Imaginären des sozialen Körpers. Pascal Hintermeyer Seit zwei Jahrhunderten benutzen die Sozialwissenschaften oft biologische Metaphern. Sie verstehen die Gesellschaft durch die Eigenschaften des Lebens, besonders die Organisierungsfähigkeit und-die Vollkommenheit. Hier werden einige Nachfolgen dieser Beziehungen untersucht.
Le travail social ne s'est pas construit en un jour. Il s'est nourri à la fois des idées de grands pédagogues issus de divers champs disciplinaires (philosophie, théologie, sociologie, psychologie, psychanalyse, anthropologie, entre autres). Il n'est pas inutile de revenir à ces références premières pour au moins trois raisons : elles contiennent les valeurs fondatrices du travail social, elles relèvent la permanence de la recherche dans ces domaines, elles irriguent une éthique du sujet très éloigné des logiques actuelles (management, compétences, performance, qualité…).
International audience ; Actuellement doctorante en musicologie sous la direction de Christine Esclapez. Mon sujet de thèse questionne les interactions qui se tissent entre les musiciens pendant la pratique musicale. Je m'intéresse au dialogue non verbal qui s'instaure entre les musiciens durant le jeu improvisé. Pour cela, je travaille avec des musiciens professionnels et des musiciens amateurs, voir même totalement débutants, et j'observe les différences de pratique. Plus spécifiquement, je réalise des enregistrements audio-visuels de séances de « répétitions » en situation d'improvisation libre ou totale, notamment avec le Conservatoire du Pays Apt Lubéron et Michel Rey son directeur, lui-même en partenariat avec Benjamin Dupé à la tête de « L'Atelier d'Invention Musicale et d'Improvisation Libre ». Mon champ de recherche s'oriente donc vers la recherche-action même si j'aborde plusieurs domaines connectés au champ de la musicologie actuelle, ceux des sciences humaines et parfois même de la psychologie sociale. Mon intervention soulignera aujourd'hui un des aspects de mon travail de recherche : la question de la pratique musicale improvisée sera mise en regard avec la dimension sociale et politique de la transmission de la musique dans des quartiers défavorisés. Je me situe dans ce qu'on pourrait appeler une « recherche-création-action ». Je souhaite, ici, rende compte d'une expérience que j'ai menée en tant que professeure contractuelle en éducation musicale dans le secondaire, en m'attardant sur la dimension politique et esthétique de mon expérience, qui ne sera pas celle des sciences de l'éducation. L'objectif de mon travail était avant tout de confronter mes élèves à la création musicale et à la musicologie en développant leurs connaissances aussi bien en histoire de la musique qu'en esthétique musicale à partir de la pratique vivante de la musique. Il s'agissait, pour moi, de mettre la pratique au centre des questionnements et de déployer à partir de cette pratique des zones de questionnements. Corps ...
International audience ; Actuellement doctorante en musicologie sous la direction de Christine Esclapez. Mon sujet de thèse questionne les interactions qui se tissent entre les musiciens pendant la pratique musicale. Je m'intéresse au dialogue non verbal qui s'instaure entre les musiciens durant le jeu improvisé. Pour cela, je travaille avec des musiciens professionnels et des musiciens amateurs, voir même totalement débutants, et j'observe les différences de pratique. Plus spécifiquement, je réalise des enregistrements audio-visuels de séances de « répétitions » en situation d'improvisation libre ou totale, notamment avec le Conservatoire du Pays Apt Lubéron et Michel Rey son directeur, lui-même en partenariat avec Benjamin Dupé à la tête de « L'Atelier d'Invention Musicale et d'Improvisation Libre ». Mon champ de recherche s'oriente donc vers la recherche-action même si j'aborde plusieurs domaines connectés au champ de la musicologie actuelle, ceux des sciences humaines et parfois même de la psychologie sociale. Mon intervention soulignera aujourd'hui un des aspects de mon travail de recherche : la question de la pratique musicale improvisée sera mise en regard avec la dimension sociale et politique de la transmission de la musique dans des quartiers défavorisés. Je me situe dans ce qu'on pourrait appeler une « recherche-création-action ». Je souhaite, ici, rende compte d'une expérience que j'ai menée en tant que professeure contractuelle en éducation musicale dans le secondaire, en m'attardant sur la dimension politique et esthétique de mon expérience, qui ne sera pas celle des sciences de l'éducation. L'objectif de mon travail était avant tout de confronter mes élèves à la création musicale et à la musicologie en développant leurs connaissances aussi bien en histoire de la musique qu'en esthétique musicale à partir de la pratique vivante de la musique. Il s'agissait, pour moi, de mettre la pratique au centre des questionnements et de déployer à partir de cette pratique des zones de questionnements. Corps ...
International audience ; Actuellement doctorante en musicologie sous la direction de Christine Esclapez. Mon sujet de thèse questionne les interactions qui se tissent entre les musiciens pendant la pratique musicale. Je m'intéresse au dialogue non verbal qui s'instaure entre les musiciens durant le jeu improvisé. Pour cela, je travaille avec des musiciens professionnels et des musiciens amateurs, voir même totalement débutants, et j'observe les différences de pratique. Plus spécifiquement, je réalise des enregistrements audio-visuels de séances de « répétitions » en situation d'improvisation libre ou totale, notamment avec le Conservatoire du Pays Apt Lubéron et Michel Rey son directeur, lui-même en partenariat avec Benjamin Dupé à la tête de « L'Atelier d'Invention Musicale et d'Improvisation Libre ». Mon champ de recherche s'oriente donc vers la recherche-action même si j'aborde plusieurs domaines connectés au champ de la musicologie actuelle, ceux des sciences humaines et parfois même de la psychologie sociale. Mon intervention soulignera aujourd'hui un des aspects de mon travail de recherche : la question de la pratique musicale improvisée sera mise en regard avec la dimension sociale et politique de la transmission de la musique dans des quartiers défavorisés. Je me situe dans ce qu'on pourrait appeler une « recherche-création-action ». Je souhaite, ici, rende compte d'une expérience que j'ai menée en tant que professeure contractuelle en éducation musicale dans le secondaire, en m'attardant sur la dimension politique et esthétique de mon expérience, qui ne sera pas celle des sciences de l'éducation. L'objectif de mon travail était avant tout de confronter mes élèves à la création musicale et à la musicologie en développant leurs connaissances aussi bien en histoire de la musique qu'en esthétique musicale à partir de la pratique vivante de la musique. Il s'agissait, pour moi, de mettre la pratique au centre des questionnements et de déployer à partir de cette pratique des zones de questionnements. Corps ...
La thiiorie classique de la socialisation suppose que l'individu social se développe après la naissance à partir d'un état primaire d'indifférenciation sans frontières entre le soi et l'objet (Freud, Piaget, Skinner). Selon une telle perspective, la sociabilité n'est qu'un fait externe au corps, une caractéristique secondaire ou acquise. Mais le " chaos ", 1' " égoïsme " et le " narcissisme " habituellement attribués à l'enfant ne constituent pas des faits sociaux ou psychologiques ; on trouve l'origine de ces idées dans le créationnisme grec et dans le concept de " chair " selon saint Paul. Dans cette tradition, qui domine encore les sciences sociales, le corps représente la désorganisation mythique qui doit être corrigée et structurée par la Loi de la Société (Durkheim, Lévi-Strauss, Lacan). L'étude contemporaine de la vie cognitive, émotionnelle et sociale du nouveau-né et de l'enfant ouvre la voie à une nouvelle sociologie basée sur la sociabilité primordiale et innée du corps humain.
Né à Nantes en 1798, Adolphe Toulmouche a exercé la profession de médecin dans la commune de Rennes de 1820 à sa mort en 1876. Son doctorat de médecine, obtenu à la faculté de Paris en 1820, lui a permis de devenir un observateur émérite. À partir de la monarchie de Juillet, il met alors ses compétences médicales au service de la société, dans le domaine notamment de l'hygiène publique et de la médecine légale. Parallèlement, il écrit de nombreux articles dans les Annales d'hygiène publique et de médecine légale , revue fondée par les médecins hygiénistes renommés, parmi lesquels Parent-Duchâtelet et Villermé. Le présent travail a pour objet d'étudier les rapprochements qui se sont effectués dans son œuvre entre les sciences d'observations et le politique, entendu comme la gestion et l'administration des territoires et des populations. Autour des notions d'enquête et d'expertise, il s'agira de voir comment le docteur Toulmouche a pu œuvrer pour une reconnaissance de son rôle social de médecin, par le développement de ses compétences scientifiques.