Suchergebnisse

Le programme « Villes-Santé » de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a été lancé en 1987, dans le sillage de la Charte d'Ottawa pour la promotion de la santé. Il est le seul programme de l'OMS où les interlocuteurs de cette dernière ne sont pas les autorités nationales mais celles qui sont le plus proches des citoyens, à savoir les collectivités territoriales. Il est l'équivalent pour la santé de ce qu'est l'Agenda 21 local pour le développement durable et constitue la première tentative politiquement structurée de lier urbanisme et santé. Dans cet intervalle de plus de 25 ans, les contextes de sa mise en œuvre ont passablement évolué, ses domaines d'intervention se sont élargis, de même que sa mise en œuvre a progressivement essaimé sur les cinq continents. Cela a donné naissance à un ensemble très diversifié de pratiques en matière de santé urbaine. Quels enseignements pouvons-nous tirer de cette longue période d'expérimentation et de maturation ? Quelle est la valeur ajoutée que peut apporter cette initiative de l'OMS, qui entame maintenant sa sixième phase quinquennale, en matière de développement durable et d'urbanisme favorable à la santé ?

Greece is a European-Union country, of around 10 million people, located in the southeast part of Europe. The economy is recovering from a long period of deep recession, due to the economic crisis that started in 2008. The economic problems greatly influenced the structure and resources of the healthcare system of the country. In addition to the economic challenges, the country has been facing a refugee crisis, characterized by many overcrowded hotspots and tensions with neighboring Turkey. The COVID-19 outbreak arrived in Greece on 26 February 2020, at the time that Athens had declared a state of emergency at the Greek/Turkish border. From this point in time the government enforced a series of measurements, aiming to contain the epidemic and avoid the collapse of the healthcare system. The vast majority of the general population complied to the measures and consequently Greece's death toll was low. The impacts of the outbreak are expected to be, as everywhere worldwide, multifaceted and to affect many parts of the economic, social and political life of the country.

In Switzerland, health care, disease prevention and health promotion policies are the responsibility of three government tiers: the federal authorities, the cantons, and the communes acting in a decentralized framework. During the 1990s and the first decade of the 21st century, the federal state elaborated strategic frameworks for disease prevention and health promotion. The lack of systematic data collection was partly alleviated by the creation of an Observatory of health (OBSAN) that produces reports for the cantons on the basis of a cyclic federal survey. A federal law on health promotion and prevention reached a very advanced stage, but closely failed to muster the consensus needed to pass. The trend towards more governance and coordination at the federal level is not univocal. On one hand, some recent or upcoming decisions, for example in the matter of the regulation of land use or fiscal policy, would tend to reinforce the centralized competencies. On the other hand, we can observe a definite trend of funding cuts at the federal level, along the lines of a more general intention to "untangle" financial and political responsibilities back to the Cantons. The development of equitable and sensible disease prevention and health promotion policies in a decentralized framework carries its unique set of risks and opportunities.

This article is intended to be an initial report on the experiences gained while using HIA. Although it is provisional and pragmatic, it ought to provide useful elements for comparison with other territorial situations, both Swiss and foreign. The large differences between the three cantonal political-institutional contexts probably explain the profound differences in the way that HIA processes were introduced in each canton. Nevertheless, the article - through the concept of institutionalization - seeks to identify supra-cantonal elements. Finally, by presenting HIA implementation methods in different Cantons, it endeavours to demonstrate the existence of a common matrix in the Swiss context beyond the differences arising from the actual political-institutional situations linked to them.

Brazil was one of the first countries in Latin America to institutionalize a National Environmental Policy in 1981, including the environmental impact assessment (EIA) process of economic activities with anticipated impacts on the environment. Today, EIA practice in Brazil comes with a number of limitations: it is constrained by its environmental advocacy role; application is strongly oriented towards large capital projects; and social responsibility considerations are only partially included. Consequently, EIA studies mainly address issues connected to localised and direct environmental impacts, largely ignoring any socio-economic and health impacts. This perspective paper highlights limitations of current EIA practice in Brazil with a focus on health considerations in impact assessment. While recognizing the positive impact to municipalities where large capital projects are being developed and operated, adverse impacts on health are a reality with measurable evidence in Brazil. Therefore, we argue that specificities on how to systematically assess and monitor potential health impacts cannot remain invisible in the Brazilian legislation, as currently seen in the reformulation of the licensing process in the country. The process of better integrating the assessment of health impacts in the licensing process of large capital project in Brazil must, however, not be based on the imposition of an external model but should be promoted by internal stakeholders from the environmental and health sector, incorporating the experiences gained in various case studies from all over the country.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.

International audience ; Cet article interroge les effets des modalités partenariales de recherche du projet GREENH-City associant des chercheur.e.s au Réseau français des Villes-Santé OMS (RfVS). Il propose une analyse de l'appropriation des connaissances scientifiques liées au projet par les villes membres du RfVS à partir du modèle de partage de connaissances. L'article montre qu'un décalage temporel peut s'opérer entre la production et l'utilisation des données liées au projet et interroge les modalités de partage de connaissances comme les pratiques de cette recherche interventionnelle.