Das Elend der Philosophie: Antwort auf Prudhon's "Philosophie des Elends"
In: Internationale Bibliothek, Band 12
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In: Internationale Bibliothek, Band 12
Blick ins Buch Was ist das Ziel guter Philosophie, wie wird man ein guter Philosoph? Dieses Buch gibt die Antwort, dass nur der ein guter Philosoph ist, der zugleich ein "wahrer Mensch" (Wittgenstein) ist. Welchen philosophischen Standpunkten sich unsere Vernunft anschließt, entscheidet sich letztlich im Einklang mit dem Temperament, mit den Emotionen, die zum wahren Menschen gehören. Und dann kommt es darauf an, dass man auch nach der so gewonnenen philosophischen Einstellung lebt, um sie zu bestätigen. Ein Buch, das zentrale philosophische Fragen nach Willensfreiheit, Objektivität der Moral, Sinn des Lebens, Identität des Selbst und religiöser Wahrheit auf präzisem, aber verständlich-transparentem Niveau verhandelt: Gerahmt von dem fiktiven Briefwechsel der Philosophen Bill Headstrong und Wilhelm Kornblum werden diese existentiellen Fragen an Leben und Werk des Philosophen William James exemplifiziert.
Das 19. Jahrhundert revolutioniert die Philosophie! Während aus der Industrialisierung die bürgerliche Gesellschaft hervorgeht, verlieren die Philosophen den Boden unter den Füe︣n. Ist es überhaupt noch möglich, ein geschlossenes System der Welt zu errichten? In einer Welt ohne Gott und ohne natürliche Ordnung? Vor allem die Naturwissenschaften fordern die Philosophie heraus und beanspruchen die alleinige Deutungshoheit über Wahrheit und Sinn. Denker wie Auguste Comte, John Stuart Mill und Charles Sanders Peirce versuchen die Philosophie methodisch auf das Niveau der Physik und der Biologie zu bringen. Doch genau dagegen rührt sich Protest. Für ihre Gegenspieler Arthur Schopenhauer, Sören Kierkegaard und Friedrich Nietzsche ist die Philosophie gerade keine Wissenschaft, sondern etwas ganz anderes: eine Haltung zum Leben! (Verlagstext)
Jankélévitchs Erste Philosophie kreist um den Augenblick, den >instantAugenblick< zu erfassen bzw. seine Unfasslichkeit nachzuweisen. Damit steckt er jenen Bereich der Philosophie neu ab, der nicht von der Epistemologie erreicht wird. Da Jankélévitch im Unterschied zu den Strukturalisten sich nicht in erster Linie um eine Verräumlichung des Augenblicks bemüht, ist sein Unternehmen ganz in die zeitliche Struktur der Wahrnehmung und des Denkens eingelassen. Jankélévitch entwickelt Denkansätze bis zu ihren letzten Konsequenzen und wägt sie gegeneinander ab. Ein faszinierendes Buch, das die Welt der Antike und der Gnosis neu entdecken lässt, denn eine der Hauptquellen sind Plotins Enneaden
In: Kohlhammer Urban Taschenbücher 352,1
Stärker als vorangehende Epochen ist das Zeitalter der Renaissance (ca. 1350 bis ca. 1650) durch zahlreiche wirtschaftliche, künstlerische, politische, technische, literarische, theologische, soziale und philosophische Neuorientierungen geprägt. Kaum etwas ist am Ende dieses Zeitabschnitts so wie es am Anfang war. Die 11 Kapitel dieser ""Philosophie der Renaissance"" (Prag 1356, Padua 1408, Florenz 1434, Wien 1489, Florenz 1519, Wittenberg 1560, Ingolstadt 1577, Montaigne 1588, Ciudad de Mexico 1599, Peking 1601, Paris 1625 / München 2013) gehen von einer spezifischen örtlichen und geistesgesc
Philosophie, Welt- und Lebensanschauung -- I Historischer Teil -- 1. Philosophie als Wissen überhaupt -- 2. Philosophie als Weltanschauung, Differenzierung des Gesamtwissens -- 3. Philosophie als Theorie der Lebensführung -- 4. Philosophie als Lebenspraxis -- 5. Philosophie als Religionsersatz -- 6. Philosophie als weltliches Gesamtwissen -- 7. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 8. Philosophie als Erkenntnislehre -- 9. Philosophie als Problem -- II. Erkenntniskritischer Teil -- 1. Philosophie als Welt- und Lebensansidit -- 2. Philosophie als Erkenntnis -- III, Systematischer Teil -- A. Das System der Welt -- B. Das System der Werte -- C. Die philosophiechen Spezial-Disziplinen -- Anmerkungen -- Liteiaturhinweise.
In: Gesammelte Schriften 8
In: Der Weg der europäischen Philosophie 1
International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
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International audience ; Permettre ainsi que subsistent des lieux ouverts qui font place à 'l'inutilité' de la parole philosophique est déjà un geste politique qui préserve symboliquement un espace où puisse aussi se dire et surgir l'essentiel. (Dufourmantelle, 64-66) Si David Hume peut s'étonner de l'accueil extraordinaire et de « l'excessive politesse » des hommes et des femmes qui le reçoivent à Paris (Hume, 26-27), si Diogène peut accueillir Alexandre, en lui disant impunément « Cesse de me faire de l'ombre », ils constituent historiquement l'exception plutôt que la règle. Les philosophes se sont en effet rarement trouvés dans une société ou face à un pouvoir politique qui leur déclarait, tel Alexandre à Diogène, « Demande-moi ce que tu veux » (Diogène Laërce, 716). L'hospitalité faite au philosophe ne va pas de soi. Où pratiquer l'acte de philosopher ? A quelles conditions ? C'est à ces questions que nous nous intéresserons ici et, plus particulièrement, à la réflexion que les philosophes ont développée à leur propos. Nous n'aborderons donc pas les traitements divers que des philosophes ont accordés à la notion d'hospitalité, comme s'il s'agissait de l'une des mille et une notions pour lesquelles ils ont pu proposer une définition, mais la question de l'existence et de la place de la philosophie dans la cité. Au demeurant, nous verrons que ce cheminement n'est pas sans implications sur la manière même dont un philosophe peut formuler, par ailleurs, une définition de l'hospitalité. Jacques Derrida a récemment mené une telle réflexion « d'un point de vue cosmopolitique » : où la philosophie trouve-t-elle aujourd'hui son lieu le plus approprié ? Quels sont d'autre part les lieux où cette question peut en droit être posée, voire se trouve nécessairement prescrite (Derrida, 9-10)? L'UNESCO, où il a formulé ces deux interrogations, lui semble être un lieu où non seulement la question du droit à la philosophie peut être énoncée, mais aussi un espace qui accueille la philosophie d'un point de vue cosmopolitique, ...
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In: Veröffentlichungen d. Forschungsgruppe Didaktik d. Philosophie, Duisburg