Religion in South Asia
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Band 1, Heft 2, S. 274
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In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Band 1, Heft 2, S. 274
In: Australian quarterly: AQ, Band 18, Heft 3, S. 114
ISSN: 1837-1892
In: Politische Vierteljahresschrift: PVS : German political science quarterly, Band 43, S. 412-432
ISSN: 0032-3470
The relationship between religion & medicine has a long history & was often conflict-ridden. Historically, the boundaries between religion & medicine have manifested themselves in a number of different ways. By looking at the US & Germany, it is shown how biomedical progress has led to a reshaping of the relationship between religion & politics. The example of human embryonic stem cell research shows massive efforts by religious groups to influence science in the political arena. These efforts were much more successful in Germany than in the US. Whereas in the US religiously motivated attempts to influence research were strongly rejected by secular-liberal forces, in Germany the Churches were much more efficient to reach their policy goals. These variations can be explained by differences in varying discursive constellations. 43 References. Adapted from the source document.
In: Politische Vierteljahresschrift: PVS : German political science quarterly, Heft 33, S. 412-432
ISSN: 0032-3470
"Religion und Medizin haben eine lange, über weite Strecken miteinander eng verbundene und sicherlich nicht immer konfliktfreie Geschichte. Historisch haben sich die Grenzlinien zwischen Religion und Medizin auf politischer Ebene in unterschiedlicher Art manifestiert. Am Beispiel der USA und Deutschlands wird gezeigt, wie sich in der Folge einer Reihe von Entwicklungen in der biomedizinischen Forschung das Verhältnis von medizinischer Forschung, Religion und Politik verändert hat. In der Forschung über humane embryonale Stammzellen zeigen sich seit den späten neunziger Jahren massive Versuche der Beeinflussung medizinischer Forschung auf politischer Ebene durch religiöse Gruppierungen, die aber im Fall der USA sehr viel weniger erfolgreich waren als in der Bundesrepublik Deutschland. Während in den USA die Einflussnahme religiöser Akteure auf die wissenschaftliche Forschung vehement und effektvoll von säkular-liberal gesinnten Gruppierungen zurückgewiesen wurde, verstanden es die Kirchen in Deutschland sehr viel besser, ihre Interessen in der Politikgestaltung zur Geltung zu bringen. Dieser Unterschied wird vor dem Hintergrund national variierender diskursiver Konstellationen erklärt." (Autorenreferat)
Das Buch geht kritisch der Rede von der "Wiederkehr der Religion" in unserer Gesellschaft nach. Um ihre provokanten Thesen zu belegen, zieht die Autorin neben Quotenbrechern wie "Mit Leib und Seele", Daily Soaps wie "Marienhof" und TV-Shows vor allem das Boulevardblatt "Bild-Zeitung" heran als Spiegel von gesellschaftlichen Entwicklungen. Demnach kann von einer Renaissance der Religion im tieferen Sinn nicht die Rede sein. Medien, Fernsehproduktionen und die Bild-Zeitung benutzen religiöse Motive zum Zweck der Unterhaltung und der Quoten- und Auflagensteigerung. Nicht Gottsuche, sondern "Seelenwellness" liegt im Trend. Ein kluges, entlarvendes Buch über den geistigen Zustand unserer Gesellschaft.
This article analyzed the correlation between (a) Religion/Religiosity of 1,081 characters-victims and (b) Types, (c) Sub-types and (d) Nature of 1,081 acts of violence received by these characters; in 100 animated series, representing 33.22% of TV products and 54.34% of animated series, consumed by 2,088 schoolchildren in Mexico. The RESULTS reveal that: 84.08% are Victims-Without-Religion; 11.65% Victims-With-Religiosity-Animist/Pagan; and 1.85% Victims-With-Religion. Furthermore, the most violent interpersonal relationships for all religions/religiosities are the egalitarian ones at the community level; but the Victims-Without-Religion are the characters who receive the highest percentage of Interpersonal-Violence: 62.25% receive Interpersonal-Equallitaire Violence and 62.85% Interpersonal-Community Violence. These data are interpreted as symptoms of late modernity because they favor the breaking of modern political values with: (a) the social construction of negative stereotypes of the Modern-Social-Subject (Without-Religion/secular/laïc); and of the egalitarian political-social system/order; and with (b) the social construction of positive stereotypes of the hierarchical social system/order characteristic of pre-modern traditional religions/religious identities. ; Este artículo analizó la correlación entre (a) Religión/Religiosidad de 1,081 personajes-víctimas y (b) Tipos, (c) Subtipos y (d) Naturaleza de 1,081 acciones de violencia recibidas por estos personajes; en 100 series animadas, representativas del 33.22% de productos de TV y del 54.34% de series animadas, consumidas por 2,088 escolares en México. Los RESULTADOS rebelan que: 84.08% son Víctimas-Sin-Religión; 11.65% Víctimas-Con-Religiosidad-Animista/Pagana; y 1.85% Víctimas-Con-Religión. Además, las relaciones interpersonales más violentas para todas las religiones/religiosidades son las igualitarias del ámbito comunitario; pero son personajes Víctimas-Sin-Religión quienes reciben el mayor porcentaje de Violencia-Interpersonal: 62.25% recibe Violencia-Interpersonal-Igualitaria y 62.85% Violencia-Interpersonal-Comunitaria. Estos datos se interpretan como síntomas de tardomodernidad porque favorecen el quebrantamiento de valores políticos modernos con: (a) la construcción social de estereotipos negativos del Sujeto-Social-Moderno (Sin-Religión/laico/secular); y del sistema/orden político-social igualitario; y con (b) la construcción social de estereotipos positivos del sistema/orden social jerarquizado característico de religiones/identidades religiosas tradicionales pre-modernas.
BASE
La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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La mode se présente comme une religion séculière, c'est-à-dire, un " système symbolique administré par des clercs, dont la validité repose sur ses capacités à ordonner, normaliser et qualifier le réel " (Piette, 1993). Gauchet (2000) parle de la fin de la sublimation politique comme alternative à la sublimation religieuse. La société postmoderne vit une sorte de sublimation économique en déplaçant le sacré dans le secteur de la consommation de biens. Nous observons que tous les critères de la constitution d'une religion sont remplis. De l'expérience du sacré par les fidèles, à son administration par le clergé, liturgie, lieux et personnages sacrés, présence de récits mythologiques, mythe rationalisé en doctrine consumériste. Le secteur de la mode se prête particulièrement bien à la sacralisation. Univers magique par excellence qui brille de mille feux éphémères qui doivent être rallumés sans cesse. Derrière les scintillements, des budgets colossaux sont dépensés pour entretenir la flamme des fidèles et ainsi permettre de réenchanter le monde.
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In: Politische Religion und Religionspolitik: zwischen Totalitarismus und Bürgerfreiheit, S. 49-78
Der Beitrag beschreibt aus deskriptiv-phänomenologischer Perspektive die Funktion von Religion in autoritären und totalitären Diktaturen am Beispiel des Nationalsozialismus, verstanden als 'politische Religion'. Im Mittelpunkt steht dabei das Volk bzw. die Volksgemeinschaft, woraus hier die untersuchungsleitende Frage hervorgeht, ob und inwieweit die nationalsozialistische Auffassung von Mensch, Volk, Rasse, Geschichte und Welt als politische Religion charakterisiert werden kann. Der erste Schritt betrachtet die Charakterisierung des deutschen Volkes und seine Einbettung in das zukünftige 'Dritte Reich' anhand der Schriften von D. Eckart und J. Goebbels. So nimmt Eckart, ein Freund und Förderer Hitlers, die Wahrnehmung und Bewertung des deutschen Volkes mit den Mustern der Mystik und Apokalyptik vor. Goebbels' Beitrag zur politischen Religion des Nationalsozialismus umfasst die Auseinandersetzung mit Gott, Christus, Volksgemeinschaft und Erlösung einerseits sowie dem Juden als Antichrist andererseits. Ferner wird der Glaube an das Charisma Hitlers und die identitätsstiftende Funktion des Führers vor der Machtergreifung der Nationalsozialisten bei Goebbels und anderen NSDAP-Mitgliedern dargestellt. Der zweite Schritt befasst sich sodann mit der Verknüpfung von Gott, der arisch-nordischen Rasse und dem deutschen Volk. An dieser Stelle wird die Annahme der allen Deutschen gemeinsamen Teilhabe an einer göttlichen Substanz als das 'fundamentum in re' der deutschen Volksgemeinschaft in den Schriften A. Rosenbergs und Hitlers herausgearbeitet. In einer abschließenden Zusammenfassung der Erkenntnisse werden die Gründe dafür dargelegt, dass die Anschauung von Mensch, Volk, Zukunft und Welt im Nationalsozialismus als politische Religion beurteilt werden kann. (ICG2)
In: Ashgate inform series on minority religions and spiritual movements
pt. I. Minority religions and international legal and ethical norms : an overview -- pt. II. Minority religions and Islam -- pt. III. Atlantic models : religious minorities, diversity and the 'European West' -- pt. IV. Moving eastward : emerging democracies and the communist legacy -- pt. V. Minority religions in non-Europe democracies : Canadian and South African models.
In: Aus Politik und Zeitgeschichte: APuZ, Heft 50, S. 3-10
ISSN: 2194-3621
In Europa hielt die Integration des Judentums in die kirchenpolitische Landschaft des modernen Staates mit der rechtlichen Einbürgerung seiner Bekenner nicht Schritt. In Frankreich ließ Napoleon den höchsten Gerichtshof des antiken Judentums, den Großen Sanhedrin, wieder einberufen, um das Loyalitätsbekenntnis der Juden zu Staat und Republik zu überprüfen. Zur Vollendung kam die kirchenrechtliche Gleichstellung der jüdischen Religion erstmals 1831 in Frankreich. Die Leistung der französischen Konsistorien war die Institutionalisierung der jüdischen Präsenz im Staat; sie signalisierten dem Staat der Loyalität der jüdischen Gemeinden und diesen Rechtssicherheit und öffentliche Anerkennung. Die drei europäischen Alternativen der Religionspolitik - Trennung vom Staat, Staatskirche, Konkordat - haben in der Praxis zu ähnlichen Ergebnissen geführt. (ICE2)