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Économie politique agricole et morale sociale de l'Église
In: Collection Économie agricole & agro-alimentaire
Uniwersytet katolicki wobec wyzwania marnotrawstwa rozumu
In: Chrześcijaństwo, świat, polityka: zeszyty społecznej myśli Kościoła, Heft 25
ISSN: 1896-9038
Artykuł dotyczy istoty i misji uniwersytetu katolickiego. Autor wskazując na powszechne przeświadczenie dotyczące rozdźwięku porządków wiary i rozumu zwraca uwagę na fakt, że w badaniach rozum ludzki został zredukowany do rozumu utylitarnego i pozytywistycznego. W konsekwencji ludzkie poznanie zostaje odcięte od transcendencji, a nauka od pojęcia prawdy obiektywnej. Misją uniwersytetu jest zatem przywrócenie pierwotnej jedności wiary i rozumu.
De la responsabilité éthique du scientifique
Archétype fréquent des modes de délibération éthique contemporaine, l'éthique du scientifique ne peut se laisser réduire à la seule convenance politique d'une éthique de la responsabilité. une responsabilité qui serait en définitive écrasante pour le scientifique lui même et anesthésiante pour la décision politique. S'il y a modèle à suivre, ne serait-ce pas plutôt et simplement dans celui de l'effort d'objectivation scientifique ? C'est à dire en réhabilitant un usage moral et donc élargi de la raison humaine, moyennant un vis-à-vis synthétique entre nature et liberté humaines.
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De la responsabilité éthique du scientifique
In: Séminaire. Les scientifiques doivent-ils être responsables ? Fondements, enjeux et évolution normative, Paris, FRA, 2011-12-09-
Archétype fréquent des modes de délibération éthique contemporaine, l'éthique du scientifique ne peut se laisser réduire à la seule convenance politique d'une éthique de la responsabilité. une responsabilité qui serait en définitive écrasante pour le scientifique lui même et anesthésiante pour la décision politique. S'il y a modèle à suivre, ne serait-ce pas plutôt et simplement dans celui de l'effort d'objectivation scientifique ? C'est à dire en réhabilitant un usage moral et donc élargi de la raison humaine, moyennant un vis-à-vis synthétique entre nature et liberté humaines.
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Réforme de la Politique Agricole Commune et gestion des intrants
In: Dynamique des espaces ruraux. Agricultures et environnement. 1993; Colloque du programme AGROTECH 1990-1993 : Dynamique des espaces ruraux. Agricultures et environnement, Versailles, FRA, 1993-11-03-, Non paginé / 16 p.
Essentiellement axée sur le soutien des prix des produits, la politique agricole commune (PAC) instituée au début des années 60 a profondément infléchi les combinaisons factorielles conduisant ainsi à un recours accru aux intrants d'origine industrielle par rapport aux facteurs terre et travail. Elle a aussi conduit à une forte dissociation des spéculations à l'intérieur des exploitations et des régions. Ces évolutions sont à l'origine d'effets néfastes à l'environnement. Par le passage d'une aide aux produits à un soutien couplé davantage désormais aux facteurs de production, la réforme de la PAC, ayant pour pivot la baisse du prix des céréales, apparaît en réalité comme une nouvelle gestion macro-économique des intrants agricoles dont les effets au niveau des exploitations n'ont pas été forcément bien perçus. Dès lors, l'étude proposée ici s'intéresse à deux questions. D'une part, elle analyse les effets de la baisse des prix céréaliers sur l'utilisation foncière et sur les relations de substitution-complémentarité des intrants industriels et de cet input spécifique qu'est l'information. D'autre part, elle tente de délimiter dans quelle mesure la réforme de la PAC agit envers ou à l'encontre de la préservation environnementale et d'un développement agricole durable. Communication reprise dans le fascicule : Systèmes techniques, et gestion de l'espace.
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Réforme de la Politique Agricole Commune : évolution des rendements céréaliers entre inefficacité technique et prix-efficacité
In: Réforme de la Politique Agricole Commune : évolution des rendements céréaliers entre inefficacité technique et prix-efficacité, INRA-ESR(1992)
Cette étude tente de justifier, au sein du secteur agricole, l'hypothèse suivant laquelle le niveau d'efficacité micro-économique conditionne largement le degré d'efficience des politiques de régulation des marchés. L'illustration porte sur la toute récente réforme de la Politique Agricole Commune qui s'est donnée comme catalyseur une baisse notable du prix des céréales. Un cadre méthodologique non paramétrique permet de révéler les inefficacités proprement techniques de même que les inefficacités allocatives, c'est-à-dire relatives au système de prix. Cette approche est appliquée à l'examen d'échantillons d'exploitations céréalières du RICA, pour les années 1987 à 1990. Les inefficacités techniques observées s'interprètent comme des gains potentiels de productivité traduits ici sous forme d'accroissement des rendements céréaliers à l'hectare. Pour l'année 1990, l'inefficacité technique serait en moyenne d'environ 10% sur l'échantillon considéré. La résorption de cette seule inefficacité technique pourrait conduire à une augmentation de 11,2% des rendements céréaliers. L'effet escompté du gel de 15% des terres sur l'offre céréalière sera donc vraisemblablement amorti. Ce résultat global se différencie suivant les régions et la taille des exploitations.
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Economie et technologie des systèmes céréaliers : une approche duale et économétrique
*INRA Station d'Economie et Sociologie rurales 65 rue de Saint-Brieuc 35042 RENNES CEDEX (FRA) Diffusion du document : INRA Station d'Economie et Sociologie rurales 65 rue de Saint-Brieuc 35042 RENNES CEDEX (FRA) Diplôme : Dr. d'Université ; Cette thèse se fonde sur une approche duale en théorie de la production appliquée au secteur agricole. La première partie propose un exposé rigoureux du schéma dual et en découlent des mesures pertinentes pour caractériser une technologie en situation de déséquilibre : concepts de prix dual, d'économies d'échelle de court et long terme. La seconde partie est économétrique ; elle utilise des données individuelles du Réseau d'Information Comptable Agricole. La détermination des équilibres de long terme permet d'expliciter l'ensemble des relations factorielles. Un modèle TOBIT formalise la semi-fixité de la main-d'oeuvre familiale agricole. L'adoption d'une technologie multiproduits permet d'expliquer la spécialisation céréalière au travers de l'absence observée d'économies de diversification. La troisième partie s'appuie sur les résultats économétriques et propose une analyse des mesures de politiques agricoles. L'existence d'économies d'échelles locales induirait une inefficacité relative des politiques de régulation des marchés par les prix. Certains effets microéconomiques d'un gel des terres sont précisés. Une taxation des intrants polluants est analysée en dissociant notamment les effets de court et long terme.
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Nature et agriculture
Volume 2 ; Nature et Agriculture, une histoire commune : très brève à l'horloge de l'univers, près de 10 000 ans à celle de l'humanité. Histoires de nécessités et d'adversités ; histoires rurales singulières et plurielles, tellement entrelacées aujourd'hui que leurs devenirs respectifs semblent ne pouvoir échapper à une destinée commune. On serait d'ailleurs pressé d'en finir : l'agriculture n'a-t-elle pas à se plier au sens d'une fin de l'Histoire où l'échange et l'intérêt marchands expliqueraient in fine toute réalité sociale ? Désormais en effet, les politiques agricoles accordent une plus large place aux incitations marchandes, tant pour la production alimentaire que pour les biens et services co-produits par l'activité : qualité des produits, pollutions, aménités environnementales. Ces mêmes politiques sont mises en demeure par ailleurs de pallier l'insuffisante rémunération des producteurs fournie par des marchés aujourd'hui mondialisés. Dans ce vaste aggiornamento rural, les préoccupations dites "environnementales" revendiquent une préséance où l'agriculture fait souvent figure d'accusée. Elle consomme et produit du "rural" ; plus précisément des ressources et actifs naturels (eau, sol, air, paysage.) qui sont à partager avec d'autres utilisateurs en dehors souvent d'un échange marchand explicite. Si le prix du marché n'est pas systématiquement un juste prix, il a au moins le mérite de visibiliser et d'expliciter la transaction, quitte ensuite à l'encadrer juridiquement. En l'absence de marché voire surtout d'un cadre juridique d'appropriation, la "justice" de l'échange et du partage est plus difficile à faire respecter. Pour dépasser le dialogue de sourds ou la foire d'empoigne actuelle, l'économie de ces échanges reste souvent à concevoir. ou à restaurer, ce qui pourrait être l'un des objets nouveaux d'une économie rurale à réhabiliter tant au niveau factuel qu'académique.
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Nature et agriculture
Volume 2 ; Nature et Agriculture, une histoire commune : très brève à l'horloge de l'univers, près de 10 000 ans à celle de l'humanité. Histoires de nécessités et d'adversités ; histoires rurales singulières et plurielles, tellement entrelacées aujourd'hui que leurs devenirs respectifs semblent ne pouvoir échapper à une destinée commune. On serait d'ailleurs pressé d'en finir : l'agriculture n'a-t-elle pas à se plier au sens d'une fin de l'Histoire où l'échange et l'intérêt marchands expliqueraient in fine toute réalité sociale ? Désormais en effet, les politiques agricoles accordent une plus large place aux incitations marchandes, tant pour la production alimentaire que pour les biens et services co-produits par l'activité : qualité des produits, pollutions, aménités environnementales. Ces mêmes politiques sont mises en demeure par ailleurs de pallier l'insuffisante rémunération des producteurs fournie par des marchés aujourd'hui mondialisés. Dans ce vaste aggiornamento rural, les préoccupations dites "environnementales" revendiquent une préséance où l'agriculture fait souvent figure d'accusée. Elle consomme et produit du "rural" ; plus précisément des ressources et actifs naturels (eau, sol, air, paysage.) qui sont à partager avec d'autres utilisateurs en dehors souvent d'un échange marchand explicite. Si le prix du marché n'est pas systématiquement un juste prix, il a au moins le mérite de visibiliser et d'expliciter la transaction, quitte ensuite à l'encadrer juridiquement. En l'absence de marché voire surtout d'un cadre juridique d'appropriation, la "justice" de l'échange et du partage est plus difficile à faire respecter. Pour dépasser le dialogue de sourds ou la foire d'empoigne actuelle, l'économie de ces échanges reste souvent à concevoir. ou à restaurer, ce qui pourrait être l'un des objets nouveaux d'une économie rurale à réhabiliter tant au niveau factuel qu'académique.
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Irrigation et politique agricole
Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes cedex (FRA) ; La forte croissance des terres irriguées en France, la plus élevée de l'Union européenne, tient à un ensemble de conditions propres à ce pays, et aux mécanismes de la politique agricole. Parmi ces derniers, le système de paiements directs basé sur des rendements de référence régionalisés, avec un différentiel important en faveur des cultures irriguées, joue un rôle essentiel. A terme, ces modalités de soutien des grandes cultures vont se traduire par une capitalisation de la rente foncière dans le prix des terres, renforçant ainsi l'intensification. Dans un contexte de rareté de la ressource, au moins locale et ponctuelle, la gestion optimale suppose une tarification de l'eau d'irrigation moins éloignée de son coût d'opportunité qu'aujourd'hui. En effet on constate d'une part un important écart entre le prix payé par les agriculteurs et le coût théorique, et d'autre part une grande différence entre le prix supporté par les autres usagers, et celui supporté par les agriculteurs. Le mode de gestion par les quotas qui se met en place, sans possibilité d'échange sur un marché, ne contribuera pas à résoudre cet écart, tout en conduisant à une nouvelle capitalisation de cette rente dans le foncier.
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Optimal land use and manure management : an application to the French case
Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales rue Adolphe Bobierre CS 61103 35011 Rennes Cedex (FRA) ; Le problème de la pollution issue de l'élevage intensif est analysé, ici, à travers un modèle général d'économie du bien-être. Les options politiques choisies pour éviter ce phénomène de pollution relèvent de la mise en place de normes. La directive de 1991 de l'Union européenne autorise un volume limité de déjections animales sur chaque terre (170 kg d'azote). Une fois cette norme établie, les producteurs vont chercher à maximiser leur profit sous cette contrainte. Ce système conduit à un développement du marché des droits d'épandage entre ceux qui ont de la terre disponible et ceux qui ont un volume important de déjections à épandre. L'illustration empirique s'applique à la Bretagne.
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Agricultural pollution and the application of the polluter pays principle ; Les pollutions d'origine agricole et l'application du principe pollueur-payeur
The definition of an emissions tax, according to the tradition of Pigouvian, is even more difficult in agriculture than in other sectors because of the diffuse nature of pollution in this sector. This is not at odds with the polluter pays principle, but there are simply different arrangements leading to the best possible second-tier optimisation. The first part of this report gives a general view of the question rather from a theoretical point of view. The second part proposes a more specific analysis of the French situation, based in particular on the design and implementation of the Programme for the Management of Pollutions of Agricultural Origin (PMPOA). This makes it possible, from a coasian perspective, to see the foundations of agricultural environmental policy and to discuss the de facto distribution of property rights. ; La définition d'une taxe sur les émissions, selon la tradition pigouvienne, se heurte à plus de difficultés encore dans l'agriculture que dans les autres secteurs en raison du caractère diffus des pollutions de ce secteur. Ceci n'est pas contradictoire, néanmoins avec le principe pollueur-payeur, on a simplement des modalités différentes conduisant au mieux à des optima de second rang. La première partie de ce rapport donne une vue générale de la question plutôt sous l'angle théorique. La seconde partie propose une analyse plus concrète de la situation française en se fondant plus particulièrement sur la conception et la mise en oeuvre du Programme de Maîtrise des Pollutions d'Origine Agricole (PMPOA). Cela permet dans une perspective coasienne de voir les fondements de la politique environnementale agricole et de discuter de la répartition de fait des droits de propriété.
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Fertiliser taxation and environmental economics
Diffusion du document : OCDE 2 rue André Pascal 75775 Paris Cedex 16 (FRA) ; Le choix de taxation des intrants polluants est remis en cause par un certain nombre d'auteurs sur la base d'estimations de leur élasticité-prix très faible. Ces résultats obtenus à partir de modèles d'optimisation font l'objet d'un premier point où la démarche et les résultats sont présentés. Dans un deuxième point, on discute de la portée de ces estimations en montrant comment il convient de les analyser. Enfin, le troisième point développe les effets d'une taxation de l'azote sur la branche céréalière française à la lumière d'un certain nombre de travaux conduits à l'Unité INRA-ESR de Rennes.
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Économie politique des mesures agri-environnementales
Diffusion du document : INRA Unité d'Economie et Sociologie rurales 65 rue de Saint-Brieuc 35042 Rennes Cedex (FRA) ; Le développement économique s'est accompagné d'une forte croissance de la demande marchande et non marchande de nature qui peut être appréciée par une série d'indicateurs. Le dispositif légal et réglementaire mis en place à partir de la fin du 19e siècle n'a pas été suffisant pour corriger l'inadéquation entre la demande et l'offre de nature. La poursuite des tendances passées de la demande, associée à une sensibilité écologique croissante, qui conduit les français à placer la réduction de la pollution, la protection des paysages ainsi que la sauvegarde de la faune et de la flore parmi les sujets importants de préoccupation, ne peut donc qu'accentuer les déséquilibres observés. Dans ce contexte, il est légitime de s'interroger sur la nature et le rôle des mesures agri-environnementales introduites en 1992, à l'occasion de la réforme de la PAC. L'examen, proposé dans cette communication, les éclaire sous deux angles distincts, en les replaçant d'une part dans le cadre de la politique environnementale et d'autre part dans celui de la politique agricole. Cet examen est destiné dans l'avenir à s'inscrire dans une analyse de leur efficience qui devra prendre en compte d'autres éléments avec en particulier leurs effets sur les marchés et les échanges.
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