The Hunter's Aim: The Cultural Politics of American Sport Hunters, 1880–1910
In: Journal of leisure research: JLR, Volume 35, Issue 4, p. 455-474
ISSN: 2159-6417
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In: Journal of leisure research: JLR, Volume 35, Issue 4, p. 455-474
ISSN: 2159-6417
International audience ; This paper reports the first outcomes of a research program "Environment and Sustainable Development in the Caribbean space" co-funded by the European Union, the Région Martinique and the Université des Antilles et de la Guyane under the European Union operational programme 2007-2013. Since the middle of the last century, the Caribbean countries, regardless of their great diversity and political fragmentation, are faced with the recurring problem of development. Having explored different paths, they are looking now for new development models. This challenge which becomes obsessive over the decades, is now a major concern: indeed, the Caribbean territories are per se vulnerable and highly exposed to natural risks due to climate change. In addition, this relates to areas where tensions between exploitation and conservation of a rich biodiversity are particularly strong. Based on the promotion of tourism and services as part of an "open regionalism" at the intersection of global and local scales of public action, the current development strategies give rise to a dual approach with, however, rather mixed results: on the one hand, a discursive use of sustainable development, apprehended through its environmental dimension, evidences a new way of looking at the region and a change in the way the region sees itself; on the other hand, a political use of sustainable development through cross-cutting policies, is hindered by the complexity of structures, the multiple levels of action and regulation, and the difficult appropriation of public-policy organization by local communities and people. ; Cet article rend compte des premiers résultats d'un programme de recherche « Environnement et développement durable dans l'espace caraïbe » cofinancé par l'Union européenne, la région Martinique et l'Université des Antilles et de la Guyane dans le cadre des programmes opérationnels européens 2007-2013. Il montre que les territoires de la Caraïbe, après avoir exploré plusieurs voies en matière de ...
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International audience ; This paper reports the first outcomes of a research program "Environment and Sustainable Development in the Caribbean space" co-funded by the European Union, the Région Martinique and the Université des Antilles et de la Guyane under the European Union operational programme 2007-2013. Since the middle of the last century, the Caribbean countries, regardless of their great diversity and political fragmentation, are faced with the recurring problem of development. Having explored different paths, they are looking now for new development models. This challenge which becomes obsessive over the decades, is now a major concern: indeed, the Caribbean territories are per se vulnerable and highly exposed to natural risks due to climate change. In addition, this relates to areas where tensions between exploitation and conservation of a rich biodiversity are particularly strong. Based on the promotion of tourism and services as part of an "open regionalism" at the intersection of global and local scales of public action, the current development strategies give rise to a dual approach with, however, rather mixed results: on the one hand, a discursive use of sustainable development, apprehended through its environmental dimension, evidences a new way of looking at the region and a change in the way the region sees itself; on the other hand, a political use of sustainable development through cross-cutting policies, is hindered by the complexity of structures, the multiple levels of action and regulation, and the difficult appropriation of public-policy organization by local communities and people. ; Cet article rend compte des premiers résultats d'un programme de recherche « Environnement et développement durable dans l'espace caraïbe » cofinancé par l'Union européenne, la région Martinique et l'Université des Antilles et de la Guyane dans le cadre des programmes opérationnels européens 2007-2013. Il montre que les territoires de la Caraïbe, après avoir exploré plusieurs voies en matière de développement, privilégient désormais des stratégies axées sur le tourisme et les services. S'inscrivant dans un « régionalisme ouvert » au croisement des échelles globale et locale d'intervention en matière d'action publique, ces stratégies débouchent sur une double démarche aux résultats contrastés : d'un côté, une mise en discours du développement durable, appréhendé notamment à travers sa dimension environnementale, témoigne d'un changement de regard sur la région et de celle-ci sur elle-même ; de l'autre, une mise en politique du développement durable à travers des dispositifs à caractère transversal, se heurte à la complexité des structures, à la multiplicité des échelles d'intervention et de régulation ainsi qu'à la difficile appropriation desdits dispositifs par les populations locales.
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In: Public Administration and Policy in the Caribbean; Public Administration and Public Policy, p. 61-76
In: Informations sociales, Volume 186, Issue 6, p. 98-107
La création en Guyane et Martinique d'une collectivité territoriale se substituant au département et à la région, sur le fondement de l'article 73 de la Constitution, correspond à une opération complexe, s'inscrivant dans la durée et dans un contexte plus général de réformes à l'échelle de la France. Son succès dépend de la capacité des acteurs locaux à relever plusieurs défis de nature politique et technique, dont deux au moins paraissent essentiels : celui visant à briser le mythe de la simple fusion entre département et région ; celui consistant à créer et gérer un espace d'innovations et d'ingénierie institutionnelle.
International audience ; Guyane et Martinique : enjeux et défis de la collectivité unique Informations sociales, CNAF, 2014, Populations d'outre-mer, 6 (186), pp.98-107 Guyane et Martinique : enjeux et défis de la collectivité unique Justin Daniel – politiste La poursuite du processus de décentralisation en France a pris, en Guyane et en Martinique depuis 2011, la forme inédite de la collectivité territoriale unique, lui conférant une valeur d'expérience pilote. La création de cette nouvelle entité_ _ ouvre un espace d'ingénierie institutionnelle qui va bien au-delà d'une fusion des niveaux d'action départemental et régional et requiert de tous les acteurs des capacités d'innovation, d'adaptation et de coopération. La loi du 27 juillet 2011 relative aux Collectivités territoriales de Guyane (CTG) et de Martinique (CTM) vise, en créant une collectivité unique, à apporter une réponse politico-institutionnelle au malaise qui s'exprime de longue date dans ces territoires. Depuis la fin des années 1950, la question statutaire rythme avec une intensité variable la vie politique de ces derniers et structure leur champ partisan. Une tentative de réforme, dans le prolongement de la révision constitutionnelle de 2003 qui a élargi les possibilités d'évolutions statutaires pour les Départements et régions d'outre-mer (DROM), s'est d'ailleurs enlisée en Guyane, faute de consensus, et s'est soldée par le double échec de la consultation organisée aux Antilles le 7 décembre 2003. La création d'une collectivité unique en Guyane et en Martinique correspond-elle à une simple fusion des compétences exercées par les départements et régions ? Certes, après le rejet sans ambiguïté de l'idée d'une Collectivité d'outre-mer (COM) dotée de l'autonomie, l'option retenue est celle d'une simplification du paysage institutionnel. Toutefois, la mise en oeuvre d'une telle réforme s'apparente à une opération complexe, s'inscrivant dans la durée, dont le succès dépend assurément de la capacité des acteurs à relever au moins deux défis de nature ...
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International audience ; Guyane et Martinique : enjeux et défis de la collectivité unique Informations sociales, CNAF, 2014, Populations d'outre-mer, 6 (186), pp.98-107 Guyane et Martinique : enjeux et défis de la collectivité unique Justin Daniel – politiste La poursuite du processus de décentralisation en France a pris, en Guyane et en Martinique depuis 2011, la forme inédite de la collectivité territoriale unique, lui conférant une valeur d'expérience pilote. La création de cette nouvelle entité_ _ ouvre un espace d'ingénierie institutionnelle qui va bien au-delà d'une fusion des niveaux d'action départemental et régional et requiert de tous les acteurs des capacités d'innovation, d'adaptation et de coopération. La loi du 27 juillet 2011 relative aux Collectivités territoriales de Guyane (CTG) et de Martinique (CTM) vise, en créant une collectivité unique, à apporter une réponse politico-institutionnelle au malaise qui s'exprime de longue date dans ces territoires. Depuis la fin des années 1950, la question statutaire rythme avec une intensité variable la vie politique de ces derniers et structure leur champ partisan. Une tentative de réforme, dans le prolongement de la révision constitutionnelle de 2003 qui a élargi les possibilités d'évolutions statutaires pour les Départements et régions d'outre-mer (DROM), s'est d'ailleurs enlisée en Guyane, faute de consensus, et s'est soldée par le double échec de la consultation organisée aux Antilles le 7 décembre 2003. La création d'une collectivité unique en Guyane et en Martinique correspond-elle à une simple fusion des compétences exercées par les départements et régions ? Certes, après le rejet sans ambiguïté de l'idée d'une Collectivité d'outre-mer (COM) dotée de l'autonomie, l'option retenue est celle d'une simplification du paysage institutionnel. Toutefois, la mise en oeuvre d'une telle réforme s'apparente à une opération complexe, s'inscrivant dans la durée, dont le succès dépend assurément de la capacité des acteurs à relever au moins deux défis de nature politique et technique : l'un visant précisément à briser le mythe de la simple fusion entre département et région, l'autre consistant à maîtriser un nouvel espace d'ingénierie institutionnelle. L'autonomie en débat : le déphasage entre le choix des élus et les attentes des populations La révision constitutionnelle de 2003 a remplacé la vieille distinction entre les départements d'outre-mer (DOM) et les territoires d'outre-Mer (TOM) par une nouvelle classification. Celle-ci distingue les collectivités (régions, départements et collectivités uniques s'y substituant) relevant de l'article 73 de la Constitution de 1958 et les collectivités d'outre-mer (COM) définies par l'article 74. Les premières sont régies par le principe de l'identité législative, c'est-à-dire que les lois et règlements y sont applicables de plein droit ; les secondes sont régies, à des degrés divers (1), par le principe de la spécialité législative, c'est-à-dire que les lois et règlements ne s'y appliquent que sur mention expresse. Les COM peuvent être dotées de l'autonomie (comme à Saint-Barthélemy, Saint-Martin et en Polynésie française) et obtenir dès lors la compétence pour fixer des règles dans des domaines qui
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In: Revue française de science politique, Volume 63, Issue 1, p. XXXII-XXXII
ISSN: 1950-6686
In: Revue française de science politique, Volume 63, Issue 1, p. 158-159
ISSN: 0035-2950
In: New West Indian guide: NWIG = Nieuwe west-indische gids, Volume 87, Issue 1-2, p. 160-162
ISSN: 2213-4360
In: Pouvoirs dans la Carai͏̈be: PDLC, Issue 16, p. 11-12
ISSN: 2117-5209
In: Pouvoirs dans la Carai͏̈be: PDLC, Issue 16, p. 193-197
ISSN: 2117-5209
In: French politics, culture and society, Volume 27, Issue 3, p. 24-33
ISSN: 1558-5271
In: French politics, culture and society, Volume 27, Issue 3
ISSN: 1558-5271
In: Pouvoirs dans la Carai͏̈be: PDLC, Issue 15, p. 151-177
ISSN: 2117-5209