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Examines criticism of the IMF and other institutions trying to combat the Asian economic crisis, and argues that criticism reveals need for adaptation of financial structures to the global economy; some focus on deregulation of trade with developing countries; 1990s, chiefly, with projections for 2015. Summaries in English p. 430 and Spanish p. 444.

La conference de Yalta prevoyait l'attribution a l'URSS des 'Kouriles' sans autres precisions et le traite de San Francisco de 1951 (non signe par Moscou) stipulait leur abandon par le Japon. Bien que celui-ci ait toujours considere que ce texte ne pouvait s'appliquer aux Kouriles du Sud, le gouvernement Hatoyama se montra pret en 1955 a renoncer aux deux principales d'entre elles mais la formation le meme annee du Parti Liberal-Democrate entraina un revirement nippon. Le modus vivendi' de 1956 laissa de cote la question territoriale et rendit possible le developpement progressif des relations economiques nippo-sovietiques, mais le probleme des Kouriles du Sud a ete ranime par Tokyo dans la foulee de l'accord de 1969 sur Okinawa. On le retrouve depuis a tous les tournants des relations nippo-sovietiques bien que le retablissement des relations sino-japonaises en 1972 puis l'acceptation par le Japon de la clause anti-hegemonie en 1978 aient rendu plus improbable que jamais une solution en faveur du Japon. Celui-ci maintient cependant sa revendication pour les raisons liees avant tout a la psychologie nationale bien que des motifs politiques et strategiques rendent pratiquement inconcevable quformation le meme annee du Parti Liberal-Democrate entraina un revirement nippon. Le modus vivendi' de 1956 laissa de cote la question territoriale et rendit possible le developpement progressif des relations economiques nippo-sovietiques, mais le probleme des Kouriles du Sud a ete ranime par Tokyo dans la foulee de l'accord de 1969 sur Okinawa. On le retrouve depuis a tous les tournants des relations nippo-sovietiques bien que le retablissement des relations sino-japonaises en 1972 puis l'acceptation par le Japon de la clause anti-hegemonie en 1978 aient rendu plus improbable que jamais une solution en faveur du Japon. Celui-ci maintient cependant sa revendication pour les raisons liees avant tout a la psychologie nationale bien que des motifs politiques et strategiques rendent pratiquement inconcevable que l'URSS lui donne jamais satisfaction