that is both theoretical and practical ; moreover, not being established dogme, it must lead to a real discussion that remains open-ended. Then, it is proper to decide on ways of conducting this study, both from an academic point of view (the usefulness of the concept of legal interconnection) and from a practical point of view (notably the subject of regulation in law).
Le droit par l'image
In: Droit et société: revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, Band 16, Heft 1, S. 279-287
ISSN: 0769-3362
Before making any visual représentation of Law, one must consider two facts. First and more immediate fact, Law through the visual Media implies the through consideration of technical and sociological data (I). Second and more complex fact, to what extent is it possible to translate a written code into a visual one without altering or betraying it (II) ? This article is limited to the study of the French legal system and its translation into moving pictures of T.V.
Les critiques des opposants
In: Revue française de science politique, Band 34, Heft 4-5, S. 659-670
ISSN: 0035-2950
World Affairs Online
Les critiques des opposants
In: Revue française de science politique, Band 34, Heft 4, S. 659-670
ISSN: 1950-6686
second question concerns the failure of that discourse, which reflects a new pattern of the political game in accordance with changes in French society.
Der Begriff der Legitimität im französischen Verfassungsrecht
In: Ordnungsmacht?: über das Verhältnis von Legalität, Konsens und Herrschaft, S. 264-297
In dem Beitrag wird eine Querschnittuntersuchung zur Darstellung des Verhältnisses von Legalität und Legitimität in den gängigen französischen Verfassungslehrbüchern vorgenommen. Einleitend wird allgemein der Begriff der Legitimität problematisiert. Es wird gezeigt, daß sich die Entdeckung dessen, was Legitimität im Recht bedeutet, nicht problemlos vollziehen kann, da damit sofort ein offener Widerspruch zu den positivistischen Voraussetzungen in Erscheinung tritt. Um diesen Diskurs darzustellen, wird auf Bücher zurückgegriffen, die Basiswissen zu vermitteln beanspruchen, d.h. auf die gängigsten Lehrbücher des Verfassungsrechts. Weil diese durch die Vereinfachung der Fragestellung und ihrer Lösung eine repräsentative Vorstellung von der Perzeption der Legitimität im französischen Verfassungsrecht vermitteln, ermöglicht es dieser Ansatz, die pädagogische Präsentation dieser französischen Lehrbücher nachzuvollziehen, d.h. die Deformation zu ermessen, denen Analysen aus Gründen der Verständlichkeit oder der Einhaltung von Lehrplänen ausgesetzt werden. Durch die Aufnahme von drei Elementen des Diskurses über den Begriff der Legitimität - Gegenstand, Abgrenzungskriterium und Funktion - in die Untersuchung wird der partielle bzw. parteiliche Charakter dessen gezeigt, was den Studenten als die juristische Wissenschaft präsentiert wird. In der Diskussion der Frage der Bedeutung der Legitimität als Wertverhältnis oder Machtverhältnis werden zwei Irrtümer herausgearbeitet: (1) daß die Ideen zur Basis des Staates gemacht werden; (2) ihr vager und abstrakt bleibender Charakter. Als Problem des Kriteriums der Legitimität wird die Frage aufgegriffen, wie sich erklären läßt, daß es bestimmte und keine anderen Werte sind, die die Grundlage der Legitimität der Regierenden sind. Abschließend wird auf das Problem der Legalität als Produkt der Legitimität eingegangen. Die Frage nach dem Charakter des Verhältnisses von Legalität und Legitimität wird anhand verschiedener Lösungen aus der Geschichte diskutiert. (RW)