Les auteurs de ce module vous proposent de découvrir les cultes religieux sous les pouvoirs. Ainsi ; les thèmes suivants sont développés : "le culte d'Apollon et l'idéologie du pouvoir à Rome de la fin de la République à l'avènement du Principat" ; "des dieux poliades aux dieux des nations" ; "le pouvoir et la religion dans l'univers phénico-punique" et "le Christianisme au patriarcat d'Antioche dans l'Antiquité tardive ". Des références bibliographiques ; des références biographiques ; ainsi qu'un glossaire complètent le cours.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
The legal system in states governed by Islamic law is comprised of a set of heterogeneous rules and principles. Alongside its codified, positive law, religious laws serve as a referential source for the legislature and judiciary. The constitutionalization of Islam as both an official religion and a legislative source in Islamic law states nurtures this legal plurality. The coexistence of these different sources of law, positive and religious respectively, is further accentuated by the subjective variability of law. In this context, the existence of freedom of religion, as enshrined in the constitutions of these Islamic law states, is called into question. The principle of equality without discrimination on grounds of religion; the liberty to freely practice one's religion; or, indeed, the right to change one's religion, are framed by legislation or jurisprudence. Although all states have begun the process of constitutionalization, constitutional judges still struggle to assert their autonomy over the executive branch. Islamic law is being exploited by political powers wishing to anchor their authority in religious legitimacy. Nonetheless, encouraging signs of change are evident in the forward-thinking jurisprudence of certain jurisdictions. ; Le système juridique des Etats de droit musulman est composé de règles et de principes hétérogènes. A côté du droit positif codifié, les règles religieuses constituent une source de référence pour le législateur et pour le juge. La constitutionnalisation de l'islam comme religion officielle et comme source de législation dans les Etats de droit musulman, développe ce pluralisme juridique. La coexistence des différentes sources de droit, positive et religieuse, est accentuée par le système de personnalité des lois. Dans ce contexte, l'effectivité de la liberté de religion proclamée par la Constitution des Etats de droit musulman est remise en cause. Le principe d'égalité sans discrimination fondée sur la religion, la liberté de pratiquer librement sa religion ou encore le ...
The legal system in states governed by Islamic law is comprised of a set of heterogeneous rules and principles. Alongside its codified, positive law, religious laws serve as a referential source for the legislature and judiciary. The constitutionalization of Islam as both an official religion and a legislative source in Islamic law states nurtures this legal plurality. The coexistence of these different sources of law, positive and religious respectively, is further accentuated by the subjective variability of law. In this context, the existence of freedom of religion, as enshrined in the constitutions of these Islamic law states, is called into question. The principle of equality without discrimination on grounds of religion; the liberty to freely practice one's religion; or, indeed, the right to change one's religion, are framed by legislation or jurisprudence. Although all states have begun the process of constitutionalization, constitutional judges still struggle to assert their autonomy over the executive branch. Islamic law is being exploited by political powers wishing to anchor their authority in religious legitimacy. Nonetheless, encouraging signs of change are evident in the forward-thinking jurisprudence of certain jurisdictions. ; Le système juridique des Etats de droit musulman est composé de règles et de principes hétérogènes. A côté du droit positif codifié, les règles religieuses constituent une source de référence pour le législateur et pour le juge. La constitutionnalisation de l'islam comme religion officielle et comme source de législation dans les Etats de droit musulman, développe ce pluralisme juridique. La coexistence des différentes sources de droit, positive et religieuse, est accentuée par le système de personnalité des lois. Dans ce contexte, l'effectivité de la liberté de religion proclamée par la Constitution des Etats de droit musulman est remise en cause. Le principe d'égalité sans discrimination fondée sur la religion, la liberté de pratiquer librement sa religion ou encore le droit de changer de religion sont encadrés par la législation ou par la jurisprudence. Bien que tous les Etats aient amorcé le processus de constitutionnalisation, les juges constitutionnels peinent à affirmer leur autonomie par rapport au pouvoir exécutif. Le droit musulman est instrumentalisé par les pouvoirs politiques pour asseoir leur autorité sur une légitimité religieuse. Toutefois, la jurisprudence avant-gardiste de la Haute Cour constitutionnelle égyptienne qui a affirmé son indépendance et la jurisprudence civile des tribunaux tunisiens qui ont interprété l'article 1er de la Constitution tunisienne, sont le signe encourageant d'un changement possible.
The legal system in states governed by Islamic law is comprised of a set of heterogeneous rules and principles. Alongside its codified, positive law, religious laws serve as a referential source for the legislature and judiciary. The constitutionalization of Islam as both an official religion and a legislative source in Islamic law states nurtures this legal plurality. The coexistence of these different sources of law, positive and religious respectively, is further accentuated by the subjective variability of law. In this context, the existence of freedom of religion, as enshrined in the constitutions of these Islamic law states, is called into question. The principle of equality without discrimination on grounds of religion; the liberty to freely practice one's religion; or, indeed, the right to change one's religion, are framed by legislation or jurisprudence. Although all states have begun the process of constitutionalization, constitutional judges still struggle to assert their autonomy over the executive branch. Islamic law is being exploited by political powers wishing to anchor their authority in religious legitimacy. Nonetheless, encouraging signs of change are evident in the forward-thinking jurisprudence of certain jurisdictions. ; Le système juridique des Etats de droit musulman est composé de règles et de principes hétérogènes. A côté du droit positif codifié, les règles religieuses constituent une source de référence pour le législateur et pour le juge. La constitutionnalisation de l'islam comme religion officielle et comme source de législation dans les Etats de droit musulman, développe ce pluralisme juridique. La coexistence des différentes sources de droit, positive et religieuse, est accentuée par le système de personnalité des lois. Dans ce contexte, l'effectivité de la liberté de religion proclamée par la Constitution des Etats de droit musulman est remise en cause. Le principe d'égalité sans discrimination fondée sur la religion, la liberté de pratiquer librement sa religion ou encore le droit de changer de religion sont encadrés par la législation ou par la jurisprudence. Bien que tous les Etats aient amorcé le processus de constitutionnalisation, les juges constitutionnels peinent à affirmer leur autonomie par rapport au pouvoir exécutif. Le droit musulman est instrumentalisé par les pouvoirs politiques pour asseoir leur autorité sur une légitimité religieuse. Toutefois, la jurisprudence avant-gardiste de la Haute Cour constitutionnelle égyptienne qui a affirmé son indépendance et la jurisprudence civile des tribunaux tunisiens qui ont interprété l'article 1er de la Constitution tunisienne, sont le signe encourageant d'un changement possible.
The legal system in states governed by Islamic law is comprised of a set of heterogeneous rules and principles. Alongside its codified, positive law, religious laws serve as a referential source for the legislature and judiciary. The constitutionalization of Islam as both an official religion and a legislative source in Islamic law states nurtures this legal plurality. The coexistence of these different sources of law, positive and religious respectively, is further accentuated by the subjective variability of law. In this context, the existence of freedom of religion, as enshrined in the constitutions of these Islamic law states, is called into question. The principle of equality without discrimination on grounds of religion; the liberty to freely practice one's religion; or, indeed, the right to change one's religion, are framed by legislation or jurisprudence. Although all states have begun the process of constitutionalization, constitutional judges still struggle to assert their autonomy over the executive branch. Islamic law is being exploited by political powers wishing to anchor their authority in religious legitimacy. Nonetheless, encouraging signs of change are evident in the forward-thinking jurisprudence of certain jurisdictions. ; Le système juridique des Etats de droit musulman est composé de règles et de principes hétérogènes. A côté du droit positif codifié, les règles religieuses constituent une source de référence pour le législateur et pour le juge. La constitutionnalisation de l'islam comme religion officielle et comme source de législation dans les Etats de droit musulman, développe ce pluralisme juridique. La coexistence des différentes sources de droit, positive et religieuse, est accentuée par le système de personnalité des lois. Dans ce contexte, l'effectivité de la liberté de religion proclamée par la Constitution des Etats de droit musulman est remise en cause. Le principe d'égalité sans discrimination fondée sur la religion, la liberté de pratiquer librement sa religion ou encore le droit de changer de religion sont encadrés par la législation ou par la jurisprudence. Bien que tous les Etats aient amorcé le processus de constitutionnalisation, les juges constitutionnels peinent à affirmer leur autonomie par rapport au pouvoir exécutif. Le droit musulman est instrumentalisé par les pouvoirs politiques pour asseoir leur autorité sur une légitimité religieuse. Toutefois, la jurisprudence avant-gardiste de la Haute Cour constitutionnelle égyptienne qui a affirmé son indépendance et la jurisprudence civile des tribunaux tunisiens qui ont interprété l'article 1er de la Constitution tunisienne, sont le signe encourageant d'un changement possible.
La définition juridique de la religion dépend de conditions externes (les choix politiques de l'État) et internes (les conditions d'une argumentation juridique). La France n'a pas de définition légale de la religion. Le pouvoir de définition est reporté sur les autorités administratives sous le contrôle du juge. Le juge a fini par définir le culte mais il évite d'avoir à le faire pour la religion. Même en régime de séparation il est difficile d'y échapper.
La définition juridique de la religion dépend de conditions externes (les choix politiques de l'État) et internes (les conditions d'une argumentation juridique). La France n'a pas de définition légale de la religion. Le pouvoir de définition est reporté sur les autorités administratives sous le contrôle du juge. Le juge a fini par définir le culte mais il évite d'avoir à le faire pour la religion. Même en régime de séparation il est difficile d'y échapper.
Abstract: This paper examines the mediating role that education plays between religion and democratic community. The paper is situated in the Canadian context and examines this mediation through two questions: First, what is the relationship between religion and education and what is the contribution of this relationship to and within a pluralist society? And, second, do schools have a responsibility in developing a unified model of who the citizen is as a person? Both questions are founded upon the premise that citizens are more than citizens, they are also persons.
En jouant sur les mots utilisés pour décrire en droit patrimonial les différents régimes de mariage (communauté ou séparation), cette approche des relations entre Droit, Morale et Religion, cherche à analyser les conséquences sur le droit selon qu'il se trouve « contraint » par la religion ou la morale. Sa nature en est bouleversée lorsque la religion le soumet tandis que la séparation absolue l'oblige à des relations tendues avec les Églises. Le tracé de « frontières » plus souples, appuyées sur des relations moins tranchées, est un enjeu majeur pour des sociétés démocratiques attachées aux valeurs d'ordre et de liberté. ; Abstract : By manipulating concepts used to describe various matrimonial regimes such as « community property », « separation as to property », the writer examines the relationship between Law, Morality and Religion. He analyses the impact that religious or moral principles may have upon the law. He feels that the essence of the law is disturbed when religion is imposed upon it whereas a definitive separation between law and religion merely leads an uneasy coexistence. The establishment of more flexible boundaries based upon the resiliency of this relationship remains a major challenge for democratic societies committed to ideals of order and freedom.